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Temps de lecture estimé : 31 mn
15/05/11
Résumé:  Une rencontre qui a bouleversé ma vie.
Critères:  fh hplusag complexe voyage intermast facial fellation cunnilingu -amourdura -amourpass
Auteur : Denis Raud      
Venezia

Je m’appelle Denis. À l’époque où s’est déroulée cette histoire, j’avais 50 ans. Ma femme m’avait quitté depuis deux ans, ce qui m’avait décidé à réorganiser totalement ma vie. J’ai décidé de vivre pleinement le moment présent et d’assouvir mes passions. Parmi les principales, Venise et la photographie. J’ai donc vendu la petite librairie que j’avais dans la proche banlieue parisienne et, fort d’un petit capital qui me donnait une certaine aisance financière, j’ai parcouru le monde pour assouvir ma soif de jolis clichés bien cadrés, en revenant toujours vers ce qui est pour moi la plus belle ville du monde, Venise.


Jamais totalement satisfait de mes prises de vues, je cherche toujours l’angle original, ce qui m’oblige à crapahuter. Conséquence, j’ai retrouvé ma ligne de jeune homme et, comme l’on dit, je suis bien conservé pour mon âge.


Des anciennes relations dans le monde de l’édition, quelques destinations originales, des textes d’un ami assez créatif, un bon appareil photo avec des objectifs hors de prix et un petit talent au niveau du cadrage m’ont permis de faire éditer une petite dizaine de livres. Pas de quoi en vivre mais un moyen de se faire connaître, surtout pour pouvoir ouvrir des portes qui sont fermées au commun des mortels.


À Venise, je loge toujours chez la Signora Foscarini, dans le quartier de Castello, qui héberge, dans trois de ses chambres, étudiants et artistes contre une contribution modeste. J’aurais les moyens de vivre à l’hôtel mais je préfère ce type d’hébergement qui m’intègre beaucoup plus à la vie des Vénitiens. D’autant que la Signora Foscarini, qui aime bien mes photos, m’alimente toujours en potins et anecdotes qui m’aident à essayer de capter au mieux l’âme de Venise, si je dois y arriver un jour.


Au cours de mes séjours chez elle, j’ai ainsi rencontré des peintres, souvent Allemands, des écrivains, souvent ratés, des journalistes, souvent intéressants, mais jamais de photographes comme moi.


En ce jour de Mars, la Signora Foscarini m’informe qu’une universitaire française doit arriver dans la soirée pour une durée de trois semaines. Ayant passé la journée entière en repérages pour des prises de vues au petit matin sur l’île du Vignolle, je suis rentré fourbu et après avoir dégusté une soupe dont la Signora Foscarini a le secret, je vais me coucher tôt malgré ma curiosité à découvrir ce qu’une universitaire peut venir étudier ici qui ne l’ait pas déjà été mille fois.


Le matin suivant, lorsque j’arrive dans l’immense cuisine-salle à manger-salon, penchées sur une carte de Venise étalée sur la table, je découvre de dos, outre la Signora Foscarini me faisant face, une très agréable silhouette. En premier, je remarque de belles fesses moulées dans un jean serré, accentué par la position. En second, une taille étroite mise en valeur par un polo cintré sans manches très féminin. Pour finir, une petite queue de cheval de cheveux châtain clair.


Le contraste de cette silhouette est frappant avec l’image qui s’était formée dans mon esprit à la seule évocation de l’expression « Universitaire Française ». Je m’étais imaginé une vielle dame décatie sentant un peu le pipi de chat et je découvre un corps qui laisse deviner une beauté fatale. Mais c’est le choc lorsqu’elle se retourne en m’entendant arriver : ce corps admirable est surmonté d’un visage laid, plus précisément qui met mal à l’aise.


Je cache mon trouble en lui tendant vivement ma main et en prononçant presque un peu trop fort : « Denis, photographe ». Pendant qu’elle me serre la main, je détaille ce qui fait la laideur de ce visage : une grosse cicatrice en biais qui part de la droite du menton, déforme les lèvres et remonte jusqu’au coin de l’œil gauche. Un gros nez busqué et une absence de pommettes finissent de rendre ce visage disgracieux. Par contre, le visage est étroit avec de beaux yeux vifs bien que non maquillés.


Le sentiment qui m’assaille de prime abord est une grande tristesse pour cette fille qui doit souffrir de constater qu’on a envie de se détourner d’elle. Pour ne pas la dévisager plus longtemps, je me sers mon petit-déjeuner. La Signora Foscarini, qui parle un Français correct me dit :



Et m’adressant à Cécile :



Probablement contrariée, elle me rétorque :



Il est évident que le Signora Foscarini lui a parlé de mon emploi du temps et que je l’ai vexée. Je tente de me rattraper :



M’adressant à la Signora Foscarini qui n’a rien perdu de notre échange :



Au cours du petit-déjeuner, j’apprends qu’elle a vingt-cinq ans, qu’elle est boursière et que son directeur de thèse s’est démené pour que ce soit elle qui représente la France dans ce concert de chercheurs.


