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Temps de lecture estimé : 17 mn
24/07/11
Résumé:  Cette fois Zozou surprend papa avec Brigitte la fille des voisins. Il la pilonne et lui raconte en même temps tout, sa jeunesse, ses amours. Comme d'habitude, Zozou ne comprend rien, il ne fait que rapporter.
Critères:  fh hplusag extracon copains neuneu jardin voir fellation pénétratio -extraconj
Auteur : Zahi  (Informaticien, poète et glandeur)      

Collection : Les fureurs de Zozou l'idiot
Papa s'en va-t-à confesse

Les fureurs de Zozou l’idiot



2 – Papa s’en va-t-à confesse



Je ne vois rien. Il fait nuit. J’ai envie de pisser. Je palpe le bord de mon lit et je me lève doucement. Je ne veux pas réveiller maman. J’ouvre la porte avec précaution, elle fait un léger grincement. Étrange, un trait de lumière sort de la chambre de maman, coupe le couloir en petite diagonale, prend le mur d’en face et se disperse jusqu’au plafond. Je fais trois grands pas dans le couloir. Je m’arrête sur la lumière, elle jaillit sur mon pyjama. Un petit son, à peine audible, provient de la chambre. Je me rapproche, tends l’oreille à la petite ouverture de la porte.



Je reconnais la voix de maman, elle a une vibration bizarre.



C’est papa qui parle. En haletant, la voix enrouée.



[Salope]



C’est Brigitte, la fille d’à côté, petite brune aux yeux clairs. Papa me fait signe d’entrer à l’intérieur, et de remonter à l’étage, dans ma chambre. J’ai pas voulu, je veux la voir, Brigitte. J’ai un drôle d’effet. Je commence à bander. Elle dit :



Brigitte prend la main de papa et le tire avec elle, jusqu’au coin de derrière, dans la petite cabine en bois, là où il y a des chaises blanches en plastique, des tuyaux, des outils, et le grand ballon de la chaudière. Papa la suit, il fait le double de sa taille. Je les suis à quelques mètres.



Arrivés à la cabine, elle le pousse à l’intérieur de toutes ses forces, entre derrière lui et tire la porte. Je veux la voir, Brigitte. Ça me fait du bien. J’ai mal à la queue. Je fais le tour de la cabine. Je trouve une petite fente entre deux lamelles de bois, par laquelle je peux tout voir. Et tout entendre.

Brigitte se colle sur papa, l’enserre, s’étire sur la pointe des pieds et remonte la tête, lui colle ses lèvres. Papa se débat par des petits mouvements, sa tête cherche à fuir celle de Brigitte.



Toujours collée à papa, Brigitte met sa main sur le bas de son ventre, là où pointe une bosse dans son pantalon.



Brigitte ramène son ventre sur la bosse de papa, elle se frotte contre elle. Elle frétille comme un petit poisson dans l’eau. Papa dit embarrassé :



Brigitte a défait la braguette de papa, elle a plongé sa main à l’intérieur. Il lui dit :



La queue de papa sort du pantalon, grosse, gonflée. Brigitte ne la lâche pas de la main, la frotte, lui fait branlette. Puis Brigitte se met à genoux, embrasse le sexe de papa, le parcourt à petit coups de langue, lèche ses bourses, le met entièrement dans sa bouche. Papa ferme les yeux, campé sur ses fortes jambes légèrement écartées, tous ses muscles sont tendus à fond. Papa dit :



Un moment après, Brigitte sort le sexe de papa de sa bouche et se redresse. Elle laisse tomber sa petite jupe puis enlève sa culotte. En même temps, papa laisse traîner son pantalon par terre. Entre les chaises entassées, Brigitte dégage la petite table en plastique. Elle est toute nue. Elle se met dos sur la table, remonte ses jambes, les écarte. La moule, les petites bananes, le trou. Elle a toujours ses chaussures de dix centimètres, comme à la télé. Je vois tout. Mes jambes frémissent. Elle dit :



Papa se rapproche de Brigitte, sa queue le devance. Debout, il lui tient les jambes, les remonte très haut, les pose sur ses épaules. Je ne vois plus la moule. Ils sont collés.



