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n° 14380Fiche technique8725 caractères8725
Temps de lecture estimé : 6 mn
01/05/11
Résumé:  Pour se venger de son mari qui l'a trompée, une monitrice d'auto-école s'offre à un de ses élèves.
Critères:  fh fplusag profélève voiture vengeance fellation préservati pénétratio -occasion
Auteur : Seb      Envoi mini-message
Leçon de conduite particulière

Cette histoire, aussi surprenante soit-elle, m’est arrivée l’an dernier, alors que je prenais des cours de conduite. J’en étais à mes dernières leçons avant de passer l’examen et comme souvent, c’était la patronne de l’établissement qui me donnait la leçon. Anne, une trentenaire avec de jolies rondeurs, des cheveux mi-longs auburn et de jolis yeux verts, était toujours souriante et causante lorsque je passais une heure de conduite avec elle. Je la trouvais relativement jolie mais je n’avais jamais vraiment fantasmé sur elle.


Cependant, un lundi après-midi, je devais être le premier élève de la journée, je la trouvais assez énervée. Cela se ressentait dans les remarques assez acerbes qu’elle me faisait. Elle portait une jupe grise et un débardeur mauve. Nous étions sur une petite route de campagne quand elle me demanda de m’arrêter. Tout en regardant à l’extérieur, elle me demanda de l’excuser, qu’elle avait eu un très mauvais week-end. Je lui répondis qu’il n’y avait pas de soucis, que cela pouvait arriver et que je comprenais. Elle resta un moment silencieuse puis sans que son regard ne reste dans le vague, elle me demanda :



Je restai bouche bée devant une telle question. Elle détacha alors sa ceinture de sécurité et se tourna vers moi en mettant bien sa poitrine en avant. Mon regard plongea dans son décolleté avant de revenir vers ses yeux.



Elle se tut quelques secondes sans quitter mon regard.



Le ton ne me laissait pas trop le choix d’autant que je commençais à être à l’étroit dans mon pantalon.



Je n’eus pas le temps de finir ma phrase que ses mains déboutonnaient mon jean pour libérer mon sexe déjà tendu. Elle se pencha et l’avala avec une voracité impressionnante. Elle se mit à me pomper avec toute son énergie. Mes mains se baladaient sur son corps, soupesant ses seins, caressant ses fesses et ses jambes. Cependant, elle mettait tellement de cœur à l’ouvrage que je ne pus me retenir bien longtemps. Alors que machinalement, je posai mes mains sur sa tête, je lui annonçai ma jouissance proche. Elle continua sans sourcilier et je me répandis dans sa bouche. Elle avala consciencieusement tout mon liquide et nettoya mon gland avant de se relever, l’air un peu déçu.



Je la regardais incrédule, ne sachant pas quoi répondre.



Elle me guida vers un petit chemin de terre assez à l’abri des regards. Elle me fit stopper et descendit de la voiture. Je la suivis et la vis appuyer ses fesses sur le capot encore chaud en écartant un peu les jambes. Elle ôta son débardeur pour découvrir un joli soutien-gorge blanc en dentelle, tendu par ses deux seins. Je m’approchai et voulus l’embrasser. Elle tourna la tête en me murmurant un petit :



Mes lèvres coururent sur son cou pendant que je caressais ses seins. Je défis vite le soutien-gorge et ma bouche prit possession de ses tétons. Elle gémissait sous ce traitement et je ne me lassais pas de goûter ses deux obus. Puis je descendis vers son entrejambe et, relevant sa jupe, j’écartai un joli string, blanc lui aussi, pour découvrir un sexe légèrement poilu. Je me mis à lui dévorer le minou comme un fou pour son plus grand plaisir.


Au bout d’un moment, elle me supplia de la pénétrer. Je me déshabillai et coiffai ma queue d’un préservatif pris dans mon portefeuille. Elle avait enlevé son string et bien remonté sa jupe pour m’ouvrir le chemin de son vagin. Je la pris d’un coup et me mis à la baiser lentement. Ses jambes m’enserraient et elle me demanda d’accélérer. Je ne me fis pas prier et elle n’en fut que plus satisfaite. Elle allongea son dos sur le capot et je pus de nouveau caresser ses seins alors que ma queue glissait en elle. Puis je me retirai et la fis se retourner pour la prendre par derrière avec toujours autant d’ardeur. Je la plaquai littéralement sur le capot de la voiture. Je commençai à caresser sa rosette avec mon pouce sans provoquer de réaction mais quand je tentai d’introduire celui-ci dans son petit trou, elle retira ma main en me disant entre deux soupirs que cette porte-là ne serait pas ouverte. Ma main se dirigea alors vers son clitoris et cette caresse provoqua rapidement en elle une jouissance assez bruyante.


Quand elle se fut calmée, elle vit que je n’avais pas joui. Elle sourit et me repoussa. Elle alla prendre une couverture dans le coffre et l’étala sur l’herbe. Elle me fit allonger et vint me chevaucher. Elle s’agitait violement sur moi, s’empalant sur mon sexe. Mes mains caressaient son corps, pétrissaient ses seins, luttant pour ne pas jouir trop vite, pour profiter encore de l’instant présent. Au bout de quelques minutes, elle se releva pour revenir sur moi mais en me tournant le dos. J’avais une vue imprenable sur ses fesses qui allaient et venaient autour de mon sexe. Ma main alla à nouveau vers son clito que je me mis à branler. Comme la première fois, cette caresse eut sur elle un effet ravageur. Elle se déchaîna au-dessus de moi et une nouvelle fois, la jouissance l’emporta. J’eus toutes les peines du monde à retenir mon éjaculation en sentant son vagin se contracter autour de ma queue. Elle vint se mettre à quatre pattes au-dessus de moi, ses cheveux caressant mon visage, et tenant dans sa main ma verge encore dure.



Elle enleva la capote et vint placer sa bouche autour de ma queue. Elle prit mes mains et les plaça sur sa tête. Je compris immédiatement ce qu’elle me proposait et je me mis à imprimer le rythme que je voulais à ses lèvres sur mon membre. Plusieurs fois, je la forçai à avaler mon sexe en entier. Elle tira un peu au cœur mais ne dit rien, me laissant faire. Bien sûr, je ne résistai pas longtemps à cela, et sentant mon éjaculation proche, je me mis à agiter sa tête comme un fou sur mon membre. Hurlant mon plaisir, je me vidai en de longs jets au fond de sa bouche et elle avala tout le sperme que j’avais déversé en elle.


Après avoir consciencieusement nettoyé mon sexe, elle se releva et se rhabilla sans un mot. J’en fis autant, en la regardant s’habiller pour garder en mémoire ces instants. Une fois dans la voiture, elle reprit la leçon de conduite comme si rien ne s’était passé. À un stop, j’essayai de mettre ma main droite sur sa cuisse mais elle l’enleva. Quand nous fûmes garés devant l’auto-école, elle me fixa dans les yeux :



J’acquiesçai et la suivis vers le bureau, sans pouvoir m’empêcher de regarder ses fesses bouger sous sa jupe.


Je n’ai plus eu de leçons avec elle et quand je revins deux semaines plus tard pour annoncer que j’avais réussi mon examen, elle me félicita chaleureusement. Mais la bise appuyée et le regard qu’elle avait, me confirmèrent qu’elle gardait comme moi un excellent souvenir de cette leçon de conduite…