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Temps de lecture estimé : 10 mn
19/05/11
Résumé:  Un jour, je découvre ma bisexualité avec la baby-sitter de mes enfants.
Critères:  f ff fplusag amour voir cunnilingu 69 init -fbi
Auteur : Janeve
Découverte de ma bisexualité

Salut à tous ! Je tiens d’abord à dire que je suis fan de votre site et de vos histoires que je lis pour mon plaisir.

Je me présente. Je m’appelle Agnès, j’ai 37 ans, je suis mariée et j’ai deux enfants. Tout se passe bien dans mon couple mais mon mari s’absente fréquemment pour son travail et je me retrouve souvent seule. Je suis donc devenue une adepte de la masturbation, ce qui m’a permis de découvrir votre site. Cette absence de mon mari m’a parfois conduite à penser prendre un amant mais je n’ai jamais sauté le pas. Cette solitude m’a poussée à effectuer un écart de conduite et à découvrir ma bisexualité.



Cette histoire s’est déroulée il y a presque deux ans. À cette époque, mon mari s’absentait toute la semaine et ne rentrait à la maison que le week-end. Mes envies sexuelles étaient de plus en plus importantes et j’avais le plus grand mal à refreiner les avances de certains mecs. Il faut dire que je ne les laissais pas indifférents et je m’amusais parfois à les faire fantasmer.


En effet, je pense être assez jolie. Je suis brune, de taille moyenne avec une silhouette généreuse. Ma grossesse m’avait permis de garder de bonnes proportions avec une poitrine de 95B, des fesses et des jambes galbées. Après une rééducation, j’avais réussi à obtenir des seins et des fesses bien fermes. Mes pulsions sexuelles s’étaient développées avec les formes de mon corps.


La fille qui a changé mon paisible quotidien s’appelle Faustine. Mon mari avait engagé cette baby-sitter pour s’occuper de nos enfants depuis mon retour au travail. C’était une jolie blonde de 19 ans, plus petite que moi mais le corps sculpté par le sport. Étudiante, elle pratiquait le squash, ce qui lui donnait des formes que les autres filles devaient lui envier. Je n’avais pas de contacts particuliers avec elle et rien ne me laissait penser qu’elle puisse avoir le moindre sentiment envers moi.


Bref, un jour, dans une semaine comme les autres, je venais de terminer mon boulot et j’avais programmé une séance au hammam avec une copine. J’en avais vraiment besoin mais ma copine était retenue par une affaire personnelle. Je ne me voyais pas aller seule au hammam donc je me suis décidée à rentrer chez moi. Après un court trajet, je ressentis le bonheur de franchir la porte de mon ascenseur et de retrouver mes enfants. Je mis donc la clé dans la porte et j’entrai dans mon appartement. Surprise, pas de cri d’enfants, j’appelai Faustine mais pas de réponse. Je pensai alors qu’elle est sortie et je me suis dirigée vers ma chambre. Alors que je me rapprochais de la porte, j’entendis de légers bruits provenant de la chambre. Ces bruits s’apparentaient à des gémissements. Curieuse, je me suis approchée et j’ai ouvert discrètement la porte. Ce fut un choc pour moi !


En effet, Faustine se tenait sur le lit, totalement nue, jambes écartées, dans une position totalement impudique. J’avoue maintenant être restée un certain moment sans réaction, à la merci d’être découverte. J’étais à la fois ébahie, troublée voire choquée par le spectacle qu’elle m’offrait. Elle ne s’était même pas rendu compte de mon arrivée. Je n’arrivais pas à détacher mon regard de ce spectacle. J’étais totalement envoûtée par ce corps de jeune fille, presque parfait duquel émanait une terrible sensualité. Je n’avais jamais vu d’autres femmes se masturber. Elle tenait l’un de ses seins de la main gauche et le malaxait. Avec son autre main, elle se caressait. Son pouce titillait son clitoris pendant qu’elle se pénétrait avec deux autres doigts. Elle poursuivit sa masturbation, alternant entre une pénétration de ses doigts, une caresse de son clitoris et une palpation de ses seins. Je ressentis assez rapidement une chaleur au niveau de mon entrejambe. Je guidai donc ma main vers mon string. Celui-ci était trempé. Je trouvai mon clitoris dressé par l’excitation. Je mordillais mes lèvres durant mes caresses car le plaisir commençait à monter. Dans une espèce de transe rythmée par les gémissements de plaisir de Faustine, que je ne regardais plus, je fermai les yeux pour profiter.


Toujours debout devant la porte, je fus obligée de mordre ma main pour retenir mes gémissements. À en croire les bruits de Faustine, elle ne devait pas être loin de l’orgasme. J’accélérai donc mes caresses pour arriver moi aussi à l’orgasme. Celui-ci fut puissant. Comme une vague d’énergie parcourant tout mon corps, me tétanisant debout alors que Faustine essayait elle aussi, de se remettre d’un puissant plaisir.

