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n° 14515Fiche technique25656 caractères25656
Temps de lecture estimé : 15 mn
16/08/11
Résumé:  Azoulina entre à mon service, mais devient bientôt beaucoup plus.
Critères:  ffh couleurs soubrette intermast fellation cunnilingu pénétratio -couplea3
Auteur : Azkinato            Envoi mini-message
Azoulina


Je m’étais installé au Sénégal depuis plusieurs semaines, parce que ma femme m’avait quitté, et que je voulais changer de vie. Je n’avais pas de gros revenus, mais là-bas je vivais assez bien, la vie n’y est pas très chère. Cependant, une femme me manquait, non pas pour le côté sexe, mais pour tout ce qu’elle pouvait faire dans une maison. À présent je pouvais m’en rendre compte, sans une présence féminine, je me débrouillais très mal, pour les repas, le ménage, les achats courants, etc.


En visitant un petit village de brousse, je fus touché par Azoulina, elle venait d’avoir dix-huit ans, et vivait dans un extrême dénuement, elle et sa famille. Comme elle se débrouillait très bien pour s’occuper des siens, je proposai alors à son père de la prendre comme employée à mon service. Elle serait rétribuée, et je l’amènerais une fois par mois leur rendre visite. Le papa fut immédiatement d’accord, mais je voulais qu’elle le soit aussi, et non forcée de venir. Lorsque je lui expliquai quel serait son travail, elle accepta, en émettant comme réserve qu’il n’était pas question qu’elle devienne mon deuxième bureau, c’est-à-dire ma maîtresse. Je la rassurai immédiatement, en lui disant que si elle me trouvait trop entreprenant, ou au moindre problème, je la ramènerais immédiatement chez les siens. C’est ainsi qu’Azoulina entra à mon service.


Les semaines passaient, et tout le monde était heureux, moi le premier car tout était en ordre chez moi, et Azoulina était une excellente cuisinière, et elle, tout autant que moi, car elle vivait dans un « luxe » qu’elle n’avait jamais connu. Elle mangeait à sa faim et voyait sa famille chaque mois. Comme j’étais très satisfait d’elle, à chaque voyage lorsque je l’emmenais voir sa famille, je leur offrais des petits cadeaux. Pour moi ils n’étaient pas très onéreux, mais pour eux, ils avaient une grande valeur pour leur bien-être. Le seul petit bémol est qu’Azou, comme je la nommais depuis un moment, continuait de m’appeler « patron ». Issu d’un milieu plutôt ouvrier, et pas du tout colonialiste, j’avais du mal avec cette désignation. J’avais eu beau la menacer de la renvoyer, rien n’y faisait, elle continuait dans son entêtement, si bien qu’à présent je m’y étais fait malgré moi.


Notre situation avait peu à peu évolué au fil des semaines. Il arrivait, lorsqu’elle revenait de faire des achats pour la maison, qu’elle me dise d’un air contrit :



La première fois je m’attendais à tout, mais lorsque je vis que sa « bêtise » était un vêtement qu’elle s’était acheté pour quelques francs CFA, je n’osai rien lui dire. De toute façon, elle avait l’air si heureuse, que je n’aurais rien pu lui dire.


Passionné de photo, j’aimais la prendre souvent dans les tenues qu’elle venait d’acheter. Et toute fière, de retour dans sa famille, elle faisait le tour du village pour montrer à tout le monde les belles tenues qu’elle possédait. Les gens du village l’appelaient à présent « princesse » quand elle revenait les voir.


Plusieurs fois, je lui avais demandé de poser dans les petites tenues qu’elle s’était achetées, et bien qu’elle se promène presque tout le temps dans ces mêmes tenues à la maison, elle avait toujours refusé.



Notre relation avait bien changé à présent, c’était elle la maîtresse de maison, et elle me faisait une scène à chaque fois que j’invitais des amies à la maison, même si elles n’étaient que des amies.



Je pense qu’elle était devenue amoureuse de moi.


