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Temps de lecture estimé : 15 mn
07/06/11
Résumé:  On a beau être un homme en pleine possession de ses moyens et supposé conserver son sang-froid en toutes circonstances, il arrive malgré tout qu'une fille nous fasse perdre les pédales...
Critères:  fh boitenuit fellation partouze -policier -boitenuit
Auteur : Ludwig Mrza
Panique au Trip Hot Club

Camille suçait bien. Elle s’appliquait. De temps à autre, sa tête blonde se relevait et elle me jetait un regard provocateur avant de loucher sur mon sexe luisant pour le lécher sur toute sa longueur ou se le glisser doucement en bouche. Elle savait s’y prendre, au besoin en y ajoutant les mains.


Je croisai à nouveau ses prunelles brillantes tandis qu’elle se passait sur les lèvres une langue gourmande. Visiblement, elle s’amusait. Essentiellement parce qu’elle faisait partie de ces femmes qui ressentent un intense plaisir lorsqu’elles prennent un homme « en mains ». Placée dans une situation où certaines se sentent dominées, voire humiliées, Camille devait éprouver un sentiment de puissance.


J’avais déjà eu la satisfaction de profiter de ses talents lors d’une précédente soirée et, à ma grande surprise, je l’avais conduite à l’extase en la touchant à peine pendant qu’agenouillée près de moi, la croupe à portée de main, elle s’activait dans une langoureuse fellation. Elle m’expliqua par la suite qu’il lui arrivait de jouir rien qu’en taillant une pipe à un mec, ce qui m’avait étonné, mais pourquoi n’y aurais-je pas accordé foi ? Je m’étais de toute façon rendu compte que même si ça ne lui suscitait pas d’orgasme, ça l’amenait à un état d’excitation hors du commun. Je m’étais déjà dit que, mouillée comme elle l’était lorsqu’elle avait une bite dans la bouche et qu’elle lui faisait cracher son jus, elle devait être prête à tout. Je m’étais surpris à souhaiter qu’elle se laissât prendre en levrette en même temps ou, mieux, fister à fond.


Je n’en étais cependant pas là et, me mordant la langue pour résister à la montée du plaisir, j’essayais de retarder l’échéance en pensant à autre chose. La bougresse s’en rendait compte, et je vis un sourire satisfait étirer sa bouche et plisser les coins de ses yeux quand elle me regarda de nouveau. Elle lâcha un moment mon sexe, pour me caresser le ventre et se pencher pour me lécher les couilles, ce qui me laissa le loisir de souffler un peu. Camille guettait l’expression de mon visage, ses doigts se promenèrent sur mes cuisses avant de revenir saisir ma bite, sur laquelle elle loucha pour y poser les lèvres, puis le bout de la langue. Un léger soubresaut, une soudaine pulsation la renseignèrent à nouveau sur mon état. Elle demeura immobile et sourit en regardant la petite goutte qui perlait au sommet du méat, puis je la vis froncer les sourcils et clore les paupières. Agenouillée sur le tapis, entre mes genoux, les avant-bras sur mes jambes et les mains posées sur mon bas-ventre et entourant la base de mon sexe, elle se concentrait. Je distinguais les mouvements de son bassin, les contractions et les relâchements qui agitaient ses cuisses l’une contre l’autre et l’application qu’elle mettait à provoquer, à elle seule, mon plaisir et le sien.


Une série de gémissements me firent lever les yeux et découvrir le visage de Ghislaine, puis son expression d’extase tandis que son corps nu s’activait sur celui de Georges, un grand gaillard athlétique et bien membré qu’elle avait installé là, sur la banquette en face de celle que j’occupais, sans doute pour que je la voie à l’œuvre pendant qu’elle s’embrochait sur un braquemart qui n’était pas le mien, en poussant des cris et en retenant des mains le ballottement de ses seins. Elle tournait le dos à Georges, qui lui tenait la taille, et je savais qu’elle exagérait ses couinements dans le seul but de piquer au vif mon amour-propre en me montrant qu’elle jouissait encore mieux en s’offrant à un autre que moi.


