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n° 14373Fiche technique45950 caractères45950
Temps de lecture estimé : 27 mn
21/04/11
Résumé:  Cousin-cousine, câlin-câline. Mais tantine veille au grain. Et me voilà au four et au moulin.
Critères:  fh oncletante cousins grosseins fépilée noculotte chaussures rasage fellation fdanus fsodo hdanus -totalsexe -tante
Auteur : Laurent B.
Intermède familial

Vendredi soir. Je rentre à peine du boulot. Le téléphone sonne. Qui est-ce que ça peut bien être à cette heure ? Je décroche.



Il me semble bien reconnaître la voix de ma cousine Béa.



Ma cousine Béatrice. 24 ans. Brune aux cheveux courts. De beaux yeux marron. Un corps de rêve avec des seins aussi fermes que si elle était une statue de marbre. Et un sex-appeal incroyable. Oui. Sauf qu’on est en automne et que le temps est dégueulasse. Elle ne risque pas d’être très sexy, aujourd’hui. Bon, j’ai une petite idée. Ça n’est pas très honnête, mais tant pis. Je monte le thermostat à 27°, je lui dirai que c’est bloqué. Elle enlèvera peut-être une couche, qui sait ? Ensuite, je file chez le gars d’en face. Je prends une paella, il me conseille un petit vin et de la sangria comme apéro. Je prends le tout. Et je remonte. La température est déjà bien élevée. Je me change en vitesse. T-shirt et short de sport. Et si j’osais ? Allez hop ! Rien sous le short.


Il était temps, on sonne. Je vais ouvrir. Waow ! Elle porte une mini-jupe pied-de-poule qui lui descend maximum dix centimètres sous les fesses. Collants opaques et bottes noires. Le haut, c’est un pull noir sur un chemisier blanc et une veste par dessus. Il me semble que sa poitrine a pris du volume.



Je m’efface pour la laisser entrer.



Elle l’enlève, me la passe, je la pose sur un cintre et je la mets au porte-manteau.



Excellent idée, me dis-je in petto.


On passe au salon, je lui sers un verre de sangria, on se donne des nouvelles de notre vie récente.



Je la ressers. Elle vide son verre cul-sec ! Je lui en ressers un autre.



Elle pose son verre et retire ses bottes.



Elle est pivoine, mais ne dit rien et commence à retirer ses collants. Pour ma part, je vais dans le placard à chaussures où je conserve ma collection et je choisis une paire d’escarpins noirs vernis à talon aiguille de la bonne pointure. Je les lui apporte. Elle est surprise de ce que je lui ramène, mais les enfile sans rouspéter.



Elle se lève, va vers le miroir, s’admire sous tous les angles.



Je m’aperçois qu’elle est toujours très rouge. Je tourne la tête, et j’aperçois sur le sofa la petite culotte posée sur les collants. C’est pas vrai. Elle l’a fait ! Ça me donne des ailes.



Dans le miroir, je vois son visage qui s’empourpre encore un peu plus. Elle baisse les yeux. Je m’approche dans son dos, passe les mains par-devant et commence à lui déboutonner le chemisier. Elle se laisse faire.



Je fais glisser le chemisier le long de ses bras, lui dégrafe le soutien et l’en débarrasse. Quelle poitrine superbe. Il me faut un véritable effort de volonté pour ne pas laisser mes doigts courir dessus. Je lui remets son chemisier et je commence à le reboutonner en laissant un décolleté qui descend jusqu’en dessous de ses seins.



Elle fronce les sourcils, cherchant à deviner le sens de ma remarque, mais ne dit rien. Elle retourne prendre son verre, le siffle à nouveau d’une traite et s’en ressert un autre. Elle est incroyablement belle. On dirait qu’elle sort directement des pages glacées d’un magazine de mode.


Elle se rassied, moi en face d’elle. Et, alors que nous parlons, il se passe un truc auquel je ne n’avais même pas osé rêver. Elle commence d’abord par croiser et décroiser les jambes, et quand elle est sûre que mon attention est bien portée entre ses cuisses, elle les écarte subrepticement pour me dévoiler son entrejambe une fraction de seconde.



Elle pique un nouveau fard.



