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Temps de lecture estimé : 16 mn
04/05/11
Résumé:  Un week-end organisé, un voyage osé, une rencontre incroyable qui change ma vie et mes habitudes. Plus rien ne sera jamais pareil.
Critères:  fh hplusag grossexe autostop toilettes fsoumise fellation fsodo -occasion
Auteur : Julie la praline            Envoi mini-message
Un voyage improvisé, une découverte fascinante

Je ne résiste pas à l’envie de vous raconter une histoire qui a changé ma vie. Elle a changé ma façon de voyager mais aussi tout mon caractère et mes habitudes.


Cette histoire se déroule une semaine après mes 18 ans. Vu que je n’ai pas beaucoup changé physiquement depuis, je me décris un petit peu : je suis brune aux yeux marron, je mesure 1,68 m et je fais 54 kg. Mon corps est ferme (j’aime le sport), et il est bien proportionné : mes seins sont ni trop gros ni trop petits, mon ventre est plat, et ce qui plait le plus aux hommes sont mes fesses fermes et rebondies. Je ne suis pas du genre « Marie-couche-toi-là », mais j’avoue que j’aime le sexe, que je subis des pulsions parfois très fortes et que je me caresse de temps en temps pour me calmer. J’affectionne tout particulièrement la fellation car c’est un moment intime où je me sens soumise mais aussi en position de force : c’est un sentiment particulier mais très excitant, et je donne très fréquemment du plaisir aux hommes qui osent me le demander. Par contre, je ne propose jamais.


Lors de la soirée de mes 18 ans, j’avais invité beaucoup de mes amis chez mes parents pour une petite soirée entre nous. Au cours de la soirée, ma meilleure amie qui vit à Biarritz (près de 300 km de chez moi) me téléphone. On discute cinq minutes, on rigole et elle m’invite pour le week-end suivant chez elle. Dans l’euphorie, j’accepte sans réfléchir et retourne à ma soirée. Tout se passe bien et je me réveille le lendemain avec un sacré mal de crâne mais des souvenirs plein la tête. Et là je réfléchis : Mais comment vais-je faire pour aller à Biarritz sans argent et sans permis de conduire ?


La semaine avance et je ne trouve pas de solution ni de covoiturage. La dernière solution c’est l’auto-stop. Risqué quand on est une jeune fille seule, mais l’idée me tente, l’inconnu et le risque m’attirent. Ma décision est prise, un petit bobard raconté aux parents. Et le vendredi à midi me voilà prête, un sac à dos rapidement rempli et un sac à main bien fourni.


Me voilà partie, inquiète, inconsciente aussi peut-être, mais excitée et pressée d’arriver. À ma grande surprise, je ne marche pas plus de cinq minutes avant que quelqu’un s’arrête. Tout se passe bien, et au total il faudra que je change d’hôte cinq fois pour aller de Bergerac jusqu’à Bordeaux. Tous sont très sympas, pas un pervers ; je fais ma route tantôt avec un couple en vacance, tantôt un chauffeur livreur pressé, mais aussi une mère de famille qui va voir son fils à l’hôpital de Bordeaux. Les gens sont très gentils, discutent beaucoup, je suis bien, ne pense à rien, et à chaque fois que je me fais déposer quelque part, quelqu’un s’arrête aussitôt pour me prendre. C’est génial, je suis heureuse, tout se passe bien. Mon dernier hôte, la maman, me dépose à la sortie de la rocade de Bordeaux, elle a même accepté de faire un détour pour m’arranger !


Je me retrouve sur une petite aire de repos. Je rejoins le début de la sortie de l’aire pour être sûre qu’un maximum d’automobilistes passe devant moi. Au bout de cinq minutes, une énorme voiture s’arrête, une grosse Audi noire, vitres teintées et tout. Je monte, m’assoie et découvre un homme de 45/50 ans, assez imposant, un peu bedonnant, les cheveux grisonnants, il a un charme fou. Je parais toute petite assise à côté de lui. Il me sourit et démarre. C’est bon, ça n’a pas l’air d’être un taré. La voiture est puissante et l’accélération me colle au siège, sympa !


