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Première extra conjugale

Je suis une femme de 40 ans, épouse et mère de famille, grande brunette aux yeux bruns, avec un poids moyen. Après deux grossesses, mon corps n’est plus celui de mes 20 ans mais je le trouve néanmoins assez bien conservé. J’ai toujours aimé le sexe avec mon mari malgré qu’après 21 ans de vie commune, cela soit devenu assez routinier. Et j’ai toujours été fidèle jusqu’à tout récemment tout au moins.

Ma première expérience extraconjugale a eu lieu il y a presqu’un an. J’accompagnais mon mari à un congrès d’une semaine pour son travail comme je le faisais de temps en temps. Durant la journée, il était à son congrès pendant que moi, je profitais des installations de l’hôtel où nous logions.

Notre hôtel était situé à quelques km du centre de congrès si bien que mon mari prenait la voiture tandis que moi je restais seule, sans aucun moyen de locomotion.

Lors de la deuxième journée, je profitai de la piscine intérieure. J’y étais seule, la plupart des clients étant au même congrès que mon mari, lorsqu’un homme arriva pour se baigner. Après quelques minutes, nous avons commencé à jaser ensemble. Il devait passer la semaine avec sa femme mais celle-ci avait dû annuler à la dernière minute. Alors il était venu seul puisque le séjour était déjà payé.

Tout au long de notre conversation, j’ai remarqué qu’il jetait des regards rapides à mes seins. Il semblait incapable de ne pas les regarder. Je ne savais pas trop comment prendre son attitude mais finalement, je me suis dit que c’était plutôt flatteur. J’ai commencé à apprécier son regard sur moi et je me suis surprise à faire exprès de regarder ailleurs, pour que, comme ça, il puisse admirer librement mes seins. Sauf que cela m’excitait de plus en plus. J’ai même commencé à nager devant lui, pour qu’il admire aussi mes fesses qui sortaient malencontreusement de l’eau en nageant.

Je me sentais désirée et ça me plaisait beaucoup. Quand je suis sortie de la piscine pour aller dans le spa à côté, j’avais le maillot un peu pris entre les fesses et j’ai fait exprès de le laisser comme ça. Je savais mes fesses moulées par le maillot trempé et surtout, je savais qu’il ne manquerait pas de se rincer l’œil.

Rendue dans le spa, j’étais tellement excitée que j’ai commencé à me masturber discrètement. Mais quand il est venu me rejoindre, j’ai dû arrêter. Il s’est assis à côté de moi, presque collé. Il m’a dit qu’il me trouvait belle et très désirable. Et je me sentais belle et désirable. J’ai senti sa main, sous l’eau, effleurer ma cuisse. Il prenait ses aises et ça me plaisait. Je lui ai demandé s’il avait apprécié la vue au moment où je sortais de l’eau et bien sûr, il m’a avoué avoir beaucoup apprécié.

À ce moment là, il a posé sa main sur ma cuisse. Je l’ai laissé faire. Il remontait doucement, hésitant, craignant que je ne l’arrête. Mais au lieu de ça, j’ai écarté les jambes en signe d’approbation. Je savais que ce n’était pas correct de faire ça mais j’en mourais d’envie. Je mourais d’envie de sentir sa main entre mes cuisses. Il ne s’est pas fait attendre, sa main est remontée entre mes cuisses ; j’ai failli jouir quand il a touché ma chatte au travers de mon maillot.

J’ai alors pris sa main pour l’introduire dans mon maillot. Je voulais qu’il touche à ma chatte, qu’il sente combien j’étais mouillée et pas seulement a cause de l’eau… Quand son doigt est entré dans mon vagin, j’ai tendu la main pour caresser sa queue, elle était bien bandée et j’en étais la cause.

Nous nous sommes mutuellement masturbés pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce qu’il me dise qu’il voulait me baiser. À ce stade, je n’avais plus aucun contrôle ni sur mon corps, ni sur mon esprit. Tout ce que je voulais c’était de me faire prendre par cet étranger. Il m’a dit avoir tout ce qu’il fallait dans sa chambre, qu’il aimait se masturber avec des condoms. Alors il en avait apporté. J’avais envie de lui alors je lui ai dit que je le suivrais.

Rendus à sa chambre, il m’a prise dans ses bras pour m’embrasser. Je me suis retrouvée adossée contre le mur tandis que mon amant introduisait sa langue dans ma bouche et ses doigts dans mon vagin. Encore une fois, j’ai failli jouir sur le coup. Il m’a avoué n’avoir jamais trompé sa femme avant, mais qu’il ne pouvait pas me résister plus longtemps.

Je me suis alors accroupie et j’ai sorti sa queue de son maillot qui n’arrivait plus à la contenir. Je l’ai alors prise dans ma bouche et je l’ai sucée. Après un certain temps, ne pouvant plus se retenir il m’a dit d’arrêter, qu’il allait jouir. Mais j’ai continué en l’appuyant à son tour contre le mur. Je sentais qu’il allait exploser et je continuais à sucer. Lui me suppliait d’arrêter et je continuais encore plus. Jusqu’à ce qu’il finisse par perdre le contrôle et éjacule dans ma bouche. Alors j’ai tout avalé et je lui ai dit que je n’aimais pas gaspiller. Il m’a avoué que sa femme n’avait jamais voulu qu’il jouisse dans sa bouche, qu’elle trouvait ça répugnant et que selon elle, seules les putes acceptaient ça.