Tout a basculé le jour où j’entrai dans la salle de bain, alors qu’elle prenait sa douche. Ce jour-là, je croyais qu’elle était sortie, aussi ce fut sans prendre la peine de frapper à la porte que j’entrai.



Je sortis immédiatement, certainement plus gêné qu’elle.


À ce niveau, mon intrusion n’eut pas l’air de la choquer outre mesure. Elle prit bien son temps pour mettre ses mains sur ses hanches, avant de me houspiller, sans chercher nullement à cacher sa nudité. Je pensais qu’elle avait fait exprès de prendre sa douche, à l’heure où j’allais habituellement dans la salle de bain.


À présent, elle évoluait dans la maison, entièrement nue du soir au matin. Je pense qu’elle n’attendait que ce prétexte pour se montrer toujours ainsi devant moi. Il faut dire qu’elle était très bien faite, et malgré notre différence d’âge, elle ne me laissait pas indifférent. De plus, elle m’avait dit un jour que souvent les gens se promenaient nus dans leur village sans que cela soit une gêne, ils n’avaient aucun tabou avec la nudité.


Un jour qu’elle s’était montrée particulièrement aguichante, alors que je bricolais dans la maison, elle me dit :



Un peu plus tard, elle revint à la charge :



C’est ainsi que je me retrouvai couché au sol, avec Azou entièrement nue sur moi, en train de me caresser partout. Naturellement, une bosse vint vite déformer mon short. Azou fit semblant de ne rien remarquer, jusqu’à ce que ses mains arrivent à la hauteur de ma taille.



Et joignant le geste à la parole, elle plaça ses mains par-dessus mon short, directement sur mon intimité. En quelques secondes seulement, je me libérai dans mon vêtement. Il faut dire que je n’avais pas fait l’amour depuis un bon moment, et que voir Azou nue tous les jours me mettait dans un état d’excitation pas possible.



Maintenant, elle avait pris l’habitude de me masser tous les soirs.



Cette petite cérémonie quotidienne prit un nouveau tour quelques jours plus tard. Alors qu’elle massait ma virilité, elle décréta :



Cette histoire de guérison me faisait sourire à chaque fois, car elle semblait en être vraiment convaincue.

Lorsque je fus nu moi aussi, c’est elle qui éclata de rire. Lorsque je lui demandai la raison, elle me répondit :



C’est vrai que dans son village, tous les adultes avaient une tête de plus que moi, et même Azou était un peu plus grande que moi. D’autre part, pour un Européen, je pense qu’au niveau sexe, je devais être dans la moyenne. Mais dans son village, beaucoup de personnes, hommes comme femmes, étaient souvent nues. Et en voyant les garçons, les blancs auraient eu l’air ridicule à côté d’eux.

Vexé, et pour ne pas être en reste, je lui jetai alors :



Je ne sais pas si elle avait déjà fait une fellation dans sa vie, mais j’y pris un plaisir immense.

Lorsqu’elle eut fini, et tout avalé à mon grand étonnement, elle annonça :



Je ne sus jamais pour quelle maladie, mais je pense que c’est sa grand-mère guérisseuse qui avait dû lui dire ça.


J’avais réussi à la convaincre de poser nue à présent, et c’est d’elle-même, sans que je la guide, qu’elle prenait des poses de plus en plus suggestives. Après chaque séance de pose, elle me « soignait contre les sorts ».


C’est toujours à son initiative que de nombreuses photos d’elle – dans les poses les plus soft – ornaient les murs de la maison. Je suppose que c’était pour montrer à mes invitées qu’elle était plus qu’une simple employée, et pour les décourager d’essayer de me mettre le grappin dessus.

Azou était devenue presque ma femme à présent, sauf qu’elle ne voulait pas passer les nuits avec moi. Elle dormait systématiquement dans sa chambre.



Il est vrai que moi seul avais du plaisir, elle refusait toujours que je lui fasse l’amour. J’avais juste le droit de lui caresser les seins et les fesses pendant les séances de massage, je ne pouvais pas toucher son intimité.



