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n° 14533Fiche technique24701 caractères24701
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Temps de lecture estimé : 14 mn
25/08/11
Résumé:  Un couple s'initie aux joies du candaulisme.
Critères:  hplusag extraoffre cocus inconnu vacances fsoumise hsoumis fdanus fsodo init
Auteur : Alteregaux            Envoi mini-message

Série : Délicieux apprentissage

Chapitre 01 / 02
Délicieux apprentissage - 1

Je suis un cocu… et j’en suis fier. Prononcer cette phrase m’aurait paru ridicule il y a quelques mois encore mais aujourd’hui elle me comble de plaisir.


Sandrine ma femme est une jolie femme de 36 ans, je suis son aîné de six ans et nous sommes ensemble depuis sept ans. Nous avons tous deux eu des aventures avant de nous rencontrer et notre vie sexuelle est épanouie quoique très classique.


Physiquement, Sandrine représente pour moi l’idéal féminin, elle mesure 1,67 pour 54 kg, elle a un visage d’ange et de longs cheveux bruns et lisses avec une frange sous laquelle brillent de magnifiques yeux bleus, de très jolies jambes bien galbées, des fesses rebondies, une taille fine et une généreuse poitrine. Elle affole généralement les hommes qu’elle croise et j’aime que ma femme soit appréciée par la gent masculine.


Est-ce le poids de la routine ? Est-ce la fréquentation assidue de sites internet pour adultes ? Je ne saurais le dire mais une envie me rongeait intérieurement depuis des semaines. J’avais visionné des heures de vidéo sur l’échangisme, le candaulisme et les relations de domination/soumission, j’avais lu de nombreux témoignages… Je rêvais d’offrir ma femme à un inconnu, un homme d’âge mûr de préférence, qu’elle se soumette sexuellement à un vieux cochon qui l’utilise selon son bon plaisir. Fantasme de toqué ? J’ai réalisé que cette pratique était plus répandue que je ne l’imaginais. Des sites spécialisés traitaient abondamment de ce sujet et réunissaient des centaines de maris cocus volontaires, de cocufieurs et d’épouses consentantes.


Réalisant que mes premières approches avec Sandrine n’étaient pas de francs succès, j’ai profité d’une soirée où elle était d’humeur coquine pour lui faire faire un tour du web libertin en insistant sur les sites qui m’avaient particulièrement marqués.



Nous en sommes restés sur cette position mais j’ai poursuivi mon travail de négociation avec mon épouse. Par chance, après cette première visite elle a pris goût pour le web coquin et m’a avoué que les expériences entrevues au fil de ses navigations sur internet l’excitaient énormément. Nos soirées passées devant notre ordinateur ont apporté du piment dans nos jeux érotiques. Sandrine semblait de moins en moins réticente à l’idée de tenter une expérience.


La réalisation de ce fantasme se fit de manière impromptue à l’occasion d’un voyage à l’étranger. Notre progéniture placée chez les grands-parents, nous avions pris une semaine de vacances au Maroc en plein hiver pour nous dépayser en évitant les foules de touristes. Marrakech était lumineuse, agréable le jour, froide la nuit.


L’hôtel où nous séjournions en demi-pension à proximité de la médina était chaleureux et peu fréquenté. Quelques rares touristes y séjournaient et nous avons lié connaissance avec certains. Parmi eux, Robert, un homme d’affaires belge d’une soixantaine d’années nous prit d’affection. L’homme n’était pas grand et rondouillard mais il émanait de lui un certain charisme. Il était chauve, portait une petite moustache et un bide proéminent. Il connaissait beaucoup de monde dans cette ville et sa compagnie était agréable. Je compris rapidement que Sandrine n’était pas étrangère à cette marque d’intérêt et qu’elle lui plaisait beaucoup.


Un soir, l’alcool aidant nous nous sommes laissé aller à quelques confidences. Nous avons avoué à ce quasi-inconnu nos interrogations au sujet de nos fantasmes sexuels. Il nous écouta avec intérêt et nous confia que dans sa longue vie de voyageur, il avait eu de nombreuses expériences libertines. Il nous proposa de nous accompagner dans notre quête et de nous initier aux joies du libertinage.



