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Temps de lecture estimé : 27 mn
22/07/11
Résumé:  Une femme, fétichiste en matière de chaussures, découvre des plaisirs inattendus en l'absence de son compagnon.
Critères:  fh ff ffh grossexe vacances magasin chaussures fmast hmast fellation cunnilingu 69 fgode fist pénétratio fdanus fsodo -totalsexe
Auteur : Charlie st-trudin
Parenthèse

8 juillet 2011


J’ai une réelle passion pour les chaussures. Ou, peut-être, devrais-je écrire : je souffre d’une irrépressible passion pour les chaussures. J’aimerais pouvoir en acheter une nouvelle paire chaque semaine, voire chaque jour. J’aimerais pouvoir flâner dans les magasins et essayer toutes les paires qui m’attirent, des heures durant. J’aimerais ne pas avoir à subir les regards en biais des vendeurs, qui se disent : « La blonde, là, au fond, tu as vu, elle est là depuis au moins deux heures ! Elle arrête pas d’essayer des pompes… elle a toujours rien acheté… et, regarde-la bien : je suis sûr qu’elle était déjà là la semaine dernière… »


Oui, ils ont raison : la semaine dernière, je passais d’un rayon à l’autre, essayant une paire de belles sandales argentées à talons compensés là, enfilant de fins escarpins noirs à talons aiguilles ici, glissant mes pieds dans de magnifiques bottines à boutons hors de saison… Sans doute que mon obsession pour les chaussures n’est pas normale. Cela expliquerait pourquoi les gérants des magasins, qui m’ont repérée, sont aussi hostiles vis-à-vis de moi ! Et pourtant, je ne fais rien de mal : j’aime tant les chaussures, comment peuvent-ils me soupçonner de les abîmer ?


Heureusement, j’ai découvert – il y a quelques semaines de ça – un endroit différent. Un petit magasin dans lequel je peux m’égarer, des heures durant, extirper telle paire de chaussures et en éprouver la souplesse, remettre la boîte en place et en prendre une autre à côté… sans que le propriétaire ne semble s’en offusquer ni ne me fasse la moindre remarque.

Je vois bien ses regards, je vois bien qu’il m’a vue. Mais il ne me dit rien et m’accueille à chaque fois avec un « bonjour » qui semble sincère…


Aussi suis-je retournée là, encore une fois, aujourd’hui, en sortant du travail. J’avais envie de glisser mes pieds dans de jolies chaussures toutes neuves, admirer la beauté qu’elles m’offraient, sans contrepartie, et les reposer sagement dans le rayon avant de rentrer dans ma maison, vide de mon compagnon parti en vacances.


Le magasin était quasiment vide. Au rayon « enfants », une maman tentait désespéramment de faire mettre des sandales de plage en plastique à son fils. Le petit avait raison, à mon avis : le rouge fluo était hideux. Plus loin, au fond du magasin, là où sont relégués les soldes, un homme semblait perdu devant le choix qui s’offrait à lui.


Je saluai le propriétaire au passage, d’un signe de tête, et me dirigeai vers les magnifiques escarpins que j’avais remarqués la dernière fois – deux jours auparavant seulement !

Ils étaient toujours là, en bas du rayon. Un seul des deux, que j’enfilai de suite, était en exposition – et à ma taille. Je m’accroupis et tentai de dégager la boîte. J’avais hâte de mettre le deuxième. La boîte semblait coincée, j’avais beau tirer, elle ne sortait pas du rayon.


Alors que j’étais toujours accroupie, me débattant avec la boîte à chaussure rebelle, je sentis soudain se coller contre moi un autre corps. Les quelques mots :



Je n’eus pas à tourner la tête pour reconnaître la voix du propriétaire.



J’avais tellement besoin d’enfiler ces escarpins, ils étaient tellement beaux ! Je ne pouvais qu’accepter. Je ne pouvais que hocher la tête.



J’obéis.

Ce n’est qu’une fois debout que je me rendis compte de ce qu’il s’était passé, tout occupée que j’étais à enfin mettre cette putain de chaussure…


Alors que j’étais accroupie, il avait soulevé ma courte robe, et avait glissé un doigt dans l’élastique de ma culotte en dentelle. Lorsque je me relevai, la culotte resta accrochée à son doigt, descendant le long de mes jambes.


Je vis ma culotte sur mes chevilles, désemparée. Et je regardai l’escarpin orphelin, à mon pied gauche. Je n’eus pas une seconde d’hésitation. D’un léger geste des pieds – toujours déséquilibrée à cause de l’absence du deuxième escarpin – je finis de poser ma culotte. Abandonnée sur le sol, elle faisait à la fois pitié et envie. Le propriétaire l’empocha rapidement.


Une fois ma culotte disparue dans la poche de son jean, il me fit un sourire encourageant. Et il décoinça la boîte et sortit l’escarpin tant désiré. Il prit mon pied droit et, délicatement, mit la deuxième chaussure, me rééquilibrant ainsi. Le propriétaire se remit debout. J’admirai mes deux pieds, si hauts, si beaux, si vertigineux dans ces escarpins talons aiguilles. J’en oubliai ce qu’il venait de se passer.

Le propriétaire me ramena à la réalité. Il était debout à côté de moi.



