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n° 14389Fiche technique30131 caractères30131
Temps de lecture estimé : 18 mn
11/05/11
Résumé:  Test concluant d'une soirée en club...
Critères:  fhh couple boitenuit danser voir exhib entreseins fellation cunnilingu préservati double hdanus init tutu -boitenuit
Auteur : Drikc78      Envoi mini-message
Soirée(s) Parisienne(s)



Il est 15 h 17 à ma montre lorsque je raccroche. Mon père a accepté de garder les petits le lendemain. Nous pourrons donc nous réserver notre petite soirée, que j’ai bien évidemment planifiée dans ma tête.

15 h 29 : Je raccroche pour la seconde fois… Je viens de réserver dans un restaurant du 2ème arrondissement de Paris. Nous mangerons donc aux chandelles à partir de 19 h 30 demain. C’est effectivement à mon tour de nous organiser notre petite soirée, et je te réserve quelques surprises. Je ne te parlerai donc pas du troisième coup de fil.


Samedi : il est temps d’emmener Enzo chez mon père tandis qu’Hugo est au foot et que nous ne le verrons pas avant demain : le reste de la journée est donc à nous.


À l’aube du printemps, les journées sont plus douces, et nous pouvons profiter de la lumière du jour plus longuement. Cet après-midi-là, je te sens d’humeur coquine… La surprise que je te, ou plutôt nous réserve me laisse, malgré tout, une forme de doute, mais bon… Tu ne sais donc pas du tout ce que nous allons faire et je reste attentif à tout ce que je pourrai te dire au cas où tu relèverais un indice… En vain !


Il est près de 15 h quand je te demande de te préparer. Je t’emmène à Paris, et je veux profiter de ces dernières heures du jour pour nous balader avant d’aller au restaurant. Chose exceptionnelle, je t’impose de t’habiller plutôt sexy. Tu mets ainsi la jolie robe que tu avais au mariage de Philippe et Estelle, te maquilles et te coiffes : tu es magnifique et tellement désirable.


Nous voilà donc à Paris, aux Champs-Élysées où nous profitons des douces températures avant d’aller manger, et nous promenons main dans la main. Il fait effectivement beau, et c’est tout à fait le cadre idéal pour savourer ce moment à deux sur la plus belle avenue du monde. Le restaurant n’est pas très loin mais nous devons prendre le métro afin de ne pas arriver en retard. Nous nous dirigeons donc vers la station la plus proche et nous engouffrons dans le wagon. Un changement et deux stations plus tard, nous voilà à proximité du restaurant. Le garçon nous accueille et nous place à la table pour deux que j’avais préalablement réservée : la soirée commence !


Nous nous régalons, et bavardons de tout et de rien en profitant d’un merveilleux vin. La discussion porte encore sur les fabuleux moments que nous passons actuellement, et du mariage en approche quand ton soudain silence m’interroge :



Tu me souris, toujours dans l’interrogation, mais te soumets à l’idée de découvrir au coup par coup le déroulement du reste de la soirée. Le repas est délicieux, et nous profitons de la tranquillité du moment en prolongeant la dégustation de ce formidable vin qui nous enivre raisonnablement. Nous acceptons le digestif proposé après un divin dessert, puis prenons un café en attendant la note.


Nous sortons du restaurant alors que la nuit est tombée depuis un petit moment. Il fait un peu plus frais, mais la température est encore agréable. Je te tiens par la taille, et descends mes mains vers tes si jolies fesses. Le vin a effectivement joué son rôle : je suis désinhibé. Je t’arrête et t’embrasse langoureusement. Peut-être une façon pour moi de retarder l’échéance… Nous ne sommes qu’à quelques centaines de mètres de l’endroit où nous continuerons notre soirée, mais tu ne le sais pas encore et me suis incrédule.


Nous arrivons devant l’entrée d’un établissement : c’est une boîte de nuit ou plutôt un club.