Il détailla Sandrine, maquillée avec soin, vêtue d’une courte robe, d’escarpins à talons hauts et me dit :



Après avoir pris congé, nous avons longuement discuté de la proposition de Robert. Il nous sembla que si une telle expérience devait avoir lieu, c’était l’endroit idéal. De retour en France, nous pourrions choisir soit d’oublier, soit de nous délecter de cette aventure.


Je fis savoir à Robert que nous donnions suite à sa proposition. Il nous donna rendez-vous le soir même dans un restaurant en précisant que nous devions réserver la suite de notre soirée.


Sandrine qui souhaitait être particulièrement à son avantage se surpassa. Lorsque j’ai l’ai vue sortir de la salle de bain, j’ai réalisé que malgré des premiers pas hésitants, elle savait parfaitement jouer la carte du glamour. Elle avait revêtu une courte robe noire très décolletée qui mettait en valeur sa magnifique poitrine, ses jambes étaient gainées de bas en fin voile noir et elle avait chaussé de vertigineux escarpins noirs à talons aiguille de 12cm. Son maquillage était particulièrement soigné, ses longs cheveux bruns lâchés sur ses épaules.


Robert nous accueilli au restaurant, complimenta mon épouse pour sa tenue. Durant le repas il fixa les conditions de notre engagement commun :



Nous avons accepté ces conditions sans hésitation mais non sans une certaine appréhension. J’admettais de devenir un cocu consentant et Sandrine s’abandonnait à cet homme sans condition.


Robert nous emmena après le dîner dans une petite pension située dans la médina. À cette heure, les rues étaient désertes et seul le claquement des hauts talons de Sandrine sur le pavé troublait le silence. Quelques autochtones et de rares touristes nous croisèrent, tous mâtèrent ma femme dont la tenue sexy semblait un peu déplacée dans ce quartier.


Robert sonna à une porte et un homme taciturne nous ouvrit, il nous donna une clé et nous désigna une chambre au bout d’un couloir sombre. Nous sommes entrés dans une chambre très modestement meublée d’un lit, d’une armoire, d’un fauteuil, d’une chaise et d’un bureau. La chaux sur les murs était défraîchie et les tapis usés jusqu’à la corde. Robert referma la porte et nous contempla d’un air satisfait :



Contre toute attente, il se tourna d’abord vers moi et m’ordonna de me déshabiller entièrement. Nu comme un ver, j’étais un peu gêné de m’exhiber dans cette tenue sous les yeux de ma femme et d’un quasi inconnu, mon sexe recroquevillé pendouillait tristement entre mes jambes. Robert me fit asseoir sur une chaise et grâce à une cordelette qu’il sortit de la poche de sa veste, il m’attacha solidement les mains dans le dos au dossier puis il lia mes chevilles aux pieds de la chaise.



Ma femme obéit docilement, pendant que l’homme assis sur le lit la regardait. Elle détacha la fermeture de sa robe qui glissa le long de son corps jusqu’au sol. Elle apparut en sous-vêtements noirs, un soutien-gorge en dentelle qui faisait pigeonner sa merveilleuse poitrine et d’un string minimaliste aussi léger que transparent. Ses jambes étaient magnifiquement gainées de bas en fin voile noir maintenus sur ses cuisses par une large jarretière en dentelle. Elle libéra sa lourde poitrine en dégrafant le soutien-gorge puis fit glisser son string le long de ses jambes avant de s’en débarrasser de la pointe de son escarpin. Elle faisait face à l’homme, nue et vulnérable, uniquement vêtue de ces accessoires qui la rendait encore plus désirable.



Il s’approcha et se tint debout à côté de Sandrine qui gardait les yeux baissés en attendant la suite. Il passa une main dans son dos et descendit lentement jusqu’à ses fesses qu’il commença à caresser d’abord doucement puis de plus en plus fermement. De son autre main, il prit en main ses seins lourds et fermes, les soupesa, les malaxa, passant de l’un à l’autre en les pétrissant avidement.