Et je sentis une de mes fesses, nue, prise à pleine main. Sa main n’était pas rugueuse, pas rude, pas désagréable. Au contraire. Pour moi qui subissait l’absence de mon compagnon depuis plus d’une semaine, sentir cette main sur ma fesse, la pétrissant et faisant ainsi béer ma chatte, c’était… frustrant. Je me rendis compte, rougissante, que j’en aurais voulu plus.


Mais ce connard se barra vers la caisse, où la maman avait enfin décidé que, malgré les récriminations de son fils, les sandales rouge fluo en soldes étaient parfaites pour l’usage qu’il en aurait cette année.

Je fis quelques pas, un peu sonnée, dans le rayon. Je ne savais trop que faire. M’avait-il dit que les escarpins – tellement hors de prix ! – étaient à moi ? M’avait-il dit autre chose ? Je n’étais plus sûre de rien…


Je testai la marche, sur ces échasses qui me faisaient des jambes sublimes – d’autant plus longues que ma robe était courte. Par curiosité, arrivée devant un miroir, je me retournai et me penchai : effectivement, si je souhaitais ramasser quoi que ce soit par terre en me pliant en deux, quiconque était derrière moi avait une vue imprenable sur ma chatte et ma rondelle.


Je continuai mes déambulations dans le magasin. J’arrivai vers le rayon « soldes », où le pauvre garçon – il n’avait pas plus de vingt ans – semblait plongé dans des abîmes de réflexion. Être aussi grande que lui sur mes talons, ressentir l’air frais de la climatisation sur mes grandes lèvres, tout cela était grisant. Je n’avais pas bu une goutte d’alcool et pourtant j’avais la tête qui tournait.

Je regardai le mec – pas moche, mais pas exceptionnel non plus – et pris une paire de chaussures en taille 42 :



Il me récompensa d’un sourire béat et se dépêcha d’essayer les chaussures. Je continuai ma balade dans le magasin.

Penchée au-dessus du rayon « collants / bas », alors que je cherchais des nouveaux bas couleur chair pour les fraîches soirées estivales, je sentis une main se poser sur la raie de mes fesses. Je savais que c’était le propriétaire. Je n’osais plus bouger. De peur qu’il n’aille plus loin ? Ou de peur qu’il ne s’en aille ? Allez savoir…


Je vous mens : je savais très bien. J’avais peur que tout cela ne soit qu’un jeu et qu’il ne retourne sagement à sa caisse. J’aurais perdu ma jolie culotte en dentelle et j’aurais juste eu le droit de retourner chercher mes vieilles – d’une semaine – chaussures dans le rayon des escarpins dans lequel je les avais lâchement abandonnées.


Je n’avais pas envie de cela.


J’avais envie de ses doigts dans ma chatte, j’avais envie de sentir une queue dans mes orifices frustrés de l’absence de mon mec. Je lui fis comprendre en creusant un peu plus le dos et en poussant mon cul vers lui.

Il comprit immédiatement. D’autant plus que mes grandes lèvres commençaient à être humides de désir. Il n’eut qu’à les effleurer d’un doigt pour s’en assurer. Je n’en pouvais plus. J’étais sur ses escarpins immenses, le cul en l’air, lisant, sans parvenir à lire, le prix des bas, et ma robe me couvrait tout juste les fesses. Il aurait défait la ceinture de son jean et enfoncé sa queue dans ma chatte d’un grand coup, je n’aurais pas dit autre chose que « oui » et j’aurais sans doute répandu ma mouille entre mes pieds.


Mais encore une fois, il enleva son doigt posé sur ma chatte et se barra vers la caisse.


Je me relevai, m’assurai que ma robe était bien descendue sur mes fesses et regardai vers la caisse. Le désespéré des soldes avait finalement pris la paire de chaussures que je lui avais choisie et était en train de payer.


J’étais donc seule avec le propriétaire dans le magasin…


Je n’eus pas beaucoup à attendre. Le dernier client n’avait pas franchi la porte qu’il était déjà de retour vers moi. Nous ne prononcions pas un mot. Parler n’était pas nécessaire, et sans doute que cela aurait tout gâché.


Alors que j’étais face à lui, il me retourna. Sans qu’il me dise quoi que ce soit, je me pliai en deux et m’accrochai au rayon en face de moi. J’avais la tête plus basse que le dernier rayon. Je remarquai que le propriétaire pouvait voir la porte d’entrée – et surveiller l’intrusion d’un éventuel client.



Je fis « oui » de la tête. Qu’est-ce qu’il croyait ? Je suis une telle passionaria des chaussures, bien sûr que je sais ce qu’est un embauchoir ! Quelle question !

Comme si mon hochement de tête ne lui suffisait pas, il mit devant mon nez une de ces formes en bois ciré que l’on met dans les chaussures pour les assouplir. Elle était encore dans son emballage. J’étais à la fois tétanisée et impatiente qu’il me prenne. J’imaginais sa queue dure et tout aussi impatiente que ma chatte. J’entendis le bruit du plastique qui se déchire.


Je sentis soudain qu’il glissait l’objet entre mes grandes lèvres. Sans aller plus loin.