Je me suis ensuite éclipsée et je suis sortie de l’appartement, à la fois pour ne pas être surprise que pour revenir à moi.


Lorsque je suis revenue un quart d’heure plus tard, Faustine s’était rhabillée. Rien ne laissait paraître de cet émoi qu’elle et moi avions connu à distance. Je me sentais presque honteuse de ce que j’avais fait. Elle a remarqué mon trouble. Il faut dire que je ne pouvais la regarder dans les yeux. Elle m’a demandé si j’allais bien. J’ai réussi à esquiver la question en prétextant une journée difficile. J’en ai profité pour aller prendre une douche afin de me calmer. Mon sexe était toujours en feu malgré l’orgasme que j’avais connu quelques minutes plus tôt.


Après cet épisode pour le moins troublant, mon quotidien n’était plus vraiment le même. Une frénésie sexuelle s’est emparée de moi. Je n’arrivais pas à oublier les images de Faustine se caressant, qui étaient gravées dans ma mémoire. Je me masturbais sans cesse et lorsque mon mari était à la maison, je lui demandais toujours de faire l’amour. Cependant, rien ne semblait pouvoir me combler.


Chaque fois que je le pouvais, je passais le plus de temps possible avec Faustine. Juste pour la regarder, sentir le parfum qu’elle portait, discuter avec elle. Je ne me sentais bien qu’avec elle. Notre relation évolua ainsi d’employeur/employée à amies. Je sentais que nous nous rapprochions mais sans jamais oser avouer nos sentiments.


Un jour, tout changea. Faustine sonna à ma porte. Je vins lui ouvrir et l’accueillis.



Le dîner se déroula normalement, même si je l’avais un peu fait durer. J’allais débarrasser la table lorsque Faustine me proposa de m’aider à effectuer la vaisselle. C’est durant cet instant que ses doigts effleurèrent ma main. Ce simple contact m’électrisa. Ce geste était-il une avance ? Elle ne mit pas longtemps à répondre à ma question puisqu’elle me prit la main et avança ses lèvres vers les miennes. Avant même que je n’aie pu réagir, elle m’embrassa d’un timide et tendre baiser. Sans réaction de ma part, elle revint à la charge en m’embrassant à nouveau mais cette fois-ci son baiser était plus fougueux. Je desserrai les lèvres, ce qui lui permit d’accéder à ma langue. Ce baiser ne dura pas très longtemps mais ces quelques secondes me paraissaient une éternité, un bonheur tant recherché. Elle se détacha un peu de moi, un sourire sur les lèvres.



Pour confirmer mes propos, c’est moi qui me rapprochai d’elle pour l’embrasser. Mes mains parcouraient son corps, caressant aussi ses cheveux. Ce geste était très sensuel pour moi, traduisant une grande douceur. Je commençais à m’habituer à embrasser cette fille et j’ai donc décidé de passer à la vitesse supérieure.


J’ai retiré son haut, dévoilant le joli soutien-gorge maintenant ses seins. D’une main, je caressais la naissance de ses seins pendant que je couvrais son cou de baisers. Elle continuait de me caresser les cheveux pendant que sa main gauche descendait le long de mon dos pour arriver sur mes fesses. Elle me demanda de retirer mon tee-shirt, ce que je fis immédiatement. Elle profita de ce répit pour dégrafer mon soutien-gorge. Elle se porta sur mon sein droit qu’elle empoigna d’une main ferme. Elle titillait mon téton, le suçotait, le mordillait. Souhaitant être plus à l’aise, je lui ai pris la main et l’ai invitée à rejoindre ma chambre.


La pièce était un peu en désordre, la lampe de chevet était allumée. Tout cela créait une ambiance romantique qui allait parfaitement pour l’occasion. Faustine s’installa sur le lit et commença à se déshabiller. De mon côté, je fis tomber mon pantalon au sol mais je n’osai retirer mon string. Elle aperçut mon trouble et abandonna sa jupe et son string puis se leva pour m’embrasser.



Faustine débuta sa descente en l’accompagnant de baisers sur mes seins, mon ventre, mon nombril et mes cuisses. Arrivée devant mon string, elle attrapa la ficelle puis s’arrêta.



Elle fit donc glisser le petit morceau de tissu le long de mes jambes puis le rejeta dans un coin de la pièce. De sa main droite, elle caressa le ticket de métro à l’entrée de mon sexe. Ce doux contact m’a fait sursauter. Faustine s’est relevée et m’a fait basculer sur le lit. Elle a écarté mes jambes et j’ai vu sa tête s’approcher de mon sexe. Il était temps ! J’étais littéralement trempée et je sentais bien que je n’allais pas pouvoir résister longtemps à ses caresses. Elle s’attaqua directement à mon clitoris qui était déjà dressé. En l’attrapant, elle le suça. J’attrapai ses cheveux afin qu’ils ne la gênent pas. Elle semblait radieuse, ravie de ce qu’elle me faisait. Elle passait alternativement de mon clitoris à mes lèvres. Elle explorait mon sexe, fouillant les moindres recoins.


