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Escapade en Égypte

François et Nathalie, sa blonde et mignonne épouse, vont enfin réaliser un rêve, la descente du Nil. Ils ne savaient pas que, cerise sur le gâteau, ils allaient par la même occasion, vivre une nouvelle aventure sexuelle.

Arrivés au Caire dans la journée, ils passent une nuit à l’hôtel avant d’embarquer, le lendemain à bord du bateau pour remonter le Nil.

Passant à proximité, du bateau ils peuvent voir les silhouettes majestueuses des pyramides de Gizeh.

Premier arrêt, le site de l’ancienne capitale Memphis et la pyramide à degrés de Saqqarah. Après la visite, embarquement et voyage toute la journée et toute la nuit. La cabine est confortable les repas variés, la vie à bord est agréable.

L’isolation phonique, entre les cabines, elle, laisse à désirer. C’est du moins ce qu’ils pensent lorsqu’ils s’installent au déjeuner le matin, en compagnie de leurs voisins. C’est un couple de jeunes retraités américains, la soixantaine, elle, assez grande, brune, lui, poivre et sel, moustachu, tous deux bronzés et d’allure sportive. Ce couple sympathique de retraités leur dit, dans la conversation :

• — Nous avons été heureux de constater que vous avez passé une excellente nuit. Les sons venant de votre cabine nous ont agréablement bercés !

François, qui comprend qu’ils les ont entendus faire l’amour, leur dit :

• — Désolés, d’avoir dérangé votre sommeil.
• — Ne soyez pas désolés, dit la dame et n’hésitez pas à recommencer, cela stimule agréablement mon époux !

Sa remarque détend l’atmosphère et ils se sourient mutuellement, comprenant son allusion.

La journée, visite de Thèbes, et bien sûr des temples de Karnak et Louxor. Repas de midi, entre les visites, à terre dans un restaurant « typique ». Fin de journée, emplettes pour ceux qui le désirent. Nathalie et François préfèrent traîner dans des sites mineurs, non prévus par l’organisateur.

Retour à bord et changement de toilette pour le dîner, également prévu à terre, le départ pour la prochaine étape est prévu le lendemain matin.

Chacun rejoint à son gré le navire et sa cabine. Nathalie et François font une dernière halte au bar avant de se coucher. Alors qu’ils sont au lit en plein ébat, ils entendent, brusquement, en écho aux cris de plaisir de Nathalie, les gémissements de plaisir de la voisine. Décidément, pas de raison de se priver. Les sons provenant des deux cabines contiguës, se suivent et se répètent pendant un moment avant que le calme ne retombe.

Le lendemain matin, ils se rendent compte de la raison pour laquelle les sons passent aussi facilement entre les deux cabines. Elles sont probablement prévues pour faire à l’occasion une suite. Une simple double porte les sépare.

Au petit déjeuner, leurs voisins leur demandent s’ils peuvent partager leur table. Sur l’invitation de Nathalie ils s’installent. François leur explique pourquoi ont entend si facilement d’une cabine à l’autre et ajoute :

• — Nous avons cette fois, nous aussi été agréablement accompagné par les vocalises de Madame !
• — Je dois dire, ajoute son mari, qu’il ne manquait que la vue pour avoir un live show !

Chacun sourit cette fois encore à cette évocation.

Le bateau reprend sa route après le déjeuner, les passagers au bastingage admirent le pays qui se déroule sous leurs yeux. Deux escales sont prévues, la première à Esna, la suivante à Edfou et le temple d’Horus. Le soir, l’escale est prévue à Kôm Ombo.

Après le dîner, ils se retrouvent au bar en compagnie de leurs voisins. Ceux-ci les invitent à boire un verre. La conversation repart sur le sujet de la matinée. Entendre Nathalie et François dans leurs ébats, les a visiblement marqués.

La voisine, leur dit :

• — Surtout ne vous gênez pas, même si nous n’avons que le son sans l’image, c’est tout de même très agréable !

Nathalie, un rien coquine ce soir, lui répond :

• — Nous enlèverons le verrou de la porte de notre côté. Si vous voulez l’image, il suffira que vous enleviez le verrou du vôtre.

John et Anne, ce sont leurs prénoms appris au cours de la soirée, restent sans voix après la sortie de Nathalie.

De retour dans leur cabine, François demande à Nathalie si elle pensait vraiment ce qu’elle leur a dit. S’ils ont déjà vécu l’échangisme avec des couples plus âgés qu’eux, leurs voisins, eux, pourraient être leurs parents… Nathalie ajoute :

• — Cela n’est pas gênant qu’ils nous regardent, mais ils n’oseront pas. Ouvre tout de même le verrou, qui sait !

Ils se retrouvent au lit et après quelques préliminaires, en plein ébat, ils entendent un bruit de verrou du côté de la porte de communication. Ils ont osé !