Il me demande :



En plus, il est sympa ! Super. Lorsque je lui parle, je le regarde, il a le visage marqué, mais il a un charisme impressionnant ! Par moment il me regarde aussi et nos yeux se croisent, il a le regard profond et sombre. Mon chauffeur s’appelle Paul.


Nous discutons une bonne demi-heure. Il est marié, a deux enfants. Il vit à Brive. Il travaille pour une société très connue d’informatique, et il m’explique qu’il passe ses journées sur la route à traverser la France de long en large. Et ce week-end, il découche pour rendre visite à un ami avant sa réunion de lundi qui, apparemment, est très importante. Je suis détendue et il m’inspire confiance. Je me sens bien près de lui. Nous discutons de tout et de rien, bref on fait connaissance.


Au bout d’un moment nous parlons de mon voyage et de mes motivations. Il m’impose très vite de le tutoyer et il en fait de même. Il me dit :



Avant d’ajouter :



Cette petite phrase à la fin provoque un frisson en moi. Un homme comme lui qui me trouve jolie, c’est flatteur ! Je me sens monter en température. Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ! Oh non, pas ça, pas une de ces pulsions ! Il faut que je lui réponde !



Mince, là je suis dans une impasse. Oh et puis après tout, je peux lui dire, il me rend bien service, ça lui fera certainement plaisir d’entendre ça de la bouche d’une jeune fille.



Nous rigolons tous les deux et il me dit :



Je veux savoir ce qu’il a derrière la tête.



Ouf ! Là, par contre, il m’a touchée, c’est vrai en plus, il a raison. Il a dû voir qu’il m’attirait, et moi je sais déjà que je l’attire. Il ne me laisse pas répondre, il pose sa main sur mon genou et me dit :



Il m’a eue, je ne sais pas quoi répondre et du coup je me dis que je vais la jouer franc-jeu.



Le fait qu’il doute de moi comme ça, me gêne. Par contre, je me sens très excitée, je veux plus qu’une simple discussion avec lui. Après tout, je ne vais pas me démonter.



Pourquoi est-ce qu’il me dit ça ? Qu’est-ce qu’il me cache ? La réponse ne se fait pas attendre :



À peine a-t-il finit sa phrase qu’il prend ma main pour la poser délicatement sur la braguette de son pantalon de costume en me regardant avec un sourire rassurant. Je souris alors et sens une excitation impressionnante monter en moi. Je me sens me liquéfier et j’ai chaud. Je ne peux pas m’empêcher de fixer cette braguette. Je commence alors à malaxer son entrejambe délicatement. Je sens très rapidement son membre gonfler sous ma main. Lui, il fixe la route et conduit. Ce qui m’inquiète, c’est la taille de ce que je tripote : ça semble déjà gros, mais ça continue de gonfler sans cesse. J’entends son souffle se faire plus fort.


Je décide alors d’en finir avec le doute. Je mets ma deuxième main et ouvre sa braguette en grand. J’enfouis ma main sous son pantalon et sors son pénis. Je ne peux m’empêcher de rigoler. Mais je ne sais pas si je rigole parce que je suis contente ou si c’est parce que j’ai peur. En effet, je viens de sortir un sexe impressionnant de son pantalon. Il est très long et ma petite main n’en recouvre qu’une petite partie. Il fait au moins 20 ou 22 centimètres. Ce qui me fait encore plus peur, c’est sa largeur : ma main n’en fait pas le tour ! Il a une grosse veine sur le côté, le gland est violacée, et il dégage une impression de puissance fascinante.


