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n° 14445Fiche technique8149 caractères8149
Temps de lecture estimé : 6 mn
22/06/11
Résumé:  Je me masturbe dans mon jardin en laissant croire à mon voisin que je ne sais pas qu'il m'épie.
Critères:  f h fplusag voisins jardin exhib fmast hmast confession -mastf
Auteur : Maelys  (Je me masturbe dans mon jardin)            Envoi mini-message

Série : Exhibitionnisme avec mon jeune voisin - et plus si affinités

Chapitre 01
Je m'offre nue dans mon jardin

En ce début mai, il fait très beau et chaud. Alors je me suis dit autant en profiter ! Cet après-midi, il fait un bon 26° au soleil. Pas de vent. Le printemps me donne des envies coquines de soleil sur ma peau un peu trop pâle.


J’ai envie de bronzer un peu. Mon jardin est abrité par de hauts murs et je suis dans une impasse. Une haie sépare mon jardin de celui de mes voisins. Donc, pas de chichis et je me dis qu’il n’y a personne pour me voir et j’envisage de bronzer toute nue.


Je monte dans ma chambre. J’enlève tous mes vêtements et me tartine de crème protectrice, de manière à ne pas ressembler à un homard à l’issue de l’après-midi.

Avant de descendre en tenue d’Ève dans le jardin, je jette un œil par la fenêtre. Aïe, petit souci. Le jeune fils majeur de mes voisins est installé torse nu sur un transat. Il doit être déjà en vacances. Les cours à la fac, ça finit vraiment trop tôt dans l’année.

C’est un gars de 19 ans, pas mal, assez baraqué, avec des cheveux en désordre. Je l’ai déjà surpris en train de m’observer à travers la haie alors que j’arrosais mes fleurs… Il faut dire qu’un t-shirt rouge, même au travers d’une haie d’aucuba assez fournie, ça n’aide pas à être discret. Enfin, j’étais assez flattée qu’une « vieille » de 27 ans attire l’attention d’un jeune homme de 19 ans. J’ai donc fait mine de ne pas m’en apercevoir.


Je l’ai parfois croisé dans la rue et j’ai pu m’apercevoir que, très maladroitement, il essayait de deviner mes formes, son regard parcourant ma poitrine et mon bassin.


Donc pas de bronzage nue, mais en maillot de bain. Je passe mon maillot de bain deux pièces blanc.

Je descends, Initiation de Laura Bath à la main, que j’ai commencé à lire en début de semaine, résolue à lire sagement en prenant un peu de couleurs.


Hop! je m’allonge sur mon transat. Je commence à lire ce livre au contenu assez sensuel et apprécie la caresse du soleil sur ma peau, mes cuisses et mon ventre.

Pas un bruit. Je ferme les yeux, c’est si bon ! J’ai sans doute eu tort de m’installer en lisant ce livre. Pourquoi n’ai-je pas pris une revue ? Le livre est très moyennement écrit, mais quelques passages sont vraiment réussis et me font fantasmer. Mon corps réagit à mes pensées.

J’ai vraiment envie de me toucher… Mais je ne suis pas décidée à risquer de me faire épier par mon jeune voisin. Il faut que je sache s’il me mate…

Je pose mon livre, entre chez moi et grimpe quatre à quatre les marches jusqu’à ma chambre au premier. Sans écarter les rideaux, je jette un œil dans le jardin des voisins. Mon jeune voyeur a installé son transat contre la haie et a ouvert la braguette de son pantalon… Je m’en doutais. Le petit coquin fantasme à mort sur moi, et ma tenue légère doit lui donner des envies. Il faut dire que le maillot de bain blanc moule bien mes seins et que ma toison châtain est partiellement visible au travers de la toile.


Je redescends rapidement les escaliers et retourne dans le jardin. L’ombre du cerisier me donne le prétexte de rapprocher de quelques mètres mon transat de la haie. Je choisis de l’orienter, sans aucun prétexte valable, de manière à me retrouver face à mon piètre mur de verdure. Je vais permettre au jeune homme de découvrir mon corps dans de meilleures conditions. Cela m’excite et je ne pense pas, à ce moment précis, à aller plus loin. Je veux juste me sentir observée et m’imaginer plus tard mon voisin en train de se masturber en me donnant moi-même du plaisir dans ma chambre.


Je reprends mon livre en faisant mine de rien et reprends ma lecture. L’héroïne, Natasha, rencontre une jeune fille en mal d’affection qui fait partie d’un groupuscule se battant pour la défense des animaux, groupuscule dirigé par un mystérieux inconnu qui lui donne ses ordres via internet avant de lui demander de s’offrir à lui par webcam ! La situation m’émoustille et je sens mes tétons durcir.


