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Temps de lecture estimé : 14 mn
23/06/11
Résumé:  Histoire vécue. Rencontre entre homme et jeune Eurasienne à Paris ; sortie, fille très entreprenante, rapports sensuels et raffinés.
Critères:  fh hplusag jeunes asie inconnu amour fellation cunnilingu anulingus pénétratio -amourpass -occasion
Auteur : Solo-Wanderung  (Homme de 41 ans, créatif, athlétique, sensuel, élégant)      
Kim, jeune Eurasienne / Rencontre insolite à Beaubourg

Je vais vous raconter une histoire que j’ai vécue et qui, par sa qualité, sa sensualité et sa beauté, a laissé une trace indélébile parmi mes expériences amoureuses.


Cette histoire remonte au début de l’été 2009, alors que j’étais à Paris pour quelques mois. J’étais ce qu’on appelle un beau mec, célibataire à cette époque, mais je ne me préoccupais pas spécialement de rencontrer une partenaire. J’avais quarante ans et j’avais obtenu une bourse d’artiste en résidence pour une période six mois, avec un studio atelier-appartement mis à ma disposition.



Un jour, c’était un vendredi après-midi, je visitais l’exposition permanente du quatrième étage à Beaubourg. Dans une des salles de peintures, je remarquai une jeune fille d’une grande beauté qui se promenait, visiblement seule, dans l’exposition. Elle devait avoir une petite vingtaine d’années et semblait d’origine eurasienne. Ce qui me frappait, c’était son élégance naturelle, presque féline à se déplacer. Elle portait une jupe blanche légère qui moulait souplement son corps, et un petit haut assez serré. Elle portait les cheveux longs, noirs, attachés en queue de cheval. Elle était petite, environ 160 cm, très fine et particulièrement bien proportionnée.


Je la perdis de vue et l’oubliai presque après avoir reçu un coup de téléphone. Je la revis soudain à côté de moi en entrant dans la salle des expressionnistes abstraits américains. C’est alors qu’elle m’adressa la parole, en anglais, pour me demander si j’en connaissais un peu plus sur l’œuvre du peintre – Motherwell – dont une énorme toile était accrochée devant nous. Étant bon connaisseur de la peinture contemporaine, je pris le temps de lui expliquer quelques repères et c’est ainsi que nous engageâmes la conversation.



Elle venait de Copenhague, sa mère était danoise et son père était d’origine coréenne. Elle se prénommait Kim et était en visite-découverte à Paris pour quelques jours avant de rejoindre une amie à Vienne.


Je lui proposai de prendre un café au « Georges » sur la terrasse de Pompidou et nous fîmes plus amplement connaissance. Nous nous retrouvions sur plusieurs plans et elle commença à rire de plus un plus souvent, un rire frais, magique. Son corps ondulait alors qu’elle me racontait sa vie d’étudiante en arts à la Royal Academy de Copenhague. Elle me confia également qu’elle gagnait sa vie comme mannequin pour des cosmétiques et des lignes de vêtements scandinaves. Elle avait 23 ans, en paraissait 18, voire moins, avec son corps d’enfant, son sourire rayonnant et sa beauté naturelle, sans fard.


Je lui proposai de dîner avec moi le soir même, et elle accepta sans hésiter, en me disant qu’elle était ravie mais qu’elle devait cependant passer à son hôtel dans le 8e arrondissement pour se changer.

Nous fixâmes un rendez-vous au bar « La Perle », dans le Marais. Je rentrai assez fébrile chez moi en attendant 20 h. Cette fille était vraiment magnifique, me disais-je, d’une gentillesse et d’une intelligence exquises.


J’arrivai avec quelques minutes de retard et je la repérai immédiatement. Elle portait un jean bleu sombre moulant taille basse, des escarpins noirs à talons, un petit haut noir simple et moulant, ainsi qu’une veste en cuir de daim aubergine très taillée. Je n’étais pas le seul à l’avoir remarquée. Elle était en conversation avec deux garçons qui l’avaient probablement abordée là, et devant cette situation, je me surpris à être presque jaloux.


Je m’approchai et lorsqu’elle me vit, elle m’adressa un large sourire. Elle s’approcha et me fit un baiser simple mais appuyé, si spontané et naturel que j’en étais tout étourdi. Elle me présenta, mais me désigna immédiatement comme son cavalier de la soirée en me prenant par le bras. Les deux mecs s’éloignèrent et la soirée commença sur les chapeaux de roue.