Je reste choquée et subjuguée en fixant ce monstre qui est là, tout près de moi, ma main le tenant droit comme une lance. Paul me lance en rigolant :



Je rigole aussi et lui réponds :



Je me penche alors et enfourne son énorme gland dans ma bouche. Il me la remplit et je ne peux pas prendre plus. Paul gémit, à mon avis il est un peu surpris que j’aie osé. Il sent fort mais sa verge est douce, raide et j’ai l’impression que rien ne peut la tordre. Je décide alors de m’appliquer, je veux vraiment lui faire du bien.


Mon autre main abaisse un peu plus son pantalon pour libérer ses bourses, douces et chaudes. Elles aussi sont de bonne taille et je me mets à les malaxer frénétiquement. J’utilise ma première main pour branler cette énorme verge et je chouchoute le gland avec mes lèvres et ma langue. À ce rythme, il ne tiendra pas longtemps et je l’entends gémir. J’accélère alors mes mains et aspire fort sur ce gros gland gorgé de sang. Le souffle de Paul s’accélère et devient plus fort, et au bout de quelque minutes, je sens deux gros jets de semence arroser le fond de ma gorge dans un grognement digne d’un ours. Suivront deux autres jets moins puissants mais bien fournis. Je ne veux pas salir son pantalon de costume alors je m’applique à bien avaler tout ce qui m’est offert en serrant encore un peu mon étreinte sur sa verge. Je nettoie soigneusement ce monstre avec ma langue mais il ne dégonfle pas. Je le caresse encore un peu, le range très difficilement dans son pantalon devenu trop étroit et me relève avec le sourire aux lèvres, assez fière de moi.



Pendant les cinq minutes qui suivent, nous ne disons pas un mot, je regarde la route, et je suis encore très excitée. Je sens encore le goût de Paul dans ma bouche. D’habitude je bois de l’eau après ces prestations, mais là, je n’en ai pas envie, je veux le garder en moi, sur moi… Je repense à ce que je viens de faire et je réalise que les choses comme ça n’arrivent pas tous les jours. Paul reprend la parole :



Je bafouille un peu surprise par une question si directe.



Encore une fois je suis excitée et il me touche en plein vif.



Ces mots frappent dans mon corps et à nouveau je sens la pression monter. J’en ai très envie mais j’ai peur. Après tout, si moi non plus je ne pouvais pas l’encaisser… ?



Le fait que je coupe Paul en acceptant a dû le choquer, et m’a choquée, moi aussi. J’ai peur et je pense que ça ne sera pas possible, mais j’ai vraiment envie d’essayer. Paul ne dit plus rien et je vois son sexe gonfler à nouveau sous sa braguette. Ce cochon doit être en train d’imaginer mon derrière. Le temps me paraît une éternité, j’ai l’impression d’aller passer un examen. Je regarde Paul, il a un petit sourire aux lèvres, mais ce n’est plus du tout le même ! Celui-là est discret, secret, presque inquiétant. À quoi pense-t-il ?


Trois kilomètres plus loin, une aire de repos, Paul y rentre et s’arrête devant les toilettes publiques.



Dans les toilettes ! Moi je pensais qu’il voulait faire ça dans sa voiture, j’aurais préféré mais bon… J’ai l’impression qu’on vient de me poser sur le bord de la route pour une journée de tapin. C’est bizarre comme sensation. Je tremble de partout en me dirigeant vers les toilettes. Je sens que je suis trempée. Je réalise ce que je suis en train de faire : je suis en train d’aller dans des toilettes publiques pour me faire prendre par un homme que je ne connais même pas ! J’ai un moment d’hésitation en y allant, mais l’envie est trop forte. Tant pis, je me lance.


