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n° 14510Fiche technique35006 caractères35006
Temps de lecture estimé : 20 mn
12/08/11
Résumé:  Imaginez un monde où il n'y a que vous sur terre, sauf... une petite communauté et pas des moindres : du sexe opposé ! C'est ce que Denis va vivre (pauvre homme !).
Critères:  h fff fffh fbi nudisme fellation pénétratio partouze délire fantastiqu -groupes
Auteur : Pourquoi      Envoi mini-message

Série : Un autre monde.

Chapitre 01 / 03
Epizode 1

Lundi, 5h30, le réveil sonne.



Sans faire de bruit, pour ne réveiller ni sa femme ni ses enfants, comme tous les jours, il s’habille, boit son café, se lave, se coiffe… Denis est certes un jeune père de famille, mais il est resté dans sa tête le "rebelle" qu’il était ado, il a conservé ses cheveux longs et son corps de sportif de haut niveau. Il a mis au placard ses t-shirts d’Hendrix, Nirvana… criblés de mystérieux petits trous, revendu sa moto et trouvé un emploi très sérieux, en bureau d’étude. Ce matin, impossible d’écouter un seul flash info, que des musiques en boucle. Bizarre…



***



Une fois prêt, il va pour sortir, 6h45. Le soleil est levé depuis un certain temps, pourtant le ciel a toujours ses couleurs de l’aube, mais encore plus flamboyantes que ces grands jours de pollution ! Du jaune aux rouges, bien vifs, le bleu est quasi inexistant.


Sur le trajet pour se rendre à son travail, pas une seule voiture ne circule. Il pense alors s’être trompé d’heure, ceci expliquerait en partie les couleurs du ciel. Aurait-il mal réglé le réveil hier soir ? Il regarde sa montre :



Et cette chaleur ! Certes nous sommes dans le sud de la France, mais quand même, le temps est lourd, humide, pesant. Sans aller jusqu’à l’usine, Denis s’arrête, téléphone à sa maison : personne ne répond. Il appelle alors la police : personne, son travail : idem.


Mais comment est-ce possible ? Serait-il seul sur terre ? Pourquoi lui ? Certains en cette situation auraient paniqué, d’autres se seraient mis à pleurer ; mais Denis semble fasciné, très vite des idées se bousculent dans son cerveau :



Direction le centre commercial, tout ce qu’il veut il peut l’avoir !



***



Il passe alors devant une plage de sable fin, généralement bondée de touristes, mais là : vide !



Il laisse sa voiture en plein milieu de la route, sans même la fermer à clé, passe devant les boutiques de souvenirs où il prend un grand drap de bain. Arrivé au bord de l’eau, coup d’œil à droite, à gauche : personne ; autant en profiter, Denis se déshabille intégralement, puis s’avance lentement dans l’eau. Elle est moins chaude que l’air. Denis est habitué à se baigner nu, mais dans sa piscine, en pleine nuit, à l’abri de tous regards ; pas sur une des plages les plus connues et fréquentées de France !


Au moment où ses bourses allaient toucher l’eau, sans même s’en rendre compte il sent poindre une érection. Il pose alors sa main devant son sexe et se laisse glisser ainsi dans l’eau. Il se caresse très posément, frôlant de ses doigts ses testicules, remontant en suivant ses veines… Il prend alors le temps de se masturber tout en douceur, en amplifiant, exagérant les allers et retours, ralentissant, accélérant, tout en se laissant bercer par les flots, jusqu’à revenir là où les vagues viennent disparaître. Allongé face au large, son bassin à ce même endroit lui donne d’agréables sensations, sa main suit alors le rythme des vagues venant s’écraser sur sa verge, coulant jusqu’au-dessus du nombril puis s’en retournant, s’écoulant sur son corps. Il sent les grains de sable passer entre ses fesses, le chatouillant au passage, alors qu’une nouvelle vague revient et ainsi de suite.


En fermant les yeux, il a l’impression de s’enfoncer dans le sable, il a maintenant envie de jouir, il accélère ses gestes pour enfin arriver à la délivrance, un puissant jet dépasse son épaule, puis le suivant atterrit dans son nombril, le reste s’écoule sur sa main. Il reste ainsi quelques minutes avant d’aller faire quelques brasses.


Sans même se sécher, il met le drap de bain autour de ses hanches et retourne à sa voiture. En re-passant devant les boutiques, il en profite pour se prendre un tee-shirt, un pantacourt et une paire de chaussures.


