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n° 14468Fiche technique31017 caractères31017
Temps de lecture estimé : 19 mn
08/07/11
Résumé:  Zozou l'idiot se trouve seul avec Charlotte. L'occasion pour lui pour découvrir des nouvelles sensations.
Critères:  fh fplusag neuneu hmast fellation pénétratio -inithf
Auteur : Zahi  (Informaticien, poète et glandeur)      

Collection : Les fureurs de Zozou l'idiot
Le chemisier rose de Charlotte

Les fureurs de Zozou l’idiot



1 – Le chemisier rose de Charlotte



Par l’entrebâillement de la porte, et par dessus la table basse jonchée de journaux dispersés, de verres et d’une bouteille d’eau, me parvient la voix de ma mère parlant à la grande dame qui porte une blouse blanche. J’ai mal sous le carré de sparadrap qu’on m’a collé sur la veine. De là, la douleur irradie dans mon bras entier, je sens mon épaule comme paralysée. Je suis fatigué, affalé dans le fauteuil de cuir sur lequel les deux énormes hommes viennent de me jeter.


Ma mère dit à la grande dame :



Maman se tait, la grande dame dit :



Il y a un long silence, puis j’entends ma mère qui pleure. La grande dame dit :



Ma mère sanglote toujours, elle ne dit plus rien. La porte à côté de moi s’ouvre et entre une petite femme qui porte un chemisier rose […] Chemisier rose […] Charlotte entre dans la maison en chemiser rose et en jean bleu. Elle se dirige vers la cuisine. Je suis les mouvements de ses fesses serrées et je sens ma queue gonfler. Ma mère est devant la porte, côté extérieur. Elle dit à Charlotte :



Ma mère se tourne vers moi. Elle me dit :



Puis elle s’adresse à Charlotte :



Ma mère claque la porte. Elle est dehors. Je ne la vois plus. Je suis devant Charlotte, je parcours des yeux son chemiser rose, et je m’arrête juste en dessous du cou, là où l’ouverture du col laisse apercevoir une fente épaisse et ombragée qui marque le début de ses seins et disparaît rapidement sous le chemisier.


Charlotte me dit :



Elle tend la main en direction de l’escalier, je comprends qu’il faut que j’aille dans ma chambre. Je me précipite pour monter. Ma queue fourmille.


Je m’installe sur mon lit et veux dormir. Mais ça se presse entre mes cuisses, mon truc a gonflé énormément et sort du slip. Coincé sous la ceinture du pantalon, il me fait mal. J’ouvre la ceinture. Il se libère, vacille légèrement, se gonfle une peu plus et se redresse. Je me sens soulagé. Je le prends dans ma main droite, à la base. Je le serre entre mes doigts et sens sa chaleur. Je serre plus fort, le plaisir augmente, je serre de plus en plus fort. La boule au bout devient rouge sang, sa membrane fine est tendue, ses petites rayures se sont dilatées. Mon bassin se crispe, une onde me traverse le corps des pieds jusqu’à la tête. Je fourmille de partout. Je desserre la main et respire trois grandes bouffées. Je crache trois fois dans ma main, disperse avec le pouce la salive sur la paume et les doigts, puis reprends ma bite. Je coulisse la main le long de la tige, je varie le rythme et sens le bien-être que cela me procure. Je ferme le pouce sur l’index et forme un anneau dans lequel je coince le bout. Je suis inondé de sensations agréables. Je fais divers petits mouvements sur cette petite boule gonflée, j’éprouve un grand plaisir, je coulisse l’anneau de haut en bas, je le tourne dans un sens, puis dans l’autre. Puis je reviens à la tige, puis au gland, puis à la tige, puis au gland. Ça se presse de plus en plus, ça fourmille. Soudain, je sens aux genoux une grande crispation, une force qui se développe à l’intérieur, difficile à localiser, elle se bouscule, veut sortir. Voilà le jet chaud et visqueux qui jaillit comme de la lave, culbute à un demi-mètre en haut, puis redescend partout sur le lit, sur mes cuisses, sur mes vêtements. Deux gouttes sur mon visage.


Je gémis, je gronde. Une violente sensation de satisfaction m’assaille, je pense à ma mère qui va s’énerver contre moi lorsqu’elle découvrira les traces de ma jouissance. Elle me privera certainement de télévision. Elle me privera de gâteau au chocolat. Il me faut rapidement nettoyer le liquide éparpillé partout. J’ouvre la porte et me dirige vers la salle de bain, je cherche une serviette et un peu d’eau. Mais Charlotte est là, devant le lavabo. Elle a enlevé son chemiser rose et mis sa robe de ménage. Avec nos reflets dans le grand miroir qui couvre tout un mur, nous sommes quatre. Elle me voit dans le miroir. Son regard pointe sur ma queue mouillée.


