n° 14542 | Fiche technique | 82725 caractères | 82725Temps de lecture estimé : 45 mn | 28/08/11 |
Résumé: Monsieur François engage une nouvelle jardinière et lui fait découvrir les particularités d'un magnifique et odorant jardin. | ||||
Critères: fh grp hagé poilu(e)s jardin voir exhib nudisme fellation pénétratio init -initiatiq -groupes -nature | ||||
Auteur : Dardepil |
Bérangère sonna à la porte verte et attendit que quelqu’un se manifeste.
Monsieur François avait répondu à l’annonce de la jeune fille qui offrait ses services et sa compétence en jardinage. Beaucoup de gens l’avaient contactée à la suite de la parution, et il semblait que son initiative avait été appréciée. Ce jour-là, elle venait jeter un œil sur son jardin et voir ce qu’il souhaitait qu’elle fasse. Elle voulait également savoir si elle aimerait travailler chez lui. Il lui avait paru agréable au téléphone mais elle n’avait pas envie de travailler chez quelqu’un qui ne lui plairait pas.
Bérangère avait vingt-six ans, des cheveux châtains, un visage rond et des yeux rieurs. C’était une fille solidement bâtie, surtout maintenant, après quelques années de travail assez physique à l’extérieur. Elle avait toujours voulu être jardinière, se sentir proche des plantes, de leurs parfums, de leurs couleurs, de leurs textures et de leurs utilisations. Elle aimait creuser la terre, planter, sarcler, désherber. C’était comme ça depuis qu’elle était petite fille, toujours avec les genoux crasseux et les vêtements sales – au grand désespoir de sa mère – mais elle avait bien tourné. Elle était heureuse et avait bien l’intention de réussir dans la vie qu’elle avait choisie.
Elle regarda la maison à la porte verte. Elle était bâtie majoritairement en pierres meulières avec de larges fenêtres en bois peint en blanc. Une grande glycine avait poussé autour de la porte, et on aurait pu faire une magnifique photo de ses fleurs mauves sur fond de feuilles vertes. Toutefois, elle avait besoin d’un bon élagage, se dit Bérangère, mais pas à cette époque de l’année. Il n’y avait pas de jardin devant la maison, elle donnait directement sur la rue. Au milieu du mur qui la prolongeait, en haut duquel dépassaient de magnifiques roses trémières, s’ouvrait une grille pleine assez large pour laisser passer un véhicule.
La porte s’était ouverte et une voix vint perturber son examen.
Bérangère sentit que pour lui, cela voulait dire très longtemps. Monsieur François était lui-même âgé, peut-être soixante-dix ans ou plus.
Il faisait frais à l’intérieur alors que devant la porte, le soleil tapait dur. Mais ça ne gênait pas Bérangère. Elle était habituée à travailler par tous les temps, sous le soleil ou la pluie. Même par temps de grésil ou de neige, elle ne craignait pas d’être à l’extérieur.
La chaleur du soleil et le parfum du jardin la frappèrent d’une manière presque physique comme si elle se cognait contre un mur. Elle s’arrêta net, son pouls augmenta et elle respira profondément.
Bérangère l’entendit au loin, comme dans un brouillard, alors qu’elle contemplait un jardin merveilleux. Instantanément, l’évidence s’imposa : elle devait absolument travailler là ! Et encore, ce n’était qu’une première découverte, elle sentit qu’elle était loin d’avoir tout vu. Le jardin, ou tout au moins ce qu’elle en voyait, devait couvrir près d’un hectare, et était entièrement entouré de murs d’environ deux mètres cinquante de haut en vieilles briques rouges. C’était vraiment un jardin secret. Des chemins de gravier soigneusement ratissé serpentaient à travers des pelouses parfaitement tondues et autour d’un bassin central et disparaissaient derrière des haies et des arbustes. Elle se dirigea vers le bassin circulaire bordé de nénuphars au milieu duquel l’eau éclaboussée de soleil jaillissait d’une fontaine ancienne. Le parfum des fleurs semblait se renforcer et le soleil être plus chaud.
Il retourna sur ses pas et s’assit sur un vieux banc de bois pour regarder sa future jardinière continuer la découverte.
Bérangère erra lentement, ravie de découvrir de nouvelles surprises à chaque tournant : des plantes, des arbustes et des arbres qu’elle connaissait bien et d’autres qu’elle n’avait pas rencontrés avant ; des sièges positionnés stratégiquement pour offrir un point de vue particulier ; des statues en pierre ou en bronze de toutes tailles qui sortaient d’évidements dans les haies ou étaient placées pour terminer une vue. Tous les personnages représentés ainsi étaient nus ou très partiellement vêtus, aussi bien les hommes que les femmes. Bérangère remarqua l’absence de vêtements, mais ce n’était pas inhabituel pour des statues de jardin. Rien de mauvais goût. Pas de petits garçons faisant pipi dans une mare ou quelque chose comme ça. En fait tout le contraire. Un très bon travail classique.
Elle prit le chemin du retour à travers le jardin, jusqu’au banc où le vieil homme était assis dans son costume de toile et son chapeau de paille. Il la regarda venir par le sentier et se leva comme elle arrivait près de lui. Bérangère remarqua une carafe de limonade posée sur une petite table à côté de lui, et il remplit deux verres quand elle l’eut rejoint.
Il en détacha un rameau et le ramena.
Bérangère porta la fleur à son nez et respira profondément le parfum capiteux. Elle se sentit un peu étourdie par l’odeur forte et agréable.
Sans répondre directement, le vieil homme poursuivit :
Ils discutèrent de sa rémunération et des jours où elle viendrait travailler.
Quand ils furent tombés d’accord, Monsieur François demanda :
Bérangère porta la fleur à son nez pour la sentir de nouveau. Le sentiment grisant revint.
Le parfum s’attardait dans les narines de Bérangère. Finalement, la nudité de Monsieur François, ce n’était pas un problème, et non, elle ne serait pas gênée.
Trois jours plus tard, quand Bérangère arriva pour sa première journée de travail, cette histoire de nudité lui parut secondaire. Elle avait accepté d’exercer ses talents dans un très joli jardin et elle se disait que si que si quelque chose la choquait, elle pourrait toujours y renoncer.
Elle sonna à la porte verte. Contrairement à ce qu’elle avait craint, Monsieur François portait son costume de toile comme la fois précédente.
Bérangère sortit dans le jardin et après avoir rassemblé les outils dont elle avait besoin, se mit au travail. Comme il était encore de bonne heure, elle commença par un arrosage des parties qui en avaient le plus besoin. Puis, le soleil se faisant plus chaud, elle entreprit d’ôter les quelques herbes qui avaient poussé là où il ne fallait pas.
Plus tard dans la matinée, la chaleur se faisant encore plus intense, elle ressentit le besoin de boire. Monsieur François lui avait dit qu’elle pouvait utiliser la cuisine à tout moment et elle partit se servir un verre d’eau. Elle marcha sur le chemin de gravier en admirant les plantes et en appréciant les senteurs enivrantes. Elle ne découvrit Monsieur François qu’au dernier moment. Il était assis sur le banc où il l’avait fait asseoir trois jours plus tôt mais cette fois, en dehors de son chapeau de soleil et de ses sandales, il était complètement nu. Bérangère rougit. Il était assis là, tranquillement, ne portant rien du tout. Elle aperçut même son pénis allongé sur sa cuisse, avant qu’elle détourne les yeux.
Le vieil homme la regarda se précipiter vers la cuisine et sourit.
Bérangère continua à le voir toute la matinée pendant ses déplacements dans le jardin. Elle essaya de rester loin de lui, mais ce n’était pas toujours possible. Elle venait de terminer son repas et était assise sur le banc de bois quand il vint vers elle.
Il cassa une petite branche portant quelques fleurs et la lui tendit. Il était difficile de ne pas le regarder alors qu’il se tenait debout près d’elle et lui parlait. Elle leva les yeux et, inévitablement, vit son pénis flasque et ses testicules qui pendaient bas, Elle rougit en prenant la branche pour mettre les fleurs sous ses narines, et encore une fois le vertige la saisit.
