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Temps de lecture estimé : 11 mn
07/08/11
Résumé:  Après vingt ans d'absence, l'abbé Pierre revient dans son ancienne paroisse.
Critères:  fhh hagé cocus religion revede fellation fgode pénétratio double sandwich jouet confession -couple+h
Auteur : Gege-flo
Le retour de Pierrot



Lorsque, dans le village, on a su que l’abbé Pierre revenait en tant que curé de la paroisse, ce fut l’animation des grands jours ! La plupart des habitants qui sont aujourd’hui âgés de quarante ans et plus, le connaissait depuis leur plus jeune âge.

En effet, l’abbé – comme on l’appelle communément – a commencé son sacerdoce ici. C’était plus de vingt ans en arrière. Comme le temps passe…


Bref, l’abbé ne laisse personne indifférent car il est doté d’un caractère enjoué et, en quittant la paroisse, il n’avait laissé que des bons souvenirs, même à ceux qui ne fréquentaient jamais les bancs de l’église.


Il y en avait qui disaient qu’il n’aurait jamais dû se mettre curé, que c’était dommage un si beau garçon, si gentil, aimable, etc. Des mauvaises langues allaient jusqu’à insinuer qu’il n’était pas parti sans laisser quelques femmes dans le désarroi le plus complet.

Tout ce que je vous raconte ici, je le tiens de mon épouse Florence, qui a connu l’abbé quand elle avait douze ans, l’année de sa communion solennelle.


Je disais plus haut, que l’abbé a fait l’actualité du village à son retour. Eh bien oui ! C’est un véritable événement et tous les enfants de jadis – aujourd’hui entre trente et quarante ans – se réunirent pour redémarrer l’association restée en sommeil depuis trop longtemps : La Farandole, nom de l’association fondée par l’abbé il y a plus de vingt ans, et qui avait pour but d’occuper la jeunesse en organisant diverses animations dans la commune avec un point d’orgue une fois par an : le bal masqué !


Et pour le renouveau de la Farandole, quoi de plus naturel que de démarrer par un bal masqué, n’est ce pas ?


Florence, mon épouse adorée, a choisi nos déguisements, je serais en curé avec soutane, bien sûr ! Et pour elle, ce sera en chère sœur, avec cornette évidemment ! Essayage de nos costumes la veille du grand jour. Je ne sais pas si c’est le fait d’être dans une soutane de curé ou de voir ma femme en nonne, toujours est-il qu’il me prend une érection d’enfer ! J’approche de Flo par derrière et je viens me plaquer contre son fessier rebondi tout en lui malaxant les seins.



Je sens dans l’intonation de sa voix que cela veut dire, continue mon chéri.



À présent je la tiens par les hanches et je me frotte sur son petit cul sans vergogne. Je bande sur sa raie, c’est bon. Flo ne s’échappe pas, bien au contraire ! La situation lui plait, je la connais ma petite femme.

Nous avons terminé par une partie de jambes en l’air où j’ai senti Flo très coopérative…


Le bal masqué a rencontré un succès fou ! L’abbé était ravi ! Et nous aussi ! Rien de tel pour renflouer la situation financière de la Farandole. Un nouveau bureau a été élu et Flo est désormais secrétaire de l’association.



À chaque fois que nous faisons l’amour, c’est devenu un jeu, je fais référence au curé quand je la caresse ou bien quand c’est elle qui prend l’initiative



Et à ces mots, je sens Flo encore plus appliquée sur ma queue. Imaginer qu’elle suce le curé, indéniablement, ça l’excite ! Depuis que je lui joue le scénario du curé qui la baise, je la retrouve comme au début de notre mariage : déchaînée !

Ce soir, je lui fais une surprise, je suis retourné louer les tenues du bal masqué pour être encore plus dans le fantasme du curé. Alors là, je peux dire que j’ai tapé dans le mille ! Jamais je n’avais vu Florence aussi salope au lit !



Cela fait maintenant quinze jours que le bal est passé et tous les soirs, Florence se fait virtuellement baiser par le curé, et maintenant Flo se prend vraiment au jeu, prenant des initiatives :



C’est ainsi que de jour en jour, j’ai réussi à rendre Flo complètement accroc au fantasme du curé qui la baise chaque nuit.



Assemblée générale de la Farandole, ce soir, 20 h 30. Le bureau est face à nous, en tant que secrétaire, Flo annonce les très bons résultats du bal. Je suis dans l’assistance et je l’observe, resplendissante dans son tailleur Chanel, bcbg ma petite femme adorée ! Prenant la parole d’un ton assuré, elle répond aux questions avec assurance. Puis je me mets à observer notre cher curé lorsque Flo prend la parole, et je vois qu’il la dévore des yeux… Ma parole ! Mais oui ! Ce sacré curé n’a pas changé ! Toujours aussi coureur de jupons !