J’en avais marre de ses « patron » qui ponctuaient chacune de ses phrases, mais à présent j’aurais été très mal, si j’avais dû la renvoyer chez elle.


Un jour je lui proposai à mon tour de lui faire un massage, elle accepta assez facilement. Lorsqu’elle fut allongée, je pris bien mon temps pour la caresser, et pour l’exciter au maximum. J’espérais qu’elle m’autoriserait à aller plus loin. Ses seins pointaient comme jamais je ne les avais vus, et elle se tortillait dans tous les sens, excitée comme jamais.



J’attendais ce moment depuis longtemps. J’approchai doucement mes mains de son intimité, et là, surprise, elle ne dit rien. Mes doigts trouvèrent facilement son petit bouton, qu’ils commencèrent à taquiner avec application. Semblant se réveiller soudainement, elle me lança :



Je ne me le fis pas dire deux fois, et plongeai immédiatement la tête la première. Ma langue prit aussitôt la place de mes doigts, et continua le travail commencé. Très peu de temps après, Azou se cabra de plaisir. Je pense que c’était la première fois de sa vie qu’elle jouissait. Elle mit un certain temps à reprendre ses esprits, et à me dire :



Les journées passaient très vite à présent, plusieurs fois par jour nous nous « guérissions » mutuellement, elle comme moi étions souvent victime d’un « sort ». À ce rythme-là, j’allais y laisser ma santé.

Azou semblait elle aussi être de plus en plus fatiguée de ses journées, elle me proposa alors :



C’était bien évidemment une excuse, il n’y avait pas plus de travail qu’avant. Mais Azou, sans l’avouer, devenait de plus en plus épouse, et de moins en moins employée. Nous nous mîmes d’accord pour recruter une autre fille, la prochaine fois que je l’emmènerais voir sa famille.

Azou fut chargée du recrutement, j’avais émis deux conditions : que la fille me plaise, et qu’elles ne parlent pas leur langage entre elles en ma présence. Azou avait bien essayé de m’apprendre sa langue, mais, à part quelques mots courants comme bonjour, au revoir ou merci, j’y avais renoncé.


Azou me présenta sa cousine Malounidazata, qui me plut immédiatement. Aussi grandes et aussi belles l’une que l’autre.


De retour à la maison, il y eut un petit problème, il n’y avait qu’une seule chambre pour les deux filles. Azou refusa catégoriquement que Malounidazata couche avec elle :



Tiens, mon œil, pas le droit ! Dans son village, il n’y avait pas de chambre pour tout le monde, seulement une case pour toute une famille. Et ça m’étonnerait que des cousines ne viennent pas « en vacances » l’une chez l’autre. C’était une nouvelle excuse d’Azou, comme j’en avais l’habitude. Lorsqu’elle ne voulait pas quelque chose, ou au contraire qu’elle voulait quelque chose de bien précis, elle trouvait une excuse toujours bidon.


Je proposai alors :



Je l’appelais ainsi, car son prénom était trop long, et je n’étais pas sûr de bien le prononcer.



Les gens du village étaient à plusieurs centaines de kilomètres, je ne pense pas qu’ils sachent comment nous vivions.



Je voyais mieux à présent où elle voulait en venir avec son histoire de cousines qui ne dorment pas ensemble : une autre excuse. L’affaire fut entendue, et Azou ne mit pas longtemps à mettre ses affaires dans ma chambre. Le lendemain nous irions acheter une armoire pour y mettre tous ses habits.


À peine les deux filles installées, Azou annonça à sa cousine qu’elle devrait vivre nue elle aussi :



Malou sembla gênée de se mettre nue devant moi, mais se plia à la « tradition française ». Elle était vraiment aussi bien faite que sa cousine, bien qu’à peine plus grande. Avec mon mètre soixante-quinze, j’avais presque l’air d’un nain à côté d’elles.