Mais, après avoir respiré l’odeur capiteuse de la fleur, il semblait à Bérangère qu’après tout, ce n’était pas un problème et la nudité de son employeur ne l’inquiétait plus. Ce n’était pas comme si elle-même allait faire le tour du jardin complètement nue. Non, elle s’en tiendrait à son tee-shirt et son jean. Puis elle s’imagina quand même circulant seulement avec une paire de bottes et rien d’autre. Elle eut un petit rire.
Deux jours plus tard, elle travaillait à nouveau dans le jardin. Monsieur François lui avait donné la clef du portail du mur qui s’ouvrait directement sur le jardin afin qu’elle n’ait pas à le déranger quand elle arrivait. Cela signifiait aussi qu’elle pouvait commencer tôt, avant que la chaleur intense ne s’installe. C’était agréable de circuler dans le jardin avec la rosée qui décorait encore les herbes et les toiles d’araignées, et d’entendre les oiseaux chanter. Elle fut surprise de voir que Monsieur François était déjà levé et que, totalement nu sans même son chapeau, il prenait son petit déjeuner près de la maison.
Bérangère se mit au travail dans la serre pour rempoter et arroser. Le soleil levant augmenta régulièrement la température sous la verrière. Le parfum des fleurs de couleur orange se répandait et la sueur coulait sur le visage et les bras de la jeune fille. Son soutien-gorge lui tenait chaud et la comprimait et elle regretta de ne pas avoir mis une jupe. D’un côté, le jean était bien pratique, mais d’un autre il était difficile à supporter par une telle chaleur.
Elle se tourna pour regarder autour d’elle. Le vieil homme n’était visible nulle part. Elle passa ses mains sous son tee-shirt, dégrafa son soutien-gorge et se tortilla pour enlever une bretelle, puis l’autre. Elle se sentait beaucoup mieux, ses seins libres se balançant à l’unisson sous son tee-shirt alors qu’elle travaillait. Soudain, elle eut l’impression que le parfum des fleurs orange était plus présent.
L’absence de soutien-gorge n’échappa pas à Monsieur François quand il vint dans la serre un peu plus tard. Ils parlèrent des plantes et déterminèrent à quels endroits il aimerait qu’elles soient plantées. Elle avait pris l’habitude de la nudité du vieil homme et ça ne l’inquiétait pas. Après tout, étant donné son âge, elle ne le voyait pas d’une manière sexuelle. De toute façon, il n’était probablement plus actif dans ce domaine, pensa-t-elle.
En revanche, ce à quoi elle n’était pas préparée, c’était de voir l’homme qui tondait le gazon. Elle avait entendu le bruit de la tondeuse pendant un certain temps mais n’avait pas pensé à aller voir et ne s’attendait certainement pas à trouver une personne nue tondre le gazon. En y réfléchissant, elle réalisa que ce n’aurait pas dû être une grande surprise : après tout, Monsieur François n’avait-il pas dit que le jardin était naturiste ?
Bérangère passa dans un chemin où le bruit de la tondeuse s’amplifiait et déboucha sur une pelouse. Il y avait là un homme qu’elle n’avait jamais vu auparavant qui poussait une tondeuse. Si la pilosité peut être assimilée à la masculinité, il était la masculinité personnifiée. Mesurant au moins 1,90 m, avec une tignasse de cheveux bouclés noirs et une énorme barbe de même couleur, c’était l’homme le plus poilu que Bérangère ait jamais vu, même en photo. Des poils noirs frisés lui couvraient la poitrine, les bras, les cuisses et sans doute le dos. Bérangère ne manqua pas de remarquer la masse de poils noirs et bouclés à la jonction de ses cuisses ni la taille imposante du pénis qui se balançait alors qu’il marchait derrière la tondeuse.
Bérangère voulut faire demi-tour en toute hâte, mais l’homme leva les yeux et la vit et il réduisit le régime de son engin pour diminuer le bruit pendant qu’elle approchait. Résignée et polie, elle se présenta :
Même ses fesses musclées étaient couvertes de poils noirs et frisés. Le parfum de la fleur orange vint vers elle inopinément. « Avec tous ces poils, il est presque décent sans vêtements, même si sa queue se remarque trop » pensa Bérangère. Elle fut surprise de sa réflexion, comme si elle avait finalement accepté totalement le concept naturiste.
Elle retourna vers la maison pour aller chercher un verre d’eau. Monsieur François était de nouveau installé sur le banc avec sa limonade et il lui en offrit. Elle s’assit à côté de lui. Le parfum du buisson aux fleurs orange était très fort, là où ils se tenaient.
Après un certain temps, il lui demanda :
Monsieur François sourit :
Le parfum était fort. Bérangère prit une autre gorgée de sa limonade. Non, elle n’était pas offensée ni contrariée. C’était naturel, après tout.
Malgré une averse soudaine et un week-end généralement humide, il faisait encore chaud dans le jardin quand Bérangère entra par le portail la semaine suivante. Cette fois, elle avait mis une jupe en jean et se sentait beaucoup plus fraîche alors qu’elle creusait dans les parterres, ses chaussures de travail brunes poussant la bêche.
Vers midi, alors qu’elle se dirigeait vers la serre et que la forte chaleur avait repris, elle passa près du buisson fleuri en orange. Le parfum semblait encore plus fort après la pluie de la nuit et Bérangère vacilla tellement il était présent dans l’atmosphère. Elle pensa qu’il faudrait qu’elle en fasse quelques boutures à l’automne.
Il faisait chaud dans la serre, même avec toutes les aérations ouvertes. Elle ôta son soutien-gorge à nouveau, mais elle avait encore très chaud. Elle organisa un courant d’air, et un souffle un peu plus frais lui parvint apportant le parfum entêtant des fleurs orange. Elle fit une pause pour regarder autour d’elle. Personne nulle part. Elle passa son tee-shirt par-dessus sa tête et continua son travail. Ses mains sales et couvertes de compost contrastaient avec la blancheur de ses seins désormais exposés qui bougeaient délicatement d’un côté à l’autre au rythme de ses mouvements. La sensation de chaleur sur ses mamelons les fit durcir et les petits bourgeons s’épanouirent au milieu de leurs cercles bruns.
Le vieil homme, qui passait par là, la vit et fut ravi de ce qu’il voyait. Alors qu’il sentait un frémissement familier envahir son bas-ventre, il s’éclipsa discrètement en pensant que, décidément, son jardin faisait beaucoup d’effet à ceux qui y séjournaient.
Bérangère ne remit pas son tee-shirt quand elle alla travailler à l’extérieur de la serre. Elle n’y faisait plus attention et ne redevint consciente de sa poitrine nue que quand elle retourna vers la maison. Monsieur François n’était pas seul. Il buvait de la limonade avec un certain nombre d’autres vieux messieurs, tous nus également. Il lui fit amicalement signe de la main et ses amis la saluèrent d’un sourire. Elle était gênée, mais ils semblaient indifférents, comme si sa semi-nudité, la plénitude de ses seins avec leurs sombres tétons marron, n’avaient rien d’inhabituel.
Le lendemain, en vaquant à ses occupations dans un autre jardin, elle pensa que ce n’était pas là qu’elle aurait travaillé torse nu. Qu’aurait pensé ce vieux grincheux de monsieur Morel ? Il aurait peut-être eu une attaque cardiaque ! Et l’air désapprobateur de la figure aigre de madame Morel aurait été pire que d’habitude.
La fois suivante, en refermant la porte derrière elle, Bérangère regarda joyeusement le jardin clos. Comme elle aimait travailler ici ! Comme elle aimait le jardin !
Vers onze heures, elle alla à la cuisine pour boire. Deux jeunes filles nues mettaient en place des tables et des chaises sur la pelouse. Elles riaient et plaisantaient ensemble et elles firent signe à Bérangère.
Rachel rougit et se mit à rire sans dire un mot.