Je l’emmène dans la chambre, l’invite à se déshabiller et file vers la salle de bain où je garde le nécessaire pour satisfaire mes invitées féminines. Pas qu’il y en ait jamais eu beaucoup, mais il faut être prévoyant. Je file dans la chambre. Elle est nue, étendue sur le lit. Je lui glisse une serviette sous les fesses, et entreprends de lui faire le maillot. Je laisse un petit rectangle ras d’un centimètre et demi de large sur le dessus et entreprends de lui nettoyer complètement les grandes lèvres. Mais la séance lui fait de l’effet. Elle dégouline et tous les poils sont collés ensemble.



À vrai dire, non, même pas. J’en suis le premier étonné, mais j’ai fait le boulot tellement consciencieusement que j’en ai oublié d’être excité. J’éponge le désastre comme je peux, et une fois que les poils sont suffisamment courts, je finis à la lame. Heureusement, j’ai le petit lavabo dans la chambre pour l’eau chaude. Nickel, c’est tout propre. Un peu sadique, je remets la tondeuse en route, et promène le dessous de l’appareil autour des lèvres et finalement sur son clitoris qui m’est intégralement offert. Les vibrations de l’engin et probablement le fantasme de son côté font leur effet très rapidement. Elle jouit.



Je profite qu’elle est sous la douche pour remettre le thermostat sur une température plus normale. Il faudra de toute façon du temps pour que la chaleur s’évacue. Je mets le repas en route et je sers le vin. Elle arrive juste au moment où je commence à servir. On mange en silence, en se jetant des regards par dessus nos assiettes. Une fois terminé, on passe au salon, en emmenant nos verres et le restant de la bouteille de vin pour le siroter tranquillement.



Elle visse son regard sur le mien, et je sais que je ne pourrai plus détacher mes yeux des siens. Ça me fait toujours cet effet-là quand elle me regarde comme ça.



Son regard se fait encore plus intense. Je commence à ressentir un léger malaise, pourtant si agréable.



Ma main trouve son genou et remonte très lentement sur le dessus de sa cuisse. Elle détourne les yeux, pose son verre et puis m’embrasse fougueusement. Elle a un goût de vin. Sa main s’aventure sous mon short. Il n’y a pas de barrière. En une seconde mon sexe est dans sa main. Et l’instant d’après, je suis au garde-à-vous. Je me dégage, afin de pouvoir me débarrasser de mon verre qui m’encombre et reviens à la charge. Elle me baisse le short et me prend dans sa bouche. J’ôte mon t-shirt et profite de l’instant. Ses lèvres font des allers-retours. Hmmm…



Elle revient m’embrasser. Je lui déboutonne nerveusement le chemisier, dont elle se débarrasse sans ménagement. Je la renverse, trousse la jupe et commence à lécher son entrejambe fraîchement épilé.



Elle se fout de ma poire, mais je m’en fous. Ma langue la fouille, allant de son clitoris à son puits d’amour. Elle dégouline, ça lui coule entre les fesses, jusque sur l’anus. Je précise les opérations. Ma langue se concentre sur son clitoris, pendant que je la pénètre de deux doigts dans le vagin. Et mon pouce tourne autour de sa petite rondelle qu’elle a généreusement lubrifiée pour moi. Au moment où elle jouit, je force l’entrée et enfonce mon pouce jusqu’à la garde. Elle pousse un petit cri de surprise, mais sa jouissance n’en est que renforcée. Elle retombe, et je sens la lente palpitation autour de mon doigt. Quand ça se calme, je le retire doucement.



Elle se redresse, se débarrasse de sa jupe et revient me sucer la bite. C’est bon pour moi aussi. Je commence à râler. Alors, à son tour, elle me pousse sur le dos et vient sur moi. Elle commence à pomper sur ses jambes fléchies pendant que je lui caresse le ventre et ses seins de pierre. Elle jouit à nouveau.



Je la retourne. Elle est à quatre pattes. Enfin, trois, puisqu’elle a une jambe tendue en dehors du sofa.



J’enfile un préservatif, et je pose mon gland à sa porte de derrière.



J’ai toujours un flacon de gel lubrifiant pas loin des préservatifs. J’en mets une bonne dose. Je pousse avec ma queue, ça s’ouvre doucement. Elle respire fort.



Je m’exécute.



Je ressors et la pénètre à nouveau. Cette fois, il n’y a plus la moindre résistance, alors je commence à faire des va-et-vient. D’abord lentement, puis de plus en plus vite. Elle s’appuie d’une main sur le dossier, pendant que l’autre fouille son entrejambe. Et vlan ! Elle arrive encore à jouir avant moi.


Elle se donne une demi-minute de répit, me débarrasse du bout de latex et me reprend en bouche. Cette fois, c’est la bonne, je le sens. Je vais venir. Je le lui dis. Elle ne réagit pas et continue à me sucer de plus belle.



