n° 14522 | Fiche technique | 13127 caractères | 13127Temps de lecture estimé : 10 mn | 18/08/11 |
Résumé: Je m'étais exhibée devant mon voisin sans qu'il sache que je savais qu'il m'observait. J'avais envie d'aller plus loin. Ce 20 juillet, j'ai été exaucée. | ||||
Critères: fh fplusag collection fellation cunnilingu pénétratio confession | ||||
Auteur : Maelys Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Exhibitionnisme avec mon jeune voisin - et plus si affinités Chapitre 02 | Fin provisoire |
Depuis que j’ai eu l’occasion de me masturber devant le fils de mes voisins, j’ai envie d’aller plus loin. Je me suis sentie flattée qu’un jeune étudiant, qui aurait 19 ans dans quelques jours, puisse s’intéresser à moi.
Je ne me vois pas aller le draguer ouvertement. Si je suis libérée sur le plan sexuel, je ne peux me faire une réputation de croqueuse de jeune homme, compte tenu de ma profession - que je tairais.
Quand je le croise dans la ruelle depuis mon exhibition de début mai, il ne me regarde pas. Il fuit mon regard. Il doit sans doute se sentir coupable de m’avoir espionnée. S’il savait que je l’ai fait sciemment, en sachant qu’il me guettait !
J’ai envie de savoir si je peux le séduire, de voir s’il pourrait oser aller plus loin que de m’observer à travers la haie.
J’imagine des stratagèmes. J’en discute sur le net.
Le coup du robinet est un peu téléphoné, tout le monde connaît l’histoire du plombier, cela manque d’originalité.
On me suggère de lui demander de l’aide pour déplacer un meuble, pour récupérer un objet lourd au-dessus d’une armoire… Mais j’ai envie qu’il ait l’impression que notre rencontre soit fortuite.
J’ai peut-être une solution. La cabane de jardin installée par les propriétaires est équipée d’un ressort puissant qui ferme la porte toute seule. Dans cette cabane on trouve le mobilier de jardin et les outils de jardinage.
Ils ont mis une espèce de clenche qui retombe toute seule lorsque la porte claque.
Ils m’ont d’ailleurs prévenue car cette clenche ne peut s’actionner de l’intérieur. Ils ont donc installé une cordelette que l’on doit passer sur un piquet pour retenir la porte tandis qu’on est dans la cabane. Ce piquet donne des signes de faiblesse.
En le bougeant un peu je crois qu’il ne résistera pas à la puissance du ressort de la porte.
J’ai profité du temps pluvieux de cette mi-juillet pour donner du jeu au piquet : il ne résistera pas la prochaine fois que je maintiendrai ouverte la porte de la cabane de jardin, en l’y attachant.
Il ne reste plus qu’à attendre des conditions météorologiques justifiant une nouvelle bronzette pour tenter le stratagème.
Je suis impatiente mais je culpabilise aussi à l’idée de ce que je suis en train de manigancer… Je culpabilise parce que je profite de sa relative jeunesse.
Ce 20 juillet, une belle journée chaude et ensoleillée se profile. Il est quatorze heures. Je suis dans ma chambre, au premier étage. Je surveille le jardin des voisins. Il n’est toujours pas là. Va-t-il se décider ? Est-il sort ? Je me désespère.
Je prends mon livre, m’allonge sur le lit et patiente. À la fin de chaque chapitre, je me dirige à la fenêtre pour, hélas, constater que le jardin est toujours inoccupé.
Je finis par penser que cela ne sera pas pour aujourd’hui.
Quinze heures quinze. Je décide de me faire un thé. Par acquis de conscience, un coup d’œil à la fenêtre. Oh miracle ! Il est là, allongé sur sa chaise longue contre la haie. Il espère sans doute me voir. Il ne va pas être déçu.
Mon cœur bat déjà vite. J’enfile mon bas de maillot de bain et un t-shirt bleu.
Je sors par la porte-fenêtre de la cuisine. Mon jeune voisin ne doit pas en perdre une miette. Je traverse le jardin en direction de la cabane dans l’idée d’y prendre une chaise longue.
J’ouvre la porte, l’attache par la ficelle sur le piquet, entre dans la cabane. Aïe, malgré le jeu que j’ai donné au piquet, il retient encore la porte. Je choisis de forcer le destin en tirant un tout petit peu. Le piquet cède enfin.
La porte claque et la clenche ferme la porte. Je suis enfermée. Je déploie tous mes talents d’actrice en appelant à l’aide et en tapant sur la porte.
Une minute passe et je commence à me demander si je ne risque pas de passer une partie de l’après-midi dans cette cabane.