Bérangère alla chercher son verre d’eau et s’assit sur un banc près d’elles pour les regarder. C’était toutes deux de jolies filles. Patricia était peut-être un peu dodue, avec dans son dos une longue natte blonde attachée avec un ruban rose et dont l’extrémité caressait les fossettes au sommet de ses fesses. Ses seins ronds dansaient et rebondissaient quand elle se penchait ou se déplaçait. Son sexe était entièrement dépourvu de poils, ce qui le faisait ressembler à celui d’une petite fille. Rachel était une rousse avec une masse de boucles couleur de flamme qui tombait sur ses épaules. Elle avait de petits seins avec des tétons rose corail, un estomac plat et une impressionnante touffe de boucles rousses au-dessous.
Bérangère ne savait pas quoi penser. Elle était un peu surprise, mais il est vrai qu’elle-même avait travaillé tout un après-midi avec les seins nus. Le parfum des fleurs orange l’envahit une fois de plus. Comme elle aimait ce jardin, il était toujours si paisible, il y faisait toujours si chaud.
Patricia et Rachel riaient en mettant les tables en place, leurs seins se balançant au rythme de leurs mouvements. Un arroseur de jardin tournait sur la plus proche pelouse en lançant une fine pulvérisation. Complices, les jeunes filles se regardèrent et, en éclatant de rire, elles se précipitèrent sous le jet et y restèrent pendant quelques instants, avant de revenir, des gouttelettes d’eau brillant sur leur peau.
Le parfum était très fort, le soleil tapait et la jardinière eut soudain envie de faire comme les deux filles : elle serait vraiment plus à l’aise sans son tee-shirt. Comme poussée par une force inconnue, elle arracha littéralement son tee-shirt qu’elle jeta sur le banc et son soutien-gorge suivit le même chemin. Elle se leva et se dirigea vers le pulvérisateur. Non seulement les éclaboussures rafraîchirent son dos, ses épaules et ses seins, mais aussi ses jambes et jusque sous sa jupe, ses cuisses et ses fesses. Elle pivota sur elle-même pour que la brumisation rafraîchisse l’ensemble de son corps.
Bien sûr, en repartant vers son travail dans le jardin, elle se sentit plutôt humide. Se faire arroser les membres par une journée chaude avait été très rafraîchissant, porter une jupe humide n’avait pas grande importance car elle sécherait rapidement en raison de la température élevée, mais sentir une culotte humide coller à ses fesses n’était pas agréable et elle se promit de l’enlever dans la serre.
Au milieu de l’après-midi, Patricia et Rachel lui apportèrent un verre de limonade et elles s’assirent pour bavarder à l’ombre. Elles parlèrent du jardin, de Monsieur François et ensuite la conversation dévia sur Carlos. Patricia et Rachel étaient désolées de l’avoir manqué car il ne venait pas tondre les pelouses ce jour-là, mais il serait au travail le lendemain. Les deux jeunes filles paraissaient très bien le connaître et Bérangère fut très étonnée par leurs descriptions plutôt lubriques du corps du jardinier. Elle eut l’impression qu’elles n’avaient pas fait que simplement le regarder.
Le jour suivant, quand Bérangère arriva dans le jardin, ce ne fut pas Monsieur François que ses yeux cherchèrent d’abord, mais Carlos. Elle avait envie de le revoir, et son rêve n’était pas de lui jeter simplement quelques regards furtifs sans qu’il s’en aperçoive, mais bien de pouvoir détailler son corps à loisir et surtout de voir son membre imposant se balancer à chacun de ses pas. Puis elle se reprit : c’était les hommes qui étaient censés lorgner les filles et non l’inverse.
Elle traversa le jardin en passant près du buisson aux fleurs orange. Bien que déjà très présent, leur parfum n’était pas encore aussi développé qu’il le deviendrait quand la chaleur du jour le ferait s’exhaler complètement, mais la couleur était toujours aussi intense. Monsieur François, nu comme à son habitude, était debout près du buisson, la regardant venir.
Il lui sourit :
Monsieur François éclata de rire,
La jeune fille se pencha vers les fleurs et les huma. Une fois de plus un sentiment étrange l’envahit.
La jeune fille sourit un peu distraitement et se dirigea vers la serre. C’était encore une journée particulièrement chaude et, presque machinalement, elle accrocha son tee-shirt, son soutien-gorge et sa culotte à un vieux clou planté dans le montant de la porte et se mit au travail seulement vêtue de sa jupe en jean.
Au milieu de la matinée, elle sentit le besoin de répondre à un appel de la nature. C’était un long chemin pour rejoindre la maison et plusieurs fois elle avait pensé à utiliser l’isolement de grands arbustes le long des sentiers. Cette fois, c’est ce qu’elle fit en se coulant sous les branches. Il y avait beaucoup de place à l’intérieur, avec les branches qui pendaient vers le bas et les feuilles qui cherchaient la lumière, tournées vers l’extérieur. Il y faisait également plus frais et Bérangère apprécia le calme et la lumière filtrée qui y régnaient. Elle releva sa jupe, s’accroupit et commença à faire pipi. Les jets de liquide s’étalèrent sur le sol avant d’y disparaître pour fertiliser les racines.
Il y avait de petites trouées entre les feuilles qui laissaient passer plus de lumière et permettaient de voir à l’extérieur. L’une d’elles était située juste en face de la jeune fille et elle perçut un mouvement. Carlos était devant elle, s’occupant de la tondeuse à gazon, son dos poilu tourné vers Bérangère. Ses jambes écartées laissaient voir ses grandes couilles qui pendaient bas, détendues par la chaleur.
Son flux ayant cessé, Bérangère se pencha un peu plus mais sans se redresser ni se déplacer. Sa langue vint humidifier ses lèvres sèches pendant qu’elle attendait de voir ce que Carlos allait faire. S’étant mis sur le côté de la tondeuse, il se pencha pour régler quelque chose avant de tirer la poignée du démarreur. Maintenant elle voyait le devant de son corps et sa queue qui se mouvait au milieu de la masse de poils. Quand il tira le cordon du démarreur, le mouvement brusque fit rebondir son pénis contre sa cuisse. Inconsciemment, Bérangère glissa une main entre les siennes. Alors que Carlos commençait à se déplacer à travers la pelouse avec sa tondeuse, le parfum des fleurs orange arriva à ses narines, et elle ne put s’empêcher de caresser sa petite crête de chair durcie.
La jeune fille resta cachée dans les buissons à regarder le jardinier nu. Elle était fascinée par le corps velu de l’homme, son torse poilu, ses petites fesses et, bien sûr, par la queue qui bougeait à chacun de ses pas. Elle semblait plutôt grosse, et en l’imaginant raidie et pointant en avant, sa main mouillée glissa en elle. Quelle sensation éprouverait-elle si la bite venait remplacer sa main ?
Un appel venant de la maison interrompit sa rêverie. C’était Patricia et Rachel. Carlos arrêta la tondeuse à proximité de Bérangère et écouta. Il sourit, comme en pensant à quelque chose d’agréable et, pour le plaisir et l’excitation de Bérangère, sa bite commença à s’allonger, se durcir et s’élever. Éprouvait-il un désir secret pour Patricia et Rachel ou quelque chose était-il déjà arrivé entre eux comme les filles l’avaient laissé entendre la veille ? Se passait-il dans ce jardin autre chose que du simple nudisme ? Fascinée, elle surveillait la queue de Carlos qui continuait de prendre de l’ampleur. Il baissa les yeux pour regarder son membre, sourit de nouveau et déplaça la tondeuse en tournant le dos à la jeune fille qui ne vit plus le pénis mais les fesses. Quand il arriva au bout de la pelouse et se retourna pour revenir vers elle, il ne bandait plus autant, même s’il n’était pas redevenu complètement flasque. Un peu déçue, Bérangère fit la moue, mais n’en continua pas moins à frotter son bourgeon érigé et, avec un halètement étouffé, elle jouit longuement, voyeuse cachée dans les buissons, les yeux fixés sur le pénis de Carlos. Puis, la tondeuse s’éloignant, elle retourna à son travail, le feu aux joues et les cuisses humides.