Je sentis ma chatte s’ouvrir et attendre le gode improvisé avec avidité. Avec tant d’avidité que j’eus un mouvement du bassin en arrière et que je m’empalai un peu sur la forme en bois. Elle était lisse mais pas glissante.

Le propriétaire l’enleva un instant et frotta mon clitoris et mes grandes lèvres avec ses doigts. Il ne put que constater que je mouillais déjà beaucoup… Il passa donc l’embauchoir sur mes grandes lèvres, sur mon clito, sur la raie de mes fesses, histoire de bien l’humecter de ma mouille. Et il me l’enfonça dans la chatte. J’eus un grand cri.


Il prit mes hanches à deux mains et poussa l’embauchoir un peu plus avec son bas-ventre. C’était jouissif de me faire prendre par cet objet improbable, par cet inconnu, sans que je ne sente même l’odeur de sa queue, de son corps.


Il était doux mais impérieux, et je me laissai empaler allègrement, peu à peu, avec une envie de voir jusqu’où l’objet pourrait aller. Le proprio lâcha mes hanches et passa ses doigts sur ma chatte, qui commençait à dégouliner. Il humecta ma rondelle. Et il la pénétra avec deux doigts, commençant un mouvement de va-et-vient qui augmentait mon excitation. De son autre main, je le sentis manipuler l’embauchoir : je compris vite qu’il était en train de l’agrandir, ma chatte était de plus en plus écartelée.

Je ne répondais plus de rien. L’embauchoir n’était pas désagréable, au contraire, mais j’avais envie d’une grosse queue, aussi large que ce machin, qui me pilonne la chatte.

Il ne semblait pas pressé de me la donner, le salaud…



Ses mains étaient de nouveau sur mes fesses. Il les écarta et, de ses deux pouces, enfonça encore un peu plus l’embauchoir. Je retins un petit cri. L’embauchoir me remplissait la chatte jusqu’à la courbure du faux pied. C’était énorme. C’était bon. Mais il manquait à mon goût de relief, de mouvement, de vitalité.



Il ne répondit rien, il s’accroupit derrière moi. Il me fit écarter les jambes davantage. Il se mit à genoux entre mes pieds toujours magnifiquement chaussés et commença à me lécher les grandes lèvres. Il remua un peu l’embauchoir qui me perforait la chatte. Le flot de mouille ne tarda pas à me couler le long des cuisses.



Il se remit debout et me releva. Je lui tournais toujours le dos. J’avais toujours l’embauchoir coincé au fond de mon con. Il me força à me retourner et fit glisser les bretelles de ma robe, qui tomba à terre. Il la ramassa, la respira, et la posa sur un rayon derrière lui. J’étais en escarpins, totalement nue, remplie d’un objet dont je n’avais jamais imaginé, auparavant, qu’il puisse servir au plaisir sexuel. Je m’offrais à lui. Et je voulais qu’il me prenne vite, avant que la douleur qui me perçait le bas-ventre ne devienne insoutenable. Pas la douleur liée à la présence de l’embauchoir dans ma chatte. La douleur liée au besoin de me faire défoncer la chatte sans plus attendre.


Je mis les mains sur sa ceinture, j’attendais presque qu’il me repousse, tant il avait été patient jusqu’à présent. Il m’encouragea d’un hochement de tête. Je continuai donc. Je défis sa ceinture, fis sauter les boutons de son jean et descendre celui-ci sur ses hanches. J’avais hâte de voir sa queue, hâte de la toucher. Je commençais à croire qu’il avait un problème, tant il avait été timide. N’importe quel mec m’aurait prise bien avant. Lui, semblait hésitant à me montrer son vit. Je mis un doigt dans l’élastique de son caleçon, distendu par le désir, autant que ma chatte l’était par l’embauchoir. Et je le fis glisser.

Je compris alors pourquoi il avait besoin d’un embauchoir. Je compris pourquoi il m’avait ouvert la chatte ainsi, avant de me montrer sa queue. Je compris que ses étranges préliminaires étaient nécessaires. Je compris sa quasi timidité.


Sa queue était anormale. Il était d’une taille moyenne, ni gros ni maigre, mais sa queue était anormalement énorme. Tout à mon étonnement, je le regardai enfin. Il eut un sourire penaud, comme s’il s’excusait d’être affublé d’un tel sexe.



Je ne me fis pas prier. Je mis mes deux mains sur ce chibre au diamètre incroyable. Je ne parvenais pas à fermer ma main sur sa queue, elle était trop large. Elle n’était pas très longue, mais je ne réussissais pas en faire le tour entre mon index et mon pouce. Je n’en revenais pas.


Je me mis à genoux et, comme pour m’assurer que je ne rêvais pas, je mis ma bouche autour de son gland. J’avais de la peine à l’entourer entièrement avec mes lèvres. Impossible de me l’enfoncer dans la bouche, elle était trop grosse.



Oh que oui, j’avais peur. S’il savait à quel point j’avais peur !

Il pensait que j’avais peur d’avoir mal, que j’avais peur qu’elle me déchire la chatte.

Il avait tout faux.

J’avais peur de prendre trop de plaisir à m’empaler sur cette queue large et nervurée. J’avais peur de ne plus pouvoir être satisfaite désormais en l’absence d’un tel calibre, si je l’essayais.