Tandis que je crie de plus belle, la porte s’entrouvre. Mon jeune voisin se dresse devant moi.
Quel hypocrite ! Enfin, compte tenu de ce que je manigance, je n’ai guère de leçon à lui donner. Je sors de la cabane de jardin. La lumière m’éblouit un peu.
Il s’apprête à repartir par la porte du jardin.
Nous entrons par la porte-fenêtre de la cuisine. Je l’imagine observant mes jambes et mes fesses sous mon maillot.
Je sors des jus de fruits du réfrigérateur et les dépose sur la table basse devant le canapé.
Je me penche volontairement en avant pour sortir deux verres du buffet, dans une posture impudique qui dévoile mes jambes et laisse deviner l’anatomie de mes fesses, voire de ma vulve.
Je pose les verres sur la table et m’assieds à côté de lui.
Je nous sers un jus d’orange qu’il commence à déguster.
Je retire mon t-shirt et dévoile mon opulente poitrine. C’est un test pour moi. S’il détourne les yeux et semble gêné, je saurai que mes projets tombent à l’eau. Au contraire, il les regarde avec attention, ce qui a pour effet de faire dresser un peu mes tétons.
J’ai une belle poitrine, ronde et ferme. Un bon 95 C.
Aymeric a les yeux qui pétillent. Je fais mine de boire mon jus d’orange sans faire attention à lui, mais du coin de l’œil, je tente de percevoir un renflement suspect dans son short. Difficile de me faire une idée ; il est trop ample.
Je tente le tout pour le tout. Je pose mon verre et je titille mes tétons. Loin d’être ennuyé par l’impudeur de mon geste, il me regarde avec attention.
Je me cambre et dresse la poitrine. Je pose ma main gauche sur le genou droit d’Aymeric. Il se laisse faire. J’en profite pour tâter son entrejambes. Il a une belle érection.
Mes mains glissent lentement sur son short et je le caresse au travers du tissu. Durant ce moment, nous sommes les yeux dans les yeux. À quelques centimètre l’un de l’autre et je sens son souffle chaud sur mon visage.
Ses joues deviennent rouges, les miennes le sont aussi d’ailleurs. Je me sens totalement indécente.
Pendant ce temps, ma main continue à glisser sur sa verge. Mes doigts se resserrent sur elle. Je frotte le tissu afin de la caresser sur toute la longueur.
Hummm ! Que j’aime ce contact. Son pénis continue à prendre de la vigueur et cela m’excite beaucoup…
À présent je dénoue le cordon qui maintient son short, puis lentement je passe ma main dedans. Nous sommes collés l’un à l’autre et moi aussi, je commence à sentir ma vulve toute chaude.
Il a envie de me toucher, mais je ne le laisse pas faire. J’ai envie de contrôler la situation. J’ai le désir de le masturber.
Il s’approche de plus en plus de moi, dépose un baiser sur mes lèvres. Il laisse ma main parcourir le tissu de son slip qui me sépare encore de son pénis. Je continue à exercer de légères pressions sur sa hampe.
Je me lève et le tire du canapé. Je fais enfin glisser son boxer et son slip. Je découvre sa belle verge bien dressée, presque à la verticale, qui ne demande que je m’occupe d’elle.
Je commence à la prendre délicatement entre mes doigts et entame un très léger va-et-vient.
Je sens sa verge qui gonfle de plus en plus sous l’effet de mes caresses ; je continue doucement, lentement ; je la sens encore se durcir ; je sens les palpitations de son cœur lorsque je la serre dans la main.
À présent, j’ai très envie de la sucer ; J’approche ma langue de sa verge. Elle est si bonne ! Je continue à l’embrasser tout en descendant vers ses testicules que je lèche et mordille. Je la lèche enfin de bas en haut, appuyant ma langue à l’extrémité.
Je sens Aymeric chavirer. Mes doigts caressent ses cuisses. Il apprécie vraiment ce que je fais car j’entends ses gémissements, ses râles.
Ma main revient sur son membre. Je le saisis à pleine bouche et je fais des va-et-vient. Je sens la chaleur de son corps, entends sa respiration brûlante et saccadée. Ma main caresse ses testicules ; je les masse.
Alors j’accentue encore plus le mouvement de ma bouche. Il me donne de légers coups de bassin pour que son pénis soit bien pris au fond de ma gorge. Il goûte ce plaisir que je lui offre.
Il se raidit. J’attrape délicatement son gland avec mes dents en le mordillant puis le place doucement sur ma langue, serrant encore plus mes lèvres autour de son membre. J’appuie doucement avec ma tête vers son ventre.