J’arrive dans les toilettes et m’enferme. Aussitôt, je passe ma main dans mon jean et caresse enfin ma vulve qui est gonflée comme jamais. Je me caresse rapidement et au bout de quelques secondes, je sens déjà la pression monter, les frissons remontent le long de mon dos et, dans un long gémissement, je laisse mon corps trembler et le plaisir m’envahir. Je jouis comme une dingue, et l’orgasme est vraiment très fort. À peine ai-je fini et que j’entends derrière la porte :



Paul ne se fait pas prier, entre et ferme la porte derrière lui. Il est grand en fait, ça doit être un ancien sportif, il est plus grand que moi et encore plus costaud qu’il n’y paraissait dans la voiture. Les toilettes sont étroites pour nous deux, je me sens prisonnière…



Comme seule réponse, je fais ce qu’il me dit. Je me tourne et lui obéis. Paul ne perd pas une seconde, il abaisse mon jean et me le retire. Il abaisse mon string jusqu’aux genoux.



Le temps me paraît long, j’ai peur… j’entends Paul se masturber derrière moi, je reconnais le bruit de l’humidité, il a dû lubrifier son engin. J’imagine la vision qu’il doit avoir, j’aime me sentir si soumise. Je n’ai jamais été autant excitée. Je tends mes fesses vers l’arrière comme pour l’inviter.


Paul met une main sur ma hanche et je le sens pointer son gland sur mon anus. Aussitôt je sens une pression et mon derrière s’ouvrir. Jusque-là tout va bien…



Paul s’enfonce alors en moi en élargissant mes parois, je sens mes fesses ouvertes comme jamais et j’avoue à ce moment-là ne pas prendre de plaisir. Cette intrusion me fait mal et m’arrache une larme accompagnée de longs gémissements. J’envisage de me retirer mais Paul met sa deuxième main sur mon autre hanche. Il me tient avec puissance et je comprends que je n’y échapperai pas. Mais en même temps, je n’ai pas envie que ça s’arrête. Je ne veux pas décevoir Paul, je veux encaisser, comme il dit.


Paul arrête sa poussée, reste en place et me dit :



Alors je ne m’étais pas trompée, je réponds dans un long râle :



Aussitôt Paul recommence à s’enfoncer un peu plus en moi, je me sens investie, possédée. Le fait qu’il se soit arrêté un peu me permet de mieux supporter son avancée. Je sens mes fesses s’ouvrir, j’ai l’impression qu’il remonte jusque dans mon ventre et que jamais il ne s’arrêtera. Petit à petit, la douleur se mélange au plaisir. Au bout d’un moment, je sens ses lourdes bourses venir se poser contre ma vulve. Ça y est, il est en moi.


Son énorme verge agit comme un tuteur en moi, je ne peux ni me pencher ni me relever, je suis paralysée et les muscles de mon anus se contractent autour de cet épais membre, comme pour l’expulser.



Mais qu’est-ce qui m’a pris de dire ça ? Je suis devenue folle ou quoi !


À ces mots, Paul entreprend un va-et-vient ample en moi, je le sens faire des mouvements d’au moins vingt centimètres. Au début, j’ai un peu mal, mais cette sensation est extraordinaire. Sentir un membre si large et long coulisser dans mes fesses, le sentir me remplir puis me libérer ! Jamais je n’ai ressenti ça !


Je sens mes muscles se relâcher complètement, Paul me tient fermement par les hanches et je suis maintenant toute à lui. Je gémis, je râle, je crie. Mes sensations ne changent pas : je suis entre larmes de douleur et extase, quelle sensation ! Je sens son rythme s’accélérer jusqu’à devenir brutal et très rapide, Paul se défoule complètement. Il me défonce et ne cesse de me répéter des mots du genre « Humm, ce cul », « t’es trop bonne » ! Je sens alors un frisson monter en moi, puis deux, puis trois, c’est vraiment très fort. Un orgasme incroyable vient me foudroyer le ventre, j’ai la tête qui tourne, mes jambes tremblent et je ne peux retenir mes cris et j’hurle mon plaisir. Les gens dehors doivent m’entendre mais je ne peux pas retenir mes expressions. Quel orgasme ! Je n’en ai jamais eu de comme ça. Des larmes coulent sur mon visage, mais je n’ai plus mal du tout, au contraire, Paul glisse maintenant parfaitement en moi et ne faiblit pas.


