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Temps de lecture estimé : 12 mn
25/05/11
Résumé:  Mon couple n'est plus assez porté sur le sexe. J'en parle a Manuella et...
Critères:  ffh fbi couple grosseins intermast facial fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo -couple+f
Auteur : OphelieEtMax            Envoi mini-message

Série : Ophelie et Max

Chapitre 01
Manuella

Je m’appelle Ophélie, j’ai 24 ans…


Mon mec est un beauf, foot, jeux vidéo, bières et potes sont ses activités favorites. Pour mon anniversaire, il m’a offert un pendentif « ballon de foot », avec une semaine de retard. Malgré tout, je l’aime, je me souviens de nos premiers émois, il y a quatre ans déjà… Attentionné, il m’a surprise…


Au lit, oui, il faut le dire, Max est une bête de sexe, tendre, attentionné, endurant et bien monté, à chaque dispute suffit sa réconciliation et c’est un as de l’oreiller. J’ai connu quelques mecs avant lui, avec certains le câlin était sympa mais avec lui, c’est autre chose. Une nuit où j’avais fait sa valise pour le renvoyer chez ses parents, il m’a fait jouir six fois avant de me laisser dormir. Mais, depuis quelque temps, nous ne le faisons pratiquement plus. Pourtant j’essaye de l’émoustiller, avec des tenues coquines ou des attitudes équivoques, mais il est souvent fatigué ou énervé…


On est mardi, j’ai passé un week-end de merde… Repas chez la belle-famille samedi midi qui traîne jusqu’à la soirée, match de champion’s league le soir. Dimanche réveil à 13 h, et PlayStation ! J’ai la rage ! Mon portable sonne… Manuella, ma meilleure copine… L’occasion de me lâcher un peu sur mon mec ! Une terrasse ce midi entre filles ? Super !


12 h 15, nous sommes en terrasse, je prends un kir, elle un martini…



La coquine, elle sait qu’en fait je ne suis avec lui que pour ça…



Rien que d’y penser j’en frémis, si elle y goûtait, elle ne me le rendrait plus… Je ne sais pas combien de mecs elle s’est tapés cette année, mais assurément ça me fait froid dans le dos. Max, ça lui plairait, j’en suis sûre, une nympho pareille ! D’ailleurs, c’est pour ça que je ne vois jamais Manuella avec Max, trop peur des dérapages.



Manifestement mon esprit a vagabondé et je n’ai pas la moindre idée de ce qu’elle a proposé. Machinalement :



Merde, qu’est-ce que j’ai fait…



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19 h 25 : Ça sonne. Merde, elle est carrément en avance ! Je suis en train de me maquiller, c’est Max qui va ouvrir.


La voix de Manuela :



Pas de réponse… Le silence dure… Je sors de la salle de bain, voir ce qu’il se passe. C’est pire que ce que j’imaginais : caleçon en cuir, talons, bustier qui met en valeur ses énormes seins. Max est bouche bée, elle le regarde du pas de la porte attendant un signe pour rentrer, mais il est hypnotisé.



Il sort de sa torpeur, et s’écarte balbutiant un :



Cet âne de Max ne s’est toujours pas remis. Il reste prostré au fond du canapé, il regarde la table basse car il sait que je serais vexée qu’il la mate sans vergogne. Pourtant, j’arrive à capter certains de ses coups d’œil.


Pour ma part, ne voulant être en reste, j’ai revêtu mon arme fatale ! Une robe longue asiatique de satin rouge, fendue sur le côté jusqu’au haut de mes cuisses. Autant dire que Max a chaud, très chaud.


J’y pense, j’ai oublié de nous décrire. Max n’est pas très grand, 1,75 m, très bien fait, tablettes, pecs, tout y est, les cheveux bruns, courts, les yeux verts, le visage un peu anguleux, mais c’est un beau mec. Comment ? Son organe ? Eh bien, d’une bonne taille. Ce n’est pas que je sois une foldingue des mastodontes, mais il faut de la matière tout de même pour s’amuser. Une petite vingtaine de centimètres, assez épais, suffisent à mon bonheur.


Et moi ? Je suis blonde, mais lâchez-moi avec vos stéréotypes sur les femmes de footballeurs. Je ne suis pas très grande avec mon mètre cinquante-huit, les yeux marron – oui, je ne peux être parfaite – la taille fine, les fesses rebondies, il me manque une ou deux tailles de bonnet pour correspondre à l’archétype de la bombe sexuelle, mais mon 85B se tient bien et mes tétons nerveux suffisent à mon Maxou.


