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n° 14540Fiche technique16470 caractères16470
Temps de lecture estimé : 10 mn
27/08/11
Résumé:  Nous allons chez la cousine de ma femme, une africaine aux formes plus que généreuses. Seuls à la maison, je la surprends en position avantageuse...
Critères:  fh extracon cousins grosseins groscul fmast intermast entreseins fellation pénétratio -occasion -extraconj
Auteur : Fulmen  (Homme marié, la trentaine, heureux mais un peu en manque.)      
Bon séjour !

La voiture ronronne sur l’autoroute, le paysage monotone défilant sur les côtés. Ma femme et moi partons passer quelques jours chez sa cousine Audrey à Bordeaux. Je suis marié à Véronique depuis bientôt dix ans maintenant et je dois dire que ça se passe plutôt bien. Disons que ça se passe bien maintenant que j’ai appris à gérer son caractère volcanique, qu’elle partage avec la plupart de ses compatriotes.


Je dois préciser que Véro est camerounaise et qu’elle possède, entre autres atouts, un magnifique fessier bien rebondi qui fait toujours mes délices. Ajoutez à cela des seins petits mais pointus (et très sensibles), un petit corps légèrement rembourré et un joli visage rond avec des yeux noirs en amande et vous aurez un ensemble tout à fait honorable. Nos rapports sexuels n’ont pas la fréquence que je souhaiterais (disons une fois par semaine, en moyenne), par contre ils sont d’autant plus intenses qu’attendus…



Il faisait chaud dans la voiture et je luttais contre la somnolence.



Et après un moment de pause :



Là, pour le coup, j’ai bien failli m’étrangler ! Plus question de somnolence…

Il faut dire que d’une part je connais bien le tempérament de ma femme et je sais que j’avance en terrain miné… Disons que l’orage peut se lever à tout moment. D’autre part, il est vrai que j’ai souvent fantasmé sur l’opulente poitrine d’Audrey… Elle est camerounaise elle aussi, bien que d’un teint plus foncé que celui de Véro. Sébastien, lui est blanc (comme moi) mais plus âgé, il approche la cinquantaine.


Bref, il faut bien que je réponde quelque chose…



Regard en coin de Véro.



À force d’imaginer Audrey chez elle en train de se faire prendre par un maçon, j’ai une érection de tous les diables, serré dans mon jean en train de conduire… Très inconfortable !

La conversation se poursuit ainsi pendant plusieurs minutes. N’y tenant plus, j’avance nonchalamment la main droite vers un des seins de Véro et commence à titiller le téton à travers le soutien-gorge, m’attendant cependant à me faire jeter (« pas en voiture, voyons ! ») .

Pourtant, pas de réaction !

Je continue de plus belle, puis descends la main entre ses cuisses. Elle résiste un peu puis les entrouvre. Étonné que mon audace donne autant de résultat, je poursuis mon exploration et, remontant sous la jupe, je caresse le tissu du string que je trouve humide !



Eh bien, c’est mon jour de chance ! Il y a des occasions qui ne se laissent pas passer… Je sors quelques kilomètres plus loin, par chance c’est une aire toute simple, quasi déserte. Je dépasse les rares voitures stationnées et vais me garer tout au fond, à l’écart.


Je soulève son haut et sors promptement les petits seins du soutien-gorge en dentelle. Ils sont très durs, dressés avec des tétons agressifs. Je les caresse de la paume de la main, ils durcissent encore plus. Je commence à les sucer, et pendant que je mordille, Véro, en respirant très fort à mon oreille, commence à défaire ma ceinture et sortir mon membre de mon pantalon. Il était temps, ça commençait à me faire mal. L’entourant de sa main, elle commence à le caresser doucement. Ma main, depuis un moment, s’est glissée sous le tissu du string et mon doigt s’insinue entre ses lèvres trempées.



La douche froide. Déçu, je retire ma main. Cependant Véro a pitié de moi et, après avoir décalotté mon gland, elle se baisse et le met dans sa bouche. Elle qui n’a jamais aimé ça… Elle s’applique comme elle peut, jouant de sa langue sur mon gland, montant et descendant avec ses lèvres sur ma tige. Ça me procure une douce sensation de chaleur et je me laisse aller. Ma main retrouve le chemin de son string et mon doigt s’arrête cette fois sur son clitoris, le titillant.


Véro commence à gémir, ce qui décuple mon excitation. Ma main s’affaire de plus belle dans la culotte maintenant trempée à tordre. Véronique, sans sortir ma queue de sa bouche, a fermé les yeux et agite son bassin en cadence avec les mouvements de ma main. Le son de ses gémissements est étouffé par le sexe qui lui remplit la bouche.