Au début, je ne m’étais pas rendu compte que Ghislaine était un peu jalouse, et lorsque je m’en aperçus, je me demandai instantanément pourquoi : nous nous étions rencontrés dans ce club échangiste, quelques semaines auparavant, et nous le fréquentions régulièrement. Elle n’avait aucune raison d’éprouver ce sentiment, la pratique d’un échangisme librement consenti ne devant pas s’encombrer de semblables considérations ; mais apparemment, la présence de Camille lui déplaisait. Elle lui avait déplu dès la première fois.


Je cessai de penser à ça en entendant ma blonde bienfaitrice soupirer, et je baissai les yeux sur elle au moment où elle ouvrait les siens. Ses lèvres mouillées se posèrent sur l’extrémité de mon gland, rejointes par un bout de langue coquin qui s’agita sur le frein du prépuce, et assistées par de langoureuses caresses des mains sur la hampe. Je pris une bonne inspiration qui fit chuinter l’air entre mes dents serrées pendant que mon plaisir montait. Camille s’accordait son temps, attentive à la lenteur de ma jouissance, une lueur de triomphe dans le regard. Je vis sa bouche s’arrondir au moment où elle soufflait doucement sur le bout de mon sexe, les lèvres à quelques millimètres seulement du point le plus sensible. En face de nous, Ghislaine criait et un couple matait la scène.


Le jus commença de couler le long de ma hampe, pendant qu’une violente crispation s’emparait de mon bas-ventre et de mes cuisses ; mais la première pulsation n’était pas encore là. Lorsqu’elle s’imposa enfin, le liquide jaillit par saccades successives, et j’en reçus la première giclée en pleine poire tandis que les autres atterrissaient sur mon torse et mon ventre.


Au moment où Camille se redressait pour venir s’asseoir près de moi avec sur le visage un air de profonde satisfaction, des cris retentirent, quelque part au rez-de-chaussée, puis des coups de feu. Aussitôt, ce fut la panique : des gens couraient en tous sens, des filles hurlaient, des types juraient et grognaient. Une voix gueula : « c’est les flics », pendant que chacun essayait de retrouver ses esprits et de quoi recouvrir les parties les plus intimes de son anatomie. La pagaille était innommable ; des cris, des ordres et des sifflements stridents emplissaient l’air. Il me parut évident que la plupart des gens auraient souhaité pouvoir s’enfuir ou, à tout le moins, avoir eu l’idée de se trouver ailleurs qu’au Trip Hot Club, ce soir-là.



+++++




Lorsque j’ouvris les yeux, il faisait jour. Un coup d’œil au radioréveil m’indiqua qu’il était près de huit heures. À côté de moi, le lit était vide, les draps frais. Je me redressai, m’assis au bord du matelas et sentis l’odeur du café qui m’attira vers la cuisine. Ghislaine était levée et habillée.



Elle semblait soucieuse, de mauvaise humeur. Après l’incident du Trip Hot Club, elle avait insisté pour que je la raccompagne chez elle, ce qui était courant, et pour que j’y passe la nuit, ce qui l’était beaucoup moins. Elle m’avait paru bouleversée, effrayée et avide de réconfort. Nous nous étions allongés l’un près de l’autre et elle s’était blottie dans mes bras, mais nous n’avions pas fait l’amour. Nous n’avions pas la tête à ça, après la pagaille du club échangiste.



C’était un mensonge. Je m’en foutais presque. De toute façon, c’était surtout grâce à Ghislaine que j’avais eu mes entrées dans cette boîte. Si elle ne voulait plus y mettre les pieds… Et puis, je me doutais qu’elle n’avait plus envie que je rencontre Camille. Elle ne pouvait pas l’encadrer. J’ignorais pourquoi, mais c’était comme ça. Ghislaine échangeait pourtant avec plaisir et s’était toujours montrée large d’idées, d’autant que nous n’étions liés par rien d’autre, elle et moi, que notre fréquentation du Trip Hot Club et quelques nuits passées ensemble. Mais avec Camille, c’était différent. En tentant de trouver le sommeil, j’avais fini par réaliser que c’était mon intérêt pour cette blonde experte en fellations, ma fascination pour sa façon de me faire jouir, qui avaient fait d’elle une rivale dans l’esprit de Ghislaine.

