Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14364Fiche technique9902 caractères9902
Temps de lecture estimé : 6 mn
07/04/11
Résumé:  Une promenade en forêt est toujours l'occasion de faire des découvertes parfois surprenantes.
Critères:  fh forêt douche intermast pénétratio uro confession -uro
Auteur : Ondin      Envoi mini-message
Une longue promenade en forêt

Valérie était presque en soi un paradoxe. En tout cas, elle était une somme de paradoxes. Elle était bien en chair tout en étant d’une minceur étonnante. Elle n’était pas très grande mais paraissait ainsi très élancée. Sa poitrine menue était si bien mise en valeur qu’elle attirait tous les regards, à commencer par le mien. C’est en effet par là que je fus conquis.


Nous nous étions rencontrés quelques mois auparavant, nous avions sympathisé puis nous nous étions perdus de vue. Lorsque nous nous sommes retrouvés, son mari venait de la quitter. Après quelques rendez-vous, nous nous retrouvâmes un soir chez elle et ce qui devait arriver arriva. Nous nous étions revus deux autres fois après cette première et, à chaque fois, nous avions fait l’amour. J’étais sur mon petit nuage. Un quasi coup de foudre, une liaison naissante. Une liaison et non un amour car nous étions convenus qu’il ne pourrait s’agir que de quelque chose de provisoire, chacun de nous tenant à conserver son indépendance.


À notre troisième rencontre, après avoir fait l’amour, je restai chez elle pour passer la nuit. Le lendemain matin, au réveil, nous fîmes l’amour à nouveau puis nous restâmes enlacés un long moment avant de nous lever. Elle m’entraîna alors dans la salle de bain pour prendre une douche ensemble. Tandis que nous nous aspergions, elle me lança d’un air dégagé :



J’eus à peine le temps de réagir qu’elle avait déjà commencé à uriner dans la baignoire. Je vis le liquide doré se mêler à l’eau qui s’écoulait le long de ses jambes pour se perdre dans la bonde. Cette vision me fit forte impression et réveilla en moi les souvenirs que j’avais de mes jeux uro avec ma femme. Tout cela semblait lui paraître parfaitement naturel et elle ne prit pas plus que moi la peine de commenter la situation.


Quelques jours plus tard, nous avions rendez-vous dans un café. Elle devait passer la journée dehors car son mari occupait l’appartement le samedi et elle ne tenait pas plus que ça à le croiser. Lorsque j’arrivai devant le café, je la remarquai tout de suite. Chemisier léger, jupe ample et, surtout, un chapeau de paille qui détonait dans l’environnement. Il faisait chaud en ce jour de fin de printemps. Elle avait déjà pris un thé mais en commanda un nouveau lorsque je commandai une bière pression. Nous échangeâmes longuement sur les sujets les plus divers mais l’essentiel de la conversation tournait autour de sa situation conjugale et de son futur divorce.


Au bout d’un long moment, nous décidâmes d’aller faire une promenade en forêt. Nous prîmes donc la voiture et, quelques instants plus tard, je me garai dans un parking en lisière de forêt. Et là, nous commençâmes une longue promenade, discutant de sujets variés, aussi bien politiques que culturels, échangeant nos impressions sur des livres, des films, des gens. Tout en parlant, nous marchions sans but, tournant à gauche ou à droite en suivant notre inspiration du moment et sans vraiment regarder où nous allions. De temps à autres, nous faisions une halte pour nous embrasser, voire nous caresser. Nous étions assez bien émoustillés par ces pauses et il nous fallait faire un effort pour y mettre un terme et reprendre notre chemin. Peu à peu, la conversation prit un tour plus érotique. Elle commença à évoquer ses rencontres, ses amants, les expériences auxquelles elle s’était livrée et qui, à l’entendre, paraissaient nombreuses.


Nous avions bien marché pendant plus d’une heure, lorsqu’elle me fit part de son désir de revenir à la voiture.



