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n° 14427Fiche technique18013 caractères18013
Temps de lecture estimé : 10 mn
06/06/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  De nouveau quelques phrases plus ou moins récentes qui m'ont amusé.
Critères:  humour -perles -humour
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Collection : "Best of" des phrases douteuses
"Best of" des phrases douteuses #12




Voici encore une nouvelle sélection de phrases plus ou moins récentes, qui m’ont fait sourire. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas et ne m’écrivent pas, indignés. Je sais que c’est très facile de se moquer ; d’autant plus que les phrases suivantes sont sorties de leurs contextes originaux.



***





Lui s’est installé dans le fauteuil, sa femme s’est réinstallée devant lui. Céline ma rejoint, m’a fait m’installer sur le dos.


Installation en cours, veuillez patienter.





Il a un sexe légèrement plus important.


C’est un sexe gradé.





Aline savait très bien que la sodomie me répugnait, alors qu’elle était curieuse de la chose, voulait essayer. Je savais aussi que son mec officiel était comme moi, un peu dégoûté, et pas prêt à essayer, la laissant avec cette curiosité insatisfaite en elle.


C’est chiant, tous ces mecs qui refusent obstinément d’enculer leurs partenaires qui ne demandent que ça…





Si vous voulez sauver votre pot, vous avez intérêt à faire ce que je demande.


Non ! Je vous en supplie ! Je ferai tout ce que vous voudrez mais ne touchez pas à mon pot ! Je le tiens de mon arrière-grand-mère.





Je sens son excitation monter, je l’embrasse.


Mais, manque de peau, elle me file entre les lèvres…






Bah non, quand même…

Les pipes, je ne les fais qu’à Robert. Et seul Mamadou a le droit de me pénétrer. Comme ça, quand je sais plus avec qui je baise, j’arrive à retrouver.





Je me mets à califourchon au-dessus de sa tête de la fille.


Tête fille sous bite moi. Toi comprendre ?





Pendant l’intronisation, elle geint et couine.


Elle sait pas se tenir… On a été obligé de s’en aller. C’est con, c’était sympa, cette société secrète.





– Envoie tout, je n’en peux plus.

À ces mots, mon sperme jaillit.


Sperme moi bien obéir.





– Tu as déjà couché avec une fille ?

– Oui, naturellement, répondit-elle.


Ben enfin ! C’est complètement con, de poser la question. Vous en connaissez, vous, des filles qu’ont jamais couché avec une fille ?





Je remarque également que si elle a gardé ses poils, elle a rasé ceux autours de ses lèvres et son clitoris, laissant bien apparaître son sexe. Je crois qu’on appelle cela une coupe à l’italienne.


– Bonjour madame Lamoule. Comme d’habitude ?

– Oui, bien dégagé autour du sexe et en dégradé du pubis jusqu’au bas-ventre.

– Et on fait un brushing ?

– Oui, et une couleur, s’il vous plaît.

– Très bien ; installez-vous pour le shampooing.





Je ne me pose plus beaucoup moins de question.


Toi comprendre ?





Parfois je suis comme ça, un peu salope.


Mais le reste du temps, je me tiens.





Désolé, je voulais t’apporter des fleurs mais comme nous nous sommes décidés tard, je n’ai pu t’acheter de fleurs et tous les fleuristes que j’ai croisés étaient encore fermés !


Retour vers le futur !





J’ai l’idée de recueillir dans mon sexe un peu de mes sécessions.


Oui, bonne idée !





Peu de temps avant mon arrivée, je prenais une douche.


Dans la voiture, oui. On est un peu à l’étroit, mais c’est sympa.





On verra cela l’été dernier.


Einstein et Hawking peuvent aller se faire foutre !





Certains petits sexes au repos deviennent volumineux en action et d’autres, prometteurs, ne prennent que peu de centimètres une fois dressés.


Et même, y en a des gros qui rétrécissent.





Suis-je ce qu’on pourrait appeler une jouisseuse mammaire ?


Peut-être, oui. Moi, hier, j’ai joui des pieds.





Vous pouvez m’appeler Melissa. C’est mon nom.


Et blonde, c’est ma couleur.






Oui mais deux, c’est mieux !





Il fit une pose pour me permette de digérer.


Il se mit donc debout sur une seule jambe, les bras écartés. Peu à peu, je digérai.





En plus, je la trouve humaine pour une fois ; c’est vrai qu’aujourd’hui elle est blonde.


Hier avec sa peau verte et ses écailles sur la tête, c’était moins chouette.





Marc fit de même crachant la sauce jusque sur la glotte de la jeune femme tandis que Pierre préféra jouir en la baisant. Jean prit la suite de Pierre.


Exercice : donne les noms des autres apôtres.





Elle me regarde en souriant et sa langue tourne autour de ma queue, c’est divin ! Quand je sens que le point de non-retour approche, je l’arrête et la relève, l’embrasse à nouveau. Elle me demande si je veux un café et sans attendre la réponse, se lève et va à la cuisine.



Transposition : j’étais en train de lécher Jenny, et lorsqu’elle fut sur le point de jouir, je lui demandai si elle voulait une bière et je fonçai mater le foot.