Ensuite nous partons pour notre journée de formation rapide pour qu’elle puisse se débrouiller dans Venise. Je me procure un plan des lignes de Vaporetto et je lui en explique les pièges et les subtilités. Je lui fais acheter un billet valable sur une longue durée et nous commençons par un tour extérieur de la Sérénissime ainsi qu’une descente du Grand Canal.


J’essaye de ne pas trop la saouler de mes commentaires, tant je suis passionné par cette ville. Ses questions dénotent d’une intelligence vive et concrète, loin de l’image que je me fais d’une historienne de l’art. Rapidement, je la tutoie. Je n’obtiens la réciproque que vers midi.


Je l’initie au déjeuner type du Vénitien : une Bruscheta dans un bar avec un petit verre de vin. Délicieux, économique et de quoi rester léger. Malgré ce visage auquel je ne m’habitue pas, sa compagnie est agréable : elle est cultivée, curieuse et intéressante.


L’après-midi, je lui montre comment aller au plus court de notre logement à la Scuola San Roco, puis, la sentant fatiguée, nous rentrons chez la Signora Foscarini. Je lui propose d’aller dîner à proximité mais elle décline, trop fatiguée. D’ailleurs, elle ne se présente même pas à l’encas préparé par notre hôtesse. Elle doit déjà dormir.


Le lendemain matin, elle arrive juste après moi au petit-déjeuner, sanglée dans un tailleur qui met en valeur son agréable silhouette. Elle est concentrée. On sent que ce jour est important pour elle. Alors qu’elle s’apprête à partir, je m’aperçois que son sac est horriblement lourd. Je lui propose de l’accompagner pour porter ce sac, ce qu’elle accepte volontiers. En chemin, je lui demande :



Arrivés à destination, je la laisse pénétrer seule dans le bâtiment tout en lui proposant de la retrouver pour le déjeuner. Elle répond qu’elle m’enverra un SMS si c’est possible. Je suis incroyablement excité à l’idée qu’elle soit en possession d’un tel prototype. Toute la matinée, je tourne et je vire sans arriver à penser à autre chose.


Vers 11 heures, je reçois un SMS : RDV à 12 h 30 devant la Scuola – Good news.


Quand elle arrive, je trépigne devant la Scuola depuis vingt minutes :



À 13 heures, nous nous présentons à la Scuola. Elle me présente comme son assistant. Le service administratif me confectionne un laissez-passer, puis je peux enfin pénétrer dans la grande salle du premier étage sans les flots de touristes habituels. Cependant, des ouvriers montent des échafaudages, probablement pour les futurs travaux de rénovation et provisoirement pour les prises de vues.


Parmi les autres chercheurs présents, certains me connaissent pour les ouvrages sur Venise que j’ai déjà publiés. Ils ont la gentillesse de me féliciter d’être responsable des clichés officiels à réaliser et me proposent leur aide pour tirer toute la quintessence de l’œuvre exposée. Voilà qui n’est pas très gentil pour la pauvre Cécile.


Après avoir remercié tout le monde, je suis impatient de découvrir le fameux prototype. Il s’agit d’un modèle presque définitif. La prise en mains est facile mais les réglages complexes. Je suis obligé de consulter le mode d’emploi, pour l’instant en Anglais. Les échafaudages n’étant pas complètement opérationnels, je m’entraîne sur les statues en bois polychrome.


Italie oblige, nous devons arrêter à 17 heures. J’ai l’impression d’avoir commencé il y a seulement quelques minutes. Avant de partir, j’extrais de l’appareil sa carte mémoire pour transférer le cliché sur mon ordinateur. En tant que professionnel, j’ai un matériel avec un écran d’une luminosité exceptionnelle.


De retour chez la Signora Foscarini, nous transférons les images sur mon ordinateur. Cécile et moi sommes subjugués par la qualité des prises de vues. Je fais quelques retouches préréglées sur les couleurs grâce à mon logiciel. Le rendu est encore plus spectaculaire. Elle est aux anges.


Nous convenons de nous retrouver au salon à 19 h 30. Lorsqu’elle arrive, elle est bien maquillée : les yeux ont acquis une jolie profondeur, la cicatrice est fortement atténuée par un fond de teint généreux et de l’ombre à joues crée une illusion de pommettes. Il ne reste de vilain que son nez. Je ne vois pas sa tenue car elle a déjà mis son manteau, si ce n’est qu’elle est en pantalon.