Je n’y tiens plus. La sentant onduler contre mon bras droit sous ses cris étouffés, ses petits seins libres s’agitant sous mes yeux, je sens le plaisir monter et je me vide dans sa bouche. C’était la première fois…

Est-ce à cause de cette décharge ? En tout cas c’est le moment que choisit Véro pour jouir, toute tremblante, la bouche ouverte pour crier, laissant s’échapper mon sperme sur mon pantalon dans un dernier gargouillis.


Le coin est toujours désert. Nous en profitons pour sortir de la voiture pour nous changer avec des vêtements pris dans la valise. Je dois soutenir Véronique dont les jambes sont bien flageolantes, afin qu’elle puisse ôter son string trempé.

Nous nous changeons et repartons en direction de Bordeaux, mes désirs en sommeil…



*******




Une heure plus tard, nous arrivons à Bordeaux et je me gare devant la petite maison d’Audrey et Philippe. Nous sortons de la voiture, encore étourdis par notre escapade et c’est avec surprise que je vois Audrey venir seule à notre rencontre. Je me penche pour lui faire la bise et sa poitrine énorme vient frôler mon torse. Impossible de faire autrement… Il faut dire que la nature a été très, très généreuse avec elle… Ses seins sont encore plus gros que dans mon souvenir, et c’est vraiment la première chose qu’on voit chez elle. Véro m’a dit une fois qu’elle voulait se faire dégonfler car elle était gênée, mais apparemment son mari s’y oppose. On peut le comprendre…


Pour le reste, elle est assez curieuse. Très volubile et gentille comme savent l’être les camerounaises, elle n’a cependant pas sa langue dans sa poche lorsqu’il s’agit de dire ses vérités à quelqu’un. Elle est plutôt mignonne avec un visage rond et souriant ; pas très grande, son corps est assez boudiné. Un fessier largeur XXL, bien rond, rétablit l’équilibre avec la poitrine. Une drôle de femme en vérité…


Après les salutations elle nous annonce que nous ne verrons pas Philippe qui est parti une semaine pour son travail. Une urgence de dernier moment, paraît-il. Dommage, je m’entends bien avec lui…


Après le repas, fatigué par le long voyage, je monte me coucher tandis que Véronique et Audrey restent à la cuisine pour se raconter deux ans de potins. Tout un programme… La voix des deux femmes ravive mes sens, et j’ai du mal à trouver le sommeil en pensant aux événements de la journée et au physique d’Audrey qui, décidément, ne me laisse pas insensible. La fatigue finit cependant par l’emporter sur la frustration et je m’endors profondément.


Lorsque je me réveille, les deux cousines sont parties en ville, comme me l’indique un mot laissé sur la table de la cuisine. Je me sers un café puis déambule sans but dans la maison déserte, repensant à Audrey. Je décide d’aller prendre une douche. Nu dans la cabine, mon regard s’arrête sur un bout de tissu noir posé sur le lavabo, dont le renflement bombé caractéristique ne peut être que celui d’un soutien-gorge. Je m’approche et constate la justesse de mes déductions. Il faut dire que, vu la taille de l’objet, il aurait été difficile de le rater… Je m’en empare et le retourne. Les dimensions des bonnets sont impressionnantes. L’étiquette annonce : 110F. Bigre… Mon sexe est déjà en érection. Reposant le soutif, je ramasse la culotte assortie qui était tombée. Pas d’étiquette cette fois, mais nous aurions pu rentrer à deux à l’intérieur…

Tout émoustillé, j’allume l’eau chaude et entreprends de me masturber longuement sous la douche.


Les jours passent ainsi, mollement, je suis sur une espèce de nuage entre ennui (il n’y a pas grand-chose à faire ici) et fantasmes. Pour me changer les idées, je décide un après-midi de sortir me balader en ville, laissant les filles à leur bavardage habituel. À mon retour, je trouve le jardin et la cuisine déserts. Bizarre…


M’apprêtant à ressortir, j’entends un bruit étouffé venant de l’étage. Intrigué, je monte et traverse le couloir sans bruit. En approchant du bout du couloir, les bruits se font plus distincts et je perçois des gémissements étouffés, particulièrement équivoques.