Je suis dans un état second. J’adore jouer avec sa belle queue.
Je la lèche de plus belle avec le plat de ma langue, la faisant tourner autour de son gland.
Je sens son éjaculation arriver et m’apprête à le recevoir dans ma bouche.
Mais il se libère en gémissant et s’éloigne de moi. Il me relève, s’agenouille à son tour et baisse mon bas de maillot de bain, découvrant mon pubis. Je m’assieds sur le canapé.
Il s’approche de moi et s’agenouille sur le parquet, la verge dressée. Il la place sur ma vulve et s’apprête à me pénétrer.
Je le repousse.
Je le sens malgré tout un peu frustré. Il descend sa bouche sur mon nombril en couvrant mon ventre de baisers.
Je me laisse aller et je ferme les yeux. Je penche la tête en arrière en me mordant la lèvre inférieure. Il s’enhardit et descend sa bouche vers mon pubis.
Avec ses doigts, il fraye son chemin dans ma touffe brune et caresse mes lèvres humides qui s’écartent maintenant. Sa langue s’affaire sur mon clitoris. Je laisse échapper des soupirs.
Je pose mes mains sur sa tête et l’appuie sur mon sexe. Il se met à me sucer tout en prenant mes seins à pleines mains. Il se redresse et m’embrasse fougueusement.
Après ce baiser, je prends sa tête et la dirige à nouveau entre mes jambes écartées au maximum, pour que sa langue se retrouve à nouveau sur ma vulve.
Il se met à lécher goulûment mes grandes lèvres de haut en bas. Petit à petit, il entre un peu plus sa langue dans ma fente.
Il écarte carrément mes grandes lèvres avec les doigts pour atteindre le plus profondément possible mon vagin avec sa langue.
Mon dieu, qu’il s’y prend bien ! Mes soupirs sont plus prononcés et il m’arrache des petits cris de jouissance.
Il lève sa tête une seconde et me voit en train de me caresser les seins. Je fais rouler mes tétons entre les doigts. Je l’encourage à continuer :
– C’est très bien, continue. Glisse un ou plusieurs doigts dedans…
Il obéit et introduit son majeur dans ma chaude et humide intimité. Je m’ouvre au fur et à mesure et il y fait glisser trois doigts.
Il me prodigue un mouvement de va-et-vient avec ses doigts tandis que sa bouche se remet à sucer mon clitoris.
Mes soupirs s’accélérèrent ; mes cris se font plus nombreux et plus forts ; j’approche de l’orgasme.
Soudain, mon vagin se contracte ; je me raidis et pousse un long râle de plaisir.
Il continue ses gestes. Ce n’est plus le moment. Je le repousse et renverse ma tête de plaisir.
Après quelques secondes, je me lève et vais chercher un préservatif dans le tiroir de mon bureau. Sa verge est tellement raide que je n’ai aucun mal à l’y placer.
Sur le canapé, je me place à genoux de part et d’autre de ses cuisses. Je place mon sexe au-dessus du sien, saisis sa verge, puis la présente à l’entrée de mon vagin.
Je me laisse descendre. Je suis trempée et dilatée. Il me pénètre facilement. Je pousse un gémissement, tant mon désir est grand. Mon pubis touche le sien. Gémissante, je me mets à monter et descendre le long de sa hampe.
Je sens le plaisir envahir mon corps. Je bouge de plus en plus vite. Je sens monter ma jouissance, dans mon sexe, mes reins, mon ventre.
Je lui caresse un téton tandis qu’il pétrit mes seins durcis, décuplant mon plaisir. Mon corps n’est plus qu’une envie de jouir.
Je halète comme un chien assoiffé, criant presque "Oui, mmmhhh… Ouiiiiiii".
J’accélère le rythme et je sens la sève monter dans son sexe.
Aymeric a des soubresauts et ses muscles se tétanisent. Je sens sa semence jaillir de sa verge, merveilleuse sensation. Alors que ses spasmes s’atténuent, je sens mon périnée se contracter autour de sa verge. Je crie tout mon bonheur et mon plaisir.
Je m’écroule sur lui, couvrant ses lèvres et son visage de baisers.
Nous nous sommes câlinés une dizaine de minutes, et Aymeric est rentré chez lui.
J’étais comblée. Je ne cache rien de ma sexualité à mon actuel petit ami. Comment allais-je raconter cela à Marc ce soir ? Quelle allait être sa réaction ? C’était un grand mystère.
Sa résolution allait peut-être entraîner pour moi une nouvelle séparation, synonyme de la préservation de ma liberté sexuelle, ou pas !