Manuella ? Bande de gourmands, la brune sculpturale, vous voyez ? 1,76 m, les cheveux longs légèrement ondulés, fine aussi, un cul de déesse monté sur des jambes interminables, les yeux verts, la bouche pulpeuse… Ses seins ? Énormes : 100D ou un truc comme ça, mais ce sont des faux, tout de même, la nature aurait été trop clémente.


Les heures passées à la salle de gym contribuent grandement à garder une silhouette agréable.


Manuella est en train de nous faire un compte rendu de ses dernières expériences sexuelles, je crois que Max est bandé comme un âne, son jean est tout gonflé.



Max n’en a pas perdu une miette, il ne peut détourner son regard. Je me lève pour aller chercher des glaçons pour la deuxième tournée d’apéro. Lorsque je reviens Manuella est assise sur les genoux de Max et elle lui montre son téléphone. Je suis à la fois jalouse et excitée. Ce sentiment est assez particulier, voir Manuella aguicher Max et voir Max sensible à ses charmes me révolte, mais en même temps je ne réagis pas ; quelque part, j’ai envie qu’il se passe quelque chose. Je suis comme pétrifiée. Je comprends que Manuella a fait une sorte de book-photo sur son tel, je n’ose même pas imaginer la teneur des photos que mate mon homme actuellement !


Et d’un coup tout s’éclaire en moi. De quoi ai-je envie ? De baiser. Pourquoi je n’y ai plus droit ? Max n’est plus excité. Alors que là, il est chaud comme la braise, j’ai qu’à en profiter, et le partager un peu, mais il en a suffisamment pour deux de toute manière. Et puis, Manuella me plait, si je devais faire l’amour avec une femme une fois dans ma vie, ce serait avec elle.


Je m’approche du canapé, je m’assoie à côté de Max et lance :



Max est rouge cramoisi.



Je saisis Manuella par le cou, approche se tête de la mienne et lui roule une pelle mémorable sous les yeux médusés de Max. Cela fait comme un éclair dans la tête de mon homme qui se décide enfin à sortir de sa léthargie.



Max a repris du poil de la bête, on sent qu’il veut dominer le sujet. Il dépose Manuela à côté de moi et se lève. Il ouvre son pantalon, le laisse glisser et descend son caleçon. Son sexe se dresse fièrement devant nous. Manuela me regarde et me dit :



Oui là, je le reconnais bien, il aime se faire avaler, ça le fait triper. Perso le goût ne me dérange pas, alors je le fais sans rechigner. Je pense que j’ai un petit avantage sur Manuella pour le coup. Je connais bien le membre de mon homme.


Manuella se tourne vers moi et tout en saisissant le membre de Max me dit :



Et elle lève le sexe de Max, place sa langue sur ses couilles, et remonte doucement. Arrivée au gland, elle le flatte du bout de la langue avant de l’enfourner goulûment. Madame est experte, sa main gauche sur une fesse de Max le maintient en position, la droite sur le sexe donne le rythme, et sa bouche l’active, j’imagine que sa langue n’est pas en reste. En tout cas Max apprécie. J’ai fort à faire parce que Manuella fait fort d’entrée. Je ne sais pas si elle ne va pas le faire gicler avant que j’aie pu le goûter. Sa main gauche s’est déplacée, elle soutient les bourses de Max maintenant, elle passe en dessous, son majeur caresse l’entrejambe de mon homme, j’ai jamais eu l’idée de faire ça, et vu le souffle rauque de Max, ça fait son effet, l’enfoiré va tout lâcher. Ses mains attrapent la chevelure de Manuella, il la plaque contre son bassin, qu’elle le veuille ou pas, elle va manger… Eh ben, ça aussi elle sait faire, elle a tout aspiré, rien perdu, finalement, ça va être dur de passer après elle, je vais avoir du mal à avoir le premier coup de bite, elle a placé la barre très haut.


Max se tourne vers moi, à la fois rouge et penaud, penaud de me tendre une mi-molle qui a déjà lâché la purée. Mais qu’à cela ne tienne, je ne vais pas me laisser faire. Je me lève, en me frottant au passage contre son sexe, j’attrape son visage à deux mains et l’embrasse comme une folle, avec autant de passion que possible. Je descends ma main gauche pour me saisir de son engin qui commence à reprendre de la vigueur, et j’entreprends de le branler doucement… Une fois que je l’ai bien en main et que la machine est repartie, je me rassois sur le canapé. Les deux mains sur son sexe pour flatter son ego, je le branle doucement. Petit à petit, je place quelques coups de langue sur son gland, puis en continuant de l’astiquer, je le prends en bouche, et travaille délicatement son gland avec ma langue. Ça y est, il est tout à fait attentif. Je place mes mains sur son cul. À ce moment, il sait ce qui va suivre. Et j’appuie à fond, je rentre son sexe entier dans ma bouche.