Vers midi, en revenant vers la maison, Bérangère fut surprise de trouver Carlos assis avec Rachel, Patricia et Monsieur François. Elle fut invitée à se joindre à eux et Patricia lui apporta un verre de limonade. Il lui semblait très bizarre d’être assise là, la poitrine nue avec Monsieur François nu, Patricia nue, Rachel nue et Carlos nu également. Elle était très consciente de ses seins exposés et de la nudité totale des autres. Le parfum de la fleur orange dérivait à travers la pelouse et elle se sentait détendue. Après tout, elle ne trouvait plus rien d’inhabituel à la situation.
Son embarras un peu dissipé, elle fit plus attention aux autres. Les filles semblaient un peu rouges et portaient beaucoup d’attention à Carlos, ne manquant pas de toucher ses bras ou son dos comme par inadvertance. Elle remarqua que les mamelons de Patricia étaient tendus, comme si elle était excitée sexuellement, et peut-être l’était-elle.
Au bout d’un moment, Carlos retourna à son travail. Quand il se leva, les yeux de Bérangère se portèrent automatiquement sur son pénis, et si elle y avait fait attention, elle aurait vu les yeux de ses voisines tournées dans la même direction. Le membre n’était pas complètement dressé mais semblait nettement plus gros et long que quand Bérangère avait vu son propriétaire en train de tondre, comme si les pensées de Carlos étaient tournées sur tout autre chose que la tonte.
Au début de l’après-midi, Monsieur François vint dans la serre où travaillait Bérangère, une tige de la fleur orange dans la main. Il la posa sur la terre chaude et immédiatement son parfum remplit la serre. Il s’entretint avec la jeune fille pendant quelques minutes au sujet les plantes et lui indiqua quelques modifications qu’il voulait faire dans la tourbière du jardin. Elle trouva difficile de se concentrer car la bonne odeur de la fleur lui donnait un peu le vertige.
Bérangère hocha la tête. Ce que Monsieur François venait de lui dire ne lui semblait plus du tout déraisonnable. Il lui sourit et la laissa à son travail, alors que le frémissement de son pénis se manifestait une fois de plus.
La jardinière se prépara à travailler dans la tourbière. Elle enfila une paire de bottes en caoutchouc et s’apprêtait à entrer dans la terre humide et la boue, quand elle pensa qu’elle allait probablement éclabousser sa jupe quand elle ôterait les plantes inutiles ou les changerait de place. Elle se dit que ce serait beaucoup plus facile si elle l’ôtait afin que, quand elle aurait terminé, elle puisse se laver directement sous l’eau et ainsi sa jupe n’aurait pas souffert.
Après avoir jeté un coup d’œil rapide autour d’elle et pris une grande respiration, elle défit sa jupe et la mit en sécurité. Elle se souvint qu’elle avait trouvé ridicule l’idée qu’elle puisse circuler dans le jardin en portant seulement des bottes. Eh bien, finalement, ce n’était pas si ridicule que ça ! Il lui sembla merveilleusement libérateur de ne plus être encombrée par des vêtements, même si elle savait qu’elle serait certainement très embarrassée si quelqu’un, en particulier Carlos, venait à la voir alors qu’elle serait seulement vêtue de bottes.
Effectivement, quelques minutes après avoir entamé son travail, Bérangère commença à devenir boueuse, encore plus que ce qu’elle avait craint, et elle se félicita d’avoir pensé à se dévêtir avant de commencer. Monsieur François arriva tranquillement près de la tourbière, et s’appuya sur son bâton pour la regarder travailler. Elle ne s’aperçut pas de sa présence Son dos tourné vers lui, elle se penchait pour déterrer des plantes, et lui présentait son cul rond et un aperçu de son sexe visible entre ses fesses. Devant la charmante scène, le pénis de Monsieur François commença à se gonfler, mais il pensa que Bérangère n’était pas encore tout à fait prête pour le spectacle que lui-même offrait. Alors, il s’éclipsa dans une autre partie du jardin.
Le travail était dur dans le marécage, mais après deux heures de labeur, Bérangère fut satisfaite du résultat. Elle frotta la sueur de son front en y laissant une trace boueuse et sortit pour rejoindre le chemin. Elle resta là un moment avec ses bottes et regarda son corps. Elle vit ses cuisses et ses genoux amplement enduits de boue séchée et humide à la fois, et des petits morceaux s’étaient même pris dans ses poils pubiens, de même que des traînées boueuses maculaient son ventre. Ses seins épanouis, ornés par leurs sombres mamelons bruns, étaient presque exempts de saleté, mais de petites perles de sueur glissaient sur la peau lisse. Elle se fit la réflexion qu’elle devait offrir un spectacle peu ragoûtant et peu séduisant. Cela lui sembla une pensée plutôt étrange car elle n’avait pas l’intention de séduire qui que ce soit.
En se dirigeant vers un robinet du jardin, Bérangère passa à côté d’une des statues qui représentait un homme plutôt jeune et beau, mais avec un tout petit pénis. Elle pensa que ce serait agréable d’être avec un garçon nu qui ressemblerait à la statue, de marcher main dans la main avec lui dans le jardin en regardant toutes ses merveilles, mais ce serait mieux si le jeune homme était doté d’une virilité plus imposante que celle de la statue, pourquoi pas comme celle de Carlos. En riant intérieurement de ses pensées coquines, elle ôta ses bottes et entreprit de se laver. Au début, l’eau qui avait chauffé dans les tuyaux était agréable, mais elle devint vite froide et, malgré la chaleur et le soleil qui tapait, elle frissonna et se hâta d’enlever la boue. Ce n’était pas si facile, surtout sans savon, et il fallut un peu de temps avant qu’elle n’y arrive. Elle ferma le robinet et courut à travers la pelouse pendant un petit moment pour égoutter l’eau et se réchauffer. Ses seins libres rebondissaient, mais malheureusement personne n’eut la chance de voir le joli spectacle qu’elle présentait en dansant, courant et tournant autour du robinet, révélant en même temps la motte fournie de son sexe où brillaient encore quelques gouttes d’eau.
Désormais débarrassée des salissures, elle eut envie de laisser le soleil finir de la sécher et la délasser après le travail acharné qu’elle venait de fournir dans la tourbière. Elle s’allongea sur le gazon et ferma les yeux alors que le parfum des fleurs orange lui parvenait. Elle sentit la chaleur des rayons du soleil réchauffer son corps et elle écarta les jambes pour mieux la sentir dans son buisson secret où subsistaient encore quelques gouttes. Un peu somnolente, elle s’étira en soupirant de bien-être et finit par s’enfoncer dans un sommeil réparateur.
Elle était dans une partie isolée du jardin et ce fut Carlos et non Monsieur François qui la découvrit endormie, allongée sur la pelouse, les jambes écartées. Il aima beaucoup ce qu’il y vit et la conséquence la plus évidente fut un mouvement qui se produisit au milieu de la forêt de poils nichée entre ses grosses cuises. Sa queue, dont le prépuce se retroussait à mesure que le membre se gonflait, révélant le gland prêt à séparer les doux plis que les filles cachent entre leurs jambes, s’éleva pour largement dépasser l’horizontale. Il sourit en pensant qu’il ne faudrait plus longtemps maintenant avant que Monsieur François lui donne la permission de l’introduire dans Bérangère. Il pouvait presque sentir le velouté dans lequel sa queue coulisserait bientôt, il imaginait le va-et-vient qui se conclurait par de puissantes giclées de sa semence dans le sexe chaud. La coquine Patricia lécherait-elle aussi leurs fluides mélangés quand il serait sorti de son sexe humide et doux, comme il l’avait si souvent vue lécher Rachel ? Bérangère serait-elle prête à laisser une fille la lutiner ainsi, sous le regard de quelques spectateurs ? Il en doutait un peu, mais le jardin avait un effet tellement bizarre sur les gens qu’on ne pouvait jamais être sûr de leurs réactions. Il bandait tant qu’il ne put s’empêcher de commencer à caresser sa bite raide. Il n’osait pas se rapprocher de Bérangère pour jouir sur elle. Pourtant, en attendant de pouvoir la pénétrer, ce serait tellement agréable de faire gicler son sperme sur le corps de la jeune fille, de voir les gouttes éclabousser ses seins, son ventre et son sexe pendant qu’il sentirait la jouissance l’envahir ! Mais il devrait affronter la colère de Monsieur François si ce dernier l’apprenait.