Sa main descendit le long de son ventre et s’attarda longuement sur son pubis entièrement lisse et épilé.



Sandrine avait passé la matinée dans un institut et avait testé l’épilation traditionnelle qui laisse la peau douce et satinée. J’avais entrevu le résultat mais c’était Robert qui maintenant en profitait.



Le vieux glissa progressivement sa main entre les cuisses de mon épouse, il insinua ses doigts boudinés entre ses lèvres intimes dépourvues de toute pilosité et la caressa doucement. Elle étouffa un soupir. Ses doigts s’enfoncèrent plus profondément et trouvèrent l’entrée de son vagin. Lentement mais inexorablement il introduisit un doigt dans son sexe et l’enfonça entièrement. Sandrine poussa un petit cri.



Il fit coulisser son doigt dans son intimité pendant que de son autre main, il continuait à lui pétrir les fesses.



Il dirigea Sandrine vers le lit et il la fit s’installer au bord du matelas, à quatre pattes, cambrée, en appui sur ses avant-bras, les cuisses largement écartées. Dans cette position, offerte, elle ne cachait rien de son intimité et ses seins ballotaient librement sous elle.



La superbe jeune femme que je contemplais, nue à l’exception de ses bas et de hauts talons, sensuelle, exhibée et offerte de manière indécente devant ce vieux cochon ressemblait à une héroïne de Giovanna Casotto. Ma queue s’animait et se redressait.



Il se tourna vers Sandrine :



L’homme lui caressa la croupe et saisit ses seins qu’il recommença à peloter.



Le type glissa un doigt dans son sillon fessier, ce qui provoqua chez Sandrine un long frisson. Il effleura l’abricot lisse de son sexe, particulièrement exposé dans cette position indécente. Il introduisit un, puis deux doigts dans son vagin et elle soupira.



Le type sortit ses doigts gluants du vagin humide de mon épouse et enduisit son anus de ses sécrétions. Lorsqu’il estima qu’elle était suffisamment lubrifiée, il lui força le cul et enfila entièrement son majeur en elle. Sandrine poussa un petit cri.



Il commença à se dévêtir et ôta son pantalon et son slip, ne conservant que sa chemise ouverte sur son gros bide et ses chaussettes. Il fit descendre Sandrine du lit et lui ordonna de se placer à genoux devant lui. Elle obéit et se retrouva face au vieux. Il avait un physique disgracieux, presque comique Son torse massif était soutenu par de petites jambes maigres mais la partie de son anatomie la plus spectaculaire se situait à hauteur de ses yeux : un sexe en semi érection d’une taille impressionnante, épais et violacé surmontant des bourses énormes et pendantes



Sandrine commença par lécher le gros gland luisant puis prit le membre en bouche le fit coulisser entre ses lèvres maquillées. La verge, déjà grosse au départ, enflait et durcissait déformant outrageusement la bouche de ma chère et tendre. Le vieux lui saisit la nuque et imprima lui-même le rythme de la fellation. À demi-étouffée, ma femme s’interrompait régulièrement pour lécher la colonne de chair, ce qui lui permettait de reprendre son souffle. Le type lui laissait peu de répit et l’obligeait à le sucer en cadence en s’enfonçant toujours plus profondément dans sa gorge.



Sandrine n’est pas une grande amatrice de cet exercice qui la dégoûte un peu mais elle s’exécuta. Soulevant la verge avec sa main, elle lui lécha longuement les testicules d’une langue chaude et humide pendant que l’homme soupirait d’aise. Je réalisai qu’elle ne m’avait jamais prodigué une caresse buccale aussi torride auparavant, ce soir avec un inconnu elle agissait comme une vraie salope. Je bandais de plus en plus fort. Le vieux exigea qu’elle le suce encore un moment puis il se dégagea.



Le vieux la releva et la plaça à nouveau sur le lit dans la position précédente, à quatre pattes, offerte en levrette. Il caressa sa vulve et constata que son excitation avait encore augmenté.



