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n° 14412Fiche technique17531 caractères17531
Temps de lecture estimé : 10 mn
21/05/11
Résumé:  Nous sortons passer un moment dans un pub. Kris met le feu et se retrouve aux prises avec trois hommes charmants, avec mon assentiment.
Critères:  fhhh boitenuit exhib fellation double sandwich fsodo
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
L'incendie

L’ambiance du pub était calme, feutrée, propice à de délicieux instants de quiétude. Dans ce cadre exotique, c’est avec un plaisir toujours renouvelé que les habitués savouraient de subtils cocktails, confortablement installés dans des canapés de rotin, intimement regroupés autour de petites tables basses. Seul un halo de lumière douce animait ces emplacements, irisant les boissons étranges.


Je poussai la porte, nous fûmes accueillis par le propriétaire, attentif à sa clientèle. Nous avions pour habitude de terminer ainsi nos soirées dans le calme de cet endroit paradisiaque.


M’effaçant devant Kris, je la laissai embrasser nôtre hôte que nous connaissions depuis de longues années, lui serrai la main à mon tour. À cette heure tardive, seuls trois hommes, dans un angle discret, bavardaient tranquillement. Ils semblaient approcher la cinquantaine, élégants, souriants, ils suivirent du regard Kris qui, passant devant eux, s’arrêta à une table d’angle, à quelques pas de la leur.


Admiratifs, ils avaient cessé de parler, savourant la vision des jambes fuselées, de la silhouette délicieusement désirable qui venait mettre un peu de vie et de rêve dans ce petit univers idyllique. Kris prit place face à eux.

Dans son geste pour s’asseoir, la courte jupe de son tailleur sobre découvrit ses jambes au galbe parfait, offrant aux trois hommes le charmant tableau d’une cuisse gainée d’un bandeau d’arabesques sombres. Une mince bande de peau claire, entre le tissu et la dentelle leur prouva, si besoin était, qu’elle portait des bas.


Assis à côté d’elle, je l’écoutai babiller en riant, heureuse, enjouée. Nos cocktails servis, nous poursuivîmes notre discussion. Parfois, le rire cristallin de Kris perlait comme une bulle de champagne.

Nos voisins de table discutaient eux aussi à nouveau mais leurs regards ne quittaient que rarement la silhouette de ma chère épouse. Quand elle ôta la veste de son tailleur, ils se turent brusquement.

Je souris en surprenant le regard des trois noctambules et je me tournai vers Kris. Son chemisier de soie claire et légère laissait deviner sa poitrine ferme, orgueilleuse, libre de tout soutien sous le léger tissu. Maintenant nos voisins la déshabillaient littéralement du regard.



Un sourire gourmand éclaira le visage de Kris. Elle jeta un coup d’œil vers les hommes qui l’admiraient maintenant ouvertement puis se pencha vers moi, déposa un léger baiser sur ma joue et murmura :



Puis elle se leva, se dirigea vers les toilettes, passant lentement devant les trois inconnus avec une légère ondulation des hanches pleine de provocation.

Je savourai une gorgée d’alcool tout en observant les trois hommes en souriant. Ils parlaient à voix basse mais j’étai persuadé qu’ils commentaient la beauté de Kris.

Un instant plus tard, elle ressortit des toilettes qui se trouvaient derrière eux. Elle m’adressa un petit signe, un large sourire aux lèvres avant d’avancer puis de s’arrêter à la hauteur de la table des trois compères.


Je la vis se pencher vers le premier homme qui venait de lui adresser la parole, lui répondre sans que je comprenne ce qu’ils se disaient.

Quelques secondes plus tard elle se redressa et, toujours souriante, me rejoignit. Au lieu de s’asseoir, Kris se pencha au-dessus de notre table, tournant le dos aux inconnus. Je compris avant qu’elle ne parle que l’incendie était allumé !

Sous mes yeux, le chemisier de soie dont deux boutons avaient innocemment cédé ( ?) baillait largement sur sa fabuleuse poitrine, offrant la vision de deux globes de chair ferme et soyeuse d’un érotisme affolant.



Nous nous sommes dirigés vers la table des trois hommes. Ceux-ci se levèrent. Chacun se présenta gentiment. Ils invitèrent Kris à prendre place au centre du canapé. Moi, je m’assis dans un fauteuil face à elle tandis que deux des hommes s’asseyaient de part et d’autre de Kris et que le troisième choisit un fauteuil à côté de moi.