Carlos s’éloigna, son pénis toujours dressé. Peut-être pourrait-il aller retrouver Patricia et Rachel. Rachel serait prête pour lui, elle l’était toujours. Patricia ne l’avait pas souvent laissé la baiser, mais il avait envie de l’enfiler par-derrière alors qu’elle serait à quatre pattes en train de lécher Rachel, et comme il la tiendrait fermement par les hanches, il ne lui serait pas possible de se dérober. Carlos aima l’idée de sentir les fesses dodues de Patricia contre ses propres cuisses pendant qu’il plongerait sa bite dans son sexe ruisselant, et cette pensée le maintint rigide pendant son trajet.
Les deux jeunes filles ne furent pas surprises de voir s’approcher le jardinier en érection. Elles sourirent en le voyant venir vers elles, son corps puissant précédé de son membre engorgé qui remuait à chacun de ses pas, leur offrant une vision légèrement ridicule et en même temps tellement érotiquement évocatrice. Quand il fut à leur portée, elles tombèrent toutes les deux à genoux et leurs langues se firent complices pour cajoler à l’unisson la bite quémandeuse. Elles savaient que Carlos aimait être sucé avant de baiser.
Bérangère se réveilla et remonta le jardin vers la maison pour aller boire un verre. L’odeur de la fleur orange avait totalement brouillé ses sens au point de lui faire oublier sa nudité. En dépassant un arbuste, elle découvrit un spectacle inattendu qui la mit en émoi : Carlos et Rachel étaient enlacés sur l’herbe. Leurs positions et leurs mouvements ne laissaient aucune place au doute : ils étaient en train de s’accoupler sur la pelouse de Monsieur François !
Bérangère se retourna pour voir Patricia assise sur un banc du jardin qui regardait le couple faire l’amour. En guise d’invitation, elle tapota le siège à côté d’elle et Bérangère s’assit dans un état second.
Mais elle ne bougea pas.
Patricia se pencha pour regarder le couple de plus près. Leurs mouvements étaient devenus plus frénétiques et un grognement de Carlos marqua le début de son éjaculation au plus profond de Rachel. Puis le mouvement ralentit et s’arrêta.
Carlos leva les yeux vers elle et se désaccoupla de Rachel, sa queue ferme, humide et brillante pointant devant lui comme Patricia l’avait prévu, et il vint se poster en face de la jeune fille toujours assise sur le banc. Elle se pencha et glissa ses lèvres autour de la bite pour sucer les dernières gouttes de sperme qui s’en échappaient. La bouche pleine de sa queue, elle le regarda, lui fit un clin d’œil, puis regarda Rachel toujours couchée, jambes écartées, sur la pelouse. Comme Carlos l’avait déjà vu faire plusieurs fois auparavant, elle se mit à quatre pattes et s’avança vers les cuisses de Rachel, la langue tendue, pour commencer à laper les jus qui s’échappaient de la fente de son amie, mélange du déluge récemment expulsé de la queue du jardinier et du suintement du con de Rachel. En regardant le cul tendu de Patricia qui se balançait au rythme des mouvements de la jeune fille, Carlos regretta de ne pouvoir, comme les filles, avoir des orgasmes très rapprochés, alors qu’il aurait aimé aller enfoncer sa bite entre les fesses tentantes. Hélas, son membre était hors de service pour quelque temps encore. Quelle occasion manquée !
Assoiffée, Bérangère se leva à regret pour aller dans la cuisine quand Monsieur François, qu’elle n’avait pas encore vu et qui était assis sur un autre banc, lui fit signe d’approcher. Elle s’installa à côté de lui sans rien dire. Il lui offrit un verre de limonade qu’elle prit et but d’un trait, toujours sans un mot.
Bien sûr, il soupçonnait ce que c’était.
Bérangère, toujours sous le choc du spectacle auquel elle venait d’assister, et sous l’emprise du parfum du buisson aux fleurs orange encore plus prononcé là où Monsieur François était assis, lutta contre elle-même pour répondre.
Elle s’arrêta.
Monsieur François se leva pour aller chercher une branche fleurie. Il la tendit à Bérangère qui, par habitude, la porta à son nez et respira profondément.
Bérangère hocha la tête.
Bérangère hocha la tête.
Bérangère hocha la tête.
Bérangère hocha la tête.
Bérangère respira encore la fleur. Oui, elle aimerait le faire. Elle hocha la tête.
Bérangère hocha la tête.
Monsieur François lui caressa les cheveux et dit :
Sa main sur ses cheveux était apaisante, elle aimait ça.
Bérangère hocha la tête. En continuant de lui caressant les cheveux, Monsieur François poursuivit :
Bérangère hocha la tête, Oui, ce serait bien.
Monsieur François commença à caresser doucement les côtés de sa poitrine puis remonta vers les globes frémissants. Ses mamelons bruns se gonflèrent et devinrent durs et Bérangère soupira.
À moitié éveillée, à moitié endormie, perdue dans une brume de sensualité et de plaisir, ses narines pleines de l’odeur enivrante de la fleur orange, Bérangère s’installa contre Monsieur François. Ses genoux furent séparés par les longs doigts qui remontèrent sur ses cuisses et Monsieur François commença à masser doucement le sexe de la jeune fille, à faire courir ses doigts le long de sa fente pour accentuer l’humidité qui en suintait.
Le pénis noueux du vieil homme avait pris de l’ampleur et les veines saillaient tout autour. Malgré des années d’utilisation il ne semblait pas le moins du monde usé, comme on aurait pu penser qu’il le serait chez un homme de son âge. Bien au contraire, il devenait de plus en plus raide et se dressait devant lui comme celui d’adolescent.
Bérangère, les yeux fermés, absorbée par les sensations que lui procuraient les doigts qui la caressaient, ne réalisa pas qu’à quelques centimètres de sa bouche entrouverte s’épanouissait le gland écarlate de la queue de Monsieur François.
Bérangère hocha la tête.
Bérangère hocha la tête.
Monsieur François comprit le message.
Bérangère fit ce qu’il venait de lui dire de faire et sa petite langue rose se faufila hors de ses lèvres et déposa une première caresse sur le gland du pénis de Monsieur François, léchant au passage la petite goutte.
Monsieur François glissa ses doigts dans la fente moite de Bérangère dont la tête s’abaissa encore un peu et la bouche enveloppa complètement le membre impatient. Elle le lécha et l’aspira avec enthousiasme, persuadée que la queue de Carlos envahissait sa bouche.
Bérangère hocha la tête. Oui, elle avait soif, elle voulait sentir la pulsation chaude dans sa bouche. Oui, c’était bien ce qu’elle voulait. Monsieur François était bon avec elle en lui permettant de boire Carlos. À demi inconsciente sous l’effet de la fleur orange, elle continua à travailler le pénis, le taquinant et le suçant, glissant ses lèvres de haut en bas sur la colonne de chair, adoptant un rythme qui allait bientôt produire le résultat escompté.
Monsieur François avait du mal à se concentrer sur les caresses qu’il prodiguait à Bérangère avec ses doigts. Il était presque prêt à éjaculer.
Bérangère hocha la tête. Elle ferma les yeux, arrêta sa succion sans que sa bouche quitte le membre qui l’envahissait et frissonna sous la puissance de la jouissance qui l’envahit quand les doigts savants de Monsieur François déclenchèrent son plaisir. Elle soupira, un sentiment de béatitude l’envahit, et quand son nez respira plus profondément le fort parfum de la fleur, elle comprit qu’elle avait besoin de boire le sperme de Carlos. Ses lèvres recommencèrent à coulisser sur la bite.