Mais quel chemin prendre ? Il s’avéra alors que nous étions égarés. Impossible de retrouver rapidement le chemin du parking. La forêt n’étant pas très vaste, cela n’avait rien de bien grave. C’était simplement une question de temps. Même au hasard, nous finirions bien par tomber sur ce parking ou sur la route qui y menait. De plus, il n’était pas si tard que cela et nous avions tout notre temps. Nous poursuivîmes donc notre promenade sans trop nous presser. À un moment, je la pris dans mes bras et nous nous embrassâmes longuement. Je passai une main sous son chemisier pour caresser sa poitrine. Je caressai son ventre à travers sa jupe. Elle s’abandonnait presque, comme à chaque halte que nous faisions. C’est alors qu’elle m’avoua la raison de son désir de rentrer.



Une petite phrase toute simple qui évoqua chez moi à nouveau de nombreux souvenirs et déclencha une réaction d’envie encore plus forte ; l’envie de la regarder pendant qu’elle se soulagerait, de la toucher même. Mais je me gardai bien de lui exprimer ce fantasme. Nous nous remîmes en route en allongeant le pas pour retrouver la voiture au plus vite. Mais nous nous rendîmes vite compte que nous nous étions considérablement éloignés de notre point de départ et que, dans le meilleur des cas, nous n’arriverions pas à le rejoindre en quelques minutes.



Nous continuâmes à marcher tout en cherchant un endroit propice, un peu à l’écart du chemin. Nous eûmes un peu de mal à trouver mais nous avisâmes tout de même assez rapidement une petite clairière derrière un tas de bois fraîchement coupé. Nous enjambâmes les ronces et les branches mortes pour nous retrouver dans un lieu bien ombragé où restaient quelques souches. Nous étions apparemment à l’abri des regards indiscrets et assez à l’écart du chemin. Parvenus à notre but, je la saisis dans mes bras pour l’embrasser à nouveau. Elle se laissa faire un court instant avant de me déclarer.



Sans prendre la peine de retirer sa culotte, elle s’adossa au tas de bois. Elle remonta sa jupe, la serrant en boule sur son ventre tandis que, de l’autre main, elle écarta le tissu de sa culotte et commença immédiatement à laisser jaillir un puissant jet d’urine qui frappa les feuilles mortes et les brindilles qui jonchaient le sol. Enhardi par la situation et par l’absence de gêne qu’elle manifestait à uriner ainsi sous mes yeux sans chercher à dissimuler quoi que ce soit, sans même réfléchir, je me risquai à passer ma main sous le jet, l’approchant de sa vulve à mesure qu’il devenait moins dru et qu’il se tarissait.


Elle parut d’abord surprise mais ne protesta pas et se laissa faire lorsque je commençai à caresser ses lèvres humides et à les écarter pour y introduire mes doigts tandis que les dernières gouttes inondaient ma main. Je la caressai ainsi tandis qu’elle dégrafait ma ceinture et faisait glisser la fermeture éclair de mon jean pour en extraire ma verge. Nous nous masturbâmes de la sorte un long moment. J’avais envie de la faire jouir et je me retenais pour ne pas éjaculer avant d’admirer son orgasme. Mais elle insista :



Je me résignai donc. Elle serrait mon sexe si fort, lui imprimant des mouvements accélérés de va-et-vient, qu’il ne lui fallut pas bien longtemps pour faire jaillir mon sperme qu’elle recueillit dans sa main. Elle poursuivit un instant de lents mouvements de masturbation puis dirigea sa main vers sa vulve qu’elle se badigeonna entièrement de sperme. Restant accroupi, je me rapprochai encore d’elle et nous nous embrassâmes fougueusement.


C’est alors qu’elle prit à nouveau ma verge dans sa main et, constatant que je ne bandais plus, elle me suggéra à brûle-pourpoint :



J’hésitai un court instant avant de répondre par l’affirmative, voyant bien où elle désirait en venir.



Mon envie était certes pressante mais cela ne vint pas immédiatement. Je commençai par lâcher un filet qui ne tarda pas à s’amplifier. La tête rejetée en arrière, les yeux mi-clos, elle dirigea mon jet d’urine sur sa vulve qu’elle se caressait lentement de l’autre main. Lorsque j’eus terminé, ses cuisses et son sexe étaient trempés. Elle s’essuya délicatement avec un mouchoir. Puis nous nous relevâmes et reprîmes notre recherche de la voiture.


Le soir, lorsque nous avons pu rentrer chez elle, son mari ayant quitté les lieux avec ses enfants, nous allâmes directement dans sa chambre pour faire l’amour.