Un plein étalage de bonbons. Même s’il n’est pas spécialement gourmand, Denis en sélectionne quelques-uns, les mange tout en entrant dans sa voiture. Direction le centre commercial.



***



Il est déjà midi, le parking est plein ; Mais toujours aucune trace de vie.



Il se "gare" encore en vrac, juste devant une des portes du centre. Dehors, Denis écoute ; ce silence… S’ajoutant aux couleurs du ciel, toujours surnaturelles, la chaleur lourde, suffocante même. La situation est à la fois excitante et angoissante. Le magasin est ouvert, toutes lumières allumées et même la clim fonctionne ! Quel soulagement, une bouffée d’air frais lui donne des frissons, à moins que ce soit autre chose…


Il grignote ci et là quelques produits très haut de gamme : délicieux, déçu par certains. Puis il arrive aux alcools, choisit la bouteille la plus chère, l’ouvre et… Non, il ne va quand même pas boire à la bouteille. Il part donc à la recherche de verre en cristal. Il passe alors par le rayon enfant :



Sitôt dit, il s’empare du meilleur modèle, le déballe et roulez jeunesse ! Le bruit de la planche casse sensiblement le silence pesant de ce magasin. Quand soudain, un bruit encore plus fort. Denis s’immobilise, son sang se glace. Que faire ? Instinctivement, il se cache, guettant le moindre bruit.



Puis il entend des rires : il y a donc d’autres humains ! Il se dirige vers eux, la planche à roulettes sous le bras. Il entraperçoit alors deux superbes femmes entièrement nues, papotant, divagant dans les rayons comme si de rien n’était, rien de l’absence d’humains, rien de leur nudité. Il les suit, les traque, soulagé d’une présence humaine sur cette terre et subjugué par leurs charmes ; les deux ont des cheveux longs, très longs, l’une blonde, l’autre châtain, toutes deux très grandes, aux formes idylliques. La blonde tient un panier déjà bien rempli, sa copine, tout sourire, lui tient la main.


Elles flânent dans ce magasin, dans un monde littéralement déshumanisé. Puis elles se dirigent vers la sortie. Sans hésiter, Denis les suit, se faufile entre les rayons, constate qu’elles ont fait comme lui, elles sont "garées" juste devant une autre porte. Elles ont un gros pick-up, il en profite, contourne et s’agrippe au parechoc arrière, pose sa planche au sol, prêt au départ. Il se demande s’il arrivera à tenir, ça fait si longtemps qu’il n’a plus fait ça ! Par chance, elles roulent vraiment très mollement.



Après seulement quelques kilomètres (avec une pointe maximale à 40 km/h !), elles s’arrêtent devant un imposant portail, qui s’ouvre lentement. La petite route sinueuse, bordée d’une pelouse verte, paliers, pins, oliviers… mène à une somptueuse villa. Dans un virage, Denis lâche le pick-up pour se jeter sur le bord, les bras décomposés et les doigts tout engourdis. Il crapahute sur ce gazon, entre ces plantes exotiques, à l’ombre d’un grand pin, pour arriver en haut d’un monticule où il a une vue imprenable sur la fastueuse propriété.



***



À plat ventre dans l’herbe verte, sous ses yeux et à seulement quelques mètres, une dizaine de femmes, toutes plus belles les unes que les autres, entièrement nues aux abords d’une grande piscine ; alors que certaines sont simplement allongées sur des transats, d’autres flânent et discutent.


Soudain, l’arrosage automatique se déclenche. Surpris, il se redresse et se précipite derrière le tronc du grand pin. Toutes les cinq secondes, un jet d’eau vient l’asperger. Ceci est certes agréable par cette chaleur (réelle et morale), mais il ne peut plus admirer le spectacle qui lui est offert juste derrière. Il décide de monter à l’arbre. Ça aussi, ça fait un bail qu’il ne l’a plus fait, mais c’est sans problème qu’il parvient jusqu’à la première branche donnant sur la villa.

Tel un commando militaire, il rampe le long de cette branche. Une fois calé, il contemple le spectacle, quand soudain, ses yeux s’écarquillent. Parmi les sublimes créatures qui défilent sous ses yeux, il croit reconnaître :


• En premier lieu sa femme, Marie, pas de doute c’est elle : grande blonde aux yeux très clairs, elle n’a certes pas la taille mannequin, mais au moins elle a une superbe poitrine qui rehausse la beauté de son visage d’ange.