Kirs, Pouilly Fumé, puis au resto du coin, un plat simple bien arrosé de Bourgogne rouge. Lorsqu’elle se leva pour aller aux toilettes, je ne pus m’empêcher de voir sa taille de guêpe, ses longues jambes fines et ses fesses bien roulées dans le jean. Elle commençait à me faire vraiment fantasmer, j’ai toujours eu un faible pour les filles bien minces et… intelligentes, ça les rend plus attirantes.


Je remarquai que mon charme opérait peu à peu, c’est souvent elle qui se rapprochait de moi pour me parler à l’oreille dans le brouhaha du resto-bar. Nous riions de tout et de rien, sa dentition était parfaite, elle sentait bon, un parfum de cèdre et de figue, et ses lèvres petites mais bien charnues s’humidifiaient sous l’effet de la nuit…


Nous décidâmes d’aller danser au « Maxim’s » où il y avait une soirée spéciale ce soir-là et où, par chance, je connaissais quelqu’un qui y avait ses entrées, car sinon il est vraiment difficile d’entrer à ce genre de soirée.


L’ambiance était très gay-folle-travesti et ça chauffait bien à l’intérieur. Je retrouvai cet ami, je fis les présentations, il nous désigna sa table et nous invita à le rejoindre, lui et ses amis gays. Kim était ravie, cela se voyait. Le champagne était déjà servi, je commandai une bouteille supplémentaire pour rendre la pareille – ce n’est pas donné, mais l’entrée n’étant pas payante, on peut compenser par le champagne.


Je sentais Kim assise à mes côtés s’agiter et frôler mon corps dans un mouvement d’ondulations. Elle me prit par la main et m’entraîna vers la piste de danse. C’est alors que nous commençâmes une danse endiablée, sur des rythmes électro assez suaves. Je transpirais, mais elle aussi et nous nous accrochions par les mains et par le corps, de plus en plus proches, de plus en plus complices…


C’est elle qui m’enlaça en premier, m’attira vers elle.


Soudain dans le bruit de fond sourd des basses et sous les lumières rose-jaune, elle m’embrassa sur la bouche. Je n’entendais plus rien, je ressentais seulement sa langue qui plongeait à la recherche de la mienne. Son haleine était celle d’une enfant, de première fraîcheur, alors que nous avions mangé et beaucoup bu. Nous buvions nos salives, elle mordillait mes lèvres, les suçait, passait sa langue experte entre mes lèvres et mes gencives comme on ne m’avait plus embrassé depuis longtemps. Alors que je ne bandais plus aussi facilement, j’eus une érection quasi instantanée, et elle a dû l’anticiper, car elle se mit à frotter son bas-ventre contre mon sexe, suivant le rythme des basses de l’électro. Je la tenais par la taille et je sentais comme celle-ci était fine. J’en faisais presque le tour de mes deux mains. Je les glissais sur ses hanches dont les os saillaient légèrement.



Autour de nous, une foule dense et très chaude se trémoussait. Je caressais son corps en ayant passé les mains sous son top et elle semblait de plus en plus excitée. J’en eus la preuve en l’embrassant car je reconnus ce goût de sexe très subtil que dégagent de leur peau et de leur haleine les femmes excitées. C’est exquis lorsqu’on s’en rend compte ; c’est assez imperceptible et la femme n’en a généralement pas conscience. Cela me mit dans un état d’excitation indescriptible et je sentis mon sexe tendu à l’extrême qui commençait à me faire mal. Je me rendis compte que cela faisait quelques semaines déjà que je n’avais pas joui et je compris mieux pourquoi mes testicules étaient douloureux.


Kim passa ses mains sur mes fesses et je fis de même en appuyant sur ses globes et en passant par-derrière mes mains entre ses jambes pour remonter vers ses fesses. Elle laissa échapper des petits cris dans mon oreille et me dit qu’elle adorait notre soirée. Quelle soirée effectivement, je n’en revenais pas moi-même ! J’avais le double de son âge, certes, j’étais en pleine forme et très sportif, on me donnait cinq à dix ans de moins mais tout de même, je n’avais plus l’habitude de sortir avec une fille aussi jeune.


Il devait être quatre heures lorsqu’elle me dit qu’elle voulait rentrer. Je n’étais pas très sûr de ce qu’elle voulait dire par là et je me dis que ce serait trop dommage de la laisser partir ainsi. En sortant, elle se serra contre moi et nous nous retrouvâmes sur la place de la Concorde, à héler un taxi improbable à ces heures, à Paris, un vendredi. Mais la chance nous sourit et en nous engouffrant dans le taxi, elle me dit qu’elle devait rentrer à l’hôtel. Je me dis que c’était terminé pour ce soir, mais elle me demanda de l’accompagner. J’acceptai bien évidemment mais, encore une fois, en me disant que c’était juste pour la raccompagner, je n’ai jamais été du genre à insister et cela a toujours payé, du moins lorsque cela en valait la peine.