Tu me regardes cette fois-ci en ayant l’air de me dire « C’est pas possible ! T’as pas osé ? ». Je ne sais plus quelle réaction je me dois d’avoir. Faire demi-tour ou insister. Timidement, je te propose alors deux choses :


1 – Partir,

2 – Entrer mais fixer des limites très strictes dans l’optique de ce qui se passera à l’intérieur.


Je me sens impuissant et tellement gêné. Je voulais simplement profiter de cette soirée pour concrétiser un « délire » que l’on avait évoqué. Il n’est pas question pour moi d’aller au-delà du principe de voir. Je dois faire pitié parce que tu t’approches de moi et m’embrasses.



La décision est prise : on entre !


Je me dis que les effets du vin doivent encore être présents, et dans un sens tant mieux ! Voilà donc ma dernière surprise, et tu comprends maintenant de quoi il s’agissait lorsque je parlais du troisième coup de fil. Je voulais effectivement comprendre comment se déroulaient les soirées dans leur ensemble…


Ce soir, c’est « soirée loup ». Un joli masque qui signifie anonymat complet pour l’ensemble de la clientèle. Je paye donc notre entrée moyennant deux boissons alcoolisées et un loup chacun, ainsi que de la boisson non alcoolisée à volonté. Nous posons nos vestes au vestiaire et pénétrons enfin dans l’antre du club. L’ambiance est festive. Les rires et la musique l’agrémentent de manière très vive. Nous nous installons autour d’une petite table et je me charge d’aller nous chercher deux kirs. Je suis maintenant serré tout contre toi. Certainement une façon pour moi de nous « protéger » de cet environnement « hostile » et sensuel… Nous ne discutons pas plus que ça, mais tu ne rates pas l’occasion de te moquer de mon masque. Je souris et t’embrasse.


La musique est forte mais entraînante… Katy Perry chante avec Snoop : c’est le signal pour nous d’aller danser. Nous sommes très « collé-serré ». Cela n’échappe pas aux autres danseurs. Un homme me complimente d’ailleurs sur ta beauté. Est-ce une invitation ? Je ne sais pas, je ne connais pas les codes du milieu. Cependant, je ne fais que le remercier avec un signe de la tête en guise de refus. Les regards sont toutefois toujours insistants de la part des potentiels prétendants.


Au lieu de nous rasseoir, je te propose de faire un tour dans l’établissement afin de le découvrir plus précisément. Nous voilà donc à déambuler dans le petit couloir qui nous amène vers l’accès à de petites pièces fermées (ou pas). Il est déjà tard maintenant, et certains couples n’ont visiblement pas attendu que nous arrivions pour commencer leur affaire. C’est d’ailleurs étonnant de découvrir un spectacle torride devant soi. Je te tiens toujours par la main, et je sens la moiteur les animer. En effet, deux femmes, agenouillées devant lui, se partagent le sexe d’un homme. Chacune de ses deux mains est posée sur la tête de ses partenaires. Il nous regarde sans nous voir (voila l’intérêt d’être masqué) et apprécie cette double caresse buccale. Plus loin, un couple fait l’amour devant trois ou quatre hommes. Enfin, dans une petite salle sur notre gauche, un énorme lit rond est occupé par une superbe femme brune dont les yeux verts ressortent outrageusement au travers de son masque, et de deux hommes qui lui caressent la poitrine et le sexe et l’embrassent partout tandis qu’elle les masturbe.


Cette scène nous attire particulièrement. Elle met quelque part en scène nos fantasmes. Tu m’embrasses, et me caresses la nuque. Je sens que tu es très excitée devant ce spectacle. Je me fais d’ailleurs coquin en glissant ma main sous ton vêtement afin de te toucher les fesses, et me positionne derrière toi et te papouille le haut du dos. Mes doigts repartent sous ta robe puis dans ta culotte. Ton sexe est trempé… Ma démarche est donc un succès : tu apprécies d’être là dans un contexte de luxure et de sexe tout autour de nous.