Brigitte s’agite, frétille. Elle crie, dit des choses incompréhensibles, meugle. Papa va-et-vient par des grands mouvements de hanches, toujours collé. Elle l’accompagne dans le mouvement, toute la table vibre. Enfin j’entends sa voix chevrotante :



Maintenant Brigitte croise ses jambes derrière le dos de papa, et ses ongles rouges s’enfoncent dans ses fesses crispées. Elle s’agite de plus en plus, elle accompagne papa dans ses mouvements. Elle gémit à chaque souffle. Elle dit, à peine audible :



Tout en battant des hanches, papa dit :



Papa se tait, il se crispe, ne bouge plus pendant une bonne minute. Brigitte ondule encore des hanches, de plus en plus fort. Il dit :



Brigitte laisse tomber ses jambes, papa fait un pas en arrière. Il dit :



Brigitte se met à genoux, toute nue, sa peau mate luit sous les spots de lumière. Elle lèche le sexe de papa de bas en haut, et lui asperge le bout. Elle relève la tête, ses yeux ont le regard de la chatte noire des voisins. Elle chuchote :



Imperturbable, muette, Brigitte se met à pomper papa une nouvelle fois, jusqu’à ce qu’il ait une nouvelle érection. Elle appuie les mains sur la table, baisse le dos. Je vois sa croupe de derrière, la moule, les petites bananes, le monticule, le trou. Elle dit :



Papa lui entre dedans. Par derrière. Ils bougent ensemble, la table vibre. Elle lui dit :



Papa se tait. Il parait épuisé. Brigitte s’agite toujours, ondule les hanches, balance le bassin à gauche et à droite.



Papa se tait. Il commence à respirer fort, lentement. À chaque fois il se gonfle en entier, fait un ou deux coups de hanche, lourds, de tout son poids, puis se relâche, transpire, puis reprend. À chaque coup Brigitte émet un petit grondement étouffé.



Il se fige comme une statue, planté derrière Brigitte. Elle ne bouge plus non plus du bassin, je vois son torse se gonfler et se dégonfler, elle gémit à petits cris. Puis papa recule d’un pas, sa queue lui tombe fléchie entre ses jambes. Brigitte se redresse et se retourne, puis s’agenouille, prend le sexe de papa dans sa bouche, l’astique, le suce, il reste mou. Papa sort son portable de la poche de son pantalon, lit sur le cadran puis dit :



Il remet son pantalon, elle son soutien-gorge et son tee-shirt. Il remet sa chemise. Elle enfile sa culotte, une jambe, puis l’autre. Elle est belle. Elle me fait du bien. Je fourmille de partout, j’explose. Je suis mouillé. Elle entre dans sa petite jupe. Papa ouvre la porte, ils sortent, je suis toujours collé à la fente par laquelle je vois dans la cabine. Papa dit :



Il tend la main vers moi. Je comprends que je dois dégager. J’ai peur de papa.



Papa et Brigitte se mettent à rire. Brigitte dit :



Je les suis jusqu’à la porte. Brigitte se colle à papa, lui fait un baiser sur les lèvres. Papa ne paraît pas apprécier. Il est presque fâché. Il lui crie en face :



Brigitte se met à pleurer. Papa ouvre la porte, la pousse dehors, referme la porte et s’appuie dessus par son dos. Il me regarde droit dans les yeux, il souffle une grande bouffée d’air. Il dit dans ma direction :



Sous la douche, j’entends maman ouvrir la porte. Elle appelle :



[Chéri]



S’ensuit un long silence. Je veux pisser. J’avance et je trébuche, je fais un petit bruit sec. Papa ouvre la porte, la lumière de sa chambre envahit tout le couloir. Ses jambes sont enveloppées dans une serviette, une cigarette fumante à la main. Il dit :



Maman lui répond de dedans :



Ils rigolent. Papa me fait un grand sourire, allume la lumière du couloir, rentre dans sa chambre, ferme la porte. Je suis rassuré. Je vais pisser puis je reviens dans mon lit. Je bande. Ma queue me fait mal.