En quelques minutes de ce traitement, elle me mit dans un état de folie. Je me cambrai, lançant mon sexe à la recherche de sa bouche, ma main dans ses cheveux, l’obligeant à ne pas s’arrêter un instant. Ma respiration était haletante et je commençai à gémir. Je sentis le plaisir monter. Ce plaisir fut rapide et intense. Je me suis cambrée, secouée par des spasmes, le corps électrifié par des décharges d’énergie. Je n’avais jamais connu un tel orgasme, pas même lorsque je me masturbais. Faustine continuait ses douces caresses, tout en se délectant de ma cyprine, en abondance. Elle est revenue à mes côtés en m’embrassant. Il m’a fallut quelques minutes pour me remettre de mon orgasme.


Après ce laps de temps, je me suis décidée à lui rendre la pareille. Seulement, je voulais prendre mon temps. J’ai donc recommencé à embrasser Faustine. Pour la faire languir, je me suis collée à elle en écartant les cuisses, frottant mon sexe chaud au sien. Elle était trempée, dégoulinante de désir. En ondulant mon corps, j’attrapai le mamelon de son sein gauche. Ses tétons étaient fermes, durcis par l’excitation et fièrement dressés. Je m’assurai de les suçoter comme elle l’avait fait pour moi. Je décidai enfin de m’occuper de son sexe en approchant mes doigts de ses lèvres. Je n’eus aucun mal à la pénétrer tant elle mouillait. Elle gémit lorsque j’introduisis deux de mes doigts en elle. J’effectuai des va-et-vient rapides qu’elle accompagnait en ondulant le bassin. Ne voulant pas qu’elle jouisse ainsi, je retirai mes doigts. Sa réaction fut immédiate.



C’était le signal que j’attendais pour la mener à l’orgasme. Je me suis approchée de son sexe. Jamais je n’avais vu le sexe d’une autre femme d’aussi près. Il était magnifique. Elle était presque entièrement épilée. Un mince rectangle de duvet blond partait au-dessus de son sexe. C’était très doux à caresser. Ses lèvres étaient de petite taille mais bien proportionnées par rapport à son sexe. Son petit clitoris se dressait fièrement. Je me suis amusée à le titiller avec le bout ma langue et à frotter ses lèvres avec ma main droite. Ce traitement la mettait en transe. Elle gémissait tout en bougeant son bassin, incapable de tenir en place. Soudain, ce fut l’explosion. Elle se cambra pendant que je me délectais, recueillant le fruit de son plaisir. J’avais l’habitude de goûter ma mouille lorsque je me caressais. Sa cyprine avait un très bon goût.


Faustine se remit rapidement de l’orgasme qu’elle venait d’avoir et semblait d’avis de recommencer tout de suite. De mon côté, l’excitation était remontée en me frottant à elle et en la voyant prendre son pied. Nous décidâmes donc de remettre ça. Elle m’attrapa la jambe, basculant sur elle pour positionner mon sexe au niveau de sa bouche. Je recommençai mes caresses sentant en même temps sa langue s’immiscer de nouveau en moi. Cette fois-ci, je décidai d’accompagner mes caresses buccales par une pénétration de son sexe par trois de mes doigts. Faustine en profita pour introduire un doigt dans mon petit trou. Je fus agréablement surprise par cette sensation car, bien que n’appréciant pas la sodomie, j’aimais cette intrusion dans mon anus. Je sentis que nous n’étions plus loin de l’orgasme et j’accélérai le rythme de la masturbation. Faustine a joui en premier, explosant dans mon sexe. Cette sensation m’a fait venir à mon tour.


J’étais lessivée par mes deux orgasmes mais heureuse d’avoir connu ce bonheur. Je me suis rallongée aux côtés de Faustine, la prenant dans mes bras, caressant son visage et ses cheveux. Je lui ai alors dit que je l’aimais et elle m’a répondu par un tendre baiser. J’étais véritablement tombée amoureuse de cette fille.


Nous n’avons pas beaucoup dormi cette nuit-là. J’ai cherché à découvrir toutes les parties de son corps. Faustine et moi sommes devenues amantes. Nous profitions de chaque déplacement de mon mari pour satisfaire nos désirs. Nous sommes restées ensemble durant un an mais nous avons dû nous séparer car elle devait partir ailleurs pour ses études. Je n’oublierai jamais le bonheur que nous avons connu toutes les deux.