C’est alors que mes caresses sont interrompues par un homme qui me propose de se joindre à nous. Je te regarde, et comprends qu’il est à la fois trop tôt et qu’il n’était de toute façon pas question au départ de cette soirée de se mêler aux autres. Je refuse donc poliment et l’homme s’éloigne. Devant nous, la femme s’est mise à sucer l’un de ses partenaires alors que le second s’est positionné derrière elle afin de la pénétrer. Elle gémit assez fort. Son plaisir est très communicatif puisque tu ondules plus volontairement sur mes doigts qui fouinent et pénètrent ton intimité. Il est vrai que de voir sa bouche avaler cette verge, quand dans le même temps son sexe fait de même avec la bite de son second amant est incroyablement bandant.


Ils se sucent les uns les autres quand tu me pousses vers le sofa derrière nous. Ce spectacle a eu raison de ta raison. Tu me veux en toi. Tu baisses la braguette de mon pantalon et me suces tout en regardant le trio infernal. Puis, après avoir retiré ta culotte, tu m’enjambes et enfonces en toi ma queue si dure. Mon plaisir est à son apogée et ce moment tellement irréel est de courte durée. Je jouis très fort en toi.


Nous avons nos propres spectateurs, ils sont tout proches et nous regardent. Je me retire. Ton sexe souillé est à leur vue au contraire de ton visage. Je crois que c’est justement ça qui te plait. T’exhiber sans que l’on sache qui tu es. Toutefois, ils n’ont pas l’autorisation de toucher. Ton regard est toujours porté vers nos trois compères qui continuent leur partie de jambes en l’air effrénée. Je me décide alors à écarter tes cuisses le plus possible pour bien sucer ta chatte tout en offrant le spectacle de mon cunnilingus à d’autres. Tout comme moi, tu n’es pas longue à jouir. Mes doigts en toi, ma langue titillant ton clitoris ont fini par t’amener au septième ciel quand tes yeux achevaient de regarder cette femme prendre son pied avec ses deux amants.

Tu remets ta culotte et nous repartons vers le bar où nous consommons une deuxième boisson. Nous venons de franchir certaines barrières et nous posons encore la question « comment et pourquoi ? ». Ton sourire est pourtant révélateur du plaisir que tu en as tiré. Je pose à nouveau mes lèvres sur les tiennes.


Le second verre alcoolisé vidé, nous partons sur la piste danser un slow. Le nôtre est amoureux alors que certains couples sont beaucoup plus illégitimes comme ces deux filles qui se galochent à côté de nous, quand le couple à côté est clairement en train de se tripoter. Je rebande ! Je me surprends même à glisser à nouveau ma main sous ta robe et ta culotte. Je sens ton excitation mêlée au fruit de ma jouissance. Cette mixture a pour effet de m’exciter plus que de raison, et je finis par remonter ta robe afin de dévoiler à tous ceux qui nous regardaient, ma main malicieuse dans ta culotte. Tu me serres plus fort, et ondules à nouveau ton bassin. Je te branle sur la piste de danse, au milieu de tous. Cette situation doit te plaire au plus haut point puisque tu finis par jouir à nouveau sur mes doigts. Serais-tu exhibitionniste sans le savoir ? Je doute quand même… L’alcool a dû être mauvais conseiller ce soir.


Quoi qu’il en soit, il est très, très tard. Cette soirée délurée doit s’achever. Nous repartons au vestiaire récupérer nos vestes. Toutefois, le métro n’étant pas encore ouvert, nous devons marcher jusqu’aux Champs-Élysées pour récupérer la voiture. Il y a une grosse demi-heure avant d’arriver. La fraîcheur de la nuit nous permet de nous requinquer et de reprendre nos esprits. Nous sommes à nouveau main dans la main en amoureux. Revoir ton visage sans masque m’apaise. Je me retrouve à nouveau avec ma femme… Je profite cependant du trajet pour te demander ce que tu as pensé de cette soirée. Pour seule réponse ? Un bisou amoureux accompagné d’une caresse sur la joue et d’un sincère « merci ».



