n° 14367 | Fiche technique | 7431 caractères | 7431Temps de lecture estimé : 5 mn | 11/04/11 |
Résumé: Une soirée arrosée lève quelques inhibitions et permet la découverte de nouveaux jeux. | ||||
Critères: fh couple toilettes cunnilingu uro init confession -couple -uro | ||||
Auteur : Ondin Envoi mini-message |
Nous étions mariés depuis déjà quelques années. Au début, ma femme était plutôt du genre oie blanche et ne se livrait pas complètement. Lorsque je souhaitais mettre un peu de piment dans nos relations, je devais prendre de multiples précautions, l’amener lentement à se détendre, à s’abandonner. Ne serait-ce que pour passer à autre chose que ce qu’on appelle communément la position du missionnaire, il m’a fallu plusieurs mois. Il en fut de même avant qu’elle n’atteigne enfin un véritable orgasme.
Peu à peu, à force de patience et de persuasion, les choses évoluèrent. Elle commença d’abord à répondre à quelques-unes de mes audaces, certes très limitées mais qui, pour elle, étaient une véritable gageure. Puis, s’enhardissant, elle se mit à prendre des initiatives, commençant à varier les positions, à accepter que nous fassions l’amour debout, par exemple. Progressivement, elle en arriva même à adopter des attitudes coquines, à glisser des sous-entendus dans la conversation. Mais je ne prenais pas le risque d’exposer mes fantasmes les plus secrets car je redoutais un rejet de sa part.
Ce soir-là, nous avions fêté quelque chose – je ne sais plus quoi – mais toujours est-il que nous avions invité des amis à la maison et que nous avions vidé quelques bouteilles. Ma femme aussi, bien qu’elle ne boive qu’exceptionnellement, avait avalé quelques verres. Quand nos amis sont partis, c’est donc tout naturellement qu’elle s’est affalée sur un des fauteuils en continuant à vider son verre. Elle avait conscience d’être « pompette » et semblait parfaitement heureuse.
Je m’approchai d’elle et commençai à la caresser. M’asseyant par terre, je posai ma tête sur ses genoux et je caressai son visage et sa poitrine. Je lui embrassais aussi les cuisses à travers son pantalon. Mais lorsque je commençai à remonter le long de ses cuisses pour atteindre son entrejambe, elle me repoussa tendrement en me demandant d’attendre un peu. La demande était peu pressante et je continuai donc à l’embrasser. Cette fois, mes mains se faisaient plus insistantes sur ses seins et ma bouche saisit son sexe à travers le tissu du jean en le mordillant.
Mais je ne voulus pas l’entendre et je continuai toujours à la caresser, sentant combien elle manquait de force pour se lever et parcourir le couloir pour aller aux toilettes, c’est-à-dire, en fait, la salle de bains. Elle se laissa faire, en effet, lorsque je lui déboutonnai le chemisier. Mais lorsque j’entrepris de défaire la ceinture de son jean tout en lui embrassant les seins, elle me repoussa en me répétant :
Je la laissai donc se lever mais je la suivis en la caressant. Quand elle entra dans la salle de bains, je la saisis par derrière, lui tenant les seins et le ventre, l’embrassant dans le cou puis passant une main dans le jean où je sentis la culotte déjà bien humide. Là elle se pencha en avant en se cambrant puis s’abandonna à mes caresses, laissant monter le plaisir en elle. Puis elle se retourna et je commençai alors à lui baisser le jean tout en l’embrassant sur la bouche.
C’est alors que j’eus cette audace de lui déclarer :
Je m’attendais à une réaction du genre « tu es fou » ou bien, « ça ne va pas » mais rien ne vint. Elle se contenta de continuer à m’embrasser à pleine bouche, nos langues jouant jusqu’au fond de nos gorges. Elle continua aussi à subir mes caresses et à se laisser déshabiller. Son pantalon était tombé sur ses chevilles et son chemisier était par terre. Je dégrafai donc le soutien-gorge et recommençai à caresser son sexe à travers sa culotte. Mais cette fois-ci, la culotte était carrément trempée et les cuisses elles-mêmes étaient humides.
Au moment où je passai ma main sous la culotte pour lui caresser le clitoris et passer mes doigts à l’intérieur de son sexe, entre les lèvres, elle me dit qu’elle ne pouvait plus se tenir debout.
Puis elle se laissa glisser le long de la baignoire et, tout en se laissant masturber et en gémissant de plaisir, elle finit par se retrouver accroupie, les jambes bien écartées, adossée à la baignoire. C’est alors que, ne pouvant manifestement plus se retenir, elle lâcha un court jet d’urine entre mes doigts.
Je l’aidai donc à se relever. Elle finit d’ôter son jean, qui resta là, au pied de la baignoire. Nous allâmes ensemble jusqu’à la cuvette des WC. Elle se retourna pour s’asseoir. Je m’agenouillai puis, lui baissant la culotte le long de ses cuisses humides, je posai mes lèvres sur son sexe odorant, léchant les gouttes d’urine sur ses poils et glissant ma langue dans sa vulve.
Elle s’assit alors sur la cuvette.
Je répondis quand même :
De ses deux mains, elle ouvrit sa vulve, écartant bien les lèvres, puis elle se soulagea complètement, laissant échapper un long jet dans la cuvette tandis que je lui caressais la vulve. Je restais agenouillé pendant tout ce temps, les yeux fixés sur sa vulve ouverte et sur ce méat d’où jaillissait cette fontaine d’urine et, quand elle eut finit, alors qu’elle saisissait déjà un morceau de papier, je lui proposai :
J’avançai ma tête entre ses jambes et je lui léchai toute la vulve, finissant avec ma langue ce que j’avais commencé tout à l’heure. Elle avança sur le bord de la cuvette, s’allongeant presque complètement et m’offrant sa vulve. Je passai ma langue sur son méat et sur tout son sexe. Je lui léchai les lèvres et le clitoris. Puis je l’allongeai sur le tapis de la salle de bain pour entrer ma verge dans son sexe trempé. Elle ne tarda pas à jouir, m’entraînant dans son orgasme.
C’est ainsi que nous avons découvert les plaisirs de l’uro. Ce qui n’était au début qu’un jeu fortuit eut des prolongements dans les jours, les mois et les années qui suivirent. Cette expérience fut la première d’une longue série.