Sur le Vaporetto, nous parlons architecture. Volontairement, nous gardons le sujet des événements de la journée pour le repas. Arrivés au restaurant Marconi, près du Rialto et donnant sur le Grand Canal comme prévu, elle retire son manteau et je dois reconnaître qu’elle sait mettre ses atouts en valeur. Elle n’a pas mis une tenue jeune pour ne pas accentuer notre forte différence d’âge : un pantalon noir moulant et un chemisier blanc cintré à col en V qui laisse très légèrement entrevoir la naissance des seins qu’on devine généreux. Le premier bouton du chemiser, à hauteur du plexus, est sous tension mais sagement fermé. L’impression qui se dégage de cette silhouette est le feu qui couve sous la braise.


Sans lui demander son avis, je commande deux Spritz, apéritif traditionnel Vénitien à base de Proseco et d’Apérol. Ensuite, avec son acquiescement, je compose un menu typiquement Vénitien : Sarde in Soar, des sardines marinées et Fegatto ala Veneziana, du foie de veau aux oignons, le tout arrosé d’un Amarone, puissant et corsé.


Une fois les apéritifs servis, elle tend son verre vers moi et me dit :



La conversation continue sur une ébauche de planning pour réaliser dans les délais les prises de vues nécessaires, puis sur la méthode pour les mettre à disposition des autres chercheurs. Tout cela avec exaltation jusqu’à la fin du repas, si bien que je ne remarque qu’à ce moment que le fameux premier bouton du chemisier a sauté. Je ne n’y jette qu’un regard rapide pour ne pas paraître discourtois mais j’ai le temps d’apercevoir que le haut du soutien-gorge cache deux jolis renflements. Est-ce volontaire de sa part, où le bouton a sauté de lui-même ?


C’est au moment du café qu’elle me dit :



À cet instant, mon cerveau tourne à 10.000 tours-minute. Comment être gentil sans être flagorneur ? J’embraye :



Ne sachant plus trop comment interpréter ses propos, je me tourne vers le serveur pour demander l’addition qu’il m’apporte, fort à propos, instantanément. Je me lève pour payer, puis vais chercher nos manteaux au vestiaire. Me voyant ainsi, elle se lève. Je l’aide à enfiler son manteau, non sans en profiter pour explorer de plus près ce décolleté qui m’attire.


La nuit n’est pas si fraîche pour un mois de Mars. Nous nous dirigeons vers la station de Vaporetto. Ne sachant trop comment repartir sur ses derniers propos, j’écarte mon coude, dans cette position qui lui propose de prendre mon bras. Elle n’hésite pas un instant et me prend le bras qu’elle tient, il me semble, bien serré sur sa taille avec l’aide de son autre main qui enserre son poignet.


Je lui propose de rentrer à pied mais elle me répond qu’elle est pressée de rentrer. Comment interpréter cela ? Lorsque le Vaporetto arrive, je l’entraîne vers la plateforme avant en extérieur. Nous nous asseyons côte à côte, aux places les plus en avant, face à la marche. Il n’y a personne d’autre à l’avant du bateau. Elle se blottit contre moi, mimant le froid. Je passe mon bras autour de ses épaules. Nous restons quelques instants immobiles puis, tournant nos visages l’un vers l’autre, dans un mouvement lent mais continu, nous nous embrassons une première fois brièvement. Plus qu’un baiser, c’est une demande.


Surpris mutuellement par notre propre audace, nous nous regardons les yeux dans les yeux puis c’est le deuxième baiser, celui de l’acceptation totale réciproque, fougueux jusqu’à l’essoufflement. Probablement échaudée par des expériences douloureuses, elle me demande :



L’attirant avec mes bras, je la fais s’asseoir à califourchon sur mes jambes, face à moi. Le troisième baiser est encore plus torride. Nous restons ainsi jusqu’à destination, les yeux dans les yeux. Le pilote du Vaporetto a dû en voir bien d’autres.


Bras dessus, bras dessous, nous courons presque jusqu’à la maison. Tout est éteint. Nous allons dans ma chambre, plus grande que la sienne. Les manteaux déjà jetés sur une chaise, elle joint ses mains sur les boutons de son chemisier pour les défaire. Je l’arrête :



Nous nous mettons d’accord sur le niveau de lumière en posant les deux petites lampes de chevet au sol. Un long baiser puis elle retire son pantalon pendant que je retire le mien ainsi que ma chemise. Je bande déjà bien dans mon caleçon. J’espère qu’elle l’a vu avant que je m’agenouille pour lui retirer sa culotte. Pas très raffinée, la culotte. Probablement un manque de moyens. Cela me donne des idées pour y remédier.



La Signora Foscarini louant aussi ses chambres aux couples de touristes, les lits sont larges. J’entraîne Cécile vers le mien. Après un autre long baiser, au cours duquel je me fais la réflexion que je ne sens pas sa cicatrice, je descends le long de son corps vers son minou bien rasé. J’ai l’intention de lui montrer que j’aime vraiment ça et de lui donner du plaisir avec ma langue. Je me positionne entre ses jambes et j’embrasse son minou, de plus en plus bas vers les lèvres puis je sors ma langue et commence à lécher. Je crois qu’elle a rapidement compris mes intentions puisqu’elle écarte franchement les jambes et plante ses doigts dans mes cheveux.