***



Cela fait maintenant trois semaines que cette soirée s’est déroulée, et aucune allusion n’a été faite depuis. Le petit train-train a repris son cours pour mon plus grand plaisir. Néanmoins, ce soir-là, alors que l’humeur était plutôt coquine, ton godemichet a fait son apparition dans nos ébats à ta demande. D’abord étonné, je me réjouis et profite de l’instant. Tu le suces avec beaucoup d’envie et ça se voit. J’adore ça, c’est tellement sexuel. Puis c’est avec tout autant d’entrain que tu me demandes de te pénétrer avec. Alors que je te lèche en même temps, tes doigts viennent chatouiller et pénétrer cette zone de mon corps si longtemps mise de côté. C’est dans un râle commun que nous parvenons à jouir en même temps. C’est tellement bon…



Cette question provoque une gêne, mais ne reste pas sans réponse…



Je suis interloqué. Que peux-tu avoir en tête pour me dire ça ? Je ne relève pas, préférant me contenter de ma jouissance du jour. Nous nous endormons après un petit câlin d’amoureux.


Le sujet n’est pas revenu sur la table depuis, et nous avons refait l’amour de manière plus traditionnelle tout en y mettant une dose de « cochon » comme on en a l’habitude de temps en temps.


C’est encore un beau samedi ensoleillé qui se prépare, et alors que je viens de rentrer du Stade, où j’ai déposé Hugo, je te vois préparer les affaires d’Enzo.



Encore une fois, tu m’étonnes. On n’avait rien prévu. Que pouvais-tu donc organiser ? Tu me demandes de m’habiller plus chic, alors que tu t’es toi-même habillée comme pour cette fameuse soirée au club… Y aurait-il un lien de cause à effet avec la discussion que nous avions eu dans le lit l’autre jour ? Pas de réponse.


Nous voilà chez ta mère : il est près de 17 h… Contrairement à d’habitude, nous ne prenons pas trop de temps, et repartons non sans avoir fait des gros bisous à Enzo et remercié ta mère. Je m’assois derrière le volant et te demande où nous allons.



Je commence à voir ton petit jeu plus clairement, mais me plie à tes ordres en m’amusant finalement de la situation. Arrivés aux Champs-Élysées, et alors que la circulation était clairement catastrophique, nous finissons par trouver une place dans un parking souterrain. Nous nous approchons de la sortie quand tu me plaques contre le mur, et me roules une pelle tellement suggestive. Tu prends ma main et l’amène vers ton entrejambe : tu n’as pas de culotte !


Nous sommes maintenant au milieu des très nombreux passants et touristes, et je suis complètement hagard. Je ne comprends plus ce qui se passe. « Ma femme n’a pas culotte… Ma femme n’a pas de culotte… Ma femme n’a pas… » Il faut que cette phrase sorte de ma tête. Il faut que je sache.



Me voilà bien ! Toujours pas de réponse… Nous continuons cependant à marcher et nous orienter vers la même bouche de métro que nous avions empruntée il y a près d’un mois. Un changement et deux stations plus loin, encore un peu de marche et nous voilà devant le même restaurant où nous avions dîné. Une nouvelle fois, le déroulement du repas a été merveilleux. Bien que je sache que tu n’avais pas de culotte, aucune allusion à ça… Nous avons dégusté le même vin toujours aussi bon, qui nous a encore enivrés raisonnablement.


Toutefois, au moment du digestif, je sais qu’en payant l’addition, nous n’allons pas repartir à la maison mais faire quelques centaines de mètres et aller vers un certain club que nous avons découvert voici quatre semaines. Cette idée, si gênante au départ, ne fait que provoquer une violente érection dans mon pantalon.


La distance déjà évoquée a été parcourue avec engouement. Nous sommes devant la porte du club. Nous échangeons un regard pour s’encourager : c’est parti ! Je règle l’entrée et nous bénéficions comme la dernière fois de masques et boissons. Nous déposons les vestes au vestiaire. Toutes les visions de la dernière fois me reviennent à l’esprit, je repense également au godemichet… Je suis en train de me conditionner. Je sens que l’on va bien s’amuser.