Il était encore temps de rentrer chez moi.


J’avais peur car tout ceci n’était qu’un malentendu. Je me retrouvais dans cette situation à cause de ma passion pour les chaussures et parce que ce mec avait senti que j’avais envie d’être baisée. Mon compagnon, qui accomplissait d’habitude cette tâche avec joie et jouissance, n’était pas là. Or mon mec, aussi doué soit-il pour me procurer des orgasmes, n’avait pas une queue aussi énorme. J’avais peur, en prenant mon pied sur la queue de cet inconnu, de ne plus pouvoir désormais me satisfaire de celle de mon amant officiel…



Sa question me ramena à la réalité, loin du cas de conscience dans lequel je me débattais. Pour toute réponse, je me relevai et, les jambes un peu écartées et pliées, je me mis à jouer un peu avec l’embauchoir entre mes grandes lèvres. Quand je l’ôtai de ma chatte, un flot de liquide me coula entre les cuisses.


Je lui rendis l’embauchoir. Puis je me tournai et repris ma position, les mains sur le dernier rayon de l’étal, les reins creusés, le cul en l’air, la chatte offerte.


Je n’eus pas à attendre longtemps. Le propriétaire prit mes fesses et les écarta. Je sentais l’air frais de la clim me caresser l’entrée de la chatte. C’était intenable. Une queue inimaginable se présenta enfin entre mes grandes lèvres et s’introduisit, d’un mouvement lent et continu. Pour qu’il n’ait aucun doute sur mes intentions, je poussai le cul vers lui, pour ressentir jusqu’au bout le diamètre de ce braquemart incroyable. Lorsque ses couilles tapèrent sur mes grandes lèvres, je demandai intérieurement pardon à mon compagnon d’éprouver autant de plaisir sans lui. De prendre ainsi mon pied sans qu’il soit là pour en profiter. La déchirure de ma chatte était jouissive. Mes jambes tremblaient et une vague de chaleur m’envahit.


Le proprio ne bougeait plus. Ses mains écartaient mes fesses, sa queue me déchirait la chatte, ses testicules me chatouillaient l’abricot, et il ne bougeait plus.

Je compris qu’il n’osait aller plus loin. Je compris que la plupart des nanas devaient fuir en voyant ce chibre, de peur d’avoir mal, d’être blessées. Elles ne devaient même pas être assez lubrifiées pour l’accueillir.

Ce n’était pas un problème pour moi. Je mouille facilement, et les jeux sexuels auxquels nous nous adonnons fréquemment avec mon compagnon ont plus qu’assoupli ma chatte. J’avais donc englouti sa queue avec délectation, sans douleur, mais avec un plaisir qui me fit un coup au cœur.



Il n’attendait que ça.

Il agrippa mes hanches et commença à me pilonner. Je dus me cramponner au rayon pour ne pas perdre l’équilibre, pour ne pas me taper la tête. Je baissais la tête et je voyais mes petits seins qui tressautaient en cadence de ses coups de reins. La sensation était inimaginable, à la limite de l’indescriptible. J’étais nue, perchée sur des talons vertigineux, en train de me faire baiser dans un lieu public par une queue qui était tellement énorme qu’elle m’appuyait sur le coccyx. Je sentais les veines de sa queue dures à l’entrée ma chatte, je sentais son gland devenir de plus en plus saillant dans ma caverne, je sentais ma mouille qui me dégoulinait entre les jambes.



Mes encouragements l’excitèrent davantage. J’avais du mal à me tenir debout, tant il me pilonnait avec vigueur. J’avais besoin de faire une pause.



Il obéit immédiatement. Je dégageai sa queue de ma chatte en ondulant un peu de la croupe. Il me regarda, ne semblant pas comprendre pourquoi je voulais cesser de me faire malmener la chatte maintenant, alors que, moi comme lui, semblions y prendre un tel plaisir. Je me mis à genoux devant lui. Sa queue en pleine érection ressemblait à un poteau rouge et luisant. Je commençai à la lécher, goûtant mon propre goût, savourant ma propre mouille. J’essayai de mettre mes lèvres autour de sa queue, mais décidément, elle était trop large, je pouvais à peine la gober. Il mit sa main dans mes cheveux, les tenant sans les tirer, et fit des mouvements du bassin, me baisant la bouche, me remplissant la gorge. Je tenais ses couilles, gonflées, pleines, prêtes à exploser, dans ma main droite. Ma main gauche s’enfonçait dans sa fesse droite. J’avais envie de la marquer de mes ongles comme il venait de me marquer la chatte avec son pieu.


Il continua à me baiser la bouche, je goûtais un peu à son sperme, sa queue bavait et commençait à se répandre. Ses mouvements étaient de plus en plus forts et j’avais du mal à ne pas m’étouffer, il s’en aperçut. Il enleva sa queue de ma bouche et me força à me remettre debout.


Sa queue, raide et fière, était irrésistible. Il m’attrapa à bras le corps et je m’empalai sur son pilier avec une allégresse proche de l’évanouissement. Il m’emporta ainsi, piquée sur sa queue, jusqu’au comptoir de la caisse. Il me posa les fesses dessus. Sa queue semblait ne plus vouloir sortir de ma chatte. Elle la comblait parfaitement. Il mit sa main sur ma nuque et, ainsi coincée entre sa queue et sa main, il fit quelques allers et retours. J’étais sa prisonnière, et je n’avais pas envie d’être délivrée.