• Deux collègues de bureau ; l’une, sa supérieure directe : Natacha, de taille moyenne, brune aux yeux noisette. Son visage comme tout son corps d’ailleurs est parfaitement proportionné, sauf peut-être la poitrine que Denis imaginait bien plus grosse à travers ses vêtements (sacré Wonderbra !). La seconde est indubitablement Estelle, secrétaire au service des ressources humaines. Sous ses lunettes fines, son air sévère, cette petite femme a le don d’exciter tous les hommes de l’entreprise.

• Enfin, une de ces femmes alanguies dans le jardin de cette villa ressemble à une des jeunes mères qui attendent leurs enfants, comme Denis, le soir à la sortie de l’école. Il était impossible de ne pas prêter attention à ses longues jambes, toujours montées sur talons hauts et ses fesses : hypnotisantes, tout comme ses longs cheveux noirs.


Marie est allongée, endormie dans une chaise longue ; Denis est stupéfait de voir sa femme ainsi nue et insouciante, elle qui avait déjà du mal à faire l’amour avec de la lumière ! Natacha est aussi allongée dans un transat, elle a aussi les yeux fermés, mais elle ne dort pas : une autre femme est à genoux, la tête entre ses jambes, ses mains (tout comme sa langue certainement) la caressant doucement.


La petite secrétaire sirote tranquillement un cocktail, accoudée à un bar, discutant avec une autre femme, toutes deux perchées sur des tabourets hauts, les jambes croisées pour Estelle alors que l’autre les a légèrement entrouvertes, une main sur son intimité se mouvant par des gestes très naturels d’autosatisfaction, comme si de rien n’était.


La jeune maman, dont Denis ne connaît même pas le prénom, est allongée, enlacée dans les bras de deux autres femmes. Elles semblent s’être toutes endormies ; il n’y a pas de doute possible quant à leur activité ayant précédé cette sieste !


Denis bande "comme un âne" ; mais sur une branche, c’est franchement pas confortable, c’en est même douloureux ; il soulève tant bien que mal son bassin, quand soudain : crrrrrrrrraaaaaaccc !


Ce n’est pas la chute qui blesse Denis, mais en roulant, il est stoppé par la bordure en pierres que sa tête vient heurter de plein fouet. Inconscient, il gît sur le bord de la piscine, très vite entouré de toutes ces splendides créatures.



***


Quand Denis rouvre les yeux, c’est Estelle, la secrétaire des ressources humaines, qu’il voit en premier. Elle est assise à côté de lui. Calfeutré sous de luxueux draps de soie, ce lit lui semble immense. Il se redresse sur les coudes, touche son front.



Alors qu’elle allait partir, Denis l’interpelle :



La jeune secrétaire se retourne stupéfaite.



Elle quitte alors la pièce, que Denis prend le temps de contempler. Elle est très grande, une ambiance "mille et une nuits", dans les tons rouges, orange et jaunes. La lumière, filtrée par des rideaux de fines lamelles, y pénètre par une immense baie vitrée donnant directement sur la piscine. Moquette au sol et tenture suspendue au plafond, rendent ce lieu particulièrement accueillant.



***



Toutes les femmes entrent alors dans cette pièce ; en tête, probablement "Chantal", qui prend la parole.



Étonné par cette question, Denis réplique :



Voyant le regard de ces femmes, Denis panique, s’inquiète ; il implore :



La jeune mère s’approche de Denis, ses longs cheveux cachent son sein droit, elle s’assoit tout contre lui, pose sa main sur son front avant de lui parler tout doucement.



Denis se tourne alors vers Marie, l’observe. Elle n’a pas son alliance ! C’est pourtant bien elle ! Comprenant qu’elles ne le connaissent (reconnaissent) réellement pas, il laisse tomber, lance un grand sourire à la maman (sans enfant, donc !) assise contre lui.




***



L’air inquiet et soucieux de ces femmes laisse place à présent à des sourires amusés et rassurés, elles se rapprochent du lit. Marie s’assoit de l’autre côté de Denis, lui chuchotant à l’oreille :



Une des femmes, au pied du lit, s’avance vers Denis à quatre pattes ; sa poitrine généreuse oscille à chaque pas. Elle se positionne en tailleur derrière Marie, pose une main sur son épaule et la seconde, de l’autre côté de Denis ; sa tête est à moins de trente centimètres du sexe du jeune homme. Ce dernier, ne pouvant retenir son érection, tente de la camoufler par sa main droite ; c’est là qu’il remarque qu’il est entièrement nu. Constatant son étonnement, les yeux fixés sur ses parties intimes recouvertes du "simple" drap, Chantal, qui semble manifestement la porte-parole du groupe, lui explique, un sourire malicieux aux lèvres :



Par un mouvement circulaire, Denis observe ses hôtesses : elles ont toutes les yeux rivés sur la bosse que forme sa main reposant sur son pénis. Certaines se pinçant la lèvre inférieure, d’autres la bouche entrouverte ; on aurait dit un bus d’enfants devant une vitrine de confiseries. Chantal reprend la parole, toujours son sourire espiègle aux lèvres, mais sur un ton plus sérieux :



En disant ça, elle glisse sa main sous les draps pour la poser sur celle de Denis.



