Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14454Fiche technique18852 caractères18852
Temps de lecture estimé : 12 mn
28/06/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  Je dois expliquer à Carole ma soirée avec Eva, sachant qu'un autre rendez-vous avec celle-ci est prévu pour le jeudi suivant.
Critères:  fh ffh hotel fellation pénétratio fsodo -consoler
Auteur : Gil.06            Envoi mini-message

Série : Ma femme change, ma vie aussi

Chapitre 04 / 06
Eva prise, mais uniquement à contre pied

Résumé : Troublée par ma rencontre avec Aline, ma femme en parle à son amie d’enfance Eva qui, après avoir parlé avec nous, essaie par tous les moyens de nous faire réagir. Pour ce faire, elle tente de me faire succomber, sans résultat. (Voir n° 13891, 13922 et 14000)




Avec toutes ces péripéties, cela fait trois fois que je ne dors pratiquement pas cette semaine. Je tourne au ralenti, j’ai une haleine de cheval, des valises sous les yeux et je tourne à la caféine pure. Si elle existait en poudre, en intraveineuse, c’est sûr que je deviendrais vite accro. Je profite de mon état de faiblesse pour rentrer tôt.


Carole n’est pas là, elle a dû faire trois courses avant de rentrer. Je me pose sur le canapé avec un journal.


Il est plus de dix heures lorsque je rouvre un œil. Je me lève et vais dans la cuisine, a priori Carole a mangé seule pour éviter la confrontation ; je mange un morceau et vais me coucher. Le lendemain, samedi, je me réveille tôt, descends à la cuisine, prépare le petit déjeuner et attends Carole pour lui expliquer ma soirée avec Eva. J’entends la douche fonctionner : dans cinq minutes elle va venir déjeuner. Je repasse les événements de la soirée et ne sais pas si je dois aller à l’essentiel ou reprendre tous les événements un par un, en les amplifiant ou les diminuant.

Dois-je rester uniquement factuel ou lui parler de mes faiblesses ?


La porte d’entrée vient de se refermer, Carole est sortie sans faire de bruit, je me précipite à la porte, lui demande de rester cinq minutes, mais elle m’ignore et s’en va.


J’essaie son téléphone mais rien n’y fait.

Que nous arrive-t-il ? Je veux revenir en arrière, je n’ai rien fait de mal, enfin pas trop. J’ai regardé une femme d’un peu trop près, et notre couple s’est brûlé en essayant de comprendre ce qui lui arrivait.


Le samedi fut très long, je me suis mis au lit de bonne heure en me promettant de régler tout le lendemain matin. Carole est rentrée après minuit, elle s’est couchée sans faire de bruit, je suis resté de mon côté sans rien dire.


Le dimanche matin, je décide de prendre tout en main. Je me lève, m’habille rapidement et attends sur la chaise de la chambre qu’elle se réveille.



Sans lui laisser le temps d’analyser, je lui jette à la figure :



Je la laisse réfléchir et descends à la cuisine déjeuner avec l’espoir qu’elle vienne. Le bruit de la porte d’entrée m’enlève cet espoir. Ce n’est qu’en fin d’après-midi qu’elle réapparaît, s’assied dans le fauteuil face au canapé où je suis et me dit :



Je lui raconte tout, sans insister sur mon état, je minimise la position de mes mains dans l’ascenseur ainsi que mon état d’excitation. J’arrive à expliquer, sans trop me prendre les pieds dans les tapis, qu’à trois heures j’avais été rechercher mon portable et que j’en avais profité pour la regarder dormir.

Par contre, j’insiste sur toute la mise en scène qu’Eva avait prévue, son entrée, ses monologues, l’utilisation de mon téléphone, de son pied.


L’exercice est un monologue, Carole m’écoute mais ne me regarde pas. Le silence s’installe, je me dis qu’il vaut mieux ne pas en rajouter et reste silencieux. Après quelques minutes, elle me dit :



Sur ce, elle s’est enfermée dans la salle de bain puis a mangé seule dans la cuisine et est allée se coucher. J’ai tardé devant la télé et l’ai rejointe sans faire de bruit.