Direction les « Mathurins » et dès que nous arrivâmes devant l’hôtel – un quatre étoiles, me sembla-t-il – j’expliquai au chauffeur que j’allais continuer la course vers le Marais. Kim, qui parlait un peu le français, dut comprendre : c’est là qu’elle me dit sans équivoque :



Je ressentis une certaine joie car je ne voulais pas lui donner l’impression que je tentais de profiter de la situation. Elle m’entraîna hors du taxi, me prit par la main et escalada les marches de l’hôtel trois par trois vers le premier étage.


À peine arrivée dans sa chambre, elle se retourna vers moi et me sauta littéralement dans les bras. Toute cette spontanéité, cette simplicité des gestes mirent fin à mes derniers doutes quant à ses intentions. Elle se frottait contre moi en m’embrassant passionnément. Elle dégageait une odeur délicate de transpiration qui me mit à nouveau hors de moi.



Et comme pour enfoncer le clou, elle se dégagea de moi, et se mit à déboutonner ma chemise, commença à embrasser mon torse et mes aisselles alors qu’elle défaisait sa ceinture. Elle sauta hors de ses escarpins, tira sur son jean et se retrouva devant moi en mini-slip de coton rose, mais toujours avec son petit haut moulant et sa veste en daim ! J’adorais cette image inhabituelle dans l’ordre du déshabillage et je lui dis.



Elle se dégagea encore plus et sauta pieds joints sur le grand lit encore fait. Elle attrapa son iPhone, chercha un morceau de musique.

Je reconnus rapidement « Smooth operator » de Sade…


C’est alors qu’elle entama un strip-tease des plus délicieux, léger et coquin sans les exagérations vulgaires habituelles ; non, au contraire, elle avait une nonchalance et une grâce en évoluant sur le lit, pieds nus et déjà moitié nue avant de commencer, qui me transportait. Je vis enfin ses jambes si minces et élancées, parfaitement dessinées, dont la peau était mate, sans défauts, somptueuse.


Sa culotte dessinait parfaitement ses fesses et marquait la raie, et alors qu’elle se retournait vers moi en dansant, je vis la fente de ses lèvres dessinées à travers le slip encore humide de la soirée dansante. Droite devant moi, j’aurais pu passer mon poing entre ses jambes sans les toucher tellement elle était mince, et cet écartement des jambes à la hauteur du sexe m’excitait énormément.


Elle tomba la veste en daim, se retrouvant seulement vêtue de son petit top et de sa culotte. Puis lentement, au rythme de Sade, elle tomba le slip. Je vis une minuscule touffe de poils sombres et très fins surmontant un sexe glabre et dont la fente était parfaitement lisse et dessinée. Lentement, elle souleva son top noir. Elle ne portait pas de soutien-gorge, ses petits seins ronds et fermes, magnifiques se dressaient là, devant moi. Elle virevolta sur elle-même plusieurs fois, comme pour me montrer son corps sous toutes ses coutures. Elle avait vraiment des proportions idéales et elle ressemblait, il fallait en convenir, à une adolescente.


Elle prit son élan, se jeta dans mes bras et, en prenant appui sur mes épaules, mit d’abord une jambe puis l’autre autour de mes épaules. Je ne m’attendais pas à cela et, encore une fois, je fus surpris par toute cette belle spontanéité… elle jouait avec moi et j’en avais conscience, mais j’adorais ça…


Elle était si légère, je ne ressentais pas son poids, elle devait faire au plus 43-45 kilos. Son sexe en quelques secondes se trouva à la hauteur de mon cou, de mon menton, de ma bouche ! Une odeur suave s’en dégageait, une odeur de douce transpiration, de parfum sucré et de marée qui m’envahit littéralement l’esprit. Cette symphonie d’odeurs si subtiles était d’autant plus enivrante qu’elle avait été emprisonnée dans le slip durant toute la soirée dansante et transpirante que nous venions de passer.


Je rapprochai ma bouche et je commençai à lécher ses poils longs et fins. Je me retournai vers la porte pour qu’elle puisse y appuyer son dos et qu’en même temps je puisse la renverser un peu en arrière pour passer ma langue plus bas, sur sa vulve, entre ses lèvres.