Nous nous séparâmes sur le pas de la porte.



Elle me fit un nouveau signe de la main lorsque je me tournai vers elle avant de m’asseoir dans ma voiture. Je démarrai en songeant qu’elle était vraiment très différente de Camille. Petite, brune, un peu ronde, elle possédait un tempérament plus vif, plus latin. Et une sacrée paire de seins !



+++++





J’obtempérai. Quand le chef était fâché, il était fâché.



J’eus préféré qu’il n’en dise rien ; tout d’abord parce que les autres flics présents dans le bureau n’étaient peut-être pas tous au courant de tout (ce dont je doutais néanmoins à voir les coups d’œil en coin et les petits sourires narquois à peine contenus), et ensuite parce qu’il n’est jamais flatteur de se faire remonter les bretelles en public.



J’entendis quelques gloussements.



J’aurais bien voulu le voir, moi, le chef, conserver son sang-froid entre les mains et sous la bouche de Camille !



Quand le chef eut fini de me houspiller, il me montra la porte en me promettant huit jours de mise à pied mais en m’avertissant toutefois qu’il m’en cuirait si je n’étais pas présent à l’appel dès lundi, huit heures.


Je passai le reste de la journée à me morfondre, ruminant mon incompétence et mon inutilité. J’avais pourtant bien manœuvré, en accord avec un plan longuement élaboré, et brillamment accompli la première partie de ma mission, qui consistait à m’introduire dans la boîte échangiste et à entrer dans les rangs des habitués. Ce n’est jamais très facile pour un célibataire, les couples étant plus aisément admis et chaleureusement accueillis, mais j’avais réussi mon approche en sympathisant avec Ghislaine et, par la suite, nous nous rendions ensemble au Trip Hot Club. En douce, j’avais pu mener ma petite enquête de l’intérieur et fournir à mes supérieurs les informations qu’ils espéraient ; et tout s’était déroulé à merveille jusqu’à cette soirée où je m’étais viandé lamentablement. Puisque j’avais donné le signal de l’assaut via un SMS discrètement envoyé depuis les vestiaires, j’aurais dû me tenir prêt à intervenir si nécessaire et, à tout le moins, me trouver à portée de l’objectif. Au lieu de ça, je m’étais si bien laissé emporter par ma libido que j’en avais négligé l’horloge et mes devoirs de flic au moment crucial. L’arrestation d’une partie de la bande et la saisie d’un joli stock de stupéfiants ne pouvaient suffire à faire oublier que la fusillade aurait pu être évitée ainsi que la mort d’un des malfrats et la fuite de quelques autres, sans compter les blessés et les traumatisés.


Lorsque j’arrivai chez Ghislaine, le soir tombait. Elle ouvrit la porte et s’effaça pour me laisser entrer.



Quelque chose me sembla soudain bizarre dans le son de sa voix ; et j’aurais dû être sur mes gardes en pénétrant dans le living, d’autant que l’intérieur de l’habitation était inhabituellement sombre.



Je n’eus pas l’occasion d’entendre la réponse, car le ciel me dégringola soudain sur le crâne !

D’abord derrière moi, puis de face, les coups se mirent à pleuvoir. C’étaient des frappes vicieuses, dans la pénombre, généreusement distribuées par deux ou trois assaillants, et auxquelles je m’efforçai de riposter. Les silhouettes se déplaçaient rapidement, mais plusieurs de mes coups de poing atteignirent leur but avec suffisamment d’efficacité pour me débarrasser provisoirement de l’un ou l’autre de mes adversaires.