L’idée d’être attaché n’est pas pour déplaire Denis, mais il préfère préciser :



À ce même instant, toutes se rapprochent encore un peu plus de lui, le lit est plein, des mains se posent naturellement sur tout son corps. Sous les draps, la main de Chantal glisse le long des doigts de Denis, s’immisce entre eux, frôlant ainsi son sexe, en remontant doucement, Denis lève sa main, alors que celle de Chantal prend possession du pénis déjà en feu. Elle lève la tête et annonce à l’assemblée :



Elle se penche alors vers lui, lui chuchotant à l’oreille :



Elle l’embrasse alors goulûment, en une fraction de seconde, sa langue a parcouru toute la bouche de "ce pauvre homme". Simultanément, le drap s’envole et toutes les mains envahissent le corps de Denis. Subitement, Chantal met le holà :



Elle sort alors du tiroir de la table de nuit deux petites fioles transparentes contenant des préparations "pharmaceutiques" liquides, l’une est ambrée, la seconde d’un beau violet. En lui tendant, avec un sourire fier :



Denis semble sceptique, elle ajoute :



Devant une telle assurance, nonobstant le sentiment de servir de cobaye, il engloutit les deux sirops. (Il aurait mieux fait de finir par le violet, l’ambré n’est vraiment pas bon.) Durant quelques secondes qui semblent une éternité, toutes les femmes restent là, les yeux fixés sur l’entrejambe de Denis, sans mot dire. Chantal reprend la parole, brisant le silence :



Il se lève alors, descend du lit, fait quelques pas avant de constater qu’il ne bande plus, mais en se dirigeant vers le salon, il sent des mains caresser ses fesses, ses hanches, son dos ; de plus il suit trois femmes, ses yeux sont figés sur leurs superbes fesses. Son membre se durcit de nouveau.


Arrivé dans le salon, une immense table de banquet, en "U" est dressée, avec de longues nappes blanches ; deux filles vêtues, mais seulement d’un petit tablier blanc, s’affairent à finaliser les préparatifs, sur le rythme d’une douce musique d’ambiance. Il reconnaît les deux sublimes créatures du centre commercial ; l’une d’elles s’avance :




***




Il ne tourne pas la tête. Il s’installe alors au centre, sur un grand banc en bois massif ; Marie, en bousculant deux autres femmes, vient s’asseoir à côté de lui en prétextant :



Sur sa gauche, c’est la jeune mère de l’école qui s’installe, lui lançant :



À ce même instant, elle pose sa main sur la cuisse de Denis, puis glisse sur l’intérieur tout en remontant, venant flatter ses testicules.



Face à lui, la blonde du supermarché se penche pour lui déposer son assiette de salade ; sa poitrine opulente est juste sous ses yeux ; elle lui glisse à l’oreille :



Puis, elle s’en retourne en cuisine, faisant onduler ses fesses, caressées par la ficelle du tablier.


Alors que sous la table, Caroline est toujours en train de masser délicatement les bourses de son voisin, Mari s’empare du sexe de son mari, ce dernier rétorquant fébrilement :




***



Alors qu’il ne lui reste que deux ou trois bouchées, Denis sent une nouvelle caresse sur son sexe ; mais ce n’est assurément pas une main ; une langue bien dure vient de monter de ses couilles jusqu’au gland où elle trace à présent de petits cercles. Deux mains se posent sur ses cuisses, les écartent délicatement avant d’engloutir ce membre toujours en érection. Denis ne peut alors finir son assiette, il apprécie la douce fellation surprise que lui prodigue une de ces belles femmes. Marie, voyant que Denis ne mange plus, reglisse discrètement sa main, du ventre, jusqu’à la tête de sa collègue.