Monsieur François porta ses doigts à son nez pour humer l’odeur de la jouissance de Bérangère qui se mêla au parfum de la fleur orange. Son bas-ventre se tendit et sa queue commença à expulser son fluide laiteux dans la bouche quémandeuse de sa jardinière qui avala tout avidement. Puis, alors que sa langue cherchait paresseusement les dernières gouttes qui s’échappaient du membre, la jeune fille commença à s’assoupir. Monsieur François se leva et l’allongea gentiment sur le banc. Il sourit et s’assit un peu plus loin pour la laisser dormir. C’était un après-midi des plus réussis et des plus prometteurs.
Un peu plus tard, Bérangère se réveilla perplexe, se demandant pourquoi elle dormait, allongée nue sur un banc du jardin. Elle se redressa. Monsieur François était assis non loin d’elle.
Bérangère se souvint aussitôt d’un rêve plutôt embarrassant dans lequel elle suçait la bite de Carlos. Elle devint rouge comme une tomate.
Bérangère était soulagée.
Bérangère l’avait vue, mais elle n’avait pas pu l’ouvrir et elle avait simplement supposé qu’elle donnait sur une route ou un champ.
La mention du nom de Carlos ramena Bérangère à ce qu’elle avait vu avant de s’endormir et au rêve qu’elle avait fait pendant son sommeil. Elle rougit à nouveau. Monsieur François se leva et fit quelques pas. Bérangère le rejoignit et il lui tendit une branche de l’arbuste aux fleurs orange.
La jeune fille pensa que Monsieur François avait raison.
Il caressa ses fesses nues avant qu’elle ne s’éloigne. Au bout de la pelouse elle se retourna pour lui faire signe de la main, mais Monsieur François avait disparu.
Le lendemain, en travaillant dans un autre jardin, Bérangère se remémora l’ouvrage qu’elle avait effectué dans celui de Monsieur François et se souvint du rêve qu’elle y avait fait. C’était vraiment un jardin différent, elle aimait y travailler, elle aimait y être nue et c’était tellement agréable d’y voir Carlos nu et en érection, pousser sa tondeuse ou s’amuser avec les filles. Elle fronça les sourcils : au fait, ne serait-ce pas mieux si c’était avec elle qu’il s’amusait ?
Le mardi venu, elle vint prendre son travail et entra par le portail de la rue. Elle rassembla les outils dont elle pensait avoir besoin et les entassa dans sa brouette. Le soleil dépassait déjà par-dessus les hauts murs et faisait briller et disparaître les gouttes de rosée que la nuit avait déposées. Elle alla vérifier l’état de la tourbière puis elle entra dans la serre. Elle avait résisté à l’envie d’ôter immédiatement son t-shirt quand elle était arrivée, mais maintenant elle était impatiente de sentir la chaleur directement sur ses seins L’odeur chaude du compost humide qui se déployait sous la verrière accentua son envie de se libérer et elle arracha son t-shirt et son soutien-gorge. Quand elle sortit de la serre, la chaleur du soleil sur ses seins lui fit pousser un soupir de bien-être. Saisie d’une pulsion subite, elle retourna à l’intérieur et sa jupe et sa culotte rejoignirent le reste de ses vêtements.
Ne portant plus que ses chaussures, Bérangère se dirigea vers la porte bleue, se demandant ce qu’elle allait découvrir dans cette partie du jardin de Monsieur François. Un verger, un grand étang plein de poissons, un jardin sauvage ? Elle hésita puis tourna la poignée et la porte s’ouvrit sur un jardin où tout ce qu’elle avait envisagé était rassemblé. C’était un verger, car le long des murs s’étalaient divers arbres fruitiers taillés en espalier. Mais il y avait aussi une pièce d’eau d’où jaillissaient quelques roseaux et un grand champ où avaient été semées des fleurs de toutes couleurs qui s’épanouissaient librement.
Mais ce qui surprit le plus Bérangère, c’était les statues. Il y en avait un peu partout le long des allées, aussi belles que celle du jeune homme nu qui l’aurait fait rêver si seulement il avait eu un sexe plus important. Dans cette partie du jardin, elles représentaient toutes des personnages à peu près ou complètement nus qui n’étaient pas représentés simplement debout tenant un vase ou versant de l’eau dans une vasque, mais qui se livraient à toutes sortes d’activités érotiques. Depuis la porte, Bérangère ne pouvait pas les détailler toutes, mais elle comprit rapidement que le thème général des statues c’était le sexe. Laissant sa brouette, elle entra plus avant dans le jardin.
À l’intérieur, il y avait d’abord deux statues grandeur nature, dans des niches de chaque côté de la porte comme des sentinelles, représentant des hommes en armure portant des lances. Ils n’étaient pas nus mais leurs braguettes de métal entrebâillées laissaient deviner des sexes en érection. Bérangère sourit ironiquement et continua à s’avancer. Un peu plus loin, un homme de marbre magnifiquement sculpté se tenait près du chemin, à moitié couvert d’une toge de style romain. Le vêtement était écarté, révélant un gros pénis en érection. La jeune fille se pencha pour détailler chaque élément de la sculpture. Ses doigts encerclèrent le membre, sentirent dans la douceur du marbre l’exactitude de la forme et des détails. Avec un doigt, elle remonta jusqu’au gland lisse. Quel réalisme dans le travail !
La statue suivante représentait un couple complètement nu, en plein coït. Bérangère la regarda pendant un moment, à nouveau émerveillée par la qualité et la minutie du travail. En se penchant, elle vit les détails presque cachés de l’union, la moitié du pénis aux veines saillantes introduit dans le vagin, le clitoris proéminent jaillissant de sa gaine. Un peu plus loin, elle fut attirée par deux personnages en bronze, une femme penchée en avant et un homme debout derrière elle. L’homme semblait faire signe à travers le jardin, le visage souriant et les mains tendues comme s’il invitait le visiteur à s’approcher. Naturellement, il bandait comme s’il allait pénétrer la femme ou peut-être comme s’il venait juste d’en sortir. Après un examen plus approfondi, cette dernière situation sembla la plus probable à Bérangère. Elle se glissa entre les deux statues et plia les genoux pour regarder la femme par-dessous. Effectivement, les lèvres sexuelles étaient ouvertes et détendues. Elle pensa que si elle avait été un homme, il lui aurait été possible de rentrer sa propre queue dans la statue, de la baiser comme une vraie femme, et elle ne put résister à tester sa théorie en enfilant son index dans la statue. Il semblait effectivement y avoir assez de place pour recevoir un sexe. Elle se releva et se recula pour admirer la magnifique statue féminine en oubliant la statue masculine derrière elle dont le pénis vint se loger entre ses cuisses.
Elle se retira en riant de sa mésaventure et se dit que, décidément, le jardin de Monsieur François recelait bien des côtés surprenants.
Un peu plus loin, il y avait une autre statue de bronze. Cette fois, c’était un homme allongé sur le sol, appuyé sur ses coudes, les jambes étendues, nu, bien sûr, en érection, bien sûr, qui regardait son long et fort membre décalotté dressé vers le ciel, qu’il semblait offrir aux éventuels passants. Le bronze avait tourné au vert-de-gris, mais Bérangère remarqua que le membre impressionnant semblait moins vert que le reste de la statue et que le gland brillait comme si quelqu’un avait pris la peine de le polir. De surprise, elle porta sa main à sa bouche quand elle réalisa que s’il brillait ainsi ce pouvait être parce que la statue était souvent utilisée par une ou plusieurs femmes comme amant de bronze. En regardant de plus près, Bérangère eut un choc : la statue ressemblait trait pour trait à celle du jeune homme de l’autre partie du jardin, mais cette fois avec un pénis beaucoup plus imposant et en complète érection. Voulant mieux voir le visage, elle grimpa sur la statue. Le personnage semblait maintenant regarder dans sa direction, mais elle ne voyait pas ses yeux. Il fallait qu’elle se déplace un peu et elle serait sans doute exactement au bon endroit. Elle comprit que si elle s’asseyait en plein milieu, juste là où saillait le pénis, alors la statue la regarderait droit dans ses yeux. L’artiste avait composé son œuvre pour que les femmes puissent la découvrir pleinement si elles inséraient le membre de bronze en elles. Bérangère se leva sur ses genoux et les lèvres de sa chatte effleurèrent le membre érigé. « Oh, non ! » pensa-t-elle, elle ne pouvait pas faire cela, elle ne devait pas faire cela. Et puis la statue conservait encore la fraîcheur de la nuit et l’insertion dans son intimité d’un sexe de bronze froid ne serait sans doute pas agréable.