Encadrée ainsi, elle répondit gaiement aux questions des inconnus. Puis nous avons goûté les cocktails que venait de nous apporter le propriétaire.

Kris, dont l’alcool avait rosi les joues, riait aux plaisanteries de nos hôtes. Je participai à la conversation et j’éprouvai un réel plaisir à voir mon amour épanouie, heureuse, faire l’objet d’une cour agréable de la part de ses voisins.


De nos fauteuils, le troisième homme et moi pouvions admirer les jambes découvertes très haut par sa courte jupe, sa poitrine qui faisait saillir le tissu de son chemisier lorsqu’elle riait. La conversation prit une tournure particulièrement sensuelle quand son voisin de gauche lui demanda si elle portait des bas.



Langoureusement adossée dans le canapé profond, elle semblait ainsi offerte aux regards et aux caresses, les jambes croisées largement dévoilées, la poitrine saillante, la tête rejetée en arrière.

Nous la vîmes frémir lorsque l’homme qui venait de parler posa la main sur une cuisse ronde, presque à la limite du bas sombre. Kris ne chercha pas à échapper au contact de la main ferme et douce.

Lentement, les doigts de l’inconnu se mirent en mouvement, repoussant le tissu de la jupe jusqu’au bord de la large bande de dentelle où ils jouèrent longuement sur les arabesques affriolantes avant de glisser, plus lentement encore, sur la peau satinée.



Kris, les yeux mi-clos, décroisa les jambes dans un crissement soyeux.



Si mon voisin et moi-même restions immobiles, spectateurs ravis et attentifs, son second voisin n’était pas resté inactif. Une main nonchalamment posée sur le dossier du canapé, derrière la tête de Kris, vint frôler son épaule, glissant sur son chemisier.



En effet, l’étoffe souple venait de glisser, découvrant une épaule ronde puis le globe fabuleux d’un sein lourd, ferme, à la pointe déjà durcie de désir, sur lequel la lumière diffuse posait des reflets dorés.



Dans le même temps, elle posa les mains sur les virilités qui tendaient le tissu du costume des deux hommes. Ses paroles, son geste déclenchèrent la réaction des deux inconnus. Sous mes yeux et ceux de mon voisin, ravi, une bouche avide se posa sur le sein dénudé.

Le chemisier glissa encore et sa superbe poitrine enfin totalement découverte s’offrit aux caresses enflammées. Son second agresseur se redressa, ouvrit lentement le compas des jambes fuselées et une bouche vorace, experte, se plaqua sur la fine toison, arrachant un petit cri à mon épouse. Maintenant, Kris haletait, gémissait, son corps se tordait sous les caresses, son bassin ondulait.



Les jambes largement ouvertes, passées sur les épaules de son agresseur, elle offrait en toute impudeur sa vulve bouleversée à la langue habile qui la fouillait et à nos regards. Soudain, dans un feulement rauque, les mains crochetées dans les cheveux de l’homme, le corps tendu comme un arc, elle jouit violemment, longuement.

L’inconnu se redressa puis, d’un geste preste, se dégrafa, offrant au regard chaviré de plaisir de mon épouse un pieu de chair énorme, fièrement dressé en avant de son ventre musclé.

Il reprit place à côté d’elle, à demi allongé sur le canapé, tandis que son camarade abandonnait la poitrine gonflée pour caresser longuement les jambes découvertes, le ventre encore frémissant de leur victime consentante.


Légèrement penchée, Kris posa la main sur le membre turgescent. Ses doigts fins jouèrent longuement sur l’olisbos vivant, griffant doucement une veine gorgée de sang, se perdant dans la toison sombre qui couvrait deux bourses lourdes, avides de caresses et de plaisir.

Puis, d’un geste toujours aussi lent, exaspérant, elle découvrit un gland monstrueux, large, épais et luisant. Spectateurs subjugués, nous retenions maintenant notre respiration, les yeux fixés sur la main qui coulissait sur la virilité palpitante.

Nous avons vu le visage de Kris s’incliner, ses lèvres pulpeuses effleurer le monstre de chair avant de s’ourler délicatement autour du pieu pour l’engloutir millimètre par millimètre avec gourmandise.