Florence, elle, quand elle croise son regard, je la sens quelque peu troublée…

Inconsciemment je me mets à bander, j’imagine à présent que nos séances de baises virtuelles avec le curé, deviennent des séances de baises réelles ! Je bande comme un âne, putain, c’est bon !


Comment échafauder un plan pour que mes désirs deviennent réalité ? Une chose est sûre, l’abbé en pince pour ma femme. Florence, elle, fantasme tous les soirs sur la bite de l’abbé. Il va falloir la jouer fine pour arriver à convaincre ma petite femme à sauter le pas.


Désormais, je pousse le fantasme un peu plus chaque fois ; c’est ainsi que maintenant, je suis aidé par un godemiché qui fait fonction de curé en l’occurrence… Je la gode dans toutes les positions, elle me suce, je lui enfile le curé dans la chatte ou alors je l’encule et elle se branle avec son ami Pierrot ! C’est comme ça qu’on a baptisé le godemiché. Et un soir, au plus fort de nos ébats, j’aborde le fait que je désire la voir se faire mettre par le vrai Pierrot ! Florence s’est mise à remuer de plus belle sur ma queue et un orgasme foudroyant est arrivé, laissant ma chérie dans un état proche de l’évanouissement !


Le lendemain matin, je lui remémore ce que je désirais d’elle et en s’approchant langoureusement elle me dit :



L’abbé a cinquante-trois ans et il en fait dix de moins ! Toujours en mouvement, sportif, il fait aussi de la moto. Malgré son âge, il est constamment avec les jeunes, souriant, rendant service, bref, en pleine forme quoi !


C’est avec un plaisir évident qu’il a accepté notre invitation pour samedi prochain. Est-ce moi qui, à force de fantasmer, me fais un film ? Mais j’ai l’impression qu’il sait ce qui va se passer samedi…

Florence a trente-cinq ans, superbe femme toujours bien mise, aux formes vraiment idéales 1, 75 m, 55 kg poitrine haute 95C, un morceau de choix !


Flo est dans tous ses états ! Moi aussi d’ailleurs ! Notre excitation est grande et toutes les nuits sont torrides. Nous y sommes ! Florence, magnifique dans son tailleur Chanel et un chemisier blanc passe d’un état d’excitation extrême au trac le plus fou. Je la rassure, lui dis que tout va se passer impeccablement, qu’elle reste la plus naturelle possible, je m’occupe de tout.


Une chose est déjà certaine, le dîner sera parfait car mon épouse est un véritable cordon bleu. Je sais qu’il apprécie les bons vins, et j’ai sorti quelques bonnes bouteilles pour cette grande occasion.

Je l’accueille avec une franche poignée de main, le fais passer dans le salon où se trouve Florence qui, avec un grand sourire, lui souhaite la bienvenue.


Nous avons prévu de prendre l’apéritif dans le salon et nous nous installons, lui dans un fauteuil, et nous sur le canapé face à lui. Bien entendu la conversation est aussitôt engagée sur l’association dans une ambiance chaleureuse. Je sens Flo près de moi, légèrement nerveuse malgré tout, et de fait, elle croise et décroise ses jambes sans arrêt, ce qui a pour effet de faire remonter sa jupe… Tout va bien ! L’abbé ne perd rien de la vue qu’il a sur les cuisses de ma femme, il peut même apercevoir le haut des bas noirs que Florence a mis pour l’occasion. Il a beau faire celui qui ne remarque rien, moi je sais qu’il n’attend qu’une chose, c’est de voir sa culotte !


La bouteille de Chivas descend bien, maintenant il est temps d’amorcer le poisson. Flo, toujours près de moi, se laisse doucement s’enfoncer dans le fond du canapé en prenant une position des plus lascives… Attention ! Pas de précipitation ! Amorçage du poisson disais-je, je mets juste la main sur le genou de ma femme ; l’abbé, lui, a les yeux qui brillent. Est-ce l’effet du whisky ou simplement le dernier décroisement de jambe de Florence beaucoup plus ample cette fois-ci qui, à coup sûr lui a fait voir qu’elle avait une jolie culotte blanche transparente ? Je commence à bander sec ! Je dois me contenir et nous décidons de passer à table.


Flo part en cuisine pendant que j’installe notre invité et je vais rejoindre ma chérie pour l’aider. Je passe derrière elle et lui dépose un bisou dans le cou.



Avant de repartir auprès de l’abbé je dégrafe juste deux boutons au chemisier de Flo, juste pour apercevoir son soutien-gorge blanc et le début de sa poitrine. Bonne pioche ! L’abbé a beau résister, ses yeux reviennent sans cesse sur la poitrine de ma chérie.


Le repas se déroule à la perfection, la conversation est agréable entre gens de bonne compagnie. Nous abordons même le délicat problème de la diminution des vocations au sein de l’église catholique. D’ailleurs sur ce sujet, notre abbé bien aimé ne cache pas son point de vue : pour lui, sans aucun doute, il faut laisser les prêtres se marier !