Elle me guide en variant ses grognements jusqu’à ce que j’aie parfaitement localisé son clitoris. À partir de ce moment, je m’applique à maximiser son plaisir. Son volume sonore s’amplifiant me réjouit mais me fait craindre de réveiller la Signora Foscarini. Je tends ma main vers sa bouche pour la faire taire, à contrecœur car les râles de plaisir d’une femme sont le plus beau son du monde. Elle a compris car elle ne s’exprime plus que par grognements jusqu’au moment où tout son corps se met à trembler et qu’elle ne peut retenir un bref cri aigu.


J’arrête et remonte vers son visage. Elle me chuchote :



Elle me fait mettre à mon tour sur le dos et me retire mon caleçon. Sans savoir pourquoi, jeune, j’avais honte de mon érection en présence d’une fille. Aujourd’hui, au contraire, j’en suis fier. C’est ma façon de montrer qu’elle me plait. Le fait que Cécile regarde ma bite m’excite encore plus. Mon érection est plutôt flatteuse alors qu’elle me prend dans sa main et commence à me sucer doucement. Elle me demande si elle ne me fait pas mal. Cela sent le vécu. Je lui dis que c’est divin alors elle s’applique à me donner du plaisir, lentement et subtilement. Elle a de l’expérience. Il est clair que son complexe physique l’a obligée à développer ses talents pour conserver les garçons qui ont partagé sa vie.


En plus, elle me regarde dans les yeux tout en me suçant. Décidément, elle sait y faire. Je lui dis que c’est très, très bon mais je lui demande grâce pour ne pas craquer. Alors, comme je le souhaitais, elle se met à cheval sur moi et positionne son minou sur ma bite et descend lentement. Elle est étroite mais, bien lubrifié par mon léchage, en quelques allers-retours, elle est complètement empalée sur moi.


C’est ce que j’attendais pour défaire les boutons de son chemisier. Étant fière de ses seins, elle concentre son attention sur mes réactions. Elle s’est immobilisée et me regarde faire. Je procède lentement. Une fois les boutons défaits, je lui ôte le chemisier. Le soutien-gorge est banal mais bien gonflé. C’est l’éternelle question : le volume ne fait pas la forme, ne vais-je pas être déçu en découvrant une grosse poitrine qui tombe comme c’est généralement le cas, même à 25 ans.


Je me redresse pour défaire le soutien-gorge, Cécile toujours empalée sur moi. Lorsque le soutien-gorge va valser au bout de la pièce, quelle surprise ! Elle a raison de dire que c’est ce qu’il y a de mieux chez elle. Ses seins sont magnifiques, bien proportionnés, ronds et ne tombent pas le moins du monde. Elle sourit de voir mon expression de surprise et de contentement. Sans les prendre en main, je commence à en lécher les mamelons. Manifestement, elle aime. Je retombe en arrière et elle commence les allers-retours sur moi.


Quelle vision que ce beau corps de 25 ans qui s’agite sur moi. Il y a quelques heures, je n’en aurais jamais rêvé. Elle recommence à grogner, la tête en arrière. Malgré tout le plaisir que me procure la situation, je force à penser à autre chose pour tenir la distance. Puis, à nouveau, elle crie, plus fort que la fois précédente. Elle s’affale sur moi en me disant :



Je me retire d’elle pour la faire pivoter sur le dos. Je me mets entre ses jambes écartées et lui redonne quelques coups de langue pour l’exciter à nouveau. Puis je la pénètre à nouveau, quasiment en missionnaire mais en appui sur les mains, le torse bien au-dessus d’elle pour pouvoir la contempler et qu’elle me voit la besogner. Pas un moment, elle ne ferme les yeux. Elle me regarde moi ou ma bite en train de l’honorer.


Son corps est toujours aussi beau, le minou rasé, la taille fine, les seins restent fermes même sur le dos. Je sens que je vais craquer. Ma bite se raidit encore plus, comme toujours avant l’éjaculation. Elle fait de gros yeux ronds qui montrent qu’elle le ressent bien. Puis je me retire et me mets à califourchon au niveau de sa taille, la bite bien tendue vers elle. Alors qu’il m’a fallu mes mains pour prendre cette position et que je m’apprête à m’astiquer pour atteindre le plaisir, c’est elle qui m’empoigne et me masturbe consciencieusement pour me mener au terme de mon plaisir.


Je profite de mes mains libres pour lui glisser un oreiller sous la tête, puis, ensuite, caresser ses seins magnifiques. Pendant tout ce temps, elle continue à sourire sans arrêter ma masturbation. Elle semble vraiment attendre mon plaisir avec joie. Quelle amoureuse expérimentée !


