n° 14473 | Fiche technique | 19872 caractères | 19872Temps de lecture estimé : 13 mn | 11/07/11 |
Résumé: Deux couples d'amis qui se retrouvent dans un souper après une visite au camp naturiste. | ||||
Critères: 2couples voisins revede nudisme fellation cunnilingu 69 pénétratio confession québec -entrecoup | ||||
Auteur : Rialeb |
Jean et Lisette sont des amis.
Jean est aussi un compagnon de travail, ils sont nos voisins.
Nous sommes dans la vingtaine tous les quatre. Lui est un grand blond de culturiste à ses heures. Elle, petite mais très bien faite, avec de gros seins, ventre plat. Elle n’a pas d’enfant et fait de la course à pied. Elle est très en forme.
Ma blonde, elle, fait 5’5’’ (1,65 m), en fait elle est plutôt blond-roux, avec plein de taches de rousseur, ce qui lui donne un air… ma foi, très joli. Je dois dire que les hommes en général ne sont pas indifférents à sa personne. Et, est-ce utile de le préciser, bien proportionnée pour sa grandeur, avec des seins qui sont très jolis sans être gros. Ils sont juste de la bonne grosseur et, fait à ne pas passer sous silence, les aréoles de ses seins sont roses. Elle s’appelle Mylène, et moi, Richard.
Pour ma part je fais 5’9’’ (1,75 m), et je suis un maniaque de sport, mon body est athlétique, pas de graisse et musclé.
Voila pour les présentations.
Tout commence un jour au travail, quand Jean me parle de nudisme.
Il n’en faut pas plus pour que je commence à avoir une érection, en imaginant le corps de sa blonde, que je n’ai vue qu’en bikini ou pire, toute habillée. Il en rajoute :
Je rapporte à ma femme la conversation que j’ai eue avec Jean, elle est surprise. Je lui demande ce qu’elle en pense :
Je m’attendais à une autre réponse de sa part, mais…
Le dimanche arrive, on prépare un pique-nique et on part rejoindre nos amis. Arrivés sur place, on est accueillis à la guérite du camping naturiste par un couple, lui gros et elle pas moins grosse, rien pour me faire bander. Enfin, on paye pour entrer, la barrière se lève et je vois nos amis qui sont sur le bord d’une petite plage. Et là, je sens que je vais avoir de la difficulté avec mon membre… qui commence à discerner les courbes très intéressantes de Lisette, la vue de ses seins est excitante. Et son beau petit cul ne fait rien pour calmer mon excitation et, disons-le, mon désir.
Ils viennent au-devant de nous pour nous accueillir. Ma blonde a déjà enlevé le haut de son bikini et dévoile ses seins. Jean ne reste pas indifférent, son pénis prend une position qui ne laisse aucun doute sur le plaisir que lui procure la vue des seins de ma blonde, et quand elle enlève sa culotte, sa chatte blonde augmente encore la position rigide du pénis de Jean.
Quant à moi, je me demande quand mon pénis va débander ? S’il débande un jour !
Jean m’aide à vider le coffre de la voiture, qui contient le pique-nique, la concentration… hum hum… requise pour faire cette activité a réussi à me calmer un peu, j’ai hâte de m’allonger sur la plage… sur le ventre.
Enfin je commence à m’habituer à mon nouvel environnement, et la journée se passe bien, très bien, même. Je regarde à la dérobée les autres femmes nues, et il y en a des belles et des très belles. Ma blonde a bien aimé sa journée et s’entend bien avec Lisette.
De retour au travail, Jean me demande mes impressions :
Le samedi arrive et on se rend chez Jean et Lisette. Leur maison est un beau petit bungalow tout propre. Le terrain est très bien entretenu, comme l’intérieur de la maison d’ailleurs. On passe au salon pour l’apéritif, on jase de tout et de rien, puis on passe à table. Lisette est une cuisinière hors pair, sa table est excellente et le repas est bien arrosé par quelques bouteilles de bon vin. La conversation prend une direction qui ne pouvait être autre. On parle de notre expérience au camp de nudisme, les filles nous regardent avec des yeux moqueurs, une chance qu’elles ne voient pas sous la table, car elles verraient que mon pénis en a long… à dire. Alors on se met à parler et à décrire ce que l’on a vu : les femmes grosses, grasses, maigres, bien faites, gros seins, petits seins. Et les filles de décrire à leur tour : gros ventres, grosses fesses, gros pénis, longs pénis, petits pénis, tout le monde rigole !