Dix ans sans sodomie ! Ça va être un régal.


Tiens, pour que ce soit encore meilleur, je vais aussi me retenir de chier quelques jours.





Une fois au fond de son cul je lui demande si ça va.


Elle se déhanche et se retourne curieusement, étonnée d’entendre une voix sortir de son anus.





Le dimanche matin, je me suis levé et suis allé faire mon petit pipi.


Et on a bien mangé ? On va faire son petit rototo maintenant ?





Main dans la main, je regardais ma petite main dans cette main.


Biiiiipp ! Overflow.





Les deux amis disposèrent de leurs amis.


Et vice-versa.

Exercice : poursuis la frise.





Nous sommes partis ensemble comme tout couple marié.


Oui, on chie ensemble, même.





Je m’assieds et elle vient près de moi, pas sur moi mais non loin.


À proximité de moi, en fait ; pas très éloignée ; pas dessus non plus, plutôt à côté ; mais pas à trop grande distance ; assez proche, somme toute.





Je voulais m’enfuir mais au lieu de ça je me suis assis sur le canapé.


Tu comprends, ma puce ? Et elle, c’est pareil, elle voulait me dire non, mais je ne sais pas ce qui s’est passé, elle s’est déshabillée en se caressant langoureusement. Tu vois, tout ça, c’est un malheureux concours de circonstances…





Mes doigts entrent en contact avec son sexe qui est allongé sur le côté.


– Bonjour. Toi sexe ?

– Hmmmm ?

– Nous doigts. Venir de la planète main. Vouloir prendre contact.

Le sexe s’étira mollement avant de se redresser peu à peu.





Je fais connaissance d’un homme de 28 ans (1m75, 70 kilos, bite normale)


À mon avis, on pourrait carrément oser comme ça : « Je fais connaissance d’une bite de 28 ans (35 cm, 7 kilos, homme normal). »





Je bande dans mon pantalon.


Ha ha ! Petit joueur ! Moi je bande jusqu’en haut de mon tee-shirt !





Là où l’intention claire se dérobe, c’est l’ingérence cachée du désir qui se dénonce. (Maurice Blanchot)


Amen.

Et total respect de placer Maurice Blanchot sur un site d’histoires érotiques !





L’homme était assez jeune et très normal, habillé comme moi.


Moi aussi je suis très normal. Vous entendez ?!? C’est vous tous qui n’êtes pas normaux !

Mais de toute façon, on s’en fout. Ce qui compte, c’est sa bite.





En arrivant, je constate que j’ai une grosse envie de faire pipi, et je cours jusqu’à la toilette. Je dis maudit on fais ca comment ?


Comme pour chier, mais c’est un peu plus devant.





Dans le bain, je me dis "allez laisse toi allez".


Prout ! Blublub ! Ha ha ha ! Prouuuut ! Blublublublub ! Ha ha ha ha ha !





Pour animer notre discussion (on dit que l’alcool délie les langues), j’ai pris soin de maintenir son verre toujours un peu rempli.


Mais cette conne a trop bu et elle s’est endormie… Je me suis encore branlé tout seul.





Je lui ai demandé de continuer. Elle a continué.


Elle gentille. Moi aimer.





Moussa me demanda de bien le faire durcir, je m’appliquai donc sur ma fellation.


En général, je fais ça n’importe comment, mais si on me demande de m’appliquer, alors là, oui, je fais un effort…





Au début des années quatre-vingt, nous passons nos vacances dans un club naturiste en Yougoslavie.


Wow ! Respect !

Et l’an prochain, j’ouvre un Mac Do en Corée du Nord…





Nous partageons avec Johan, mais aussi avec l’Antillais, quelques soirées coquines.


Lui noir. Pas besoin nom pour histoire.





Généralement après je la sodomise, parce que c’est ce qu’elle aime le moins.


Parfois, je la cloue sur une croix pour finir. Mais c’est juste pour rigoler…





L’anus ouvert garde l’empreinte de la pine.


[Vieux proverbe togolais.]





Pour mon plaisir personnel, l’Antillais a réussi à convaincre l’une de ses conquêtes, Antillaise comme lui, à se joindre à nous pour une soirée échangiste.


Remarquez, on est sympa : on leur met quand même une majuscule.





Je me demandais ce que j’allais faire de ma journée, quand j’entendis la cloche dehors. C’était la fille du boulanger.


Mais non ! Ce que je voulais dire, c’est juste qu’elle a fait sonner la cloche. Oh là là ! Qu’est-ce que vous allez imaginer…





Nathalie ne resta pas en reste.


[Contrepèterie blonde.]





Je lui demande si c’est normal que ma libido augmente et il rit et me dis tout a fais.


– Ha ha ha ! Tout à fait !

Bon… celle-là, je devrais pas avoir de mal à me la faire.

– Ha ha ha ! Je vous en prie, asseyez-vous, ouvrez votre chemisier, que je puisse vérifier tout ça…





Comme j’étais placé derrière elle, je présentais un doigt sur son sexe par curiosité.


Juste pour voir, comme ça. Pour passer le temps dans la file d’attente.