Puis, de nouveau, ma bite se raidit encore plus et la jouissance arrive, intense. La première giclée atterrit sur son sein gauche. En experte, elle a le temps de refaire deux allers-retours avec sa main puis une pause pour attendre la deuxième giclée qui fuse vers son menton. Elle rigole. Puis, de nouveau, deux allers-retours avant la troisième giclée qu’elle a orientée vers son sein droit. Quelle bonne fille ! Les quatrième et cinquième giclées, moins vives, tracent une belle ligne blanche sur son estomac.


Bien qu’il n’y ait plus grand chose à faire sortir, en bonne connaisseuse du plaisir masculin, elle continue à me masturber mais plus lentement et plus doucement. C’est divinement bon. Je me baisse pour lécher le sperme de son sein gauche puis de son sein droit. Elle semble apprécier et puis c’est un investissement de montrer que l’on n’est pas dégoûté par le sperme, s’il y a un lendemain à cette aventure, puisqu’à cet instant, je ne suis sûr que du moment présent.


Elle me lâche enfin et me force à m’allonger sur elle. Elle me chuchote :



Nous restons enlacés quelques minutes, enduis l’un et l’autre de sperme. Je me lève pour aller chercher une serviette de bain et essuyer son torse luisant. Je m’essuie aussi puis éteins les lumières et nous nous endormons enlacés jusqu’à la sonnerie du réveil à sept heures.


Après quelques bisous, chacun file dans sa salle de bain, nous avons une importante journée devant nous. Bien que n’arrivant pas ensemble au petit déjeuner, la Signora Foscarini n’est pas dupe et affiche un petit sourire qui en dit long. Nous lui racontons la situation à la Scuola, ce qui lui fait grand plaisir.


Cette fois, j’emporte mon ordinateur avec moi pour pouvoir traiter sur place les clichés. Sur le Vaporetto, aucune allusion à notre nuit torride, ce ne sont que commentaires sur le travail qui nous attend. Toute la journée nous travaillons ensemble, elle, me guidant sur les détails à mettre en valeur, moi, comme toujours à travailler mes cadrages et surtout le rendu fidele aux œuvres, ce qui est facile avec un tel matériel. Tout cela sans échanger le moindre bisou.


Lorsqu’arrive 17 heures, nous n’avons pas vu la journée passer. Nous avons réalisé un quart de la tâche à accomplir. Sur le Vaporetto, chacun reste en silence, à la fois fatigué et dans l’expectative du déroulement de la soirée. Je prends l’initiative :



Nous nous retrouvons vers huit heures. Au moment de partir, la Signora Foscarini nous glisse :



Je l’emmène au restaurant Al Milion, censé être la cantine de Marco Polo. Comme la veille, nous dînons remarquablement bien en parlant de notre mission. Nous rentrons à pied, moi la tenant par les épaules, elle me tenant par la taille. Nous filons directement dans ma chambre et sans nous concerter, rétablissons le même éclairage. Le message est clair.


Elle se met dans la même tenue que la veille, juste avec son haut. Je lui dis que j’ai beaucoup apprécié mais que cela ne constitue pas pour moi un rituel incontournable. Alors, elle se déshabille entièrement et se jette sur le lit, à plat dos, jambes écartées. Elle me dit :



Après quelques bisous, je recommence comme la veille en prenant plus mon temps car je ne suis plus dans l’incertitude des premiers émois. Elle doit y penser depuis longtemps car elle grogne rapidement. J’arrête en lui disant d’être silencieuse. Elle me dit qu’elle a envie de crier son plaisir à la terre entière. Je la menace d’arrêter. Elle promet d’être silencieuse. Je reprends lentement. Elle se contient mais son corps parle pour elle : il tremble de toutes parts. Elle me chuchote :



Je suis à la fois craintif que ce soit une mauvaise nouvelle mais, en même temps, je me dis qu’après un aussi bon léchage de minou, je n’ai rien à craindre.



Sans me faire prier, je la pénètre doucement et je cherche à générer son plaisir tantôt au bord de son vagin, tantôt au fond. Elle semble vraiment apprécier, les jambes croisées autour de mes hanches, la tête en arrière, grognements étouffés dans son poing.


Lorsqu’elle me sent me raidir, elle m’interrompt puis me positionne presque comme la veille mais avec deux oreillers sous sa tête et moi à cheval sur elle, à hauteur de ses seins mais assez haut pour ne pas les écraser. Son visage est à quelques centimètres de ma bite tendue. Alors, elle avance la tête et commence à me sucer utilisant soit les lèvres soit la langue soit toute sa bouche. Elle y met tout son cœur. En plus de la sensation, je ne perds pas une miette du spectacle.


Lorsqu’elle s’interrompt pour reprendre son souffle, ce sont ses mains qui prennent le relais, agiles, chaudes, fermes et douces. Puis, elle reprend avec sa bouche, passionnément. Si bien que je ne tiens pas longtemps. Elle me sent me raidir, repose sa tête sur l’oreiller puis avec ses mains expertes me masturbe en tirant la peau vers l’arrière pour générer de longs jets blancs qui, rapidement, couvrent son visage en tous sens.