Le lendemain soir, Carole a presque digéré mon histoire, elle me demande quelques précisions ou répétitions. Je lui réponds du tac au tac, ce qui finit de la rassurer. Puis elle me demande ce que je compte faire pour le jeudi suivant.



Elle me répond non et m’explique ce qui a germé dans son esprit de femme jalouse.


Le mercredi, Eva ne vient pas au déjeuner avec Carole et je reçois un sms le jeudi matin m’indiquant que je ne devais pas oublier mes engagements du soir.


Ce jeudi soir-là, j’arrive à l’hôtel vers 18 heures, je demande si Eva est arrivée. On me répond par la négative ; je passe voir le maître d’hôtel au restaurant qui se souvient de moi et lui explique où je désire être placé, il me réserve la table. Je repasse à ma voiture, entre autres pour prendre mon sac et téléphoner à Carole. Nous parlons peu, nous limitant à l’essentiel.

Monté dans la chambre, je me repose dans le noir pendant plus d’une heure puis me douche et descends prendre place au restaurant. Je fais les choses en grand, commande une bouteille de champagne en demandant de ne pas l’ouvrir pour l’instant.


Eva arrive vers 20 h 30. Sa tenue est encore plus provocante que la dernière fois, elle porte un tailleur qui pourrait être sobre si la jupe n’était pas fendue depuis la hanche et si la veste était complétée d’un chemisier. Je me lève et lui glisse une bise sur les lèvres. Elle n’a pas prévu ça mais en tire parti en me gratifiant de son plus beau sourire. Je fais signe au garçon qui vient immédiatement nous ouvrir le champagne.


Elle me tend sa coupe en déclarant :



Paul 1, Eva 0. Je suis fier de moi, en même temps assez à l’aise.

Nous tournons autour du pot, jusqu’au dessert où je renvoie le serveur en lui demandant l’addition.

Puis en prenant mon portable, je dis à Eva :



« Tu me fais la tête depuis une semaine, demain tu sauras pourquoi tu peux me faire la tête. Je vais donner ma clef à Eva, c’est elle qui choisira si elle veut ou non me rejoindre. Je vais l’attacher au lit, la caresser doucement, puis après, je me ferai sucer et pour finir, je pense pénétrer un joli petit cul bien rond. Bonne nuit. »


Eva me regarde avec des yeux ronds :



Dix minutes plus tard, la porte de ma chambre s’ouvre. Eva ne s’est pas changée, moi je suis en peignoir de l’hôtel. Je l’enlace et l’embrasse.


Nos langues se rejoignent, sa main vient toucher mon sexe, je lui enlève et lui dis :



Je l’assois sur le lit et, un genou à terre, défais les boutons de sa veste un à un. Non seulement elle n’a pas de chemisier dessous, mais elle n’a pas non plus de soutien-gorge. Je lui tète doucement les seins, ils sont plus petits et moins fermes que ceux de Carole, je suis un peu déçu, je les voyais plus fermes.


Je me relève et lui tends la main pour qu’elle se relève aussi. Je l’embrasse à nouveau, puis je déboutonne et défais le zip de sa jupe, la descends délicatement et l’aide à l’ôter entièrement. Je recule, elle est en string noir avec un porte-jarretelles rouge et noir. Je la regarde dans les yeux et lui demande d’enlever son string, elle se met de dos, elle écarte doucement les côtés du fin morceau de tissu puis descend lentement celui-ci, la ficelle se dégage enfin des fesses. Elle se baisse, jambes raides, penchée en avant, son abricot brille sous ses fesses, elle est indécente et ô combien excitante.


Je reprends la partie et lui dis :



Elle s’allonge au milieu du lit et met ses bras en croix, je sors de mon sac des vieilles cravates et lui attache les deux mains au lit, puis lui pose un bandeau sur les yeux. Je lui dis :



Je vais à la salle de bain, fais couler l’eau et reviens avec Carole.