Mais, sans doute également par curiosité, elle écrasa violemment sa main sur ma joue…






(NdA : pour une meilleure compréhension de l’histoire, nous avons choisi de traduire les échanges des protagonistes. Ci-après, les dialogues originaux :

– Meeeeeuuuueeeeeuuuhhh !

– Meeuuuueeuuh ! Meeeeuuuuuuh !)





Mon excitation exacerbée me commande d’agir, j’empoigne Martha par les cheveux, la pousse vers la table de la cuisine, écrase ses seins sur le plateau et entreprend une sodomisation sauvage.


Le chef de la tribu voisine, venu là en ami pour échanger des peaux de bêtes avec notre sorcier, me regarde faire et paraît étonné.

– Ça, nouvelle invention ?

– Oui. Sorcier dire être « table de la cuisine ».

– Servir à quoi ?

– Sorcier dire « avoir réponse dans quarante mille ans ». En attendant, pour sodomisationner Martha.





On m’a toujours dit qu’à la fac, tout le monde couche avec tout le monde. J’y suis depuis presque deux mois, pourtant je n’ai toujours rien fait.


Et merde ! Même à la fac j’arrive pas à baiser !

On m’aurait menti ?

Qu’est-ce que je vais bien pouvoir essayer, maintenant ? J’ai déjà fait les boîtes, le Club Med, la fac…

Il me reste plus que l’Église ou la Politique…

À moins que… le FMI ?





Les seins de ta jolie femme sont somptueux ! Mes 22 centimètres y sont bien au chaud ! Ils ont presque disparu ! Ah je vois la tète sortie ! Tu dois faire un mètre de poitrine Jeanine ?


– Ha ha ha ! Tout à fait !

(NdA, dialogue original : Meeeeeuuuuuuuh !)





Oh mon dieu ! Je la vois. Sa queue est immense.


S’il s’approche encore un peu, je pourrais peut-être voir son visage…





Qu’est-ce que je fais ici ??? Je suis sur le point de me faire prendre par un inconnu au sexe hors norme !!! Il faut que je m’en aille !!! Mais mes jambes ne fonctionnent plus.


Aaaah ! Il a enroulé sa bite autour de mes pieds pour m’empêcher de m’éloigner !





Fiouuu… elle est immense, elle rentre très difficilement dans ma bouche, mais je sais y faire.


Ha ha ha ! Tout à fait !





Sa queue est énorme, mais elle entre quand même dans ma bouche.


Excusez-moi, madame, j’ai égaré mon éléphant. Vous ne l’auriez pas vu ?





Je lâche le précieux membre pour m’avancer lentement vers son visage et au passage de mes seins je caresse la splendide virilité de mon fougueux mélanoderme.


Heureusement, pour les incultes comme moi, il y a Wikipedia : l’expression mélanoderme (du grec μέλας : noir, et δέρμα : peau) a pu être employée dans le cadre de discours à vocation scientifique, mais également d’argumentations racistes. Bon… on va dire que là, c’était un texte scientifique…pour nous expliquer comment baisent les mélanodermes…





Ils se lèchent amoureusement leur sperme d’homme.


On précise, au cas où vous auriez cru que c’étaient des singes, hein.





Après le pipi, je constate que ma vulve est pleine de pipi.


Ha ha ha ! Tout à fait !





Je baisse les yeux pour voir ce que je fais quand je vois dans mon champ de vision les genoux de Mathilde.


Oui, je baisse les yeux pour voir ce que je fais ; j’aime bien regarder mes crottes. Que faisait Mathilde allongée là dans le tas de merde, je ne saurais le dire. Mais en la voyant dans mon champ de vision, avec mes yeux, j’ai vu que j’allais à voir la gaule.





Subitement, son corps se met à trembler, et pousse un cri assez fort.


Et soudain il explose. C’était le cri du corps mourant.

(Bon, okay, c’est nul…)





Je parcours chaque centimètre et viens titiller ses tétons. Je remarque qu’ils se dressent droit devant tels deux phares dans la nuit.


Et ses yeux brillent, tels une chape de plomb.





D’un geste brusque, je déplace le contenu de la table. Une tasse vole par terre.


Tombée depuis l’intérieur de la table.





Elle haute le bout de tissu par le haut.


Ben oui, on le baisse bien par le bas, alors pourquoi pas…





La bretelle de son haut était déchirée, et laissait apparaître son petit sein droit. Je lui demandai où étaient les autres.


– Eh bien j’en ai un ici à gauche, mais c’est tout. Désolée.





Quand je rentre, tu pousses comme si tu étais aux toilettes, ça va bien te détendre et quand je la sors, tu te retiens.


Ha ha ha ! Tout à fait !





Sans que je réagisse, elle a un de mes seins dans la main


SCROUNCH !

– Oh pardon, je suis désolée ; il a dû tomber tout seul.

– Mais ne vous en faites pas, j’en ai plein d’autres !





Et lui imprimait le rythme, de plus en plus vite, et moi je suivais.


J’essayais de ne pas me tromper en me répétant ses conseils : pousser, retenir, pousser, retenir, pousser, retenir…

Mais j’ai fini par me gourer et je lui ai chié dessus.