Sans bouger de là où il était, il appuya sur un bouton pour faire descendre le rideau de fer qui fermait le magasin. Plus personne ne pouvait venir nous déranger.


Et plus il m’écartelait la chatte avec son chibre monstrueux, plus je sentais la mouille qui me coulait dans la raie des fesses. Elle humectait ma rondelle, et mon cul réclamait sa part à son tour…



Je sentais les parois de ma chatte se gonfler, son gland, bien marqué et dur, heurtait ma vulve à chaque fois qu’il entrait et sortait de mon vagin. Et à chaque fois, je laissais échapper un flot de liquide sous moi. Le comptoir était trempé, et le propriétaire s’en rendit d’autant plus compte lorsqu’il me saisit les fesses. Ma rondelle s’ouvrait et se détendait à mesure qu’il me pilonnait le con. Ma rondelle s’assouplissait à mesure que ma mouille venait la lubrifier. Je voulais sa queue dans mon cul. Oui, sa queue énorme, qui ne manquerait pas de me déchirer la rondelle en m’enculant.



Prononcer ces mots sur un ton impérieux n’eut pas l’effet escompté. Il ne cessa pas de me baiser pour m’enculer, au contraire, il redoubla ses assauts dans ma chatte, qui commençait à me faire mal, à être irritée à force d’être défoncée par cette queue hors de proportion. Je retenais mes cris depuis de longues minutes, ayant peur d’être entendue de la rue, mais un long râle s’échappa quand je jouis violemment, finissant d’inonder le comptoir.


Il se retira sans un mot, sans avoir joui. Je regardai de nouveau sa queue, ses couilles. Je les voulais encore plus dans mon cul, après cet orgasme hors de proportion aussi.


Sans rien dire, il s’en alla dans le rayon dans lequel il avait commencé à me baiser. Je ne bougeais pas, mes jambes tremblaient et j’étais pantelante. Il revint : il était allé chercher l’embauchoir… Je sus immédiatement ce qui m’attendait. Il fallait qu’il prépare ma rondelle comme il avait préparé ma chatte.

Je lui pris l’embauchoir des mains et je le posai à l’entrée de ma rondelle. Elle était déjà ouverte, accueillante, en demande d’être remplie. Je passai l’embauchoir sur ma chatte, je l’y remis pour le lubrifier suffisamment. Je me godai un peu avec. Il était froid après la queue bouillante du mec, cela atténua le feu de ma chatte – nul doute que je ressentirai pendant quelques jours les allers et retours de sa queue dans mon vagin…


Le propriétaire se branlait en me regardant me masturber. Quelques gouttes de sperme perlaient au bout de sa queue. Je me penchai en avant et les léchai. Je lui tendis l’embauchoir, prêt à être englouti par ma rondelle. Puis je me mis à quatre pattes sur le comptoir. Il posa de nouveau l’embauchoir à l’entrée de ma rondelle, comme je l’avais fait quelques instants auparavant. Il le poussa et, de mon côté, je reculai mes fesses pour m’empaler peu à peu. La douleur était lancinante mais jouissive. Je gémissais de plaisir. Passer la courbure du pied m’arracha un cri, je crus que mon cœur avait lâché et qu’il m’avait fissuré la rondelle. Mais une fois en place, c’était exactement ce que mon cul réclamait. J’étais remplie comme j’aime avoir le cul rempli. Il fit un peu bouger l’embauchoir. Je ne pouvais plus retenir mes cris de jouissance, désormais. La peur d’être entendue s’était évanouie.


Il joua encore un peu avec l’embauchoir dans mon cul, tout en me caressant rudement le clitoris. Il semblait deviner, sans que j’aie à lui demander, ce qui me ferait le plus jouir. Il récoltait ma mouille sur sa main. Il retira doucement l’embauchoir de mon cul : j’avais l’impression qu’il m’arrachait les entrailles – et en même temps, cette sensation douloureuse était tellement bonne…


Il posa l’embauchoir à côté de ma jambe. Je posai ma tête sur la surface froide du comptoir et mes mains ainsi libérées de mon poids allèrent écarter mes fesses, pour que ma rondelle s’ouvre encore davantage. Il cracha un peu de salive dans sa main et réhumecta sa queue. Il posa son gland sur ma petite fleur. J’eus soudain peur et ma rondelle se resserra. Il passa un bras autour de moi, se pencha au-dessus de moi et me murmura à l’oreille.



Ces paroles eurent le don de me détendre. Je laissai ma rondelle s’ouvrir et il parvint à y glisser son gland. J’eus un hoquet. Ce n’était que son gland, et c’était déjà jouissif. Il n’alla pas plus loin, détendant ma rondelle en faisant quelques va-et-vient juste à l’entrée. Que c’était bon… Sentir son gland me perforer le cul, le sentir ressortir et revenir encore…


Son gland accrochait ma rondelle à chaque passage. Il continua ainsi quelques instants, et je sentis monter un nouvel orgasme. Mon cul, lui, était grand ouvert, et il l’enculait en savourant chaque millimètre gagné. Je voulais qu’il aille plus loin, et je lui signifiai en m’empalant un peu plus sur sa queue. Il n’attendait que ça. D’un long et lent mouvement, il finit de transpercer mes rondelles une à une et chaque pénétration me faisait pousser un cri entre jouissance et douleur. Lorsque ses couilles tapèrent sur mes grandes lèvres, j’étais au bord de l’arrêt cardiaque. Je mouillais comme une malade, et il entreprit de m’enculer méthodiquement, brutalement, sauvagement. Je l’encourageai.