Nous nous asseyons tous les deux sur les fauteuils et restons silencieux. C’est Eva qui commence à s’inquiéter et qui demande ce que je fais. Je m’assieds sur le lit et commence à lui caresser le visage doucement, mon doigt descend sur son cou, se dirige entre les seins et remonte.


De ses doigts, Carole me montre sur elle-même, les caresses à effectuer. Elle ouvre son peignoir puis, tandis qu’un de ses doigts joue avec ses lèvres, elle se pince un téton. Je fais la même chose à Eva, accentuant les gestes de Carole, Eva laisse échapper un petit cri. Nous continuons ce petit jeu, pendant près d’une demi-heure, délaissant totalement le sexe d’Eva. Carole, attache ses cheveux sous forme d’un petit chignon et me fait signe de m’écarter.


Sans se servir de ses mains, elle plonge sa langue dans l’intérieur des cuisses d’Eva, elle mordille la peau juste au-dessus des bas, puis lui lèche le sexe d’une manière passionnée. Je n’en reviens pas de voir ma femme jouer avec le bouton d’une autre sans moi. Elle s’écarte, me sourit et me fait signe de prendre sa place.


Je reprends où en était Carole ; m’aidant de mes doigts, j’écarte ses lèvres et excite son clitoris avec ma langue. Celui-ci est dressé, fier. Je lui plante maintenant un doigt au plus profond de son vagin, elle halète doucement et gémit des petits « oui » m’invitant à aller plus loin, un deuxième doigt prend le relais du premier, elle est au bord de l’explosion.


Je m’arrête et dis doucement :



Lentement, avec les deux doigts qui l’ont masturbée, je frôle les lèvres d’Eva, qui sort sa langue pour les attraper, mais je bats en retraite. Eva pleurniche des :



Carole s’est agenouillée à mes pieds, a ouvert mon peignoir et me lèche doucement le gland, j’ôte mon peignoir et agis avec mes doigts sur la bouche d’Eva comme Carole agit sur mon sexe.

Quand Carole engloutit entièrement mon sexe, mes deux doigts s’enfoncent dans la bouche d’Eva puis, de l’autre main, j’ôte le bandeau d’Eva. Elle tourne la tête dans tous les sens pour se libérer, je lui pose ma main sur la bouche en me collant contre son oreille et je lui dis doucement :



Je m’assois alors sur le lit et Carole fait descendre et remonter ses lèvres sur ma colonne de chair bandée au maximum. Eva lui dit :



Je sens ma queue qui force le passage de la gorge de Carole mais sans entrer. Elle lui donne ensuite d’autres conseils, et c’est vrai que Carole écoute notre coach et s’améliore. Carole se couche à côté d’Eva et l’embrasse doucement. C’est à moi de manger ma femme, ma langue la lèche tant que je peux. Je vois ces deux femmes, l’une nue, l’autre en porte-jarretelles et bas.


Ma main excite le capuchon de ma femme, puis deux de mes doigts entrent à peine dans sa chatte et ressortent. Je remplace mes doigts par ma verge, je n’en peux plus, je suis pressé, je ressors et recommence à lécher Carole. Puis, j’humidifie son petit œillet et le caresse de deux doigts ; je fais retourner Carole qui se met à quatre pattes au-dessus d’Eva. Je reprends mes caresses sur les fesses de Carole qui a défait les liens d’Eva ; celle-ci se relève et vient en face de moi au-dessus de Carole.