• — Alors je suis ta pute ! lui ai-je répondu.

Je me sentais salope et j’aimais ça, lui aussi manifestement.

Par la suite, il m’a dit : viens sur le lit que je te mange petite salope ! Et il est passé à l’action en arrêtant de temps en temps pour me dire des choses crues et vulgaires. Ça l’excitait et moi aussi. On ne m’avait jamais parlé comme ça auparavant.

Pendant un bon bout de temps, sa langue me travailla sans relâche. Il me fit mettre à quatre pattes pour embrasser mon cul et l’admirer de plus près. Quand sa langue toucha mon anus, j’ai pensé que c’était par erreur mais non, il y est retourné plusieurs fois et m’a mangé le cul en me doigtant la chatte. C’était la première fois pour moi et j’ai vraiment apprécié ce qu’il m’a fait. Et j’ai finalement joui comme une folle sous ses coups de langue.

Ensuite, nous sommes passés aux choses sérieuses, il a enfilé un condom et m’a pénétrée d’un seul coup. Nous avons alterné les positions et avant que je m’en rende compte, j’avais un puis deux doigts dans le cul. Une autre chose que sa femme n’avait jamais voulue, qu’il joue avec son cul. Je ne peux pas vous dire combien de temps nous avons baisé. Je sais seulement que ça a duré longtemps. Et nous avons joui très fort tous les deux.

Après avoir repris nos esprits, j’ai dû retourner à ma chambre. Mais avant de me laisser partir, il m’a dit que si je voulais revenir le lendemain, il me la mettrait dans le cul, comme une vraie salope aime. Là j’ai trouvé qu’il poussait un peu sa chance…

De retour à la chambre, j’ai pris une douche, question de faire disparaitre les preuves incriminantes. Je me savonnai tout en me remémorant nos ébats. Et bien sûr, je me suis mise à me caresser langoureusement. Je me rappelai le plaisir qu’il m’avait donné en me caressant partout. Je me masturbai sous la douche, comme je l’avais fait très souvent auparavant. Sauf que cette fois, je portai une attention particulière à mon anus, qu’il avait stimulé avec ses doigts un peu plus tôt. Le savon aidant, j’y introduisis un doigt avec facilité, puis un deuxième ensuite, en me disant que peut-être ça pourrait être bon de prendre une queue là aussi…

L’idée commençait à faire son chemin dans ma tête et je commençais à avoir envie d’essayer la sodomie pour de vrai. Mais avant de passer à l’acte, je devais savoir si j’étais capable de prendre une queue dans mon cul. J’ai alors pensé à essayer avec mon vibrateur pour voir l’effet. Je suis sortie de la douche et après avoir vérifié qu’il me restait du temps avant le retour de mon mari, je me suis installée sur le lit pour faire l’expérience. Je ne voulais pas que mon mari entre et me voit avec un vibrateur dans le derrière, je n’aurais pas su quoi lui dire.

J’ai alors commencé à me caresser, encore, mais avec mon vibro. Après m’être bien excitée en me l’insérant dans le vagin et en le passant sur mon clitoris, j’étais rendue à l’étape voulue. Ne sachant trop quelle serait la meilleure position pour le faire, je me suis couchée sur le ventre, jambes bien écartées. J’ai fait couler mon lubrifiant, que j’apporte toujours avec mon vibro, entre mes fesses. Je me suis lubrifiée l’anus avec mes doigts en les insérant pour en mettre à l’intérieur aussi. Et là, j’ai placé le bout de mon vibro sur mon anus sans le faire fonctionner. Je voulais me concentrer sur la sensation de le sentir entrer en moi. J’ai doucement commencé à l’appuyer contre mon anus en le pressant de plus en plus. Il a sensiblement la même taille qu’une queue et son bout un peu plus pointu facilitait la tâche. Il est donc entré dans mon cul sans trop de difficulté. J’ai cru que je ressentirais de la douleur mais ce ne fut pas vraiment le cas, juste un petit peu lorsqu’il a franchi l’entrée et c’est tout. Quand je l’ai fait glisser en va-et-vient, la sensation était très spéciale mais plutôt bonne. J’ai fini pas le mettre en marche et la, ouf, j’ai adoré ça.

Je me masturbai d’une main pendant que l’autre faisait entrer et sortir mon vibro de mon cul. J’ai joui comme une folle, tellement que j’ai dû étouffer mes cris en m’enfonçant le visage dans l’oreiller.

Après être redescendue sur terre, je suis retournée dans la douche pour me laver de tout ce lubrifiant qui coulait entre mes fesses. Je savais déjà ce que je ferais le lendemain…

Ce que je vous raconterai surement une autre fois…