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Le grand soir

Jessica et moi sommes ensemble depuis quelques mois. Lorsque nous nous sommes rencontrés le monde du libertinage lui était totalement étranger ; sans être un expert, ce n’était pas mon cas. Je l’ai initiée, progressivement. Sa personnalité s’est rapidement révélée ; elle aime cet univers au delà de mes espérances.

Le récit qui suit relate notre quatrième incursion dans un établissement libertin parisien. Tout y est vrai, rien n’a été inventé. C’était au mois de mars dernier, un vendredi soir. Après un verre pris au bar de la discothèque, nous nous sommes dirigés vers les fameux coins câlins que l’on retrouve dans toutes les boîtes libertines dignes de cette appellation. Il y avait du monde, ni trop, ni trop peu. Après avoir joué les voyeurs dans les différentes salles dédiées au plaisir, nous nous sommes posés dans une des pièces à l’éclairage tamisé et au décor baroque. Voici ce que nous avons alors vécu :

Nous sommes l’un contre l’autre en appui sur l’un des murs de cette chambre des plaisirs. Un couple s’approche. Ils sont tout près, dans la même position que nous. La main de l’homme, légèrement hésitante, vient se poser sur la cuisse de Jess. Les deux jeunes femmes échangent un regard appuyé, leurs langues ne tardent pas à s’entremêler et c’est Jess qui ouvre le bal. Je suis fier d’elle. Désormais plus confiant, la main de l’homme caresse maintenant le sexe de Jess. Nous changeons quelque peu de position pour mieux nous caresser. Dans un même élan nous échangeons des baisers avec nos compagnons de jeu.

J’imagine les sentiments contradictoires qui à ce moment traversent l’esprit de Jess. L’un et l’autre, nous réagissons bien ; nous sommes ici pour prendre du plaisir, le partager. Rien n’est tabou car nous sommes ensemble. En nous abandonnant à d’autres, nous nous donnons en fait totalement à nous-mêmes. Je suis doublement excité, ma compagne de jeu est plutôt mignonne et Jess semble prendre du plaisir, ce qui à mes yeux est le plus important.

Je l’observe tout en caressant ma belle inconnue. Sa langue se mélange à celle de son cavalier pendant que ses hanches bougent pour mieux apprécier ces doigts qui s’enfoncent en elle. Son ventre est attiré, tel un aimant, par le sexe du type qu’elle devine gonflé de désir. Jess et la jeune femme échangent des baisers et des caresses, Jess en profite au passage pour me donner sa bouche, nos langues se mêlent furtivement.

La jeune femme se met à genoux et me prend dans sa bouche, douce sensation. Jess l’imite, taquine le gland de son amant, glisse sa main sous les testicules et fait disparaître la bite entre ses lèvres. Elle le suce à la fois avec ardeur et douceur. J’adore ces moments-là, je lui caresse la tête et le visage pendant qu’elle imprime un mouvement de va-et-vient avec sa bouche. Je suis très excité par le spectacle qu’elle m’offre, je veux la voir s’abandonner totalement à cet homme.

À certains moments, les deux jeunes femmes me prennent en même temps dans leur bouche en prenant soin de bien mêler leurs langues ; plaisir indicible. L’autre homme a droit au même traitement, il est aux anges. Jess me semble vraiment à l’aise, prête à vivre pleinement cette expérience, sans retenue. Nous finissons par nous allonger sur le lit qui nous fait face. Un couple s’y trouve encore mais nous laisse la place au bout de quelques instants.

Rapidement nous sommes nus. Jess est entièrement entre les mains de cet autre homme et je suis, de mon côté, avec sa compagne. Ce moment est très excitant ; Jess et moi échangeons de brefs mais très complices regards. Nous sommes tout près l’un de l’autre et nous nous apprêtons à faire l’amour à deux parfaits et charmants inconnus. J’observe Jess, j’ai du mal à tout voir mais je devine que les mains et la langue de l’homme la fouillent partout, s’introduisent dans sa plus profonde intimité. Je devine, plus que je ne vois, les doigts dégoulinant du liquide d’amour de Jess. Je sens à son attitude qu’elle est très excitée.

Je le suis également mais étrangement, la jeune femme pourtant mignonne qui m’abandonne totalement son corps ne me provoque pas une bonne érection. C’est étrange, peut-être son comportement d’habituée la rend moins attirante. Je crois que le spectacle que m’offre Jess m’excite plus que ma maîtresse.

L’attitude de Jess me confirme bien qu’elle est très excitée. Son amant sort un préservatif. Je crois qu’une vague de désir l’envahit alors, elle offre ses fesses. Ce moment est extraordinaire, je croise le regard de Jess : un voile de désir embue ses yeux. Je crois que nous échangeons un sourire. Elle tend ses fesses et cambre ses reins. Habituellement, c’est moi qui la prends alors, là cependant, et alors même que je me trouve si près, ce sont les mains d’un autre qui viennent écarter ses fesses et dévoiler ses plus intimes orifices, c’est la queue d’un autre qui s’enfonce dans le vagin de ma Jess, trempé de désir. Je sens que Jess est folle d’excitation, j’espère que cet inconnu va lui procurer du plaisir.