Mais elle n’en a cure. Elle continue à pomper avec sa bouche comme si de rien n’était, en brave petit soldat. Quand mes contractions s’arrêtent, elle dépose un mélange de sperme et de salive sur le bout de ma queue et revient me masser le gland de ses lèvres en utilisant ce lubrifiant improvisé. C’en est trop, je vais craquer. Mes genoux flageolent. Satisfaite, elle ré-aspire le tout, et avale sans broncher comme si je venais de lui servir le dessert.



Toujours seulement vêtue des escarpins, elle va prendre son portable. Appuie sur quelques touches et porte le bidule à son oreille.



Elle appuie sur une touche et repose l’appareil. Elle fait une drôle de tête.



J’éclate de rire.



Je me souviens avec émotion de la semaine passée dans la résidence secondaire de tante Claire pendant que mes parents étaient partis fêter leurs vingt ans de mariage à Venise. Tantine, qui venait de divorcer, prenait des bains de soleil topless dans sa pelouse. Il n’y avait pas de voisins directs à cette maison à la campagne. J’avais quinze ans. Ça a été la semaine de plus intense branlette de toute ma vie. Quels tétons ! J’en rêvais toutes les nuits.



Après le vin, on s’est dit qu’on ferait mieux d’aller faire l’amour au lit, mais on a démarré sur le sofa, on ne s’est pas arrêtés en basculant sur la moquette, et on était presque épuisés en arrivant finalement dans la chambre, toujours liés l’un à l’autre. Alors, je l’ai enfin débarrassée des escarpins, et on s’est mis au lit. Après un long et tendre baiser, elle s’est blottie dans mes bras et nous avons fini par nous endormir.


Une drôle de sensation m’éveille. Le jour s’est levé, et je me rends compte que ce qui me réveille est une bouche chaude et humide faisant des allers-et-retours très lentement sur ma verge tendue.



Elle ne dit rien, mais ayant confirmation que je suis réveillé, elle passe à la vitesse supérieure. Comme la veille, elle va jusqu’au bout sans rechigner.



On déjeune vraiment. Puis on refait l’amour.



Je lui fais un clin d’œil. Elle sourit. Je file faire tourner le moteur cinq minutes. Quand l’habitacle est bien chaud, je remonte.



Cette fois, c’est moi qui rougis un peu.



Elle me fait un petit bisou rapide, je la raccompagne à sa voiture, et elle s’en va. Je me dis que si elle doit s’arrêter aux feux de signalisation, vu la longueur de sa jupe, il devrait y avoir un veinard ou l’autre pour entrevoir ce qui reste de sa petite touffe.


En milieu d’après-midi, on sonne. Je vais ouvrir. C’est tante Claire, en robe beige avec une ceinture blanche, escarpins blancs et bijoux en plastique blancs. Elle a changé de coiffure. Toujours blonde, mais ses cheveux ne descendent plus qu’aux épaules. Je vois immédiatement qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. La poitrine d’une femme, passé un certain volume, est animée d’une vie propre lorsqu’elle est libre. Elle porte mes escarpins noirs à la main. Elle me fait la bise.



Ça m’apprendra à raconter des bobards. Dès qu’on met le doigt dans un mensonge, on finit par devoir y mettre le bras. Enfin, pour la sous-traitance, au moins, c’est tout à fait exact. Elle s’installe sur le sofa, me montre les chaussures avant de les poser par terre.



Me voilà un peu mal à l’aise. Je change de position dans le fauteuil pour me donner une contenance. Claire détache deux boutons du dessus de sa robe.



En fait, je me rends compte en remontant mon regard de ses chaussures vers son visage qu’elle a effectivement détaché deux boutons de plus. Le décolleté est maintenant tellement profond que je peux voir bien plus que le large sillon entre ses seins. Je me demande même si je n’aperçois pas la lisière d’une aréole.



Elle croise les jambes, et je m’aperçois que le dessous de sa robe est largement déboutonné également, car les pans basculent sur le côté, me dévoilant ses jambes très haut. Malgré les années, ce sont de sacrées belles gambettes. Et je peux voir le dessous de sa cuisse presque jusque sa fesse. Pas la moindre trace de cellulite. Tout est bien lisse.



Elle écarte totalement les cuisses pour me dévoiler son pubis totalement imberbe. Je ne sais pas trop où elle veut en venir, je joue donc la prudence.