Il cessa net lorsqu’une voix retentit derrière nous :




Le propriétaire du magasin s’arrêta net. Je sentis sa queue se ramollir dans mon cul. C’était affreusement frustrant.

Je tournai la tête et vis, pardessus mon épaule, une femme, les mains sur les hanches, l’air peu commode.

Le mec sortit sa queue de mon cul, me tourna le dos. Il devait avoir son énorme queue qui lui pendait entre les jambes. Piètre spectacle…

Pour ma part, je me retournai et m’assis sur le comptoir. Sans honte ni regret.



Si son interruption avait fait débander mon étalon, en ce qui me concernait, elle m’agaçait plus qu’autre chose.

Je l’étudiai plus en détail. La quarantaine, une coupe de cheveux impeccable, un tailleur sobre et classe, des escarpins élégants. Elle avait un regard franc et direct, qui ne cachait rien de ses intentions.

Le mec semblait avoir perdu tous ses moyens devant sa patronne.



Il ne dit pas un mot. Je réfléchissais vite : si elle avait été vraiment gênée par la situation, elle ne serait pas intervenue, elle n’aurait pas osé se retrouver nez à… bite avec son employé. Si elle était intervenue, c’est qu’elle voulait que l’on sache qu’elle était là.



Cet innocent tentait même de cacher son braquemart énorme – même au repos – avec ses deux mains.



Je savais ce qu’elle voulait. Je le sentais, comme si je pouvais humer, de là où j’étais, l’odeur de sa cyprine qui s’était répandue dans sa culotte alors qu’elle nous observait de loin. Car j’étais sûre qu’elle nous avait épiés depuis de longues minutes déjà. Je la soupçonnais même d’avoir mis ses mains dans sa culotte et de s’être masturbée en nous regardant.



Elle s’approcha du comptoir et écarta, d’un geste brusque, le mec qui semblait ne plus savoir où disparaître. Je me levai de la caisse et, debout en face d’elle, je soulevai la jupe de son tailleur. Elle portait des dessous en dentelle. Je mis la main sur son entrejambe. Mon instinct ne m’avait pas trompée : sa culotte était détrempée. Je ne fis aucun commentaire, mais j’écartai son boxer d’un doigt et je me mis à genoux. Je commençai à la lécher, à taquiner son clitoris avec ma langue, à palper ses fesses, fermes et bien rondes, entre mes mains. Je taquinai son clito, j’effleurai ses grandes lèvres, je contournai ses replis. Je ne m’aventurai pas dans sa chatte : je voulais qu’elle me supplie de le faire. Je voulais qu’elle rabatte son caquet. Je continuai ainsi quelques instants. J’en oubliais presque qu’il y avait un homme à côté de nous. Je sentais qu’elle mouillait de plus en plus, je sentais ses frissons et ses tremblements, comme si elle essayait de résister au plaisir que je lui donnais avec ma langue et mes mains qui écartaient de plus en plus ses fesses.

Elle se pencha soudain au-dessus de moi.



Je m’écartai d’elle, de sa chatte. Elle défit les boutons et la fermeture éclair de sa jupe et celle-ci tomba à ses pieds. Elle l’enjamba et me fit signe d’aller vers le comptoir. Elle aussi semblait avoir oublié son employé, qui avait abandonné toute idée de cacher son sexe et qui commençait à se caresser.

Je m’allongeai sur le comptoir et écartai les jambes : elle comprit immédiatement et, sans un mot, vint se mettre à quatre pattes au-dessus de moi.



Elle m’obéit et me présenta ses fesses. Sa chatte était au-dessus de mon visage. Je lui écartai les grandes lèvres avec mes deux mains et repris où j’en étais, en la titillant avec ma langue. Elle était à quatre pattes au-dessus de moi et alla plonger sa langue dans ma courte toison. Elle semblait prendre autant de plaisir à jouer avec mes replis, mon clito, que j’en avais à jouer avec les siens. Elle n’avait pas ma propension à se répandre, mais elle était agréablement humide.


Je regardai sur le côté : le « proprio » se branlait juste à côté de nous. Sa queue avait de nouveau atteint le diamètre qui donnait envie de s’empaler dessus. Mais sa vitesse à débander m’avait frustrée, j’avais envie de le faire attendre… Sa patronne était finalement bien plus fiable.


Après avoir bien joué à l’entrée de la chatte de ma nouvelle compagne de jeux, j’introduisis ma langue, bien tendue, dans sa caverne, en l’écartant bien avec mes deux mains. J’enfouis tout mon visage entre ses grandes lèvres. Elle gémit de surprise.


J’explorai avec ma langue tous les recoins de son intimité, je la fouillai aussi profondément que ma langue me le permettait. Puis je l’écartai et la repoussai un peu. Elle avait cessé de me lécher, elle était tout à son plaisir et en oubliait le reste.