Le corps féminin à demi dénudé, le fin visage déformé par la caresse étaient d’une beauté, d’un érotisme insoutenable.


Pétrifiés par cette folle vision nous ne pouvions détacher nos regards de mon épouse qui ondulait maintenant au-dessus de sa victime, libérant par instant la chair vibrante pour l’engloutir à nouveau goulûment.

Elle dévorait son partenaire avec fougue, comme si elle pouvait jouir de cette possession buccale. Mais l’homme s’arracha de sa tortionnaire pour la saisir par les hanches et la soulever littéralement au-dessus de son ventre sur lequel elle s’enfourcha avec lenteur, s’empalant profondément sur le membre luisant, étouffant une plainte sourde.

Elle se lança alors dans un ballet effréné de tout son corps. Son ventre, ses reins cambrés s’agitaient sur la virilité qui la fouillait délicieusement. Ses seins oscillaient comme deux fruits mûrs, prêts à être cueillis.


L’atmosphère plus que sulfureuse nous secoua. L’homme qui avait découvert la poitrine de Kris, encore assis au bord du canapé, se leva, libérant à son tour un sexe imposant. Sa virilité n’avait rien à envier à celle de son camarade, fiché dans les chairs féminines.

S’approchant dans le dos de Kris, il reprit possession des seins lourds, frôlant les reins cambrés de son sexe dressé. Kris frémit brusquement, sans cesser de se tordre sur son amant. Son regard croisa le mien.



Alors, le regard à demi révulsé toujours accroché au mien, elle s’inclina sur le torse de son partenaire, cambra les reins, offrant sa croupe ronde à l’homme dans son dos. Elle ne put retenir un cri quand le sexe puissant força lentement ses reins.

La douleur, vite estompée par le plaisir de cette nouvelle possession, elle recommença à se tordre entre ses deux amants. Elle sentait les deux hommes se heurter en elle délicieusement.

Elle eut un dernier regard pour moi qui lui souriais toujours puis s’abandonna aux délices de l’amour. Elle gémissait, prononçait des mots sans suite, la tête et les seins ballants, empalée, fouillée avec ardeur par ses deux délicieux tortionnaires.


Je me suis penché vers mon voisin qui était encore assis à côté de moi, admirant la scène indécente.



Avec un sourire gourmand, l’homme se leva pour s’approcher du trio. Lui aussi caressa avec volupté et une certaine fébrilité la poitrine de mon épouse.

Kris, dans un état second, tendit la main vers la bosse qui ornait le costume du nouveau venu. Celui-ci se libéra à son tour. Un instant plus tard, une nouvelle colonne vivante, orgueilleuse, se dressa fièrement devant les yeux de Kris, torturée de plaisir.

Il s’avança, debout, frémit au contact de la bouche de mon épouse avant de se glisser avec volupté dans l’écrin soyeux des lèvres tièdes.

Comblée, prise ainsi totalement, Kris se livra sans retenue, abandonnant son corps splendide aux longues vagues de plaisir qu’elle sentait monter en elle.


Brutalement, son dernier partenaire se raidit, tenta d’échapper aux lèvres démentielles. Mais Kris l’engloutit plus profondément et il se répandit en longues coulées dans la gorge offerte tandis que ses deux compagnons explosaient en chœur, inondant le ventre et les reins de leur victime consentante de sève brûlante.


Dans un ultime sursaut, Kris jouit violemment, une longue et sourde plainte fusant entre ses lèvres, avant de s’écrouler, inerte, entre ses deux amants.


Les trois hommes, à tour de rôle, couvrirent pendant de longues minutes le corps abandonné de lentes caresses. Puis, ayant retrouvé une tenue plus présentable, ils reprirent leur place respective avant que Kris ne reprenne totalement ses esprits.

Elle s’ébroua, se leva pour disparaître dans les toilettes. À son retour, nous l’avons accueillie avec de grands sourires. Elle se pencha vers moi et m’embrassa légèrement avant de reprendre place dans le canapé.


Seuls les larges cernes sous ses yeux témoignaient des fougueux instants qu’elle venait de vivre. Splendide, repue, épanouie, elle trempa les lèvres dans sa boisson puis se laissa aller en arrière avec volupté.



L’homme à sa droite répliqua :