Cette conversation prend une tournure surréaliste.



Je suis ébahi. Elle se penche en avant pour me toucher le genou. Un de ses seins s’évade de sa robe. Je commence à manquer d’air. Respire Laurent, respire ! Je déglutis et finis par acquiescer de la tête, ne me sentant pas capable de parler pour l’instant. Alors, elle se lève, ôte sa ceinture, détache les deux derniers boutons qui tiennent encore sa robe à peu près fermée et me présente sa croupe en se penchant en avant sur le sofa.



Elle sourit. Je ne dois pas être le premier à faire une fixation sur sa poitrine. Chacun de ses seins est plus large que son visage et ses aréoles sont si larges qu’elle ne pourrait pas les cacher derrière ses petites mains. Alors, je commence à les caresser, les triturer, les pétrir, les malaxer. Rien à voir avec ceux de sa fille. Ils sont tendres et souples, pour ne pas dire mous. Bien sûr, ils pendent très fort. Il y a longtemps que tantine ne doit plus passer le test du crayon. Mais les mamelons sont encore fiers et non pas pointés vers le sol. Je les soupèse, les fais sauter dans mes mains. Je les écrase, je les comprime, je les écarte. J’en attrape les bouts et les tire vers moi. Les deux globes se soulèvent. Je commence à imprimer des mouvements de bas en haut en alternance. Ça génère une espèce d’onde comme des vagues à leur surface. Je suis fasciné.



Je remonte mon regard vers son visage. Elle sourit. Je crois bien qu’elle se fout de moi. Alors, je plonge mon visage entre les deux mamelles et me les écrase sur les joues. C’est doux. Je pince son sein droit dans ma main et aspire le mamelon, essayant de tout prendre dans ma bouche. Peine perdue. Je le lèche, je le suce. Ça produit néanmoins son petit effet, car je sens que ça prend consistance dans ma bouche.



Son visage a changé. Il est plus grave. Elle commence à être en phase avec moi. Alors, je m’occupe un peu de l’autre avant de descendre vers sa chatte qui commence à suinter pour la lécher. Comme elle est venue pour se faire sodomiser, je ne tourne pas autour du pot et lui mets directement un doigt dans le cul. Je le retire doucement lorsqu’elle jouit. Cette "dépénétration" lui fait visiblement de l’effet. Je la retourne, la prends en levrette et lui enfonce mon pouce gauche dans le derrière. Je me donne l’impression d’être un cow-boy en train de faire du rodéo, accroché d’une main à la selle. J’évacue cette image avant de faire des gestes de l’autre bras avec le chapeau que je ne porte de toute façon pas. Des fois, on a de ces idées idiotes, je vous jure…


Ses seins ballotent au rythme de mes coups de boutoir. Quand le mouvement devient trop violent, elle les bloque de son bras gauche. Comme sa main droite s’active sur son clito, elle est la tête dans les coussins. Puis, tout à coup, elle plonge en avant, se dégageant de moi. Elle se couche sur le dos, genoux ramenés sur la poitrine, jambes serrées, une main devant son sexe.



Elle s’assied, visiblement essoufflée. Lorsque sa respiration redevient normale, je déchire l’emballage d’un préservatif et lui dit :



Elle m’arrache la capote des mains et se retourne. Alors, je lui glisse un doigt, puis deux. Son anus est si large que je décide d’en mettre deux de chaque main. Elle râle, me demande de lui mettre ma bite. Alors, je m’exécute. Je la pompe allègrement et j’entends ses seins claquer à chacun de leur retour sur son ventre. Elle se fourre des doigts par-devant et finit par jouir à nouveau, très vite. Peut-être plus à cause de ses propres caresses que de mes manœuvres.



Elle me fait un large sourire, s’assied les fesses au bord du sofa et commence à me sucer.



Elle se met à genoux sur le siège, je lui vide une bonne couche de gel au milieu des seins et commence à faire glisser mon sexe entre ses deux mamelles qu’elle serre l’une contre l’autre.



Je fais comme elle demande, et au moment où je la pénètre à nouveau, elle me dit :



Elle vire au cramoisi. J’ai l’impression que sa fille ne lui a pas vraiment tout dit, tout compte fait. J’éjacule, et mon sexe se rétracte de lui-même en reprenant son volume de repos.



En effet, je vois ma semence qui apparait à la sortie. Alors, elle commence à s’en tartiner le contour de son petit trou et se re-pistonne lentement avec deux doigts.