Azou prévint sa cousine :



Malou ne voyait pas trop de quoi il s’agissait, mais pour éviter le mauvais œil, elle était prête à faire ce que lui disait sa cousine.


Pour fêter l’arrivée de Malou, j’ai débouché une bouteille de champagne. Les deux filles n’en avaient jamais bu, mais elles apprécièrent immédiatement les petites bulles qui pétillaient dans leur bouche. Il fallut en ouvrir une seconde, après que la première eut disparu en à peine cinq minutes. Les deux filles étaient déjà bien gaies, et totalement nues toutes deux, elles commencèrent à danser ensemble tendrement enlacées. Ce spectacle me mit immédiatement en émoi. Azou s’en aperçut après quelques minutes.



Elle me fit allonger, et poussa sa cousine à m’entreprendre.



En état d’euphorie, Malou n’hésita pas une seconde à me mettre nu et, comme sa cousine, éclata de rire en voyant mon sexe. Décidément, elles n’étaient pas habituées à voir le sexe d’un blanc. Sans se démonter, Malou mit ses mains sur ma virilité qu’elle commença à masser avec une certaine maladresse. Azou prit la tête de Malou, et l’approcha de mon extrémité tendue, en lui disant :



Comme l’avait fait Azou la première fois, Malou n’hésita pas à me prendre en bouche. Un peu ivre moi aussi, je mis un peu de temps à parvenir au plaisir. Lorsque celui-ci arriva, Malou n’en perdit pas une seule goutte, toujours à mon grand étonnement. Un autre tabou qui ne devait pas exister dans la famille.

La différence avec Azou, c’est que Malou n’avait rien dit lorsque j’avais voulu la caresser intimement. Mes caresses avaient fait leur effet, Malou était tout humide. J’en profitai alors pour taquiner Azou.



Azou comprit le message et me demanda :



Un peu à l’improviste je lui lançai alors :



Une nouvelle surprise m’attendait, Azou plaqua Malou au sol et commença un massage très caressant. Je suppose que le champagne y était pour beaucoup.

Les mains d’Azou commencèrent au niveau du cou pour descendre très rapidement. Malou se laissait faire passivement, le champagne avait dû, à elle aussi, embrumer l’esprit. Elle ne broncha pas davantage lorsque les doigts d’Azou s’insinuèrent entre ses cuisses. Je poussai alors doucement le visage d’Azou vers le mont de vénus de sa cousine. Sans se démonter, elle y plaqua sa bouche, puis sa langue. Pendant qu’elle faisait cela, pour l’encourager, je la caressais amoureusement. Malou se libéra en se tortillant dans tous les sens. Pour elle aussi, je pense que c’était son premier orgasme.


Lorsque Malou fut un peu remise, je la sommai de faire la même chose à Azou.



Elle ne semblait pas d’accord mais, après une brève explication dans leur langue, elle se résigna. Je ne sais pas ce qu’elles purent se dire, mais cela avait été efficace.

Azou s’allongea, et Malou commença immédiatement ses caresses, non pas avec ses mains comme je m’y attendais, mais avec sa bouche. Azou guida directement le visage de sa cousine sur ses seins. Puis, toujours en tenant la tête de Malou, elle la fit lentement et progressivement descendre vers son bas-ventre. Je pus alors voir la langue de Malou pénétrer progressivement l’intimité de sa cousine, puis s’attaquer à son petit bouton. Azou maintenait toujours fermement la chevelure de sa cousine, en lui imprimant la cadence qu’elle voulait. Elle ne relâcha la pression que lorsqu’elle fut pleinement rassasiée.



Tout cela pour me faire comprendre qu’elle avait préféré les câlineries de sa cousine aux miennes.

Après le repas, il fut le temps d’aller dormir. Azou m’avait prévenu que l’on dormirait dans le même lit, mais chacun de son côté. Et que si je faisais quoi que ce soit pour m’approcher, elle hurlerait si fort que son père viendrait me couper la tête.