Elle laissait échapper des petits cris, des petites mélodies. Ma langue passait sur ses lèvres roses qui étaient grandes ouvertes puisqu’elle avait les jambes écartées autour de mon cou. Elle prenait le rythme au son de Sade, sur une autre chanson à présent, plus lente encore, et son sexe, je le sentais, se mit à gonfler sous ma langue qui entrait plus profondément dans son vagin. Un jus se mit à couler, je le suçais en faisant des appels d’air et elle poussait de vrais petits cris en se cramponnant à moi.


Je me sentais fort, je sentais les muscles de mon corps entier se tendre comme jamais, et je n’avais aucune peine à la tenir sur moi. Mon sexe était, lui aussi, tendu comme jamais dans mon pantalon au point d’en devenir douloureux. Elle se mit à jouir dans cette position très ouverte et comme en entrant nous avions allumé la lumière, un spot halogène intégré au plafond de l’entrée éclairait directement son sexe de manière assez éblouissante. Son jus coulait plus fort encore, je n’étais pas habitué à voir autant de débit et elle se trémoussait de plus belle sur moi en criant doucement :



Calmée, je la fis descendre mais là, sans avertissement, elle me repoussa sur le lit. Je m’étalai et elle se jeta sur moi, tira sur ma ceinture sur mon jean et fit glisser le tout à mes pieds, en retirant mes chaussures sans même les délacer. Mon sexe, dont les dimensions sont un peu au-dessus de la moyenne, se dressait énorme le long de mon ventre.


Après m’avoir débarrassé de tous mes vêtements, Kim se glissa entre mes jambes et les desserra en les maintenant écartées de ses deux mains au niveau de mes cuisses intérieures. Qu’allait-elle me faire ? Je n’étais pas au bout de mes surprises…


Elle se mit à lécher et à sucer doucement mes testicules sans toucher à mon sexe. Elle les gobait entièrement et les roulait dans sa bouche. La sensation était particulièrement excitante et je sentais en moi le conduit de sperme qui pulsait. L’effet était si jouissif qu’il en devenait à nouveau douloureux. Elle passait maintenant sa langue sous mon scrotum, juste avant l’anus. Je me sentais presque gêné par autant d’intimité, mais cela ne semblait pas la gêner, au contraire. Elle se rapprochait imperceptiblement de mon anus, et soudain je sentis comme elle y décrivait des cercles avec sa langue, d’abord légers, puis de plus en plus appuyés.


Je me sentais envahi d’un désir profond, atavique. Petit à petit, mon anus se dilatait, alors que j’essayais de résister pour maintenir vainement une dernière barrière de pudeur. Sa langue s’introduisit en moi et je sentis monter la sève, je respirais difficilement en laissant échapper des sons plaintifs alors que, d’une main experte, elle me massait les testicules complètement remontés sur ma hampe et remplis de sperme.


Elle dut se rendre compte de l’effet qu’elle me faisait lorsque je fus sur le point de jouir, car elle arrêta de sucer mon anus. Dans la position allongée dans laquelle je me trouvais, je ne voyais pas ce qu’elle faisait, mais je sentis que d’une main, elle continuait à me masser les testicules. Puis je sentis une forte pression sur mon gland circoncis que ses lèvres enserraient fermement, mais sans les mains. Elle suçait seulement la pointe de mon gland en glissant sur le frein, tirant sur la sève. Elle aspirait comme personne ne m’avait sucé le gland auparavant, et cette sensation d’une main massant rondement les testicules pour les maintenir chauds et cette bouche qui avait l’effet d’un siphon sur mon gland me rendaient fou, je me mis à hurler qu’elle arrête que j’allais lâcher tout mon sperme dans sa bouche, rien n’y fit, elle redoubla d’élan et je sentis, comme pour m’exciter encore plus, qu’elle passait sa langue en pointe dans mon méat urinaire pour aller titiller l’urètre.


Alors n’y tenant plus, mon bassin se souleva à sa rencontre. Elle comprit que j’allais jouir, et attrapa, sans lâcher mon gland de sa bouche, la hampe de mon sexe de sa main, pour m’empêcher d’éjaculer. Elle serra fort à la base. Je ressentis comme une douleur sourde mais la tension était énorme ; je me tordais dans tous les sens et elle pompait encore plus fort. Je poussai un cri, je sentis mon jus monter à toute vitesse, elle lâcha la pression sur la hampe de ma tige ce qui donna comme un coup de turbo à mon orgasme. Je sentis mon sperme jaillir puissamment dans son palais, alors qu’elle enfonçait pour la première fois mon sexe au fond de sa gorge. Elle avala tout. Je ressentis un vertige incroyable, presque un évanouissement, dans cet orgasme foudroyant.