C’était un combat silencieux, si l’on excepte les grognements de douleur et les ahans, où chacun s’échinait à toucher les points névralgiques. Ma lèvre inférieure se fendit contre mes dents, puis j’encaissai un coup sournois qui me donna l’impression qu’on m’arrachait l’oreille. Je frappais des pieds et des poings, levant les avant-bras pour parer les ripostes. Avant que l’un d’eux ne parvînt à crocheter mes jambes et à m’entraîner sur le carrelage, je réalisai qu’ils étaient trois. Compte tenu des difficultés qu’ils éprouvèrent à venir à bout de ma résistance, j’aurais sans doute pu moucher d’une seule main n’importe lequel d’entre eux, mais pris par traîtrise dans un assaut collectif, il m’était presque impossible de m’en sortir. Dès que je touchai le sol, les coups de pied labourèrent mes flancs. Je me roulai en boule, couvrant mon visage et les endroits les plus vulnérables. Finalement, des mains me saisirent, mon crâne heurta plusieurs fois le dur carrelage et, un goût de sang dans la bouche, je finis par perdre connaissance.


C’est un choc brutal, accompagné de bruits métalliques et d’une sensation de froid et d’humidité, qui me tira de ma torpeur. J’ouvris les yeux : tout était obscur, mais autour de moi l’eau clapotait et je réalisai que j’y trempais jusqu’à la poitrine et que le niveau était occupé à grimper. Je pouvais à peine remuer, car quelque chose me retenait au ventre et au torse. Je compris que j’étais assis dans une voiture, sanglé dans la ceinture de sécurité, et que la flotte montait dangereusement ! Si je ne voulais pas échapper à une mort atroce, il me fallait sortir de là. Ma main droite partit à la recherche du poussoir de déblocage de la courroie qui m’enserrait, pendant que la gauche essayait d’atteindre la poignée de portière. Au moment où je touchais la boucle, le liquide glacé faisait pareil avec mon menton. Je pris une grosse goulée d’air avant d’être submergé et, rapidement mais sans précipitation pour ne pas gaspiller l’oxygène dans des gestes irréfléchis, m’efforçai de me libérer. La ceinture tenait bon ! Peut-être avait-on saboté le verrouillage…


Comprenant que je ne m’en sortirais pas de cette façon, je tirai sans brusquerie sur la ceinture pour éviter de bloquer l’enrouleur, puis commençai à glisser vers le haut de l’habitacle. La pression du liquide m’aidait à ne pas me sentir trop lourd, mais la gymnastique était compliquée, surtout en retenant mon souffle. Je souffrais de partout, l’air me manquait. Au moment où je parvenais enfin à me dépêtrer de cette foutue ceinture, j’avalai ma première tasse d’eau. Dans un dernier sursaut d’énergie, je tentai de débloquer la portière, mais il était trop tard. Un douloureux brouillard m’envahit inexorablement. Ma fin allait être atroce.



+++++




J’avais froid. J’étais trempé, je grelottais et ne cessais de tousser et de cracher. Quelqu’un s’agitait près de moi, me donnait des petites gifles et m’appelait par mon nom :



Je réalisai que je n’étais pas mort ! Quelqu’un m’avait tiré de la voiture qu’on avait jetée dans les eaux glacées du canal ; et ce quelqu’un, c’était Ghislaine ! Il faisait noir comme dans un four, mais le son de sa voix m’avait permis de l’identifier !



Je me sentais sans forces, tout mon corps me faisait mal. Ghislaine me fit asseoir, me saisit sous les aisselles et m’aida à me redresser. Mes jambes pouvaient à peine me porter. La jeune femme plaça ses épaules sous mon bras en agrippant fermement mon poignet pour me soutenir pendant que je marchais. Il fallait remonter une pente glissante sur laquelle je dérapai à deux reprises ; mais à chaque fois Ghislaine m’aida à me remettre debout.