Manuella voyant cela ne peut s’empêcher de lâcher :



Je réitère plusieurs fois l’opération, Max est aux anges, mais je sens que je ne vais pas arriver à le faire décharger.


Tout à coup, je sens qu’on m’embrasse dans le cou, Manuella s’est glissée derrière moi, je sens ses énormes seins dans mon dos. Ses deux mains sur mes seins, et le traitement qu’elle leur inflige fait durcir mes tétons. La sentir contre moi décuple mon excitation, et manifestement la conjugaison gorge-profonde – délire lesbien fait son petit effet sur Max.


C’est quelque chose que je n’ai jamais tenté mais que Manuela m’a conseillé, je décide t’introduire mon majeur dans l’anus de Max. Cette salope de Manuella a passé sa main dans la fente de ma robe et me caresse la chatte, je suis chaude comme la braise. Je trouve l’entrée et m’engouffre en même temps que j’engloutis son membre. La réaction ne se fait pas attendre, Max se crispe, et je prends la plus grosse giclée de sperme de toute ma vie. Je manque de m’étouffer, rien ne vous prépare à ça. Je me retire et Manuella prend la seconde giclée sur le visage, elle est maculée. Voyant ça, je m’amuse et je dirige la troisième giclée sur ses seins. Être pleine de sperme, elle adore ça de toute manière.


Max me regarde sévèrement.



Je feins la contrition, mais en fait, ça m’excite. J’embrasse Manuella à pleine bouche et lèche le sperme de son visage. Je m’attaque ensuite à ses seins, que je libère de leur bustier. Rapidement mon contrat est rempli, mais je profite du magnifique corps de mon amie. Même faux, ses seins ont l’air sensibles. Ses tétons pointent, je les lèche et les pince. Je suis à présent affalée sur elle, la tête dans ses seins. Je sens Max se placer derrière nous, il tapote sa queue sur mon cul.


Manuella ne perd pas le nord.



Manuella, relève ma robe, attrape mon string et dégage ma chatte.



D’habitude, il m’aurait placé quelques coups de langue avant de me prendre, mais là ce n’était pas vraiment la peine, je suis trempée à souhait. J’ai qu’une hâte, c’est de le sentir en moi, me faire pilonner par mon monstre.


Et effectivement, monsieur se laisse aller, il présente son sexe à ma fente, me fait languir avec deux trois faux départs, et m’empale d’un coup. Je ne peux m’empêcher de crier. Il a été un peu franco pour moi, j’ai plus l’habitude d’une pénétration plus douce. Mais, une fois cette petite pointe de douleur passée, son pilonnage fait son effet. Oubliés, les seins de Manuella, je ne contrôle plus rien. Je me fais prendre comme une poupée. Putain, c’est trop bon. Manuella a fini de me retirer ma robe et lèche mes seins, ce qui ne gâche rien. Je ne contrôle plus rien. Je suis comme un pantin aux mains de mes bourreaux. Max se retire sans prévenir. Je reprends un peu mes esprits. Mais là, je le sens pointer sur ma rondelle. Le goinfre, il veut me prendre par derrière. C’est une pratique que nous avons expérimentée quelquefois mais qui ne m’a, pour l’instant, pas donné satisfaction.


Ouah, il m’a déchirée. J’ai hurlé de douleur. Autant pour la chatte, ce fut une légère pointe, autant là, ça m’a fait mal. Et il est bien au fond. Qu’il ne bouge plus, j’ai trop mal !


Manuella se dégage de mon étreinte, elle se retourne et vient se glisser de nouveau sous moi, mais cette fois tête-bêche et fait immédiatement usage de sa langue sur ma chatte. J’avoue que cette manœuvre n’est pas pour me déplaire car le délire sodomie de Max était mal engagé. Elle lance :



Max ne se le fait pas dire deux fois, et commence à me pilonner. La langue de Manuella m’a fait oublier la douleur, et je commence à sentir du plaisir à sentir Max dans mon cul. Je me mets à leur crier :



Forts de ces encouragements, ils redoublent d’effort. Et je me mets à hurler :



Cet orgasme me semble interminable. Manuella a plaqué sa langue sur mon clito, Max c’est enfoncé tout au fond de moi. Plus rien ne bouge, seul mon râle interminable anime notre trio. Je m’effondre sur Manuella. Max se retire, je sens son foutre ruisseler de mon cul, je ne l’avais même pas senti venir tellement mon orgasme fut intense.


Une fois que j’ai repris mes esprits, je me dis que pour honorer Manuella, il faudrait que nous passions tous les trois à la douche. Heureusement, nous avons fait faire une superbe douche italienne dans la salle de bain, très spacieuse. Cela nous promet un nouveau moment très torride.