Je me réveillai par une caresse sur le corps. La lumière du jour inondait la chambre qui était décorée dans un style bourgeois parisien. Kim caressait mon sexe de ses doigts, mon bassin, mes fesses, mes reins. J’avais soif, besoin d’uriner et de me brosser les dents. Je me levai, le sexe en semi-érection et je passai à la salle de bains.


Rafraîchi, je la rejoignis au lit et son odeur de sexe et d’amour me revint à l’esprit, j’adorais cette fille, son odeur charnelle toujours délicate. Elle me chuchota des mots à l’oreille, me disant qu’elle était bien avec moi, que cette journée commençait si bien, qu’elle était heureuse. J’étais sur un nuage ! Je commençai à me rendre compte de toute cette journée précédente qui avait passé comme hors du temps, hors de moi.


Son visage d’une grande beauté m’apparut comme si je ne l’avais pas vraiment vu avant, sous un autre regard. Ses yeux en amande, bruns foncés, ses sourcils sombres, contrastaient avec sa peau lumineuse et pâle, et ses lèvres, légèrement luisantes, comme si elles étaient recouvertes d’un gloss transparent et d’un rose très relevé, étaient parfaitement dessinées.


Je l’embrassai et me roulai sur elle. Elle écarta très naturellement les jambes et mon sexe vint se plaquer contre le sien. Encore une fois, je ressentis une violente excitation en sentant sous mon poids ce corps si svelte et juvénile s’ouvrir pour moi. Elle aspirait à nouveau mes lèvres comme au Maxim’s, en tenant ma tête entre ses mains pour m’attirer plus vers elle.


Mon sexe enflait très vite, je sentis instinctivement, par son langage du corps, qu’elle me voulait en elle, tout de suite. J’écartai alors encore plus ses jambes en regardant ce petit corps ouvert. Je relevai ses bras derrière sa tête en les maintenant de mes deux mains, alors que, sans que je le lui demande, elle relevait les jambes vers elle, laissant sa chatte largement ouverte. Je plaçai mon sexe tendu à l’entrée de son vagin et je m’y enfonçai très lentement sans reculer.


Que c’était bon ! Son vagin était un fourreau si étroit qu’il enserrait mon sexe comme jamais je ne l’avais ressenti. C’était comme si je pénétrais un anus bien serré. Je m’enfonçai lentement, c’était une sensation exceptionnelle. Je sentis Kim se contracter, respirer, souffler, comme si elle voulait l’avoir au fond d’elle tout en surveillant cette introduction difficile pour elle. J’atteignis son fond, je sentis sa matrice chatouiller mon gland, c’était tout simplement incroyable. Je me demandai comment j’avais pu entrer tout mon sexe en elle, mais je constatai que la nature est vraiment bien faite. Jamais une fille ne m’avait fait cet effet, alors que je ne manquais pas d’expériences. Kim m’offrait des sensations inconnues jusque-là.


J’entamai un va-et-vient très lent, je sentais comme elle se détendait au fur et à mesure que son vagin se dilatait. J’écartai alors ses jambes le plus possible et grâce à son poids si léger, je la soulevai à moitié sans difficulté tandis que je plongeais au plus profond d’elle. Ses parois me serraient de façon indescriptible, la sensation m’arrachait des râles, elle aussi commençait visiblement à jouir. Je sentis à nouveau un jus liquéfier son vagin, facilitant encore un peu l’intromission. Je donnais des coups de reins de plus en plus amples, de plus en plus profonds en la tenant fermement comme une poupée. Je sentis mon jus monter en flèche, je lui dis que j’allais jouir, et au lieu de me repousser – nous n’avions pas mis de préservatif – elle me dit en m’attirant en elle :



Entendant ces mots, cela décupla ma jouissance et je me répandis presque instantanément en elle, en sentant clairement cette succion du vagin autour de mon sexe qui frappait contre l’entrée de l’utérus alors que je l’inondais de ma semence…



Nous ne nous sommes plus quittés durant tout son séjour parisien, nous avons fait des tas de visites et j’ai découvert une nouvelle forme de sexualité grâce à elle, pleine de surprises et de délicatesses.


Nous sommes partis en Grèce, dans les Cyclades, le même été, passant d’une île à l’autre, trouvant des plages naturistes ou solitaires, mais cela est une autre histoire, tout aussi merveilleuse et sensuelle.