n° 14442 | Fiche technique | 11999 caractères | 11999Temps de lecture estimé : 8 mn | 20/06/11 |
Résumé: Redécouverte entre deux ex... que de temps perdu. | ||||
Critères: fh hplusag extracon grosseins fépilée douche telnet fsoumise hdomine noculotte entreseins fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo confession -totalsexe -fsoumisah | ||||
Auteur : Brunette Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Retrouvailles torrides Chapitre 01 | Épisode suivant |
Entre eux, tout avait commencé dans l’amour. Il était temps de passer à la passion.
Ils s’étaient rencontrés cinq ans plus tôt et s’étaient plus immédiatement. Leurs corps s’appelaient en permanence mais, trop réservés, ils ne savaient pas exprimer tous leurs désirs. Émilie, brunette de 19 ans à la silhouette généreuse, était plutôt jolie et savait mettre en valeur ses atouts par des décolletés plongeants et des regards incendiaires. Elle savait comment le séduire. Quant à Amar, il était grand et viril, brun aux yeux sombres, tout ce qu’elle aimait. Il avait dix ans de plus qu’elle mais ils s’adoraient. Leur vie sexuelle était donc très chargée, mais très routinière. Il n’osait pas la lécher de peur que ça la dérange, elle n’osait pas lui suggérer de varier les positions de peur que cela le choque. Ils ne pratiquaient que deux positions : elle se mettait le plus souvent au-dessus de lui pour se faire jouir vite et puissamment, comme elle l’aimait ; parfois, il la prenait en missionnaire mais venait très vite. Ils adoraient tous les deux les préliminaires : il adorait ses énormes seins et pouvait passer de longues minutes à lui mordiller les tétons tout en la pénétrant de deux ou trois doigts, et elle venait irrémédiablement sous ses caresses. Oh, quelques fois ils s’étaient un peu enhardis : elle l’avait caressé par-dessus son jean dans une salle de cinéma, il l’avait doigtée dans une ruelle sombre, lui avait demandé de s’épiler intégralement… Ce qui leur avait manqué, c’était du temps pour se lâcher.
Lorsqu’elle reprit contact avec lui cinq ans après, ils se rendirent vite compte qu’ils avaient eu le temps de préciser leurs désirs chacun de leur côté, de découvrir ce qu’ils aimaient et d’apprendre à maîtriser leurs corps. Ils étaient sur la même longueur d’onde, aimant l’amour brusque et violent, les corps qui s’entrechoquent. Elle aimait être dominée, il aimait être dominant : les retrouvailles promettaient d’être incendiaires. Ils mirent du temps à se revoir, n’échangeant dans un premier temps que SMS détaillant ce qu’ils aimaient et photos très hot. Elle était en couple, il le savait et ne lui demandait que son corps. Engagée dans une relation sérieuse mais quasiment platonique, elle rêvait de le lui offrir mais ne voulait pas mettre son couple en danger. Un jour, pressée par le désir, elle n’y tint plus et lui proposa de se voir le lendemain.
Après presque deux heures de route, elle arriva devant chez lui et ils se sautèrent immédiatement dans les bras. Leurs langues se retrouvèrent tout aussi vite et ils eurent du mal à se contrôler. Il aimait toujours autant ses fesses rebondies, sa poitrine opulente. Il n’arrivait pas à détacher ses mains d’elle.
Ils s’engouffrèrent dans l’ascenseur pour avoir un semblant d’intimité et les caresses reprirent, le temps de monter jusqu’au troisième étage. Il ouvrit sa porte, la fit entrer et la plaqua contre le mur pour reprendre ses baisers et caresses. Il était déjà dur et le lui fit sentir en plaquant son sexe contre sa hanche. Il se fit plus pressant et la déshabilla, ravi du spectacle qu’il découvrait. Fidèle à son rôle de salope, elle ne portait pas de culotte sous sa robe légère.