Autant fatigués par notre journée, que par le champagne, nous ne mîmes pas longtemps à nous endormir.

Le lendemain matin, je me réveillai le premier. Quelle ne fut pas ma surprise de voir que nous étions, Azou et moi, quasiment dans les bras l’un de l’autre ! N’osant pas bouger de peur de la réveiller, je contemplais son sourire en attendant son réveil. Elle commença à émerger quelques minutes plus tard. En me voyant, elle me fit un grand sourire mais, se rendant compte de notre position, elle me cria toute une tirade dans sa langue. Je ne pense pas que ce furent des gentillesses. Comme lorsque je l’avais surprise la première fois nue dans la douche, elle ne semblait pas pressée de quitter mes bras. Ce n’est qu’au bout d’un moment qu’elle s’en détacha en me lançant :



Notre vie à trois continuait tranquillement. Une fois que j’étais très excité de voir Malou « guérir » sa cousine avec sa langue, je me mis à caresser intensément et intimement Malou. Lorsque j’approchai mon sexe tendu près de ses fesses, elle ne broncha pas, au contraire elle se frotta contre moi avec plus de chaleur. Encouragé par cette invite muette, je le glissai alors entre ses cuisses, tout contre ses lèvres intimes. Elle écarta davantage les cuisses et le guida carrément en elle. Je fis alors des allers-retours sans aucune retenue. Excitée par cette pénétration, elle s’activa encore plus à satisfaire Azou. Cette dernière prit son pied comme jamais, suivie de près par Malou. Quelques minutes plus tard, ce fut mon tour.


Au début, Azou ne s’était pas rendu compte que je faisais l’amour à sa cousine, ce n’est que lorsque cette dernière se dégagea d’elle, qu’elle vit que Malou et moi ne faisions qu’un. Je vis alors à son visage qu’elle n’était pas contente. Pour la première fois depuis qu’elle était « à mon service », Azou me fit la tête jusqu’au soir.


Comme les vieux couples, ce n’est qu’une fois couché que j’ai pu avoir une explication.



Je ne voyais pas la différence entre les deux, encore une nouvelle excuse.


Le lendemain, Azou n’était plus fâchée, d’autant que nous devions partir pour son village.

À notre retour, il me sembla qu’Azou avait changé, elle était bien plus câline. La journée se passa comme à l’habitude, c’est-à-dire avec plusieurs séances de massage et de « guérisons ». La nuit, par contre, prit un nouveau tournant.


Alors que je m’apprêtais à m’endormir bien sagement de mon côté, Azou se rapprocha petit à petit de moi, jusqu’à me grimper carrément dessus. Je me laissai faire en attendant de voir la suite des événements. Azou se frottait maintenant sans aucune retenue sur mon sexe. Elle fit tellement bien, que je le sentis commencer à la pénétrer lentement. Je la laissai faire jusqu’à ce que je sois bien ancré en elle. Je la pris par les épaules pour stopper tout mouvement de sa part et la questionnai sérieusement :



Sans se démonter, elle me répondit aussitôt :



Encore une de ses excuses bidon. Je crois plutôt qu’elle avait été vexée que je fasse l’amour à sa cousine, et pas à elle. Je fis semblant de croire à son explication, et l’encourageai à reprendre ses ébats. Je n’eus pas à lui répéter ma phrase.

Azou se lâcha carrément, et se mit en position verticale, tout en continuant ses mouvements de va-et-vient. J’en profitai pour lui caresser les seins d’une main, et son petit bouton de l’autre. Elle prit son pied en hurlant.


Avant que sa cousine ne vienne voir ce qui se passait de si grave, elle eut le temps de me dire :



Maintenant j’ai deux femmes à la maison, qui ne demandent qu’à faire l’amour, oh pardon, qu’à être guéries. Et comme elles ne sont jalouses ni l’une ni l’autre, je me demande si je tiendrai le coup encore longtemps. Heureusement qu’elles « s’autoguérissent » mutuellement aussi, sinon je serais mort depuis longtemps.