Bérangère se reprit. Elle était payée pour travailler, pas pour s’intéresser aux sexes des statues. Elle retourna à la porte et rentra sa brouette à l’intérieur du jardin. Il y avait beaucoup à faire et elle se mit à l’ouvrage avec enthousiasme, heureuse dans la lumière du matin, dans la chaleur du soleil et avec la rosée fraîche sur l’herbe.
Elle travaillait dur, mais ses pensées érotiques, alimentées par le spectacle qui l’attendait à chaque fois qu’elle levait les yeux, ne l’avaient pas quittée. De temps en temps, elle s’arrêtait pour regarder plus attentivement les œuvres qu’elle n’avait pas encore pris le temps d’admirer. Elle fit beaucoup de désherbage, mais son esprit n’était pas vraiment concentré sur son travail.
Après environ deux heures, elle céda à son envie de retourner près de la statue de l’homme couché au sexe tendu vers le ciel. Elle était vraiment magnifique, et elle sentit de nouveau le besoin de l’enfourcher pour voir parfaitement son visage, elle avait vraiment besoin de se mettre à genoux avec le sexe dressé juste au-dessous du sien, comme l’avaient sans doute fait de nombreuses fois Rachel et Patricia. Bérangère se retrouva à cheval sur la statue et l’emplacement du membre lui convint parfaitement, Il était juste au bon angle pour elle, avec ses cuisses de chaque côté des hanches de la statue, à genoux sur le socle et ses mains posées sur la poitrine, ses durs mamelons de bronze au milieu de ses paumes. Sous l’effet du soleil, la statue s’était réchauffée et elle sentit la chaleur du membre de bronze l’envahir quand elle l’introduisit en elle. Sa propre humidité facilitait le glissement sur la bite de métal, et elle sentit qu’il ne lui faudrait pas beaucoup de temps, elle allait bientôt venir, elle était toute proche de la jouissance.
C’est à ce moment que Monsieur François pénétra dans le jardin. Il découvrit, encadré par la porte, un tableau insolite et magnifique : la jeune jardinière nue, montée sur la statue en bronze d’un jeune homme couché, qui se mouvait comme si elle était assise sur la selle d’un cheval, en rebondissant de haut en bas. Évidemment, Monsieur François savait ce qui se passait : après tout, il avait vu de nombreuses fois auparavant les jeunes filles dans la même position. Mais l’effet sur lui était toujours le même : son pénis réagit vigoureusement devant le spectacle hautement érotique qu’il avait sous les yeux. Un nudiste craint toujours une réaction de cette nature en public, mais il était dans son jardin secret, uniquement sous l’éventuel regard du public que lui-même avait choisi et qui appréciait ce genre de réaction. Il s’avança pour regarder de plus près.
Avec un gémissement sourd, Bérangère, les yeux hermétiquement fermés, sentit monter la jouissance et des vagues de plaisir se répandirent à travers son corps. Elle n’avait pas vu Monsieur François qui regardait ses mouvements vigoureux. Envahie par le bien-être, elle ralentit progressivement sa course jusqu’à s’arrêter complètement. C’est à ce moment, en ouvrant les yeux, qu’elle vit son patron, debout devant la statue, sa queue dressée devant lui, qui lui souriait gentiment. Elle bondit par terre, comme si le pénis de la statue était devenu soudain brûlant. Le membre de bronze, mouillé des sécrétions intimes de la jeune fille, brillait plus que d’habitude dans la lumière du soleil, comme pour mettre en évidence l’intensité du plaisir de la jardinière. Monsieur François avança la main et caressa l’humidité de Bérangère sur le pénis.
Il lui tendit un éclatant bouquet de fleurs orange.
Le parfum flottait autour Bérangère, elle se sentait un peu étourdie, peut-être parce qu’elle avait fait l’amour à la statue. Elle ne se sentait plus coupable d’avoir été surprise par Monsieur François se faisant plaisir sur la statue au lieu de travailler. D’ailleurs, en regardant son employeur, elle pouvait voir que son initiative avait eu un effet très positif sur son membre qui se dressait fièrement devant lui. Manifestement, il n’était pas trop vieux pour ça parce que sa bite était assez raide et pointée en avant. Mais ça ne l’embarrassait pas. Après tout, c’était normal qu’un homme, même âgé, réagisse devant un tel spectacle. Elle prit les fleurs.
Bérangère regarda de nouveau le pénis dressé de Monsieur François, et le parfum des fleurs se répandit une fois de plus autour d’elle.
Avant qu’il ait pu répondre, elle saisit la bite, l’encercla avec ses doigts et commença à la stimuler, pour l’amener à se développer encore plus. Elle se sentit soudain altérée, la soif l’envahit, et l’idée de déguster le sperme de Monsieur François devint très attrayante. Elle se jeta à genoux devant lui.
Et encore une fois sans attendre la réponse, ses lèvres s’ouvrirent et elle goba la tête lisse. Monsieur François la regarda et sourit. Il aimait tellement voir les bouches des jeunes filles autour de sa queue ! C’était délicieux de sentir les mouvements de la langue de Bérangère sur sa peau sensible.
Il lui caressa les cheveux comme il l’avait fait l’autre jour dans le jardin, en pensant à l’époque si lointaine où, alors qu’il séjournait dans une vallée perdue du nord de l’Inde, il avait découvert les vertus aphrodisiaques de l’odeur des fleurs orange. Le secret lui en avait été révélé par un vieux sage avec lequel il s’était lié d’amitié. Que de jours heureux il avait passés au contact des jolies filles à la peau brun sombre avec leurs cheveux bleu-noir et leurs sourires enchanteurs dont les bouches étaient si savantes et expérimentées ! Rapporter des jeunes plants de cet arbuste n’avait pas été facile, plusieurs étaient morts pendant le voyage, mais ceux qui avaient survécu et qu’il avait plantés prospéraient depuis lors dans son jardin secret et en étaient devenus l’âme. L’effet des fleurs sur les esprits et leur pouvoir de suggestion sur les sens ne s’étaient jamais démentis et Monsieur François en restait éternellement reconnaissant à l’homme qui lui en avait révélé le secret.
Bérangère continuait de lécher et de sucer, sa tête s’avançant et reculant pour faire glisser ses lèvres d’avant en arrière sur la bite du vieil homme, un mouvement répétitif et familier qu’elle avait employé avec un orifice différent quelques minutes avant. Un mouvement répétitif qui produisit bientôt le résultat escompté : dans un râle, Monsieur François tendit sa queue en avant et, par jets successifs, remplit de sperme chaud la bouche de sa jardinière. Il sembla à Bérangère que le sperme de son patron avait le même goût que celui qui avait envahi sa bouche dans son rêve quand elle dormait sur le banc du jardin. Mais ce n’était sans doute qu’une illusion…
Un peu plus tard, quand le vieil homme fut parti et qu’elle eut rassemblé ses outils, Bérangère revint dans la première partie du jardin, surprise et étonnée par ce qu’elle venait de faire pour Monsieur François. Bien sûr, il lui était déjà arrivé de faire la même chose à quelques garçons mais elle n’avait pas de petit ami attitré en ce moment. Il y avait quelque chose dans ce jardin qui la transformait chaque fois qu’elle y pénétrait, quelque chose qui cette fois l’avait poussée à faire l’amour à la statue et à sucer Monsieur François.
