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Temps de lecture estimé : 5 mn
13/06/11
Résumé:  Une nuit en couple dans un train-couchettes, où l'excitation laisse place à l'exhibition.
Critères:  f fh couple train exhib fmast hmast fellation
Auteur : Franck 4  (Franck)      
Une nuit en couple dans un train-couchettes

L’histoire s’est déroulée il y a quatre ans. Christelle et moi étions dans notre vingt-septième année, heureux en ménage depuis six ans. Nous prenions un train-couchettes en début d’été pour nous rendre dans un camping du sud de la France. Nous occupions les deux couchettes du milieu, et deux jeunes d’une vingtaine d’années, ne voyageant pas ensemble, s’étaient installés sur les couchettes du haut tandis que celles du bas restaient inoccupées.


Peu après le départ, et après une partie de cartes, Christelle et moi décidons de nous mettre au lit. Alors que je revenais de me brosser les dents, elle m’a demandé de lui sortir quelque chose du sac pour dormir. En fouillant dans le sac, je suis tombé sur une nuisette un peu transparente et la lui ai donnée. D’abord étonnée, elle a décidé de jouer le jeu et, se positionnant contre sa couchette, a laissé tomber sa robe d’été sous laquelle elle ne portait pas de soutien-gorge et a enfilé le vêtement, me laissant admirer son dos nu au passage et sa culotte blanche. Après avoir vérifié que les autres occupants du compartiment ne faisaient pas attention à elle, elle a descendu sa culotte, laissant deviner ses fesses sous le vêtement léger.


Il faut savoir que Christelle n’a jamais été particulièrement pudique. Elle n’envisageait la plage qu’en monokini, et n’hésitait pas lorsque je le lui demandais à ne rien porter sous sa robe sachant que cela m’exciterait. Il lui était également arrivé de me raconter qu’elle était allée bronzer au parc, lorsque j’étais absent, dans la même tenue, sachant que cela me ferait plaisir lorsqu’elle me le raconterait.


C’est dans cette petite tenue, complétée de ses sandales, qu’elle est allée se brosser les dents et qu’elle a réintégré le compartiment. De nos deux compagnons, l’un lisait à la lumière de sa veilleuse et l’autre, dans la couchette au-dessus de celle de Christelle, semblait dormir, tourné contre le mur. Nous nous sommes mis au lit dans nos couchettes respectives et j’ai commencé à lire sur mon lit en caleçon et t-shirt tandis qu’elle essayait de dormir et que l’homme situé au-dessus de moi éteignait sa lumière.


Au bout d’un moment, excité par la situation, je décidai de la rejoindre sur sa couchette. En essayant de ne pas faire de bruit, je me suis glissé entre le mur et elle et, allongé sur le ventre, j’ai commencé à l’embrasser en lui caressant le cou. Mes caresses se sont faites un peu plus insistantes, et je promenais mes mains sur ses seins sous le drap SNCF.


Petit à petit, j’ai fait glisser la nuisette sur ses épaules pour avoir un accès plus direct à sa poitrine. Je sentais son excitation monter rapidement, et, toujours sous le drap, lui ai fait comprendre que je la préférais nue et ai réussi, avec son aide, à faire glisser son vêtement jusqu’à ses pieds et à lui caresser le corps. J’ai attrapé sa main droite et l’ai délicatement amenée jusqu’à son entrejambe. Elle a compris aussitôt ce qui me ferait plaisir et a commencé à se masturber en essayant de ne pas trop faire bouger le drap. À ma demande, elle a fermé les yeux, et je sentais à sa respiration qui s’accélérait que la situation ne lui semblait pas désagréable et que sa main faisait son office.


Discrètement, j’ai fait glisser le drap vers le bas tout en l’embrassant et en lui caressant les seins. Lorsqu’elle a compris ce qui se passait, elle m’a demandé de faire attention, mais s’est arrêtée lorsque je lui ai délicatement embrassé un sein. Elle m’a laissé enlever complètement le drap tandis que je promenais mes mains sur tout son corps. Entrouvrant les yeux, elle m’a alors dit qu’elle pensait que l’homme allongé au-dessus de ma couchette ne dormait pas et la regardait. Je lui ai demandé à l’oreille si cela la dérangeait, et elle n’a rien répondu et a continué à se masturber en refermant les yeux. De brefs coups d’œil et l’impression de repérer de légers mouvements de son drap me faisaient penser qu’elle avait vu juste.


Je sentais son plaisir monter lorsqu’elle m’a demandé dans un souffle de venir en elle. J’ai enlevé mon caleçon, l’ai fait se tourner sur le côté et l’ai pénétrée sans qu’elle arrête de se caresser. Je faisais des petits mouvements pour que le frottement ne fasse pas de bruit, tandis qu’elle accélérait le rythme et jouissait peu après.


Pour ma part, je continuais mes va-et-vient quand elle a changé de position, et m’a fait mettre sur le dos. Autant l’exhiber m’excitait indéniablement, autant me retrouver en érection face à un voyeur potentiel était une grande première pour moi et je n’étais pas sûr d’apprécier la situation. Elle a pris ma main et m’a fait comprendre que je devais me masturber à mon tour. L’excitation prenant le pas sur la gêne, j’ai commencé mes mouvements tandis qu’elle m’embrassait, masquant un peu mon intimité de la vue de notre compagnon.


Elle est ensuite descendue et a pris mon sexe dans sa bouche. Alors que j’enlevais ma main pour lui laisser le champ libre, elle l’a remise en place, me faisant ainsi comprendre que sa bouche n’était qu’une aide à ma masturbation. Nous avions déjà testé cette configuration quelques fois lorsqu’elle avait une crampe au poignet et je dois reconnaître que c’est particulièrement agréable.


Sentant la fin venir, et sachant qu’elle n’appréciait pas spécialement le goût du sperme, je l’ai un peu repoussée en me demandant comment nous allions faire pour nettoyer sans que cela ne sente dans tout le compartiment une fois que j’aurais éjaculé. Elle a résisté pour rester en place, et j’ai compris que, pour cette fois, je pouvais aller au bout. J’ai ralenti le mouvement pour profiter des instants les plus forts, et c’est quasiment à l’arrêt que j’ai joui dans sa bouche tandis qu’elle avalait le moindre de mes jets. Elle a fait quelques mouvements supplémentaires avec sa bouche et sa langue pour être sûre que tout était bien terminé, puis est venue m’embrasser en pleine bouche comme pour me dire qu’il n’y avait pas de raison pour que je ne subisse pas moi aussi le coût de la discrétion.


J’ai remis mon caleçon et j’ai alors tenté de la caresser de nouveau, mais j’ai vite compris que son clitoris gonflé était trop électrique pour une nouvelle séance. Je lui ai souhaité bonne nuit avant de retourner dans ma couchette, tandis qu’elle se levait au milieu du compartiment pour renfiler sa nuisette.


À ce jour, nous ne savons toujours pas avec certitude si notre compagnon de trajet était vraiment en train de nous regarder, même si c’était fort probable. Quoi qu’il en soit, il a quitté le train avant notre arrêt, et Christelle m’a avoué avoir adoré cet épisode même si elle ne savait pas comment elle avait abandonné le peu de pudeur qu’elle avait au point de se masturber devant un inconnu.