Le ton était donné, elle ferait ce qu’il voudrait, et elle le voulait autant que lui. Il glissa sa main entre ses jambes et fut ravi de constater qu’elle était mouillée. Il enfonça deux doigts en elle et la sentit se cambrer de désir, puis il se déshabilla rapidement et lui appuya sur les épaules en lui susurrant « suce-moi » à l’oreille. Elle ne se fit pas prier, appréciant la taille qu’elle avait presque oubliée, l’odeur puis le goût de son sexe. Elle commença doucement à passer sa langue sur son frein, puis sur tout son gland avant de l’engloutir goulûment en le regardant dans les yeux. Les mains d’Amar se posèrent sur sa tête et il se mit à lui baiser la bouche, essayant d’aller plus loin dans sa gorge. Mais l’excitation fut la plus forte et il se déchargea en longues giclées dans sa bouche. Elle avala avec plaisir, se releva et il l’entraîna dans le salon… pour lui offrir un café.
Ils le prirent en bavardant, nus, plus à l’aise qu’ils ne l’avaient jamais été. Puis il l’allongea sur le canapé et s’intéressa de plus près à son sexe, qu’elle avait épilé soigneusement. Il se mit à la bouffer sans ménagement, se régalant de son désir. Il lui léchait et mordillait le clitoris pendant qu’elle se tortillait de plaisir, puis il introduisit trois doigts dans son vagin d’un coup, comme elle aimait, et un dans son anus, ce qui était nouveau pour eux. Il la baisait littéralement de ses doigts et elle ne fut pas longue à jouir. Il la fit se relever, l’attira dans la chambre et la mit à quatre pattes sur le lit. C’était une position qu’ils adoraient tous les deux mais n’avaient jamais osé tenter avant. Il la pénétra brutalement et la baisa comme la petite chienne qu’il voulait qu’elle soit, ses seins lourds balançant sous elle au rythme des coups de reins de son amant. Les avant-bras d’Émilie ne la soutenant plus, elle posa son buste et sa tête dans l’oreiller, impudique, le cul en l’air. Elle jouit encore violemment en sentant son sexe aller toujours plus loin en elle, son corps claquer contre l’arrière de ses cuisses. Il s’écroula sur elle pour reprendre son souffle et ils plaisantèrent un peu.
Ils décidèrent de retourner au salon fumer une cigarette pour se remettre de leurs émotions. Assise à côté de lui, elle posa sa main sur son sexe, sachant pertinemment qu’il n’avait pas joui et allait redevenir dur d’un moment à l’autre. Cela ne tarda pas et elle le caressait doucement pendant qu’ils fumaient. Lorsqu’ils eurent terminé, il était en grande forme. Il se plaça debout devant elle, toujours assise sur le canapé, fourra son sexe dans sa bouche et la baisa à nouveau. Il décida de profiter un peu de sa grosse poitrine et glissa son sexe entre ses seins. Elle en léchait le bout quand il arrivait à portée de sa bouche. Ce petit jeu ne dura pas longtemps, il la prit par la main et l’entraîna dans la chambre en caressant ses fesses d’un air gourmand :
Il la fit se pencher, debout, jambes écartées, devant le lit. Elle l’entendit chercher le lubrifiant, puis sentit deux doigts s’introduire dans son cul sans ménagement. Elle savait bien ce qu’elle lui avait demandé, elle ne voulait pas qu’il soit doux, elle voulait être baisée. Il plaça son gland devant son petit trou et la pénétra d’un coup en poussant un grognement animal. La douleur la submergea au début, mais elle aimait se sentir animale, si désirable. Il accéléra le rythme :
Ces mots dans les oreilles d’Émilie décuplèrent son désir et elle commença à amener son cul à la rencontre de ses coups de reins. Il la tenait fermement par les hanches, parfois par les épaules pour aller le plus loin possible en elle. Elle savait bien qu’elle ne jouirait pas par le cul, mais la situation l’excitait follement. Il ne jouit pas non plus, se retira de son cul, se coucha sur le lit et l’attira sur lui. Elle s’empala sur son sexe tendu, sachant très bien qu’ils ne tiendraient pas longtemps. Lorsqu’elle le sentit buter au fond d’elle, elle se redressa et frotta son clitoris contre son pubis. Il donnait de grands coups de reins qui la faisaient gémir un peu plus fort à chaque fois. Le rythme s’accéléra, leurs souffles aussi, le jeu était maintenant de savoir qui tiendrait le plus longtemps… Il l’attira d’un coup contre lui, la serra en se crispant et jouit en elle. Les contractions de son sexe déclenchèrent un orgasme dévastateur chez Émilie et c’est épuisés qu’ils s’écroulèrent sur le lit. Ils discutèrent un peu des bienfaits de leurs retrouvailles et des changements qu’ils constataient chez l’autre. Ils se rendaient compte qu’ils avaient perdu énormément de temps dans la première partie de leur relation et qu’ils auraient pu vivre tout ça à l’époque.