La température monte soudain dans la pièce, j’ai très chaud, et je suggère de nous déshabiller, après tout le nudisme ça peut se pratiquer à l’intérieur. Jean abonde dans le même sens que moi. Là, les filles disent :
Je commence, j’enlève ma chemise, mon pantalon, mes bas, et je me retrouve en boxer. L’érection que j’avais n’a pas diminué, et ce détail n’échappe pas aux regards des filles.
Jean ne perd pas de temps, et lui aussi se retrouve en caleçon bikini. Et lui aussi, son slip a une bosse qui ne trompe personne.
Les deux filles se regardent, et à tour de rôle enlèvent leur jupe, viennent ensuite une blouse pour Lisette et un chandail pour ma blonde.
À la vue des filles dans leurs sous-vêtements, mon pénis est gonflé et ne demande qu’à sortir pour exprimer sa joie. Je peux voir que Jean est dans la même situation que moi et que sa verge n’est pas moins bandée que la mienne.
Jean et moi passons au salon, pendant que les filles finissent de ranger les restes du souper.
Je m’assois par terre sur la moquette, et Jean prend place sur le sofa. Il allume un petit joint.
Je n’y tiens plus et je retire mon boxer, ma verge pointe vers le haut, je suis bandé. Jean éclate de rire en me voyant, et il retire son slip, il est bandé lui aussi, c’est la deuxième fois de ma vie d’adulte que je me retrouve face à un gars tout nu et bandé.
Les filles arrivent et nous voient tous les deux avec nos pénis en érection, leurs yeux sont braqués sur nos verges. Je dis :
Je sens une certaine gêne, mais elles sentent qu’elles n’ont pas le choix. Après quelques encouragements, ma blonde enlève son soutien-gorge, le pénis de Jean n’a d’yeux que pour les seins de ma blonde, son érection est encore plus dure. D’instinct, il porte la main sur sa verge pour se calmer, mais rien à faire. Vient ensuite sa petite culotte. Là, je crois bien que de la cyprine s’écoule de sa verge qui doit être en feu. Je ne suis pas en reste moi-même, voir ma blonde se déshabiller devant un autre homme me fais bander encore plus fort.
Quand sa blonde dévoile ses seins et que je vois ses mamelons, tout bandés, durs, je ne comprends pas comment il se fait que je n’éjacule pas. Quand elle retire son slip et que je vois sa chatte bien propre et ses lèvres luisantes, je n’ai qu’une envie, mettre ma bouche sur sa chatte et glisser ma langue dans sa fente que je devine juteuse.
Mais là, je fantasme, comme si j’avais besoin de cela pour m’exciter. Ma blonde va s’asseoir sur le sofa à côté de Jean. Lisette vient près de moi sur la moquette. Je ne crois pas ce qui se passe. Nous nous sommes bien vus… nus au camp de nudisme, mais là, à l’intérieur, il y a une autre dimension et une intimité que le parc de nudisme ne transmettait pas. Nous sommes deux couples complètement nus, et les deux gars, Jean et moi, bandés comme des taureaux. Les filles ne parlent pas, nous non plus, puis Lisette, en regardant mon pénis qui se tient plus droit que droit, me dit :
Alors, tout le monde éclate de rire !
Ma blonde à son tour passe une remarque sur la verge de Jean, qui n’est pas bien moins grosse que la mienne, peut-être même un peu plus longue.
Il y a de la musique qui joue, mais il y a longtemps que je n’entends plus rien. Quand je sors enfin de ma torpeur, nous nous levons et nous commençons à danser. Je dirais plutôt, commençons à nous frôler, nos verges étant toujours aussi dures, il est impossible de faire quelque mouvement que ce soit sans que mon pénis touche une cuisse, la même chose pour Jean.
Jean prend Lisette dans ses bras pour danser, sa verge directement sur son bas-ventre, il se met à lui caresser les seins et à l’embrasser. Mylène et moi, excités par ce qui se passe sous nos yeux, on fait la même chose.
Le bruit des lèvres qui s’embrassent, la langue, les mains sur les seins, sur les fesses, ils nous regardent et nous les regardons. Jean prend l’initiative de passer une main sur la chatte de Lisette, qui écarte légèrement ses jambes. Il lui passe le doigt et elle frémit sous sa main experte, puis il sort son doigt et le porte à la bouche de Lisette qui le suce.
Je vais venir !
Déjà que ma verge laisse échapper de la cyprine qui vient se coller entre les cuisses de ma blonde, qui elle aussi ouvre les jambes. C’est elle qui, avec un doigt, vient chercher les gouttes de cyprine de mon pénis et les porte à sa bouche.