Nous nous retournâmes donc. Elle était à son tour allongée sur le comptoir, et j’étais à quatre pattes au-dessus d’elle, ma tête entre ses cuisses.



Elle obtempéra immédiatement. Elle glissa un, puis deux, puis trois doigts dans ma chatte, et me branla doucement ainsi. Elle se rendit compte que je mouillais à mesure qu’elle me pénétrait avec ses doigts longs et fins, mais elle ne semblait pas vouloir aller au-delà. Ses ongles longs me griffaient un peu.

Je plongeai mon visage dans sa toison et, par des coups de langue, entrepris de me rapprocher de sa chatte. Je n’allais jamais jusque-là où elle voulait que j’aille, je m’arrêtais à quelques millimètres, je la faisais languir. Des mouvements incontrôlés de son bassin me prouvaient qu’elle voulait que je recommence, que je mette ma langue bien au fond de sa chatte et que je savoure son jus. Mais je voulais faire monter son désir jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Les mouvements de ses doigts dans ma chatte étaient de plus en plus rapides et impérieux. Elle introduisit un quatrième doigt… puis le pouce. Toute sa main était à l’entrée de ma chatte.


Je m’accroupis sur sa main et l’engouffrai en entier. Elle eut un cri de surprise, lorsqu’elle vit sa propre main aspirée par ma chatte.

Pour la récompenser, je lui donnai ce qu’elle attendait. Je lui écartai bien les grandes lèvres et j’introduisis ma langue jusqu’au plus profond de sa chatte. Je la fouissais autant qu’elle en avait envie, autant que toutes les vibrations de son corps me disaient qu’elle le voulait. Plus je la branlais avec ma langue, plus j’écartais sa chatte avec mes doigts, plus elle mouillait. Elle se mit à me baiser avec sa main, d’abord doucement, comme si elle n’osait pas, puis plus vite, plus profondément, plus brutalement. Je sentais de nouveau ma chatte se remplir de liquide.

Et bien entendu, lorsqu’elle ôta sa main, elle reçut ma mouille sur son visage.



Elle passa de nouveau sa main sur mes grandes lèvres, la frottant sur toutes les faces. Ainsi humectée, elle la réintroduisit dans ma chatte, et se remit à me fister avec vigueur cette fois, sans timidité. Je la baisais avec ma langue, avec mes doigts, aussi fort qu’elle me fistait. Nous étions toutes les deux au bord de l’orgasme. Nous entendions le souffle du mec, qui se branlait bruyamment à côté de nous.


Elle retira sa main de ma chatte – je laissai s’échapper quelques gouttes encore une fois. Elle écarta mes fesses avec ses deux mains. Elle la réintroduisit encore. Puis elle l’ôta pour l’enfoncer d’un coup dans mon cul.


Quelle jouissance…


Je n’avais plus besoin d’une queue, j’avais sa main dans mon cul. Je m’empalai sur ses doigts et je profitai de chaque millimètre gagné. Sa main était plus dure qu’un gode, plus nervurée qu’une queue. Je la happai avec délice. Je ne pensais plus au fait qu’il y avait quelqu’un au bout de cette main. Il n’y avait que le plaisir sauvage de cette main qui s’enfonçait de plus en plus dans mon cul… Je voulais la retenir et, en même temps, je voulais qu’elle m’encule plus loin, elle me donnait des sensations inconnues. Elle était à la fois douce et fine et son poignet me remplissait la rondelle. Je sentais ma mouille qui lui coulait sur le corps, et j’avais envie de la lécher.

Mais je n’en eus pas le temps…



Je sentis soudain la main qui me fistait le cul avec délice se retirer, tirant en arrière chaque rondelle pénétrée. C’était à la fois jouissif, de sentir cette main qui reculait, et frustrant, tant le vide créé dans mon cul me semblait profond.


Deux mains écartèrent mes fesses et un gland se posa à l’entrée de ma petite fleur.



Je n’attendis pas sa réponse et, étant toujours à quatre pattes, d’un grand coup de reins vers l’arrière, je m’empalai sur la queue énorme du mec, enfin redevenue dure. Mon orgueil m’aurait bien poussé à le faire attendre un peu, mais l’envie de sentir mon cul rempli, béant, distendu par son large braquemart fut la plus forte. Il ne bougeait pas, aussi est-ce moi qui faisais des allers et retours pour bien me faire enculer jusqu’à ce que ses couilles touchent mes grandes lèvres. Ma rondelle était tellement écartelée, après l’embauchoir, après sa queue, après la main de sa patronne, que je coulissais sur sa queue sans difficulté.


La sensation de m’embrocher sur un pieu accélérait mes mouvements sur sa queue. En dessous de moi, sa patronne, que j’avais négligée, se masturbait. Elle avait mis trois de ses doigts dans sa chatte, elle se caressait en regardant, par en dessous, la grosse queue qui m’enculait bien à fond. La vision sous cet angle devait être hautement excitante, à en juger par le rythme auquel elle se fourrait la main dans la chatte. Je la laissais faire. Mes tétons lui frôlaient le visage à chaque fois que je reculais pour bien m’empaler sur la queue du mec. J’entendais le bruit de succion de ses doigts dans sa chatte, de plus en plus humide et dégoulinante. Je voulais la voir mettre toute sa main dans sa chatte.