Le type commence ses va-et-vient, Jess tourne la tête vers moi, cette fois c’est sûr, elle me sourit, elle semble me dire « regarde-moi, mon plaisir est ton plaisir, notre plaisir, et là, je vais y aller à fond, pour toi, pour moi, pour nous » et elle ne se trompe pas : je suis subjugué par le spectacle qui va crescendo. Jess accompagne, amplifie les coups de reins de son amant, tout son corps va à la rencontre de cette queue qui la pénètre au plus profond. À chaque coup de boutoir, ses seins balancent majestueusement. À certains moments, le type s’aide de ses mains pour écarter au maximum les fesses de Jess et mieux s’y enfoncer.

Mes yeux ont du mal à se détacher de la chatte de Jess, largement ouverte et mouillée pour accueillir son amant. Magnifique spectacle que cette queue qui pénètre et ressort de son sexe plus ou moins vite, plus ou moins fort, selon le rythme imprimé par cet inconnu à ma chérie. Je prends ma maîtresse dans la même position mais je dois avouer qu’elle ne m’excite pas plus que ça. Les deux jeunes femmes s’accrochent aux barreaux qui entourent le lit. Jess doit être vraiment excitée, elle semble s’abandonner totalement à ce plaisir des corps ; à travers les barreaux, j’aperçois un couple qui se positionne face à Jess.

Très vite, tout en continuant de se faire prendre en levrette, Jess lèche et caresse ces deux nouveaux partenaires de jeu. Ma Jess se retrouve un instant avec une bite au fond de sa chatte et une autre queue, qui ne doit demander qu’à se vider, au fond de sa bouche. Elle m’avouera un peu plus tard que l’homme n’avait pas joui mais qu’elle aurait aimé à ce moment qu’il se déverse dans sa bouche, sur son visage.

Comme j’aimerais filmer la scène et nous la repasser plus tard dans l’intimité, en lui faisant tendrement l’amour. Puis, moment sublime, l’homme qui la prend en levrette sort de son vagin, je vois un instant sa queue luisante du liquide de Jess. Je n’en suis pas sûr mais, Jess me le confirmera plus tard, l’homme présente son gland sur l’anus de Jess et, avec précautions, finit par s’y enfoncer. Après quelques mouvements difficiles, Jess se détend, les muscles de son anus se décontractent et la queue de son amant commence alors à aller et venir entre ses reins avec aisance.

Dire qu’elle me dira s’être alors inquiétée de mes pensées. Je l’ai moi-même sodomisée il y a moins de deux mois, elle m’a avoué que c’était sa première fois. Tout en continuant laborieusement à m’occuper de ma compagne de jeu, j’étais subjugué par le spectacle que m’offrait Jess. Ma Jess était en train de se faire bel et bien, très bien même, enculer par un inconnu qui ne la ménageait pas dans ses coups de boutoir, s’enfonçant bien profond dans son cul à chaque mouvement. J’aurais voulu à ce moment précis prendre son visage dans mes mains, la rassurer, l’embrasser, l’encourager à aller le plus loin possible dans le plaisir, dans la jouissance. J’aurais aimé mieux sentir son corps secoué par cette queue qui la fouillait au plus profond, par cet homme qui s’était emparé d’elle et qui s’apprêtait à jouir, à se vider dans ma Jess. Je pensais que l’homme allait jouir dans son cul, j’aurais trouvé ça très excitant, mais finalement il s’est retiré.

À ce moment je crois, si mes souvenirs sont exacts, Jess est venue vers moi, nous avons échangé des baisers qui aussitôt ont fait monter en moi le désir, tandis que je m’agitais dans le sexe de ma belle inconnue. Moment également très subtil, embrasser tendrement Jess pendant que je faisais l’amour à cette jolie jeune femme, et voir Jess également mêler sa langue à celle de ma complice. Puis soudainement l’homme reprend Jess, en levrette, tous deux sentent que le plaisir arrive, l’homme accélère ses va-et-vient, Jess est remuée dans tous les sens. Je devine qu’elle fait de son mieux pour accompagner son amant vers le plus doux des plaisirs. Je lui caresse tendrement la main. J’observe ce bel instant, j’y prends un plaisir immense. Tous les muscles de l’homme se tendent, ses mains s’accrochent aux hanches de Jess, puis de violents spasmes s’emparent de lui, il éjacule violemment, par longue giclées dans la grotte d’amour de ma Jess.

J’imagine ce qu’elle ressent. Elle accompagne sa jouissance jusqu’au bout et enfin lui tend ses lèvres pour un doux baiser, c’est beau. Dernier plaisir mais non des moindres, j’observe cette queue qui se retire lentement du sexe de ma Jess, le préservatif que l’homme dégage de sa bite est gorgé de sperme, une goutte est encore en suspend sur son gland violacé par le plaisir. Un court instant encore en position levrette, j’entrevois le vagin de Jess, trempé, ses grandes lèvres, son clito, gonflés et rouges, sa chatte est bien ouverte par la queue qui en sort. J’aimerai la lécher, la pénétrer à mon tour, mais… ce sera pour tout à l’heure.

Nous nous rhabillons, échangeons un dernier au revoir avec nos amis. Jess m’embrasse et me tend ses mains. Je l’aide à se relever, inutile de parler, nous nous sourions. Je suis fier de ce qu’elle a fait ce soir. Je serre sa main un peu plus fort. Je suis impatient de lui faire l’amour tendrement. J’espère au fond de moi que nous aurons l’occasion de vivre de nouvelles expériences, aussi fortes, sinon plus fortes en sensations. Mais pour l’heure nous rentrons et faisons un gros câlin, tous les deux, sous notre couette.