Charlotte me dit :



Je tente de prendre une serviette qui traîne sur le plan de marbre à côté du lavabo, mais Charlotte la prend avant moi.



En me parlant, elle trempe la serviette dans l’eau, l’essore avec énergie, puis l’étale sur sa main gauche et la pose sur ma queue. L’eau froide me choque puis me fait une agréable sensation de fraîcheur. Elle m’enveloppe toute la queue avec la serviette, la tourne trois fois, puis essuie mes bourses, et l’alentour de mon appareil. Enfin elle rapproche la serviette de son nez et la renifle longuement. Elle jette les yeux au plafond.



Charlotte se tait et me regarde dans les yeux. Elle prend une grande bouffée d’air. Ses petits yeux noirs brillent.



Charlotte se tait un moment, dans ses yeux passe une petite amertume.



Elle se tait une autre fois. Elle prend ma queue en pleine main et la balance légèrement. C’est plaisant. Elle ne me lâche pas des yeux.



Charlotte se tait encore. Elle renifle une autre fois la serviette, puis elle s’essuie le visage avec. Des résidus visqueux de sperme lui collent sur les joues et les paupières.



Charlotte s’arrête de parler et jette un coup d’œil au miroir. Je sens ma queue gonfler à nouveau. Je la vois se redresser devant le miroir.



Mon sexe se gonfle à nouveau à son maximum. Charlotte tend la main et le caresse du bout d’un doigt.



Elle se déplace devant moi, à un demi-mètre, et met son index sur ma bouche en répétant :



Je comprends qu’il faut pas que je dise quelque chose à ma mère. J’ai pas compris quoi. Charlotte répète encore la même chose, je hoche la tête, je n’ai toujours pas compris ce qu’elle veut. Elle prend ma queue entre ses deux mains et la caresse doucement, en même temps elle colle contre moi son petit corps dépouillé de toute graisse, se met sur la pointe des pieds et me fait un baiser sur la bouche. Elle sort la langue et la glisse entre mes lèvres fermées. J’ouvre légèrement les lèvres, elle introduit sa langue, je sens sa chaleur, je goûte sa salive mousseuse et légèrement salée, ça me plait. Je sors alors ma langue, elle enroule la sienne autour et m’inonde de sa salive. Je vois ses légers cheveux gris qui laissent apercevoir toute la peau de son crâne, ses petits yeux foncés enchâssés sous un petit front halé, son regard étrange comme la chatte noire des voisins. Ma queue dans une de ses mains devient trop raide, elle la serre de plus en plus, cela me fait mal, mais cela me plait beaucoup. Puis elle se sépare de moi, se met à genoux et présente sa tête à hauteur de mes hanches. Je peux la voir dans le miroir sortir sa langue et la taper contre mon sexe. Plusieurs fois, avant de m’essuyer le tout avec sa langue. De temps en temps, elle pose un petit baiser appuyé sur le gland, juste sur son petit orifice qui suinte des petites gouttes. Puis elle me lèche les bourses et les enduit de bave. Elle les mord légèrement, les malaxe de sa langue de soie. C’est bon, c’est excitant, je suis comblé de bonheur. Puis remontant la langue collée et appuyée contre la hampe, une fois arrivée au bout, elle met le tout dans sa bouche et l’enfonce dans sa gorge. Je sens mon sexe coincé entre les parois raides de son palais dans lequel elle le pousse encore et encore. C’est serré, chaud et palpitant, je commence à frémir. Puis elle recule la bouche, jusqu’à n’y laisser que le gland qu’elle enroule de la langue, puis avale le tout à nouveau. Elle reste ainsi un bon moment, alternant ses gestes, et cela renforce mon plaisir. Puis soudain elle me lâche, se met debout, s’écarte d’un pas, et enlève son pantalon et sa culotte à la hâte. Je suis toujours là, la queue dressée. Son petit corps palpite, elle tremble de partout, affolée. Elle se voit dans le miroir, met une main sur son sexe et dit :



Elle se retourne et appuie ses mains contre le mur, juste devant moi, me laissant voir son derrière. Puis baisse son torse, se plie au niveau des hanches et ouvre légèrement les jambes. Elle campe solidement sur le bout de ses pieds, les muscles de ses cuisses et de ses mollets se tendent et sa peau fripée devient lisse et miroitante. Je vois entre ses petites fesses libérées une moule mouillée et béante, avec deux grandes lèvres comme des petits bananes dressées de chaque côté, faisant une espèce de bouche verticale, entourée de poils en boucle, surmontée par un trou noir. Quelque chose m’attire vers la grande vulve, mais je n’ose pas. Charlotte me crie :