Il lui proposa un en-cas qu’elle accepta avec plaisir, puis une douche, qu’elle accepta également. Ils la prirent ensemble, sagement au début, se savonnant mutuellement. Elle remarqua qu’il reprenait de la vigueur et appuya un peu plus ses caresses sur son sexe, avant de s’accroupir pour lui offrir une fellation lente et profonde. Elle essaya de le prendre aussi loin que possible dans sa bouche, mais elle se sentit étouffer lorsqu’il approcha de sa gorge. Elle compensa en le masturbant tout en prenant ses couilles en bouche, puis lécha son sexe sur toute sa longueur, se caressant la joue au passage en regardant son amant d’un air gourmand. Elle savait qu’il ne résistait pas longtemps à ce traitement et fut donc étonnée qu’il la relève et la retourne, plaquant ses mains contre la paroi de la douche. Il replaça son sexe entre ses fesses et la pénétra de nouveau. Il l’enculait plus doucement, savourant les sensations, puis lui demanda en plaisantant si elle pensait pouvoir encaisser. Pour seule réponse, Émilie projeta ses fesses contre les hanches de son amant, le faisant la pénétrer plus profondément, et ils repassèrent aux choses sérieuses. Il était agréablement surpris de la voir supporter de tels coups de reins et se lâcha, devenant bestial. Son souffle était rauque dans le cou de sa maîtresse, sa cambrure le rendait fou de désir et ses gémissements ne faisaient que le convaincre de la défoncer toujours plus fort. Sachant qu’il n’allait pas jouir tout de suite, il finit par se retirer de son cul quand il la sentit fatiguée. Ils sortirent de la douche et il la sécha doucement.
Ils revinrent dans le salon en peignoir et elle s’assit au bord du canapé, épuisée. Il repoussa la table basse et s’agenouilla entre ses cuisses. Il tira doucement sur la ceinture de son peignoir, découvrant ses seins et son corps rougi par leurs ébats. Il la repoussa en arrière, de sorte qu’elle était presqu’allongée, ses fesses reposant sur le bord du canapé, et s’attaqua à ses seins doucement, pour faire remonter son désir. Il savait très bien que ces caresses auraient l’effet escompté malgré la fatigue, et il n’avait pas tort puisqu’elle se mit rapidement à onduler du bassin. Il mordilla ses tétons comme il aimait à le faire et glissa deux doigts en elle. Elle lui demanda de venir en elle mais il n’en avait pas l’intention, pas si vite. Il lui immobilisa les mains et continua à la lécher et la mordiller, puis descendit sa bouche pour faire subir le même traitement à son clitoris. Il lui maintenait toujours les mains avec une seule des siennes et retourna faire jouer ses doigts en elle. Son sexe était de nouveau en érection et au bout de quelques minutes de ce traitement, il lui donna enfin ce qu’elle voulait. Il la pénétra brutalement et elle se redressa pour venir l’embrasser.
Il accéléra son va-et-vient, se remettant à la baiser brutalement. Il sentit les muscles de son vagin se contracter autour de son sexe et essaya de résister à la vague de plaisir qui l’envahissait, mais en vain. Ils jouirent tous les deux bruyamment et restèrent longtemps imbriqués l’un dans l’autre à savourer ces moments qui, ils le savaient, ne se reproduiraient pas tout de suite.