Nos amis se rapprochent de nous, et Jean, avec sa main libre, qui n’est pas sur la chatte de Lisette, se permet de caresser les fesses de ma blonde. Elle le laisse faire.
Je ne perds pas de temps de mon côté, je porte une main sur les fesses de Lisette. Elles sont très douces et fermes, je m’aventure même à laisser glisser un doigt le long de sa fente, jusqu’à son entrejambe, elle est mouillée, très mouillée.
Nous ne dansons plus, nous explorons nos corps et nous découvrons plein de sensations, nos couples ne sont plus qu’un. Un quatuor. Jean et moi, nous nous écartons de nos compagnes.
Jean a maintenant les deux mains sur les seins de ma blonde et la caresse. Je fais de même avec ceux de Lisette. Il n’y a pas si longtemps, je fantasmais mais là, je ne rêve plus.
Ma blonde n’est pas en reste, elle vient de prendre la verge – toujours dans un état de dureté incroyable – de Jean dans ses mains, je devrais dire dans sa main, pendant que lui est toujours affairé avec ses mains et maintenant sa bouche sur les seins de ma blonde. Elle se dandine et elle coule, je vois ses cuisses luisantes de jus qui s’échappe de sa chatte, qui doit être brûlante.
Ma bouche, ma langue se délectent des seins de Lisette. Je les honore, je voudrais les avaler. Ils sont durs et ronds, et les mamelons sont bandés et longs, je n’ai jamais rien vu de semblable. Jean et ma blonde s’écartent de nous et se dirigent vers le sofa, tout en continuant de s’embrasser et de se caresser, leurs mains tantôt sur les fesses, tantôt sur la verge, tantôt sur la chatte et dans la chatte.
Jean prend une position assise sur le bras du sofa, les jambes bien écartées, et là je vois ma blonde qui se met à genoux et qui prend le gros bandage de Jean dans sa bouche. Elle commence par promener sa langue sur le gland, qui est rouge comme du feu, lui se met à gémir de plaisir. Avec sa main elle le masturbe tout en continuant à le sucer. Elle enfonce presque toute la longueur de son pénis dans sa bouche. Il a le dos arqué, les yeux fermés, et dit :
Elle accélère le mouvement, et il n’en faut pas plus pour qu’il éjacule dans sa bouche. Elle avale tout et se permet même avec sa langue de faire le tour de son gland pour tout ramasser. Je n’avais jamais vu ma blonde faire cela. Il ne perd que très peu de vigueur et à peine remis, ma blonde recommence à le masturber. Cependant, dès qu’il a repris ses sens, il reprend où il avait laissé, soit en lui caressant les seins et en l’embrassant. Il se relève de sa position et l’aide à venir sur le sofa. Il l’allonge confortablement et plonge sa figure sur sa chatte, j’entends le bruit de sa langue qui lui masturbe le clitoris, avec une main il lui passe le doigt, elle ouvre les jambes le plus grand possible et s’offre toute entière à lui, à ses mains, à sa langue. Son clitoris devait être prêt car, dès que sa langue le touche, ma blonde se met à cambrer les reins et à gémir, il continue encore pendant un moment, là ma blonde relève la tête et avec une main, prend la verge qui a repris sa vigueur et se la fourre dans la chatte en émettant un long soupir.
Jean amorce alors un mouvement lent dans la plotte de ma blonde, qui jouit. Il sort lentement de sa chatte et y enfonce tout aussi lentement sa verge dure dans le sexe juteux. On entend le bruit du va-et-vient. Comme il est déjà venu, il réussit à faire durer le plaisir un peu plus, mais ma belle ne l’entend pas de cette façon, elle se cabre et prend les fesses de Jean et le force à la fourrer, elle veut toute sa pine dans la chatte et elle le veut, si bien qu’il lui prend les hanches et se met à la fourrer à grands coups, elle crie, elle jouit et lui aussi. Il explose dans sa chatte qui, déjà pleine, ne peut en prendre d’avantage, tout le sperme de l’éjaculation ressort de sa chatte et coule sur ses cuisses, pour sa part son pénis est dégoulinant de sperme, il s’allonge sur elle, ils sont repus mais la satisfaction et le plaisir se lisent sur leurs visages.
Lisette et moi n’assistons pas à ce spectacle des plus érotiques sans rien faire. Oh que non !