Je défis le seul gros bouton de son tailleur et les petits boutons nacrés de son chemisier. Je voulais voir ses seins. Ils étaient tendus, les tétons pointaient à travers la dentelle – assortie à son boxer – du soutien-gorge. Je ne m’embarrassai pas de défaire celui-ci et je lui sortis les seins du tissu. Elle avait de magnifiques seins, gonflés à souhait, les aréoles bien sombres.


Je mettais de grands coups de reins en arrière pour bien me faire défoncer. Je n’en pouvais plus de sentir cette queue me remplir le cul. J’étais certaine que j’avais atteint un point de non-retour. Jamais, désormais, je ne pourrais jouir sans un tel calibre. C’était impossible. C’était trop bon de sentir ce cône immense m’ouvrir le cul. C’était trop bon, cette queue large et veineuse, qui m’ouvrait les rondelles. Ma chatte se remplissait de liquide. J’avais les larmes aux yeux et mon ventre commençait à me faire mal.


La nana en dessous de moi introduisit dans sa chatte son pouce et son auriculaire. Elle se fistait en haletant, je sentais son souffle sur ma toison. Elle gémissait comme si c’était elle qui se faisait prendre.

Je me penchai en avant et j’allai lui lécher un téton, puis au coup suivant, le nombril, puis, au coup suivant, la toison, puis, au coup suivant, le clito, puis, au coup suivant, je m’arrêtai. Je plongeai le nez dans ses grandes lèvres et je la léchai avec envie. Le mec derrière moi avait enfin repris de la vigueur et, puisque je ne bougeais plus, c’est lui qui me pilonnait – enfin – avec entrain. J’avais peur qu’il ne vienne dans mon cul trop vite, avant que je n’aie le temps de donner du plaisir à sa patronne.



Je remis mon nez entre les cuisses de la nana. Elle avait un goût agréable, pas trop fort, à peine plus salé que de l’eau de mer. Sa mouille était limpide, fraîche. Je la léchais avec plaisir, mais j’étais obligée de bien mettre les mains à plat sur le comptoir car le mec me pilonnait la rondelle avec tellement de vigueur que j’avançais de vingt centimètres à chaque fois.


Je me retrouvai le cul en l’air, à tenter de résister aux assauts d’une queue énorme, en me retenant à la table. Je voulais faire jouir sa patronne avec ma langue, car elle avait été très efficace avec sa main. Je replongeai dans sa toison, je suçai ses grandes lèvres avec avidité. D’une main, elle me les écartait pour que je puisse faire entrer ma langue plus profondément. Son autre main caressait ma chatte, qui gouttait sur son ventre. Elle humecta bien son autre main avec ma propre mouille, et elle glissa trois doigts dans ma vulve, gonflée et bien ouverte. J’avais l’impression que tout mon sang se concentrait entre ma chatte et mon cul. Je n’avais plus d’autres sensations que celles liées à ces deux orifices.


L’espace laissé dans ma chatte par la queue du mec était étroit, mais les doigts de la nana s’y glissèrent sans mal. Enhardie par cette première étape, elle introduisit son petit doigt. J’étais tellement lubrifiée qu’évidemment son pouce entra sans mal. Je hoquetais. J’avais le cul plus que rempli, la chatte fourrée, et ma bouche se repaissait de la chatte d’une autre femme. C’était tellement jouissif que je fus envahie d’une bouffée de chaleur. Tous mes orifices se détendirent d’un coup. Femme fontaine je suis, femme fontaine je fus… et ma mouille se répandit entre les seins de la patronne. Je ne parvenais plus à la lécher malgré mon envie de le faire, je poussai un cri qui dut ameuter le quartier.


Je creusai le dos dans mon orgasme. Juste à temps pour recueillir le sperme du mec qui m’arrosa entre les omoplates. Sa semence me coula le long de la colonne vertébrale et fit une flaque au-dessus de la raie de mes fesses.


C’était fini.



Mon compagnon est de nouveau parti. Je suis de nouveau seule depuis plus de dix jours. C’est pénible, les vacances des autres quand on est obligée de bosser…


Non, je ne suis pas retournée au magasin de chaussures.


Et j’ai désormais un soutien-gorge dépareillé, orphelin de sa culotte assortie en dentelle.

J’ai gardé les escarpins de cette soirée-là. Je n’avais pas repris mes chaussures vieilles d’une semaine quand je suis partie, après tout ça. J’avais juste enfilé ma robe, et je m’étais éclipsée. Je n’étais pas honteuse, non, mais je n’avais plus rien à faire là.


Oui, mon compagnon m’a félicitée pour les escarpins. Quand je les enfile, quelle que soit la manière dont je suis habillée, il ne peut s’empêcher de se coller à moi et de me faire sentir combien il bande, rien qu’à me regarder, perchée sur ces élégantes échasses. Il ne veut pas que je les mette en dehors de l’appart’ : il paraît que ça rendrait fous les autres hommes.


Or notre vie sexuelle nous comble tout à fait, on n’a pas besoin d’intervenants extérieurs.