La première boisson avalée, nous partons danser. Je t’embrasse et te caresse le dos et les fesses. Tu m’allumes du regard et m’embrasses. Je suis bouillant. Comme la dernière fois, un homme, plutôt beau gosse, vient cependant trahir notre intimité. Il veut danser avec toi. Je ne m’y oppose pas, toi non plus. Vous dansez, mais ses mains sont très vite baladeuses. Tu te laisses curieusement faire. Tu te colles même à lui. Situation à la fois déroutante mais combien excitante. Il te glisse quelque chose à l’oreille. Je t’observe lui sourire. Ta main vient à l’encontre de son entrejambe. Tu palpes son paquet. Tu me regardes et me fais comprendre que c’est assez gros. Les pas de danse s’enchaînent et tu ne respectes évidemment plus les distances que tu devrais théoriquement respecter avec un autre homme que moi. Tu caresses les cheveux de ton partenaire pendant que celui-ci a glissé ses mains sous ta robe et touche tes si belles fesses. Bien évidemment, il se rend compte de l’absence de culotte, et je m’aperçois, du fait de tes mouvements, qu’il en profite pour être encore plus entreprenant dans ses attouchements.


Le point de non-retour tant fantasmé est à proximité. Je savais qu’en conséquence d’un retour dans ce club ce soir, je t’accorderai mon feu vert pour consommer du sexe comme jamais auparavant. Tu me fais un signe de la tête pour que je vous suive alors que tu l’entraînes par la main vers la petite salle où il y a le grand lit rond.


Pas de place aux préliminaires… Ton amant baisse son pantalon puis son sous-vêtement et te présente une queue assez grosse et longue. Ton regard plein d’excitation vers moi, me motive à venir participer et donc te donner une autorisation que tu avais eue dès que nous avions passé le pas de la porte. Je prends cependant le temps de te déshabiller et ôte ton soutien-gorge. Te voilà nue aux yeux de tous et conditionnée pour un passage à l’acte. Ta main vient ainsi prendre possession de cette tige de chair. Elle est dure… Tu commences des petits mouvements de bas en haut. Tu masturbes un autre homme que moi ! L’homme te prend alors la tête pour te faire comprendre qu’il veut que tu le suces. Ton désir est évident car l’hésitation est courte. Ta bouche s’ouvre et s’approche petit à petit de son gland. Tu finis par l’effleurer avec la langue. Pas de dégoût, pas de culpabilité : allons-y gaiement ! Tu pompes cette bite avec une énergie incroyable. Pendant que tu le branles et touches ses grosses boules, je vois son sexe entrer et sortir de ta bouche à un rythme effréné. Je prends indéniablement autant de plaisir à te voir que toi à l’avaler…


Quant à moi, j’observe ta chatte qui est ouverte d’excitation et qui ruisselle de plaisir. Je suis comme hypnotisé par cette partie de ton corps qui a l’air de me supplier de le dévorer. Je ne peux effectivement pas résister : je lèche ton minou, je le goutte, je te bouffe. Moi aussi, je suis très excité… Je te vois le sucer pendant que je me délecte de ta vulve en chaleur. Toutefois, je m’arrête vite car j’ai aussi envie de profiter de ta bouche. Tu comprends mon envie, et après avoir ôté mon pantalon et mon caleçon, tu prends ma queue de la main droite, et reprends simultanément ta fellation extraconjugale. Nous nous retrouvons ainsi à deux, à hauteur de ton visage. Tu nous suces l’un après l’autre, puis en même temps. Le contact de ce sexe contre le mien, bien que troublant, n’altère en rien mon désir.


Les ébats autour de nous où se mêlent gémissements et odeurs, subliment ce moment tellement à part. Ton inhibition a totalement disparu. Tu me repousses afin de te repositionner dos à moi. Tu suces toujours ton amant d’un soir, et m’offres une vue superbe de tes fesses écartées et de ta chatte trempée de désir. Cette offrande est trop belle pour la refuser : je m’agenouille et viens lécher ta petite rondelle, descends vers ton sexe, remonte vers ton cul et ainsi de suite… Je n’ai même pas eu le loisir d’être en toi que je suis déjà au bord de l’explosion. Je suis contraint de cesser toute participation et ne fais que me joindre aux regards qui nous accompagnent.