Le vieux s’approcha par derrière et dirigea son engin vers le sexe luisant de ma femme. Son gland glissa dans les replis de sa vulve et commença à la pénétrer lentement. Il dilata de son énorme pieu son étroit fourreau. Il s’enfonça progressivement en elle, comme s’il voulait apprécier chaque centimètre conquis dans l’intimité de sa partenaire. Elle gémit sourdement, le visage crispé. Lorsqu’il fut entièrement entré en elle, son gros bide s’écrasa contre ses jolies fesses, il commença de lents et amples va-et-vient en la maintenant par les hanches.



Sandrine poussait un petit cri à chaque coup de rein de son partenaire. De ma place, je pouvais voir son gros chibre aller et venir dans le sexe de ma femme, ressortant presque entièrement à chaque mouvement. Epais, turgescent, luisant de cyprine, il replongeait l’instant d’après encore plus profondément en elle. Mon excitation était à son comble, je bandais à m’en faire mal. Mes mains étaient solidement attachées, je ne pouvais absolument pas me soulager. J’étais condamné à regarder ma chère et tendre se faire défoncer par ce vieux cochon sans même pouvoir y prendre du plaisir.


Il la pilonnait en cadence, énergiquement, virilement. Sandrine encaissait ses coups de boutoir et semblait apprécier la manière dont Robert la possédait. Elle haletait, le visage empourpré, les yeux mi-clos et gémissait sourdement lorsqu’il accélérait ou changeait de rythme.


Le vieux abandonna ses hanches pour saisir ses seins qui se balançaient au rythme de la pénétration et se mit à les pétrir tout en continuant à la baiser. De temps à autre, ses mains quittaient sa poitrine pour caresser son pubis, ses cuisses au travers du nylon de ses bas ou ses fesses. Il lui asséna à plusieurs reprises des claques sonores sur le postérieur.

Il tourna la tête dans ma direction :



Je sentis Sandrine monter vers le plaisir, des gouttes de sueur perlaient sur son front. Robert quant à lui transpirait à grosses gouttes qui ruisselaient sur le dos et le postérieur de sa partenaire. Quelques instants plus tard Sandrine fut submergée par un orgasme dévastateur, elle se cabra et jouit bruyamment pendant que Robert accélérait encore la cadence.



Il se plaqua contre elle et jouit à son tour en grognant. Il éjacula longuement dans le ventre de ma femme. Il resta en elle encore quelques instants, profitant au maximum de la femelle qu’il venait de saillir. Il se retira enfin avec un ignoble bruit de succion.



L’homme s’approcha de moi et dénoua une de mes mains. Je saisis ma queue et je me mis à me masturber frénétiquement devant le spectacle qui s’offrait à moi. La verge du vieux avait laissé le sexe de mon épouse béant, dilaté et rougi par la rudesse de la pénétration. Entre ses lèvres flétries un sperme gras refluait lentement et souillait son entrecuisse. Je n’ai pas tardé à venir et j’ai piteusement éjaculé sur mes cuisses pendant que l’homme frottait sa verge gluante sur les seins de Sandrine.


Quelques minutes plus tard, nous étions debout et Robert, seul à être rhabillé nous faisait face assis sur une chaise. J’étais maculé de ma propre semence et Sandrine avait renoncé à retenir celle de son baiseur qui s’écoulait entre ses cuisses et imprégnait la jarretière de ses bas.



Sandrine, un peu honteuse hocha timidement la tête :



Il se leva, passa derrière Sandrine et se plaqua à elle. Il lui caressa les seins et le ventre :



Nous nous sommes rhabillés et avons suivi Robert à l’extérieur. C’est en silence que nous sommes retournés à notre hôtel. Une fois dans notre chambre, Sandrine se déshabilla, le string qu’elle avait enfilé à la hâte était trempé de foutre, ses seins et ses fesses étaient marqués à force d’avoir été palpés, son sexe exhalait une odeur de musc qui envahissait la pièce. Terriblement excité, je me suis précipité sur elle et j’ai tenté de l’enlacer.



J’ai accepté mon sort et j’ai joué le jeu. Ma tendre épouse avait accepté mon fantasme, je n’allais pas m’en plaindre.