J’ai une boule au ventre. J’ai envie de me donner du plaisir et aussi de le montrer au jeune homme qui m’observe derrière la haie, mais j’ai honte de l’impudeur dont je fais preuve en envisageant cette possibilité. Enlever mon maillot de bain et me montrer toute nue fait battre la chamade à mon cœur rien que d’y penser. Quant à me toucher devant lui, cela me paraît au-dessus de mes forces.

Cependant, il ne sait pas que je suis au courant qu’il m’observe. Cela me dédouane de la culpabilité de m’exhiber volontairement devant lui.

C’est presque en tremblant comme une feuille que je décide de me caresser les tétons durcis, d’abord d’une main, tenant de l’autre mon livre, par dessus mon haut de maillot de bain. Le tissu commence à m’agacer et je crains d’avoir bientôt les tétons irrités. Et puis, des seins nus on en voit sur la plage. Les miens, j’en suis très fière. Je fais un bon 95c, avec des aréoles roses de taille moyenne et, malgré leur taille, ils sont très fermes. Même toute habillée, les hommes ne peuvent s’empêcher de jeter un œil dessus, ce que j’apprécie d’ailleurs beaucoup.


Je pose mon livre et je décide donc, la boule au ventre, d’ôter ce haut qui me gêne. Mes tétons, assez gros en temps ordinaires, sont très gonflés. Je mouille mes doigts et les pince légèrement. Ma boule au ventre disparaît et mon excitation grandit encore en imaginant mon jeune voisin en train de me mater. J’imagine qu’il a dû sortir sa verge de son pantalon et doit commencer à se masturber. À cette idée, je ferme les yeux et malaxe mes seins. J’imagine sa verge dressée et les caresses qu’il se prodigue. Je ressens du plaisir à me malaxer les seins, mais, bientôt, cela ne me suffit plus. J’ai une envie irrépressible de soulager le besoin de me toucher et je pense que je vais être obligée de monter dans ma chambre me finir. J’ai presque pris la décision de me lever, mais je me dis qu’une alternative existe, certes impudique, mais qui ne relève pas totalement de l’impossible pour moi.


Je passe l’une de mes mains dans ma culotte, je fouille ma toison. Ma petite chatte est déjà toute humide et mon bouton réclame mes doigts. Je vais chercher un peu de cyprine et je commence à appuyer sur mes nymphes dans un geste circulaire, toujours dans mon slip de bain.

Loin de calmer mon désir, je ressens le besoin impérieux de m’introduire deux doigts dans le vagin. Quand je me masturbe, j’ai vraiment besoin de cela. Mon petit slip est bien trop étroit pour pouvoir m’exécuter facilement. Soit je l’écarte, soit je l’enlève.

Je rougis de honte et de plaisir à la fois en décidant que je vais aller jusqu’au bout et enlever mon slip de bain.

J’hésite encore et je glisse mes doigts sur ma fente, chaude et humide… mmmhhhh ! j’ai la vulve mouillée et trempée. Je n’y tiens plus. Je retire l’ultime rempart à la vue de mon intimité.


Je décide de ne plus penser à rien, seul le plaisir que je vais prendre doit compter. Je n’imagine plus le jeune homme en train de se masturber. Je m’imagine dans ses yeux et je suis toute au spectacle que je lui donne. Mes doigts passent entre mes poils pubiens. Je caresse mes grandes lèvres toutes gorgées. J’écarte mes cuisses et entrouvre ma vulve. Je suis toute grande ouverte maintenant.

D’une main, je caresse mes seins gonflés et durcis par le plaisir et de l’autre je continue à me masturber, deux doigts fouillant mon intimité. Je suis tellement excitée que le plaisir monte très vite, je gémis mais je me retiens, je sais que je ne suis pas seule… Les vagues de chaleur dans mon ventre s’accroissent et mon bassin ondule. L’orgasme n’est plus très loin de mes doigts introduits dans mon vagin. J’ai encore un moment d’hésitation. Vais-je livrer le spectacle intime de mon orgasme au jeune homme ?


Tant pis. Je suis tellement excitée que plus rien ne peut m’arrêter. Je jouis profondément, les cuisses impudiquement ouvertes, les doigts sur mon clitoris gonflé, les seins pointant vers le ciel…


J’attends quelques secondes, puis ma main retourne sur mon clitoris… Ahhhh ! nouvelle jouissance. Je ne peux retenir un petit cri involontaire, c’est tellement bon…


Me voilà pantelante sur mon transat, nue et impudique, à la fois honteuse et excitée de m’être livrée entièrement au regard d’un jeune homme.


Cela me donne malgré tout envie de recommencer… une autre fois… ailleurs…