Moi qui voulais lui montrer que le sperme n’était pas rebutant, je n’aurais jamais imaginé à quel point. Comme la veille, elle continue longtemps après à me masturber, maintenant ainsi mon plaisir et mon érection. Jamais personne ne m’avais fait ça auparavant. Elle aussi, semble aux anges. Malgré l’intensité du plaisir, cela me donne envie de la pénétrer. Je me dégage de son emprise, descends et la prends sans attendre. Je suis encore suffisamment raide pour l’honorer de longues minutes tout en l’embrassant à pleine bouche, étalant ainsi le sperme sur nos deux bouches.


Sans que je m’y attende, elle jouit en se mordant le dos de l’index droit pour masquer ses cris puis enchaîne en étalant frénétiquement le sperme sur tout son visage en disant :



J’utilise mes dernières raideurs pour me repaître de son sexe tout en empoignant ses seins magnifiques, les coudes de chaque côté de son torse, mon visage plaqué sur le sien.


Après un essuyage en douceur, nous passons notre deuxième nuit enlacés.



Le lendemain, pas de commentaires de la Signora Foscarini. Nous avons réussi à être plus discrets.


Sur le Vaporetto, elle se blottit contre moi et me dit qu’elle a passé une merveilleuses soirée, mais elle me fait comprendre que ses règles approchent et qu’elle ne souhaite plus faire l’amour pendant un certain temps. Cela m’arrange car, à mon âge, j’ai besoin de reprendre des forces. Je ne peux plus assurer chaque jour comme à 20 ou 30 ans. Les nuits suivantes, nous nous contentons de dormir bien sagement blottis l’un contre l’autre.


Pendant quelques jours, nos nous consacrons entièrement aux prises de vues à la Scuola. Je suis tellement content du résultat que je commence à penser à une publication de mes clichés avec comme texte, le sujet de sa thèse. Je lui en parle. Elle est folle de joie à cette idée mais redoute de devoir batailler pour convaincre son directeur de thèse. La question de la propriété des clichés va aussi se poser. Mais ne brûlons pas les étapes.


Maintenant que tous les clichés ont été réalisés, elle a besoin de travailler seule à la rédaction des grandes lignes de sa thèse. La rédaction finale se fera à Paris. Ayant appris que les prises de vues sont terminées, Hasselblad lui demande de rapporter personnellement l’appareil au plus vite, surtout sans le confier à la Poste où à un transporteur. Comme je dois faire un aller et retour à Paris pour une séance de dédicaces, je lui propose de me charger de cette corvée, comme cela elle pourra se consacrer à sa rédaction et économiser sur son budget déjà très serré. Elle me remercie avec insistance et me promet une récompense à mon retour.


Lorsque j’arrive du vol de Paris à l’aéroport Marco Polo, elle est la première dans la rangée de ceux qui attendent les passagers. Elle est allée chez le coiffeur, et a maintenant les cheveux courts, cela lui va très bien. Après un long baiser passionné, elle me dit qu’elle a consacré une partie du budget que je lui ai fait économiser à se rendre plus désirable, coiffeur, vêtements et sous-vêtements. J’ai hâte de découvrir cela.


Lorsque nous passons à la Pensione pour déposer mon bagage avant d’aller dîner, elle retire son manteau et je découvre qu’elle a une jupe bien taillée et un chemisier en soie ample qui ne laisse deviner de sa silhouette que la tension qu’exercent ses seins sur l’étoffe. Que de promesses.


Nous retournons à notre restaurant fétiche, Al Milion. Et là, elle m’annonce que son directeur de thèse, non seulement accepte ma proposition mais, qu’en plus, l’université serait très honorée de voir sur un même ouvrage la signature d’une de ses élèves et d’un photographe reconnu. Que de bonnes nouvelles pour ce retour. Je profite de ce moment de joie pour aborder un sujet qui me taraude depuis le début :



Nous rentrons à la Pensione et retrouvons notre rituel du réglage de la luminosité de la chambre. C’est un signal réciproque d’acceptation d’activité sexuelle. Elle me dit que l’heure de ma récompense, pour avoir convoyé l’appareil photo à Paris, est venue et qu’elle la prépare depuis plusieurs jours. Elle demande de me déshabiller et de m’asseoir sur le lit, dos droit contre la tête de lit, jambes à l’horizontale car elle veut bien voir l’effet de sa surprise sur moi.


Elle a acheté des mini-enceintes pour son lecteur MP3 et démarre la musique de Neuf Semaines et Demie en répétition automatique. Je devine que je vais avoir droit à un strip-tease. Elle a dû revoir le film car elle reproduit les grandes étapes de cette scène torride. Elle est même allée jusqu’à acheter une combinaison en soie pour être le plus fidèle possible. Elle se débrouille fort bien, elle a probablement répété et elle obtient le résultat escompté : je bande assez bien et ne fais rien pour le cacher.