Je ne bouge pas. Charlotte ramène une main derrière et enfonce un doigt dans la moule, entre les bananes. Elle tord son cou pour me jeter un regard suppliant. Quelque chose me dit que je dois mettre mon sexe dans cette grotte, les gestes de Charlotte finissent par m’y convaincre. Je m’avance doucement d’un pas, elle me tient le sexe et le guide vers la moule. Une force me pousse à aller de l’avant, je donne un coup de hanche, mon sexe s’enfonce en entier. Charlotte pousse un cri sec et étouffé. Toute sa peau est devenue rugueuse, couverte de chair de poule. Je sens la chaleur de la grotte et son humidité, les parois lisses sur lesquelles je peux agréablement frotter. Je frémis de plus en plus, je gronde et meugle. Charlotte commence à balancer son bassin d’avant en arrière, faisant coulisser ainsi mon sexe dans son ventre, et me procurant de plus en plus d’extase. Je ne bouge pas, je me maintiens solidement sur mes jambes fléchies, tenant Charlotte par les flancs. Elle balance toujours les hanches.



Je comprends qu’il faut faire quelque chose. Comme Charlotte, je commence à balancer les hanches, doucement, et cela me donne plus de satisfaction, alors j’accélère le rythme et je frappe de plus en plus en plus fort. Charlotte crie franchement du plus profond de sa gorge, je dirais même de ses poumons. Elle sue en ondulant des hanches alors que je n’arrête pas d’aller et venir avec toutes mes forces. Je suis pris de spasmes. Toute ma chair a frémi, tous mes muscles se sont tendus. Puis je sens la course fatale, celle qui part de nulle part et se termine au bout de ma queue, dans son ventre. Je tente de retirer tout de suite mon sexe, mais Charlotte m’en empêche par une main qui presse sur une de mes fesses.



On reste ainsi un bon moment. Je déguste le plaisir que je viens d’avoir. Il ne me semble pas l’avoir goûté avant. Je suis transi, presque paralysé de haut en bas, ne pensant qu’à ce plaisir diffus qui m’inonde en entier.


Charlotte se redresse et mon sexe retombe entre mes jambes. Il en dégouline encore des petites gouttes. Charlotte se met sur la cuvette des toilettes et s’essuie avec de l’eau et du papier. Puis elle reprend la serviette mouillée et me caresse le sexe avec. Elle le presse et en tire encore des gouttes, et puis il n’y en a plus, elle me lâche, me fais encore un baiser sur la bouche. Elle se rhabille, me rhabille, me ramène dans ma chambre. Elle fait le ménage alors que je reste étendu dans mon lit, fatigué, avec un foisonnement de plusieurs nouvelles sensations.


Elle me laisse et je ne peux pas m’endormir. Puis elle revient avec un plateau, une cuisse de poulet, du riz et une pomme. Je bande à nouveau, depuis un moment.



Je sors de ma chambre et je me dirige vers la salle de bain, laissant descendre mon pantalon dans le chemin. Charlotte me rejoint, se met nue, s’appuie contre le mur, baisse le torse, tend les jambes. La moule, les petites bananes, le petit trou, les hanches, les cuisses, les mollets, la peau tendue, tout y est. J’avance, j’entre, ça me fait du bien.


Maman revient avec mon petit frère. Je sors de ma chambre et descend en vitesse les rejoindre. Charlotte entre dans le débarras. Maman dit :



Charlotte répond de loin :



Charlotte sort du débarras, elle porte un chemiser rose […] Chemisier rose […] La petite femme blonde et potelée s’assoit sur le canapé d’en face. Sa bouche est rose, comme son chemisier. Ses cheveux lui descendent sur les épaules en grandes mèches dorées et ondulées. Je veux qu’elle se mette contre le mur, qu’elle enlève sa jupe, qu’elle me montre sa moule, ses bananes, son petit trou, ses cuisses, ses hanches, ses mollets, sa peau tendue. Mais rien de cela. Je veux me lever, enlever mon pantalon, sortir ma queue qui ne bande pas. Mais je ne peux pas bouger. La veine sous la compresse me fait mal. La porte du Docteur s’ouvre, maman en sort, les yeux mouillés, la dame en chemiser rose entre et ferme la porte derrière elle. Maman m’aide à me remettre sur pied, j’ai du mal à me lever. La veine sous la compresse me fait mal.