Pendant que Jean se fait sucer, moi je suis déjà sur le bas-ventre de Lisette, et ma langue cherche et trouve sans difficulté son petit bouton d’or. Avec mes doigts, j’écarte ses grandes lèvres qui sont luisantes de jus, déjà que Jean a amorcé le plaisir en lui passant le doigt et moi qui en ai rajouté en lui caressant les fesses et en vérifiant l’état juteux de sa chatte… Je n’ai qu’une idée en tête, la faire venir en lui mangeant la plotte. Je me positionne pour lui brouter la chatte, mais la coquine se tourne et se met en position de 69, heureux dénouement d’une action à peine entreprise. Elle sent bon, elle sent le sexe. Je suis toujours aussi bandé et excité, et par l’onctuosité de sa vulve je la sens prête à subir une jouissance qui n’aura d’égale que la mienne.
Je sens sa langue toucher délicatement le bout de ma verge, la fraîcheur et la douceur de sa langue me font du bien. Mon pénis est en érection depuis un bon moment, je le sens prêt à éclater à tout moment, mais avec beaucoup d’habileté, elle réussit à faire accroître davantage le plaisir. Je sens que je ne pourrai pas me retenir longtemps et je n’ai plus et pas envie de me retenir, je veux jouir. Je parviens quand même à me contrôler suffisamment pour résister encore quelques secondes, ces secondes qui me permettront de la faire jouir elle aussi, car je n’ai pas retiré ma bouche de son sexe qu’elle m’offre toutes jambes écartées. J’y plonge ma langue sur son clitoris et un doigt dans sa chatte qui dégouline de jus, elle se cabre et je la sens prête à exploser, puis quand moi-même je ne peux plus me retenir, je sens son corps se raidir, sa bouche se crisper sur ma verge, et presque ensemble nous jouissons. Jean et ma blonde, qui eux aussi sont en pleine action, nous jettent un coup d’œil mais sans plus, tant ils sont préoccupés par leur plaisir.
À peine ai-je joui que je change de position pour me retrouver cette fois face à Lisette. Elle m’accueille avec un baiser et sa langue se fraie un chemin dans ma bouche. Ses lèvres et sa langue sont encore tièdes de mon sperme, et je crois bien que moi aussi ma bouche goûte son sexe. Nous nous embrassons longuement, puis je sens sa main se poser sur ma verge, qui a peu perdu de sa vigueur. Voyant que mon pénis est encore en bonne forme, elle me glisse à l’oreille :
Comme je viens pour me positionner, elle-même me tourne le dos et me présente son joli petit cul, et d’une main elle ouvre les lèvres de sa chatte toute ruisselante pour que j’y glisse ma verge en feu. Elle est debout, en appui sur le mur et penchée par en avant. Je tiens ses hanches et je la pénètre doucement pour commencer. Ma verge n’a aucune difficulté à s’engloutir dans sa vulve moite et chaude. Quelle douceur ! Quel bonheur ! Elle se tient sur le bout des pieds et elle pousse avec ses fesses pour que je la pénètre. Je ressors tout doucement et je recommence le mouvement. Elle pousse avec ses fesses, elle en veut, j’accélère le mouvement et là, elle commence à bien me sentir. Je sens son sexe se serrer à chaque fois que je la pénètre, ce qui a pour effet de m’exciter davantage. Ses fesses ne cessent de pousser sur ma verge. Elle commence à jouir, elle gémit, elle émet des cris à peine étouffés, bientôt elle crie :
Je suis tellement excité que je viens en elle, mais elle ne ralentit pas ses poussées avec ses fesses, si bien que je continue à la pomper encore quelques coups et qu’à son tour, elle laisse échapper un long soupir de plaisir, de jouissance. Nous restons quelques instants dans cette position, mais je sens ses jambes qui commencent à manquer de force. Je la prends sous les bras et nous nous allongeons sur le tapis, enlacés, échangeant des baisers. Encore dans un état d’extase, je vois Jean et ma blonde allongés sur le sofa. Ils ont l’air d’être dans le même état que nous.
Je ne sais pas combien de temps s’écoule avant que l’on reprenne nos esprits. Ce que je me rappelle, c’est que nous nous dirigeons tous les quatre vers la salle de bain. Jean pare la douche, et nous entrons tous les quatre dans la douche, là on rit, on se frotte le dos, les fesses, les seins, le pénis, tout y passe, puis on sort, on s’assèche. Nous retournons au salon, toujours aussi nus et sans gêne. Jean nous offre un verre de vin que nous buvons avec délice, ce qui couronne une belle soirée.
Cette soirée devait être le prélude de quelques soirées toutes aussi chaudes. Je vous les raconterai une autre fois.