Ses sous-vêtements neufs sont beaucoup plus sexy que les précédents. Lorsqu’elle est nue depuis un certain temps et qu’elle considère avoir fini son strip-tease, elle me rejoint sur le lit pour un baiser fougueux, à cheval sur mes cuisses. Elle se redresse. Ses seins sont à la hauteur de ma bouche. Je les lèche et les tète longuement. C’est elle qui prend l’initiative de me tendre le gauche ou le droit, tout en caressant doucement ma bite avec ses mains. Puis, elle la guide jusqu’à son minou en s’empalant doucement. Cette séance a dû l’exciter autant que moi car elle est toute mouillée.


Il est clair qu’elle prend l’initiative et cherche son plaisir. De ses mains, elle plaque mon visage sur ses seins magnifiques. Au bout de quelques minutes, elle halète assez fort. Nous allons encore avoir droit à des réflexions de la Signora Foscarini. Lorsque je lui dis que je risque de craquer, elle me répond que ce n’est pas grave puisque maintenant elle prend la pilule. Cependant, elle calme le jeu en partant en arrière pour s’allonger sur le lit. Quand j’impulse un mouvement pour la retourner dans l’intention de faire une levrette, elle me dit qu’elle n’aime pas cela car, pour elle, cela signifie que l’on ne veut pas voir son visage.


J’y renonce d’autant plus facilement que je ne suis pas passionné par cette position. Je me rabats donc sur un classique missionnaire mais appuyé sur mes mains pour ne pas l’écraser et pouvoir la contempler. Je prends tout mon temps puis tente une petite variante avec ses jambes serrées et les miennes à cheval mais cela ne lui plait pas trop. Je me repositionne entre ses jambes qu’elle écarte bien droites et en l’air en V, les tenant avec les mains derrière les genoux. Cela montre qu’elle se donne à fond. Je lui dis que cette position m’excite beaucoup et que je pourrais craquer assez vite. Elle me dit qu’elle a hâte que je jouisse en elle, ce que nous n’avons encore jamais fait.


Je m’active donc sans retenue et, après de longues minutes et quelques cris rauques de sa part, je craque dans de longs tremblements saccadés alors qu’elle me serre fort entre ses jambes et ses bras, ondulant au rythme de mes spasmes de plaisir. Lorsque je ne bouge plus, elle me dit : « Bon retour à Venise ». J’ai la faiblesse de croire qu’elle est heureuse.


Pendant les quelques jours qui lui reste à Venise, je m’arrange avec la Signora Foscarini pour que nous partagions la même chambre : elle ne facture que les petit déjeuners à Cécile alors qu’en secret je paye les deux chambres. Autant d’économies pour Cécile. Pendant ces dernières journées, je suis sur un petit nuage : le bonheur me donne de l’inspiration et je prends des centaines de clichés qui me semblent tout à fait convenables.


Je réussis à emmener Cécile dans un magasin de lingerie où elle accepte que je lui achète trois nouvelles parures de sous-vêtements. Notre petit rituel commence à s’installer : à chaque nouvel achat, j’ai droit à un strip-tease qui finit invariablement au lit.


De retour à Paris, je mets plus d’un mois à la convaincre d’accepter que je paye sa première opération, le nez. Sa mère, qui a un tout petit peu plus que mon âge, que j’ai rencontrée et qui a le même nez, m’a déjà remercié cent fois. Nous l’accompagnons à la clinique pour l’opération et, le lendemain, le chirurgien nous dit qu’il est très content du résultat mais qu’il faudra attendre une semaine pour qu’elle puisse retirer les pansements.


Le jour J, nous sommes tous très impatients et au moment où tombe la dernière bandelette, notre mine réjouie incite Cécile à se précipiter vers un miroir. Elle me saute au cou. Le résultat est vraiment étonnant : un nez droit, fin et sexy, encore tout bleu mais déjà beau. Nous fêtons cela au restaurant avec sa mère.


Elle a presque fini sa thèse et va s’attaquer à la version grand-public pour notre livre. J’ai sélectionné les photos depuis longtemps et nous sommes tombés d’accord sur un partage des droits entre l’université et moi. La publication est prévue pour la rentrée de septembre.


Depuis notre retour de Venise, le nombre de ses affaires dans mon appartement croît avec régularité. Un soir après le dîner, une semaine après avoir retiré tous les pansements de son nez, elle me dit :



Elle allume une dizaine de bougies dans le salon puis éteint l’électricité. Elle a probablement prémédité son coup. La lumière est magnifique, chaude et sensuelle. Elle me fait mettre debout et s’agenouille face à moi. Elle ouvre ma braguette, sort mon sexe encore mou et s’applique à le faire durcir avec sa bouche. Je commence à avoir une petite idée de la façon dont elle veut baptiser son nouveau nez.