Elle attendit que j’en termine avec une vilaine quinte de toux, puis me guida sur un terrain plus plat, jusqu’à sa voiture. Je m’abattis sur la banquette arrière et sombrai une nouvelle fois dans un brouillard glacé. J’eus conscience qu’on roulait, puis qu’on s’arrêtait quelque part et que Ghislaine me soutenait à nouveau pour que je puisse marcher, mais le souvenir des heures qui suivirent est resté pour moi assez confus.



Il faisait jour lorsque j’ouvris les yeux. Ma respiration était bruyante, j’avais mal aux poumons, mal aux côtes, mal à la tête, à la bouche, aux jambes, aux bras… En fait, j’avais mal partout. Une toux rauque et douloureuse me déchira la poitrine, attirant à mon chevet celle qui m’avait tirée du canal après m’y avoir fait jeter !



Le liquide était brûlant, mais la petite brune ne daigna éloigner le récipient de ma bouche que lorsque j’en eus avalé tout le contenu. Un horrible mal de crâne me vrillait les tempes et je me sentais plus faible qu’un oisillon tombé du nid.



Je gardai le silence. Elle m’avait tendu un piège en m’attirant chez elle où plusieurs types m’attendaient pour me régler mon compte ; j’avais failli mourir ; et à présent je me demandais pourquoi elle m’avait tiré de la flotte plutôt que de me laisser périr noyé dans ma bagnole au fond du canal !



Comment savait-elle ça ? Je fus tenté de nier, mais je n’en avais pas l’énergie. Elle n’attendit pas que je parle, de toute façon.



« C’est bien des idées de femme, ça ! » songeai-je. Mais je m’abstins de le dire.



« Merde ! Oh ! Le con ! » m’insultai-je mentalement. Non seulement j’avais oublié d’éteindre l’engin, mais j’avais négligé d’effacer le dernier SMS. Celui qui donnait le signal. Il était laconique, mais suffisant pour éveiller de justes soupçons. C’était une soirée que j’avais complètement foirée, au Trip Hot Club ! Camille m’avait fait perdre la tête en s’occupant de ma queue !



Piquée au vif, Ghislaine se redressa. Elle posa les avant-bras de part et d’autre de l’oreiller et pencha sur moi. Ses yeux brillaient, sa voix vibrait.



Ghislaine se tut. Je sentis de nouveau son souffle sur ma joue, quand elle posa sa tête près de la mienne sur l’oreiller. Sa main se glissa sous le drap, sur mon corps nu et endolori.



Pour toute réponse, j’eus une nouvelle quinte de toux. Ghislaine se leva et tira sur moi la couverture. Je fermai les yeux en m’interrogeant sur l’avenir : qu’allait-il se passer ? Je pouvais dénoncer Ghislaine et ses potes, les faire coffrer… ou au contraire ne rien dire et inventer une quelconque histoire d’agression pour justifier auprès des collègues le triste état dans lequel je me trouvais. J’étais trop las pour penser efficacement et pour prendre des décisions. Lorsque je sentis le corps nu de Ghislaine se couler contre le mien, j’eus d’abord un léger frémissement, puis je perçus la chaleur de sa peau.



Je me laissai glisser dans un sommeil ouaté. Lorsque j’en émergeai, bien longtemps plus tard, j’avais toujours l’impression d’être passé dans un malaxeur, mais je n’avais plus de frissons. Ghislaine n’avait pas bougé. Je pris entièrement conscience du contact de son corps, de ses formes rondes et pleines, et de sa main qui se baladait sur mon torse et sur mon ventre. Plus bas, mon sexe prit de la vigueur quand elle y promena les doigts.



Tout à coup, elle se redressa et repoussa les couvertures. Elle se plaça au-dessus de moi et je la vis sourire. Sans doute s’imaginait-elle que j’avais assez d’énergie pour faire des galipettes, mais j’étais loin du compte. Elle se passa soudain la langue sur les lèvres et, avec une expression gourmande, se pencha sur mon ventre. Ses mains entourèrent doucement mon sexe qui s’était presque entièrement redressé, et elle me regarda une nouvelle fois en approchant la bouche du sommet de ma hampe.