C’était donc Estelle, la petite secrétaire si excitante, qui avait décidé de passer directement au plat de résistance. Elle lève sa main gauche de la cuisse de Denis, certainement pour venir caresser celle de Marie ou plutôt son intimité, à en voir l’air de cette dernière. Estelle parvient à sucer goulûment Denis tout en masturbant sa voisine. Celle-ci se pince alors les lèvres, comme pour se contenir ; Denis l’observe, il connaît bien cette expression, c’est la même que lorsqu’ils font l’amour, c’est l’instant où généralement il délaisse les préliminaires pour passer à la suite ; mais là, non seulement il n’y a pas de suite, mais cette caresse est promulguée par une femme. Jamais Denis n’aurait pensé, même dans ses plus fous fantasmes, qu’elle puisse prendre un tel plaisir avec une personne du même sexe. La tête pleine de belles choses, sa bite dorlotée à souhait, il se demande comment ça se fait qu’il n’ait pas encore joui ; la fellation d’Estelle n’est certes pas la plus experte qu’il ait connu, mais il y a quand même les bases !


Les deux serveuses arrivent, pour débarrasser les plats finis (ou presque), et servir la suite ; mais par derrière cette fois, faisant glisser leurs petite poitrine aux tétons érigés contre le dos de Denis, posant chacune une main sur son épaule. Il ferme les yeux, croyant jouir, mais non, le plaisir monte encore ! Comme si elle l’avait compris, Estelle sous la table s’affaire avec plus d’ardeur encore.


Après avoir simultanément débarrassé puis servi la suite à l’invité, en remontant leurs mains, les jeunes femmes, derrière lui, caressent délicatement son torse, avant de se plaquer plus fermement à lui ; c’est là qu’il jouit, il n’avait jamais atteint un tel plaisir. Et la violence du premier jet de sperme est telle qu’Estelle se retire précipitamment du membre dur qu’elle dévorait.


Au même instant, sa femme, à ses côtés, vient aussi d’avoir un orgasme. Même si toute la scène n’est pas passée inaperçue aux yeux des autres, le râle rauque de Denis accompagné du petit cri de Marie, qu’ils n’ont pu retenir, on peut lire sur les regards des expressions partagées, de jalousie, d’étonnement, de satisfaction… Brisant le silence, Denis s’exclame :




***



Les odeurs d’épices, safran et coriandre en tête, embaument toute la pièce. Le soleil ne suffit plus à éclairer la salle ; une femme allume sur les tables de petites bougies flottant sur l’eau dans de petits ramequins ravissants. Denis hume les vapeurs de son assiette en fermant les yeux. Les petits morceaux d’agneau avec leurs couleurs rouge orangé sont un pur délice, et le vin rouge se marie divinement à ce plat.


Les premières bouchées titillant à peine ses papilles, de nouveau, il sent sous la table, sous la nappe, une caresse sexuelle. Denis réalise : alors qu’il a joui il y a moins de dix minutes, son érection est inchangée ; son sexe est toujours dressé et son désir de jouir de nouveau est toujours bien présent, contrairement à l’accoutumée.


Cette nouvelle caresse est bien plus sensuelle et délicate. La femme qui lui offre celle-ci est bien plus expérimentée. Il n’ose pas regarder sous la table, il déguste lentement son agneau, presque comme si de rien n’était, juste en fermant par moment les yeux. Tous ses sens sont en éveil.


La fellation dure depuis si longtemps, toutes les assiettes sont vides, un somptueux plateau de fromages a été proposé, mais personne n’en a voulu. De généreuses parts de tarte sont déposées sur les tables ; et la délicate mélodie (enchantée ?), synchronisée avec celle que joue cette femme sous la table avec cette flûte qui n’attend qu’une chose : jouir !


Mais, c’est comme si c’était devenu impossible, Denis a largement dépassé cette zone rouge, là où il pensait que son plaisir atteignait son apogée, il découvre en fait des sensations, des plaisirs qu’il n’imaginait pas. Il n’a plus la force de faire comme si de rien était, il glisse ses deux mains sous la nappe, non pas pour guider la virtuose, mais simplement pour caresser sa chevelure. Après avoir gardé les yeux fermés un peu plus longtemps que les fois précédentes, en les rouvrant, il constate que toutes les femmes le regardent, même sa femme à ses côtés, l’œil brillant. Denis pince sa lèvre inférieure, tout en la fixant des yeux, il ressort ses mains, en emportant la nappe qu’il repose sur la table. Marie tourne alors son regard vers son entrejambe ; c’est sans surprise apparente qu’elle voit Chantal sous la table.