Lorsqu’elle ressort de la douche, elle me dit :



J’ai failli dire "tu as vraiment de très beaux restes". Mais ça ne me parait guère flatteur. Tout comme "tu es drôlement bien conservée". Ça ressemble plus à une vacherie qu’à un compliment.



Elle me fourre la langue en bouche et puis s’en va si vite que j’ai l’impression d’avoir rêvé tout ça. Mais en repensant à ses deux seins lourds, je sens mon sexe qui se relève un peu plus à chaque battement de cœur. Ça ravive quelques souvenirs lointains. Je me tape une petite branlette.


Le lendemain après-midi, Béa est de retour. Elle porte un pantalon fuseau en velours avec des bottillons à talons et un blouson de cuir très court. Toute la panoplie est de couleur noire. Elle a un sac de cuir sous le bras, noir lui aussi. Elle semble hésiter sur le pas de la porte.



Je lui proposerais même bien de s’installer, mais ça ne serait pas compatible avec les recommandations de maman/tantine, malheureusement.


On doit être sur la même longueur d’onde, car dès que j’ai refermé la porte derrière elle, elle me demande si sa mère est venue me faire une leçon de morale. Je lui répète ce que m’a dit tante Claire : du sexe tant qu’on veut, mais à condition de faire la part du plaisir et des sentiments. Pas question de couple et encore moins d’enfants. Et que je ne la force pas à sortir à moitié nue. Ce à quoi, elle me répond :



Elle me raconte son retour, et sa sortie de voiture :



Elle poursuit :



Elle se jette dans mes bras. Je l’enlace. Colle ma joue contre la sienne. Après un moment, je recule mon visage pour la regarder. Je lui souris. Elle quitte enfin son air grave. Des perles d’eau sont visibles au coin de ses yeux magnifiques. J’ai le cœur qui se serre. Autant pour cacher mon désarroi que pour nous ramener vers des choses plus gaies, je vais rechercher les escarpins et lui en fais cadeau.



Son sourire est tout à fait revenu. Elle me saute au cou et m’embrasse à pleine bouche.



Elle file dans la chambre, en tirant la porte derrière elle, ce qui me surprend un peu. Quand elle la rouvre, je comprends qu’elle voulait me faire une surprise. Elle porte une robe bleue minuscule, totalement décolletée dans le dos. Je suis carrément groggy par la beauté de cette apparition. Elle profite de ma paralysie pour me foncer dessus. M’attaque par tous les côtés à la fois. Sa main est dans mon pantalon avant que j’aie pu dire ouf ! J’essaie de la freiner autant que je peux.



Elle se rend. Je l’invite à s’installer sur le sofa. Elle pose les fesses sur le bord, commence un jeu de jambes vraiment expert. Exhibant et dissimulant sa foufoune tour à tour. Je m’approche, lui caresse les jambes longtemps, partant de la racine de ses orteils, que laisse entrevoir l’ouverture des chaussures, et remontant jusqu’en haut de ses cuisses. Lentement. Puis tout le corps, mais tout en évitant toujours soigneusement son sexe. La jupe sous ses fesses commence à se marquer d’une auréole avec tout ce qui coule. Elle ouvre complètement les jambes. Impossible de ne pas remarquer son entrée totalement béante. Elle veut se caresser. Je l’en empêche.



Et dans un râle :



J’ouvre le tiroir pour sortir un flacon de gel.



Je m’exécute. Je pose mon gland à l’entrée de son sexe, et une fois que je suis sûr d’avoir le bon alignement, je m’enfonce à fond d’un seul coup. Un petit cri suivi d’un râle profond. Je me mets à faire des allers et retours lentement. Puis de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle jouit évidemment encore avant moi. Elle se donne quelques secondes de répit, en profite pour s’enduire les doigts de gel puis revient me branler un peu avant de me sucer. Je sens un doigt "gelé" qui vient tourner sur mon anus. Ça se précipite dans mon cerveau. Et plus bas aussi. Je vais jouir. Je la préviens que mon arrivée est imminente. Elle sourit avant de s’activer plus fort. J’ai beau m’attendre à ce qui va se passer, je ne peux m’empêcher d’avoir un mouvement instinctif à l’instant où elle m’enfonce son doigt dans le cul. Mon bassin fait brusquement un bond en avant, lui enfonçant ma queue dans la gorge à l’instant même où je balance la purée. Je vois ses yeux s’écarquiller. Elle se retire d’un coup, toussant, crachant, puis, entre deux hoquets, elle se met à rire. À rire.