Elle écarte les deux globes fessiers de ma femme, j’en profite pour entrer un doigt, je sens son anus se contracter et se relâcher autour de mon doigt. Je le retire et c’est Eva qui me remplace, un deuxième doigt rejoint le premier, elle tourne ses doigts dans le cul de ma femme qui gémit par moments mais ne se plaint pas. Elle retire ses doigts et, après avoir salivé sur sa petite collerette, j’y introduis à mon tour deux doigts. Carole est beaucoup plus relâchée, ses gémissements ressemblent de moins en moins à des petits cris de douleurs, mais plus à des soupirs de plaisirs. Eva se met devant Carole et lui soulève la tête, elle lui dit :



Je me positionne, mais Eva me dit :



Eva a repris les fesses de Carole et les écarte. Mon gland est posé sur son anus et je pousse doucement, le gland est presque passé quand Carole se déplace en criant légèrement. Je me repositionne, je sens qu’elle est inquiète, je lui dis de se détendre et recommence ; mon gland est passé, je reste sans bouger. Elle halète, ses petits cris sont entre douleur et plaisir. Je pousse doucement, chaque millimètre la fait réagir. Eva me fait signe de ressortir, puis de recommencer. L’introduction est plus facile et je pense, moins douloureuse. Je progresse doucement, Eva a relâché Carole. Mes mains sont sur les hanches de ma femme, je pousse doucement, avance petit à petit. Je suis presque entièrement entré, je commence des petits va-et-vient qui font geindre Carole puis je vais de plus en plus loin, de plus en plus profond. C’est une nouvelle sensation pour moi, je suis plus serré, ses fesses frappent sur mon ventre et font monter en moi l’envie de finir.


Carole s’accroche aux draps, elle va jouir. Il faut que je tienne ! Un long râle commence à sortir de sa bouche, mais je ne tiens plus et éjacule au plus profond d’elle. Je reste enfoncé, chaque jet la fait crier.

Je me retire doucement, elle s’allonge sur le ventre, la tête tournée de l’autre côté. Eva est partie, je ne sais pas quand, ses affaires ont disparu.


J’embrasse ma femme sur les épaules, elle me dit :



J’obéis, je reste longtemps sous la douche brûlante, la porte s’ouvre. Carole entre, se love dans mes bras ; elle baisse la température de l’eau, m’embrasse sur le torse et m’aspire les tétons. Mes mains lui caressent le dos, elle relève la tête et m’embrasse, nos langue se croisent, se battent, se caressent. Ma femme prend mon sexe délicatement et me branle doucement pour me faire devenir dur puis, lorsqu’elle sent que c’est suffisant, elle se retourne et, tenant toujours mon sexe, le présente et l’introduit dans le sien, sans difficulté.


Je m’enfonce doucement en elle, elle pose ses deux mains à plat sur le carrelage et se cambre de plus en plus. Je la lime à grands mouvements, tapant dans le fond de sa matrice et ressortant pratiquement. Elle écarte et recule de plus en plus ses jambes, je suis presque dos à la cabine et, sans signe avant coureur, elle se met à jouir. Ses jambes tremblent, elle crie, je la tiens collée à moi pour qu’elle ne glisse pas, sa respiration commence à se calmer. Je la plaque contre la paroi de la douche, j’ai plus de mal à la pénétrer comme cela, mais c’est plus serré. Je sens sur mon sexe comme une multitude d’anneaux qui l’enserrent et se relâchent. Ma main a réussi à passer entre la paroi et son sexe, je tapote son clitoris avec le bout des doigts, elle hurle maintenant, je sens une pression autour de mon sexe et je jouis à mon tour. Nous restons sous l’eau, moi en elle, de longues minutes collés l’un contre l’autre, puis elle se retourne et m’embrasse doucement en souriant.


Le lendemain matin, Carole me réveille, comme dans un rêve, elle m’embrasse doucement sur tout le corps, elle me dit :



En repassant devant la réception après le petit déjeuner, le réceptionniste nous appelle et nous dit qu’il a un paquet pour nous.


Nous le prenons et allons dans notre chambre pour découvrir, les bas et le porte-jarretelles d’Eva. Un petit mot y est accroché :


Quand vous n’arrivez plus à communiquer, utilisez cette parure, vous repenserez à moi.

PS : À mercredi copine.