***



La doctoresse se dresse alors, entre les jambes de Denis et la table, en accompagnant son geste par une caresse le long du sexe de Denis. S’approchant de son oreille, elle lui dit :



Prenant appui sur ses deux mains, elle s’assoit sur la table, toujours face au jeune homme, qui ne peut alors s’empêcher de passer ses mains le long des cuisses de cette femme qui s’offre enfin à lui, pour arriver jusqu’à ses fesses. Son visage n’est alors qu’à quelques centimètres de cette intimité féminine si belle. Il lape d’une langue souple son clitoris, avant de l’enrouler d’une langue de plus en plus ferme, redescendant sur un côté, il la remonte juste dans l’axe, en s’introduisant au plus profond qu’il peut, tout en tirant, pressant très fort sur les fesses de Chantal. Celle-ci, dans un petit gémissement, lui presse la tête, comme s’il pouvait aller plus loin encore.


Les femmes qui étaient les plus éloignées se sont dressées, pour venir admirer le spectacle.

Caroline, la jeune mère ne peut alors s’empêcher de dire :



Comme pour acquiescer, Chantal lui libère la tête. Denis se relève alors, au même instant Caro et Marie, comme pour l’encourager lui caressent les fesses. Mais il n’en a pas besoin, faisant glisser ses mains, des fesses de Chantal à ses seins, son bassin s’approche du sexe brûlant de cette femme qu’il ne connaissait pas il y a quelques heures encore. Sa main droite redescend au niveau de son bassin, son sexe glisse un premier coup le long de sa fente, puis un second, un troisième, quand simultanément il la pénètre tout en la plaquant contre lui avec sa main. La prise est violente, mais c’est tout ce qu’attendait la demoiselle qui hurle à l’instant même où il entre en contact avec ses cuisses, ancré au plus profond d’elle, il reste là, sans bouger quelques secondes, le temps que des mains, tous azimuts, s’immiscent entre et sur ces deux corps qui ne font qu’un. Denis, par de petits mouvements du bassin, explore l’intérieur de sa partenaire. Des commentaires pleuvent, tantôt chuchotés, tantôt criés, du plus cru au plus sensuel :



Pendant ce temps, Denis a entamé de lents mouvements de va-et-vient, Chantal apprécie cet instant de calme, amplifié de toutes ces mains qui s’affairent à lui procurer du plaisir. Mais Denis est lui aussi particulièrement bien traité, Caro à sa gauche, Marie à sa droite sont plaquées contre lui, sur le banc, dernière lui, plusieurs femmes n’ont de cesse de le caresser, tout comme celles sous la table, où des mains s’aventurent en haut des cuisses, sur les testicules… gênant parfois même les assauts du jeune homme. Ce dernier n’en peut plus, il veut craquer. Les yeux de Chantal trahissent le même désir ; sans mot dire, il ressort enfin, entièrement, mais comme pour prendre plus d’élan, avant donc de la re-pénétrer très fort, ressortir aussitôt et ainsi de suite ; telle une machine, au mécanisme bien huilé, Le rythme très soutenu va croissant, tout comme le plaisir des deux partenaires.


Là encore, en temps normal, Denis, comme tout homme, aurait déjà joui, mais il n’en est rien ; son pilonnage et son plaisir s’amplifient toujours. Chantal jouit alors férocement. Quand, enfin, la délivrance, il sent la sève monter :



Denis s’exécute, juste à temps, à peine sa verge sortie, un violent jet vient percuter littéralement le menton de Chantal ; juste le temps qu’il saisisse son sexe, avant qu’une seconde éruption n’atteigne le ventre d’une jeune femme de l’autre côté de la table à droite de la tête de Chantal. Les jaillissements suivants sont plus conventionnels ; toutes les mains qui s’étaient immobilisées reprennent leurs caresses : Natacha, à gauche de la tête de Chantal lèche goulûment le cou, puis le menton de Chantal. Marie s’est assise sur le banc et a pris en bouche le sexe de son mari.



Le baiser terminé, Denis déclare :



Après un silence, elle ajoute :



Après un dernier baiser furtif à son amant elle se dirige (seule) vers la salle de bains. Denis aurait bien aimé l’accompagner, non pas pour d’autres relations sexuelles, mais bien pour se doucher, tout simplement ; mais son désir charnel est prédominant, sa verge, que Marie a fini de "nettoyer" est miraculeusement toujours en érection pointant devant lui, comme pour lui indique le chemin le plus court pour atteindre… un lit où / ou…




À suivre…