Un peu après midi, Bérangère retourna vers la maison. Carlos était assis à l’ombre fraîche des longues branches d’un arbre qui s’étendaient presque jusqu’au sol. Le soleil dans les yeux, Bérangère ne le voyait pas. Il regarda le corps aux courbes pleines, les seins qui rebondissaient doucement quand elle marchait, et il sentit son membre s’étirer entre ses cuisses puis se gonfler jusqu’à se tendre devant lui, le gland se décalottant sous la pression du sang qui l’avait envahi. Monsieur François avait informé son jardinier que le temps était venu pour lui d’initier définitivement la jeune fille. Il se leva et la suivit sur le chemin.
Bérangère s’était arrêtée pour regarder de près le buisson aux fleurs orange et elle pensa qu’il faudrait vraiment qu’elle essaye de faire quelques boutures. Elle se sentait tellement bien en respirant le parfum des fleurs qu’elle n’entendit pas Carlos venir juste derrière elle. Deux grandes mains se saisirent de ses seins et elle sentit un membre imposant venir caresser la fente de ses fesses quand il l’étreignit. Elle se raidit, mais reconnut immédiatement les mains poilues qui couvraient ses seins. Une bouffée de désir l’envahit et elle se tourna pour faire face à l’homme, ses bras encerclèrent son cou, et son visage se tendit dans attente d’être embrassée, le pénis poussant cette fois contre son ventre. Carlos l’embrassa et la souleva. Les jambes de la jardinière s’enroulèrent autour des hanches de l’homme et son sexe épanoui s’offrit à la queue du jardinier. Doucement, le membre glissa en elle et Bérangère se sentit empalée sur la bite de Carlos. Lentement, sans la lâcher et tout en l’embrassant, Carlos s’avança sur la pelouse. À chaque pas sa bite entrait et sortait du con de la jeune fille, le frottant et l’excitant. Soigneusement, et sans la lâcher, il déposa Bérangère sur l’herbe dans la position traditionnelle. Une position qui allait d’entraîner l’apparition de traces vertes sur le dos et les fesses de Bérangère à cause du va-et-vient énergique que Carlos commença à entreprendre.
Leur activité ne passa pas inaperçue. Rachel et Patricia les virent et Rachel courut en informer Monsieur François. À l’insu de Bérangère, il y avait maintenant tout un public pour les regarder faire. Les deux jeunes filles entouraient Monsieur François, Rachel caressant les couilles gonflées de son patron tandis que Patricia branlait lentement le sexe dilaté. Le martèlement de la queue raide de Carlos, la sensation de son corps velu contre le sien, les poils qui chatouillaient ses tétons, toutes ces sensations qu’elle avait désirées et qui l’envahissaient maintenant déclenchèrent un orgasme intense qui se répandit dans son corps pendant que l’homme continuait à la besogner en espérant l’emmener à un second point culminant. Mais le chaud jaillissement de sa semence marqua la fin de ses efforts. Le mouvement de ses cuisses se ralentit et s’arrêta. Bérangère détacha délicatement ses jambes qui étaient restées nouées dans le dos de l’homme et le sentiment de magnifique plénitude commença à s’estomper pendant que le membre ramollissant du jardinier se dégageait du nid d’amour.
Carlos se leva en souriant et le bruit des applaudissements fit sursauter Bérangère. Elle vit Rachel et Patricia qui entouraient Monsieur François dont le membre pointait encore une fois en avant. Le vieil homme s’avança pour venir au-dessus de sa jardinière et l’action attentive des mains des jeunes filles ne tarda pas à faire gicler son sperme sur les seins et le ventre de Bérangère. Avant que cette dernière ait pu refuser ou faire quoi que ce soit d’autre, Patricia tomba entre ses cuisses ouvertes et commença à lécher, cherchant tantôt le sperme de Carlos, tantôt celui de Monsieur François.
Rachel s’agenouilla à côté d’elle et lui caressa les cheveux.
Elle se sentait bien, en effet, et elle comprit que, sous les effets combinés de la langue agile de Patricia et de la vue des deux hommes qui se masturbaient lentement en regardant le spectacle, elle s’acheminait vers un deuxième orgasme. Elle s’allongea, ferma les yeux, et laissa Rachel lui caresser les cheveux et Patricia laper les jus étalés sur son corps ou qui s’écoulaient de sa chatte en joie. Le parfum des fleurs orange était plus fort que jamais. C’était vraiment une journée à vivre de nouvelles expériences.
Le lendemain, Bérangère franchit la porte du jardin de Monsieur François et regarda autour d’elle. C’était un peu après l’aube, l’atmosphère était calme, aucun souffle d’air ne faisait frémir les feuilles, prémices d’une journée particulièrement chaude. La lumière était déjà vive, mais encore un peu tamisée, pas encore avec la luminosité éclatante d’un jour d’été. Les senteurs du jardin lui parvinrent, elle s’avança et s’assit pour regarder la fontaine à travers la pelouse. Vraiment, c’était le jardin parfait.
Déjà ses vêtements la gênaient et elle se déshabilla lentement, les empilant à ses côtés. Elle ne pensait plus à ses plans pour la journée, mais à Carlos. Elle savait que le jardinier ne venait pas là ce jour-là ce qu’elle trouvait fort dommage. Même si elle se sentait encore un peu coupable de ses ébats de la veille avec le jardinier et Patricia devant un cercle de spectateurs attentifs, elle s’était tellement épanouie qu’elle aurait aimé le faire à nouveau. Elle sourit à ce souvenir et porta machinalement sa main à son entrejambe. Mais à propos de Patricia ? Que lui était-il arrivé ? Elle n’avait jamais pensé pouvoir être intéressée par les filles, mais elle avait laissé Patricia lécher ses seins et son ventre, laper sa fente, sucer son clitoris et la langue de la jeune fille lui avait procuré un orgasme intense. Patricia attendait-elle la même chose en retour ? Et Carlos, aurait-il fait la même chose ? Quelle sensation éprouverait-elle si sa barbe venait la chatouiller là, en bas ?
Bérangère regarda les oiseaux qui volaient ça et là, buvant à la vasque, sautillant dans l’herbe à la recherche des insectes et des larves, généralement très occupés en ce début de matinée. Elle entendit la porte s’ouvrir et se refermer et les pas de Monsieur François qui arrivait. Il s’arrêta derrière elle et posa sa main sur son épaule nue.
Elle se tourna vers lui et ses yeux tombèrent directement sur la bite légèrement dressée du vieil homme. Monsieur François sourit :
Bérangère lui assura que ce n’était pas un problème.
À l’heure du café, Bérangère vint vers la maison. Comme souvent, Monsieur François avait réuni quelques amis. Quatre vieux messieurs nus étaient assis autour d’une table et le café était servi par Patricia et Rachel, les deux jolies filles toujours aussi nues. La table était en fer forgé peint en blanc et dessus était posé un vase de fleurs d’un orange particulièrement vif. Monsieur François appela la jeune fille et l’invita à s’asseoir avec eux.
Le parfum des fleurs était entêtant. Bérangère hocha la tête. Autour de la table, les vieux mâles se mirent à remuer, et leurs sangs chauds commencèrent à envahir massivement leurs queues qui s’élevèrent progressivement vers le ciel. Patricia et Rachel se regardèrent :
Bérangère hocha la tête. Comme Monsieur François le lui avait dit, elle avait soif et les bites érigées étaient très attirantes, très suçables. Elle passa légèrement sa langue sur ses lèvres en les regardant. Cette image de l’érotisme fit frémir les membres de ces messieurs. Elle se mit à genoux devant Monsieur François.
La jeune fille se coula près de la chaise suivante, saisit la première bite dans sa main et se mit au travail.
Le mercredi venu, Bérangère regarda avec plaisir le nouveau jeune homme. Assurément, il ne faudrait pas longtemps pour lui faire comprendre qu’être nu dans le jardin était très agréable, y avoir des activités sexuelles était encore mieux, et s’occuper du jardin de Monsieur François et peut-être de Monsieur François lui-même, le summum du plaisir. Elle regarda son pantalon de travail et se demanda à quoi ressemblait le pénis qui se devinait dessous.
Le destin de Bérengère était maintenant tout tracé : elle était jardinière, sa vocation était donc de prendre les choses en main, de les faire croître et enfin, en bonne professionnelle, de savourer le résultat de ses efforts.