Il continue de se défouler pendant de longues minutes et je ne tiens plus, le même orgasme remonte, un deuxième, je pleure d’extase et n’en reviens pas ! Comment un si gros membre qui m’a fait si mal en pénétrant peut-il me donner tant de plaisir ? Je suis en extase, mes jambes ne me portent plus et c’est Paul qui me porte presque par les hanches.


J’entends Paul gémir, grogner, son sexe se contracte, effectue quelques soubresauts. Ses doigts s’enfoncent sur mes hanches et je sens mon ventre se remplir de sa semence. Il râle et gémit très fort. Quelle puissance, j’ai l’impression d’avoir bu des litres d’eau, il m’a rempli les fesses. C’est incroyable ce que je viens de prendre. Je n’en reviens pas, ces deux orgasmes étaient impressionnants.


Paul relâche son étreinte sur mes hanches meurtries et cesse ses va-et-vient. J’en profite alors pour me retourner et m’agenouiller rapidement devant lui. Je gobe son énorme sexe que je trouve encore plus impressionnant après l’effort. Je m’applique à nettoyer soigneusement ce monstre, responsable de mon plaisir. Lorsqu’il commence à ramollir, j’en profite pour en prendre un peu plus dans la bouche. Je sens pendant ce temps mes fesses se vider, le sperme de Paul coule directement dans les toilettes. Je me sens béante, et par curiosité je touche mon anus, il est grand ouvert et je rentre trois doigts sans aucune difficulté !


Au bout d’un moment Paul se retire. Nous sommes essoufflés tous les deux. Il me regarde dans les yeux. Je sens mon derrière meurtri, mais je suis satisfaite, aux anges.



Nous retournons à la voiture. J’ai une sensation bizarre en marchant, je n’ai jamais senti mon anus si présent. Nous nous remettons en route sans dire un mot. Encore et toujours fascinée par cet homme et son engin, je lui administre une autre fellation. Très longue cette fois-ci. Je m’applique et m’arrête lorsque je le sens venir. Paul semble infatigable. Son membre est incroyable. Au bout d’un moment il me dit :



Je ne réponds pas, me relève, prend mon téléphone portable et commence à écrire un message.



Je lui montre mon téléphone et lui fais lire le message sans dire un mot :


« Slt ma chérie, chui dslée mé jvé pa pouvoir vnir a btz, mé parens on tout grillé, jte tel dans la semaine. Biz ma puce »


Paul me regarde avec le sourire :



J’explose de rire et répond :



Il rigole aussi et me répond :



Je me penche alors à nouveau et prend le pieu magique en bouche.


Je pars à Biarritz avec un inconnu, de trente ans mon aîné, au membre démesuré, je vais passer le week-end avec lui et il promet de traiter mon derrière comme jamais. Je suis folle de lui, folle de sa bite. Je ne m’en lasse pas, je la veux en moi, sur moi, sur mon visage, partout.






Le week-end que j’ai passé a été incroyable, nous ne sommes pas sortis de la chambre d’hôtel. Je n’ai jamais autant pris de plaisir, sucé, encaissé de sodomie que ce week-end-là. Paul m’a fait découvrir que malgré ce que l’on dit, si, la taille compte. Je me suis surtout rendu compte que je prenais plus de plaisir par derrière.


Lui et moi sommes toujours en contact, nous nous voyons le plus souvent possible, je pars dès que possible en voiture avec lui. C’est répétitif mais à chaque fois orgasmique. Le début est toujours très douloureux (surtout quand parfois il le cherche) mais à chaque fois, je finis par jouir intensément. Pour celles qui ne connaissent pas, mesdames c’est à essayer.


Prochaine étape dans trois semaines : Paul m’invite chez lui pour une grande fête qu’il organise en compagnie de sa famille et de ses amis. Il a tout organisé et m’a dit qu’en restant discrète, je passerai le meilleur week-end de ma vie… qu’est-ce qu’il mijote ? Il me tarde.