Ton amant se retire de ta bouche et plonge sa main dans le petit récipient où se trouvent des capotes… Il veut à l’évidence te prendre. Te redressant, tu t’aperçois que vous n’étiez que tous les deux. Je te fais un clin d’œil afin de te rassurer. Réconfortée, tu aides notre ami à s’équiper, et l’allonges sur le dos. Son sexe volumineux et bien dur ne met pas longtemps à disparaître profondément en toi. Enfin habituée à sa présence, tu commences des mouvements de bassin qui favorisent les « va-et-vient ». Je me rapproche de toi à nouveau, et me « love » derrière toi en te caressant les seins et t’embrassant dans le cou. Je t’attrape le menton afin d’atteindre ta bouche que je pénètre avec ma langue. Aucune finesse dans nos actes, tout est bestial. Je titille ton clitoris avec la main droite, alors que ma main gauche est toujours occupée avec ta poitrine.


Toujours aussi compliqué pour moi de me retenir… Pourtant, j’ai très envie de profiter de ce moment, et tant pis si je dois jouir trop rapidement. Je te suggère de continuer cette pénétration en me faisant face cette fois-ci. Tous nos fantasmes évoqués sont prêts à être réalisés, et j’ai envie de te lécher alors que quelqu’un te prend. Tout en ayant une vision hallucinante de ta chatte dilatée par ce sexe qui coulisse en toi, je me m’approche de ton petit bouton, et amorce le cunnilingus dont nous avions tant parlé… Ton plaisir semble décupler, mais le mien aussi.


Je ne réponds plus forcément de mes actes, et dois me contrôler à plusieurs reprises. Pourtant, je me laisse aller à ce que je n’aurais pas forcément envisagé même dans mes plus grands délires. Je relève ton bassin afin de libérer la pine de ton amant, la saisis et la fais glisser jusqu’à ton deuxième orifice d’amour… Celui dont je peux jouir uniquement quand tu es très dispo… Je n’en attendais pas moins, mais tu te laisses faire. Le fait de tenir son sexe permet de guider la pénétration de manière douce et progressive.


Lentement mais sûrement, je vois disparaître son bâton dans ton petit cul qui ne demandait à l’évidence que ça… La pénétration est maintenant totale. Il ne t’a finalement pas fallu tant de temps que ça pour accepter cette barre de chair entièrement en toi : signe d’une excitation extraordinaire…


Je peux t’assurer que cette nouvelle vision est absolument divine. T’observer entamer des mouvements de bassin est terrible. Encore une fois, il me faut faire d’incroyables efforts pour ne pas éjaculer. Tu gémis fort, et à l’évidence ce n’est pas de douleur : il s’agit bien là du plaisir que tu prends à te faire enculer !


Je me redresse face à toi, et bien que la position soit assez acrobatique, et digne des positions du Kâma-Sûtra à trois, je veux que tu me suces pendant qu’il te prend. Effectivement, cette position est plus excitante qu’agréable, et j’abandonne mon initiative après quelques allers-retours dans ta bouche. Une idée me vient alors : tu es restée dans la même position… Je vais reprendre mon cunnilingus. J’insère un doigt dans ton vagin et sens les coups de reins de Monsieur par résonnance alors que je te lèche. Je ne sais pas comment il fait pour ne pas avoir déjà joui… L’expérience du libertinage ? Je ne sais pas, mais c’est tout « bénef » pour toi mon cœur.


Encore une fois, je sens les regards se poser sur nous, notre trio doit être beau et tellement chaud. Je sais, alors, que je ne peux plus me retenir et te le dis.