La dernière porte (c’est la chambre de Philippe et Audrey) est entrebâillée. Pas de doute, c’est de là que s’échappent les gémissements ! J’enlève mes chaussures et m’approche en silence. Je glisse un regard dans la chambre par la porte entrouverte et vois Audrey… seule. Le spectacle est impressionnant : elle est à quatre pattes sur son lit, la tête dans l’oreiller, tournée vers le mur, vêtue seulement d’un de ses monstrueux soutiens-gorge. Sa main, passée entre ses jambes, s’active dans un clapotement sur son sexe que je ne peux pas distinguer d’où je suis (il est masqué par sa cuisse). La poitrine, écrasée sur le matelas, déborde de tous les côtés, à peine retenue par le soutif qui semble à deux doigts de claquer.


La tête dans l’oreiller, elle ne peut pas me voir et j’en profite pour ouvrir la porte un peu plus grand. Je reste quelques minutes à regarder, fasciné puis, sentant la fin de son activité approcher, je m’éclipse dans le couloir. Hélas, perdu dans des pensées des plus lubriques, j’ai oublié que j’avais laissé mes chaussures et bute dedans en m’approchant de l’escalier dans un raffut de tous les diables. Paniqué, je descends au salon.


À peine une minute plus tard, j’entends le pas lourd d’Audrey dans l’escalier et elle entre dans le salon en peignoir. C’est en rougissant que je sors un truc parfaitement débile :



Là, je ne sais vraiment plus quoi dire. Je vois sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration rapide. Elle s’approche :



Je reste bouche bée. J’ai dû rêver. Mais Audrey semble être dans un état second, et elle s’approche encore plus près. Je peux sentir son souffle saccadé. Elle prend alors mes mains et les pose sur ses seins. Je peux sentir les masses mouvantes à travers le satin du peignoir. Je lâche alors prise et me mets à les palper furieusement. Ils sont souples, chauds et… immenses. Je me calme un peu et mes caresses se font plus douces. Je glisse une main à travers l’échancrure du peignoir et le contact direct avec sa peau m’électrise. Je me baisse alors et embrasse Audrey à pleine bouche sans lâcher les masses de ses seins.


Je m’écarte un peu et fais glisser le peignoir à ses pieds, découvrant son corps nu. La chair noire est partout : ventre rond, seins ronds, cuisses rondes… Et une belle toison noire, fournie, au milieu. Je l’assois à côté de moi et commence à caresser la cousine de ma femme. Elle ne reste pas longtemps insensible et m’ôte fébrilement mon T-shirt et mon short puis baisse mon caleçon sur mes chevilles, libérant mon sexe déjà dur depuis un bon moment. Nous ne parlons pas. Je glisse ma main droite entre ses cuisses tentant de me frayer un chemin plus haut tandis que l’autre essaye de contenir un des énormes globes de chair. Sa chatte est trempée, visqueuse même.



Elle m’allonge sur le canapé et passe au-dessus de moi avec une souplesse étonnante compte tenu de son gabarit. Penchée sur moi, je ne distingue rien d’autre que ses seins énormes qui me barrent la vue en pendant. Elle descend et s’empale sur moi dans un soupir, puis commence un lent va-et-vient. Sa chatte est brûlante et je sens son jus couler entre mes cuisses.



Inutile de dire que je ne me fait pas prier… J’attrape les deux outres qui se balancent scandaleusement devant mon visage et enfouis ma tête dedans en les léchant. La sensation est incroyable.



Cette grosse vache en rut d’Audrey a encore accéléré le mouvement, criant les pires insanités. Soudain elle jouit longuement et s’effondre sur moi, manquant même de m’étouffer. Pour ma part, je n’ai toujours pas joui (la faute aux masturbations répétées de ces derniers jours ?). Comme je le lui fais remarquer, elle se relève et, pendant que je reprends une position assise sur le canapé, elle vient se mettre à genoux devant moi. La grosse commence alors à lécher mon sexe avec force production de salive. Elle n’est pas très douée cependant, et je lui relève la tête, puis prends ses seins dans mes deux mains (en tout cas j’essaie… tout n’entre pas).


Comprenant mon intention, Audrey se rapproche et enfouit ma queue luisante de salive entre les deux énormes mamelles qu’elle serre entre ses mains. Le tableau est magnifique : elle ne peut pas tout contenir dans ses mains, ça déborde de partout ! Et la voilà qui commence à me branler, ma bite noyée entre ses mamelles, sa peau douce me caressant le ventre. Il ne me faut pas trois minutes de ce traitement pour recouvrir une bonne partie de sa poitrine de sperme.


Moi, un peu essoufflé, elle vaguement gênée, nous nous séparons. Audrey remet son peignoir et part se doucher. Ma petite femme ne va pas tarder à rentrer…