Je lui dis que je serais encore plus excité si elle se déshabillait. Elle bondit sur ses jambes pour procéder au déshabillage le plus rapide que je n’ai jamais vu. Elle est déjà entièrement nue que je n’ai retiré que mes chaussures et mon pantalon. Elle se charge de me retirer mon caleçon qui coince tant je bande. Elle a déjà repris sa succion quand je finis de me débarrasser de ma chemise. Je peux enfin profiter pleinement de mes sensations et de ma vue plongeante sur ses seins.


Lorsqu’elle sent que ma jouissance est proche, mes jambes se raidissant, elle empoigne ma bite de ses deux mains pour la masturber en la tenant bien en face de son nez jusqu’à ce que je l’arrose intégralement de longues giclées de sperme chaud, tout en me regardant joyeusement droit dans les yeux. Elle me lâche pour étaler tout mon sperme sur son visage et me dit :



Je l’embrasse longuement, frottant mon visage sur le sien, tout collant de sperme. Puis nous nous passons un gant de toilette sur le visage et allons nous coucher enlacés.


Le week-end suivant, je réussis à la convaincre d’accepter la deuxième opération qui doit supprimer sa cicatrice et lui créer des pommettes. Le chirurgien programme l’opération pour fin mai et elle ne dure pas moins de quatre heures. Le résultat est inversement proportionnel à l’état de mon compte en banque qui, c’est le cas de le dire, a été englouti dans l’opération. Cécile ne pouvant pas travailler avec toutes ses bandelettes, part en convalescence près de La Rochelle, où l’iode de l’air marin accélérera sa cicatrisation.


Je lui téléphone tous les jours mais il n’y a que moi qui parle car l’opération concernant aussi les lèvres, le chirurgien lui a interdit de parler. D’ailleurs, elle doit boire et se nourrir avec une pipette. Alors elle passe ses journées à m’envoyer des mails et des SMS enflammés et pleins d’espoir. Il me faut attendre deux semaines pour aller la chercher et la ramener à Paris.


Ce n’est que grâce à sa silhouette superbe que je la reconnais de loin tant l’opération a transformé son visage. Bien sûr, il y a de nombreuses croûtes et ecchymoses mais je la trouve déjà très belle. Je ne peux encore l’embrasser mais je la serre dans mes bras. Je sens qu’elle me serre un peu plus fort qu’à l’habitude. Elle réussit à me dire quelques phrases, bouche entrouverte et sans remuer les lèvres, à la manière des ventriloques.


Il lui faut encore quatre semaines de plus, qu’elle passe chez sa mère, pour retrouver la mobilité de ses lèvres et pour voir son visage retrouver une couleur normale. Ce n’est que lorsqu’elle s’estime présentable qu’elle accepte de partir en voyage avec moi, car nous sommes invités en Grèce chez Karolos, l’un des autres chercheurs qui travaillaient avec nous à la Scuola.


Elle n’est pas autorisée à exposer son visage au soleil mais l’air marin lui fera le plus grand bien. Le statut d’un universitaire grec est proportionnellement plus favorable qu’en France et Karolos nous reçoit dans la maison d’invités de sa propriété. Nous avons une petite maison pour nous seuls et l’accès sans limites à la piscine qui sépare les deux maisons.


Le matin, nous dormons tard, un premier bain de piscine, une douche puis nous partons à pied ou en bus visiter Athènes. Je mitraille à tout va et au moins la moitié de mes clichés sont consacrés à Cécile qui ne se lasse pas de contempler son nouveau visage sur l’ordinateur. Elle est de plus en plus belle au fil des jours.


En fin d’après-midi, nous rentrons pour un deuxième bain de piscine et nous nous préparons pour le dîner en compagnie de Karolos et de sa mère qui nous fait découvrir tous les trésors de la cuisine grecque. Ensuite, ce sont des discussions à n’en plus finir avec Karolos sur les mérites comparés de l’art italien et de l’art grec. Lorsque je vois les paupières de notre hôte devenir un peu plus lourdes, je déclenche le signal du coucher. Nous nous retirons alors dans notre charmante chaumière, heureusement isolée car, chaque nuit, nous ne nous lassons pas de faire et refaire bruyamment l’amour, dans toutes les pièces et toutes les positions, moi, motivé par la beauté de Cécile et elle, motivée par le bonheur d’être et de se sentir belle.


Voila comment, en moins de six mois, je suis passé de vieux photographe célibataire de second plan à célébrité de la photo d’art en couple avec une fille jeune, intelligente, cultivée et dotée d’un corps et d’un visage à faire bander les morts.


De plus, maintenant, notre ouvrage a été considéré comme majeur dans le monde de l’art italien et nous sommes reçus par les universitaires du monde entier pour des conférences que nous donnons à deux. Cela nous a même permis de faciliter la rencontre de Karolos et d’une jolie universitaire danoise auxquels nous avons offert une semaine chez la Signorina Foscarini, mais cela est une autre histoire…