Tu m’invites à pratiquer ce que nous avons découvert il y a peu : une double pénétration… Cette fois-ci c’est un vrai sexe qui m’accompagne. Aussi, il faut que je m’efforce de rendre cet acte le plus agréable et doux possible. Il est évident que c’est l’apogée d’une soirée que je n’aurai jamais envisagée aussi « chaude ».


Je m’introduis délicatement en toi. Mon acolyte attend que je sois entièrement en toi pour reprendre sa sodomie. Sensation nouvelle, je perçois l’activité anale de ton amant à travers la petite peau qui sépare tes deux petits trous d’amour. À mon tour, j’entame des mouvements de « va-et-vient » qui, je le sens, m’amènent vers le « Nirvana ». Le sentant, tu m’accompagnes amoureusement d’une petite intromission d’un doigt dans mon petit trou. Il n’en faut pas plus pour que je jouisse très fort. Un orgasme que je ne n’arrive pas à dissimuler, informant ainsi tout le monde de mon plaisir.


À nouveau, tu te retrouves seule avec notre ami. Celui-ci se retire de tes fesses et se redresse. Il retire son préservatif, et se positionne sur ton ventre, son sexe bandé sur tes seins. Il est évident qu’il va se servir d’eux pour jouir. Tu le laisses faire… Ce n’est plus du partage, et pourtant… Tu serres tes seins afin qu’il puisse coulisser entre eux. Il ne lui en faut pas plus pour inonder ton cou et ta poitrine de sa semence. Il s’approche de toi et te dépose un baiser sur la bouche. Cette fois-ci, il y a beaucoup de douceur. Je l’entends te remercier et t’annoncer que c’est à ton tour.


Je m’approche également de toi pour t’embrasser amoureusement, et te glisse à l’oreille :



Je repars vers ton entrejambe en me positionnant tête-bêche, alors que notre partenaire du soir descend vers tes seins afin de gober ta merveilleuse poitrine.


Bien que « souillée » sur la quasi-totalité de ton corps, tu n’en restes pas moins belle et nous mettons tout notre cœur à l’ouvrage afin de t’emmener au septième ciel que tu as tant mérité d’atteindre. Je m’applique du mieux que je peux pour lécher ton petit abricot d’amour, y insère deux doigts et observe la langue et la bouche de notre ami jouer avec tes mamelons. Au vu des mouvements de ton ventre, je sais que tu n’es plus très loin de l’apogée de ton plaisir. Alors que tu te saisis de nos sexes, et nous branles maladroitement, plusieurs palpitations et contractions trahissent ton orgasme. Tu nous as rejoints à « l’hôtel du Paradis »…


Plusieurs minutes passent avant que nous retrouvions nos esprits. Nous ne sommes plus que deux sur ce grand lit rond. Notre ami est déjà parti… Je t’aide à te nettoyer et nous nous rhabillons. Nous partons à notre tour et je crois lire des « mercis » à travers les regards des personnes nous ayant observés ou vus malgré eux.


Il n’est pas loin de 2 h 30 du matin quand nous arrivons à la voiture. Nous nous regardons et nous embrassons avec amour. Près de trois-quarts d’heure plus tard nous arrivons à la maison. Ton corps garde les effluves de notre soirée et cela m’excite… Bien que fatiguée, tu ne te refuses pas à moi. Je t’enlace délicatement, t’embrasse langoureusement, ta cuisse passe par-dessus la mienne m’offrant la possibilité de coulisser mon sexe en toi. Tu mouilles encore. Je te caresse le dos et les cheveux et te couvre le cou de mes bisous. Nous avons retrouvé notre intimité, et je m’en félicite. Je veux te faire l’amour doucement. Ce merveilleux échange corporel, si tendre, ne s’éternise pas : je jouis à nouveau en toi, et t’embrasse une nouvelle fois. Je m’y attendais : tu n’éprouves pas le plaisir de jouir…

Nous nous endormons comme j’aimerais le faire plus souvent : moi en toi, sales de notre plaisir !


Nous venons de passer un moment invraisemblable mais inoubliable.


Que nous réserveront nos prochaines soirées ? Mystère…