Je lui pose aussitôt la bonne question :



Je me tourne vers Florence et lui demande :



Alors là, bien joué ! Nous en restons bouche bée sur le coup ! Ma Florence, elle, si bcbg, nous dit tout de go : oui, les curés ont le droit de baiser comme les autres !



Et je continue :



Sans laisser Florence souffler un instant, je lui roule une pelle magistrale devant notre invité. Je sens sa langue venir chercher la mienne, elle m’aspire comme une sangsue ! J’en profite pour dégrafer un troisième bouton du chemisier. Pierre est rouge comme une pivoine, un sourire éclaire son visage, je ressers une tournée de Gevrey Chambertain.


Après le dessert, retour au salon pour le digestif. Florence a un petit peu trop bu, elle rit de tout et de rien. Je l’adore quand elle est comme ça, juste un peu gaie quoi… je la trouve encore plus excitante ! Son air bcbg est envolé, ce qui laisse notre ami Pierre un peu éberlué de voir pour la première fois ma belle épouse complètement à l’aise. Surtout que maintenant, avec un troisième bouton en moins, la vue sur sa poitrine est largement dégagée !


D’ailleurs l’abbé ne se gêne plus pour reluquer ma femme depuis son fauteuil. Florence est à point, je sens que l’abbé aussi… Je me penche sur Flo et je lui roule une nouvelle pelle encore plus appuyée cette fois-ci… ma main va chercher son sein droit et je sens sous mes doigts un téton complètement dardé. Je la pelote sans m’occuper de ce que pense l’abbé, je suis trop excité ! Flo a pris possession de ma langue et ne la lâche plus. Les yeux fermés, elle se laisse caresser la poitrine. Ma main descend sur ses jambes, remonte sur ses cuisses que je caresse doucement.


Je regarde Pierre, les yeux pleins de désir, je lui fais signe de venir nous rejoindre sur le canapé. Il ne se fait pas prier pour aussitôt mettre une main entre les cuisses de ma chérie. Ça y est, Flo a compris que nous sommes tous les deux en train de la peloter ! Je lui ai sorti les seins du soutif. Deux magnifiques mappemondes que je m’empresse de téter. Pendant ce temps, l’abbé, lui, est arrivé à la culotte très facilement, car Flo a écarté les jambes pour faciliter la manœuvre !


Écartant le slip, ses doigts fouillent la chatte baveuse. Flo tourne la tête et Pierre lui roule une gamelle à son tour. Je sors ma queue et commence à me branler en voyant le tableau : ça y est, je réalise mon fantasme ! Je vois ma femme dans les bras du curé ! Je m’approche de Flo :



Sa bouche avide enfourne mon braquemart et la voilà qui me démarre une pipe royale ! Pierre, à son tour, a sorti sa bite, une bite de vingt centimètres ! Épaisse, énorme !



Sitôt dit, sitôt fait ! Quand sa bouche a englouti la bite du curé, elle s’est mise à gémir, écartant les cuisses au maximum, car tout en regardant sa bite dans la bouche de ma femme, il lui enfonça deux doigts dans la chatte et la masturba à la vitesse grand V !


L’excitation était à son comble, et elle finit par avoir son premier orgasme de la nuit en hurlant son plaisir, les reins à la rencontre des doigts du branleur ! La scène est absolument fantastique et je suis au bord de l’explosion, vraiment très proche de lui envoyer une giclée de sperme sur les nichons ! Pierre, lui, ne peut pas résister à la super pipe que lui prodigue Florence et lui envoie une énorme rasade de foutre au fond de la gorge ! Ça dégouline aux commissures des lèvres et sa langue experte, vient récolter toute la semence échappée. À petits coups de langue savants, elle s’est mise à nettoyer cette énorme bite de cheval !


Direction la chambre à coucher où nous serons bien mieux pour continuer les ébats !



C’est Pierre qui le premier l’a baisée en levrette. Son énorme engin est rentré comme une fleur dans la chatte à mon épouse tellement elle était trempée.



Le curé agrippe les hanches de Flo et, à grands coups de reins, enfile son chibre jusqu’aux couilles. Je lui caresse les seins pendant qu’elle me suce.


Nous avons baisé toute la nuit, Flo a joui un nombre incroyable de fois. Nous l’avons sucée, branlée, baisée à tour de rôle puis, quand sa chatte a atteint une élasticité suffisante, nous l’avons enfilée tous les deux en même temps. Je peux vous certifier que là, elle a joui comme une damnée ! Mais l’apothéose fut quand, dans un premier temps, le curé lui a défoncé le cul, et qu’ensuite nous l’avons prise en sandwich ! Orgasmes sur orgasmes, elle a terminé cette séance de baise mémorable !


Jamais plus nous ne ferons l’amour virtuellement, maintenant c’est bien réel, Florence est devenue une véritable salope entre nos bras. Désormais, l’abbé a « chatte » ouverte à la maison si je peux dire !

Excusez Florence, elle ne peut pas vous dire au revoir. Ce matin, elle DORT !


Un mari heureux et comblé