Ils continuent leurs jeux érotiques en faisant semblant ne pas voir leurs deux voisins nus dans l’entrebâillement de la porte. Le corps mature d’Anne est, malgré la soixantaine, resté ferme et désirable, sa poitrine semble ferme et son mari porte, lui aussi, bien son âge, et son vit dressé prouve sa virilité. Lors d’un changement de position, François remarque que John a enlacé par derrière son épouse, il la baise. Un cri de plaisir, poussé par Anne s’ensuit. Ils font mine de reculer vers leur chambre.

• — Si vous voulez vous joindre à nous ! leur dit Nathalie.
• — Il ne faut pas vous sauver sur la pointe des pieds, leur dit François, vous pouvez approcher. Vous n’êtes pas mal en couple.
• — Tu veux dire, intervient Anne, nous quatre ensemble ? C’est une expérience qui me tente ! Si John est d’accord ?
• — Si tu n’es pas jalouse de me voir prendre Nathalie dans mes bras, lui répond-il, je ne pense pas être jaloux de te voir prendre du plaisir dans les bras de François !

Cela à l’air de plaire à John de voir Nathalie, qui pourrait-être sa fille, nue. François doit avouer que de voir déambuler Anne nue n’est pas déplaisant non plus.

Se disant que les autres sont certainement intimidés, Nathalie et François se caressent impudiquement devant leurs voisins avant de s’affaler sur la couchette, tendrement enlacés.

Cette fois John et Anne osent approcher. Leur excitation est patente, si Anne tient son John par la queue, qui semble d’une raideur très convaincante, lui, caresse la raie des fesses de sa femme. Lorsque Nathalie propose à Anne de la remplacer auprès de François, elle n’hésite qu’un court instant. John se joint au nouveau couple pour caresser Nathalie ; François, lui, cède la place et se positionne derrière Anne. Il lui caresse les seins et le sexe, glisse un doigt profondément dans sa chatte et initie quelques mouvements de va-et-vient. Il perçoit de très discrets gémissements lorsque sa queue dressée vient se loger entre ses fesses.

Il s’aperçoit que Nathalie, elle, ondule discrètement du bassin, et devine qu’elle accompagne les mouvements de la main de l’homme qui titille son clitoris. Elle se mord les lèvres de plaisir, à certains moments elle ferme les yeux.

Nathalie se tourne vers John et reprend la masturbation que lui faisait Anne. Les nouveaux couples se sont formés, après les masturbations réciproques, les corps se sont étendus sur le lit et les cris de plaisirs suivent. Anne est la première à jouir sous les coups de queue de François…

• — Oh ! François, oui. Oh ! Oui ! YES ! YES ! Yeeee !

Nathalie suit rapidement dans les bras de John.

• — Ahhhh ! Ahhhh ! John tu es bon. Je jouiiiiis !

Les deux retraités profitent plus que de raison de l’expérience de leurs nouveaux partenaires sexuels.

Anne a trouvé un plaisir presque continu entre les bras de François. Elle lui a ouvert toutes ses portes du plaisir, s’étonnant elle-même de son audace !

Après un premier orgasme en « missionnaire », François l’a baisée en levrette, profitant de sa position pour lui doigter l’œillet. Alors qu’elle vient de jouir à nouveau, baisée et doigtée, c’est elle qui lui dit :

• — Viens, encule-moi, j’en ai envie.

François ne se fait pas prier et quitte sa chatte pour un conduit plus étroit mais bien accueillant.

• — Oui, bourre-moi le cul à fond, c’est trop bon…
• — Oh ! Oui Anne c’est bon, je vais jouir, je vais me vider dans tes entrailles !
• — Oui ! Oui ! Je veux que tu jouisses !

Elle jouit elle-même au moment ou François gicle son sperme dans son cul.

John, lui, a retrouvé une nouvelle jeunesse pour satisfaire sa jeune partenaire. Il n’en revient pas d’avoir pu la faire jouir plusieurs fois avant d’inonder sa chatte de son éjaculation…

C’est, semble-t-il, très heureux qu’ils regagnent leur cabine un couple d’heures plus tard.

Dans la matinée, ils rejoignent Assouan, au pied de la première cataracte. En amont, se trouve le plus grand barrage du monde construit sous Nasser. Visite incontournable : le temple de Philae dédié à la déesse Isis.

C’est la dernière journée que passent Nathalie et François avec l’ensemble du groupe. L’excursion s’arrête à Assouan d’où les touristes regagnent directement le Caire le lendemain.

Nathalie et François, eux, ont décidé de poursuivre vers Abou Simbel. Ils ont pu louer une Land-Rover pour aller jusque là. Ils prendront l’avion suivant pour regagner le Caire.

Ils prennent leur dernier repas à bord avec John et Anne. Ils gagnent ensemble leurs cabines. Sur le pas de la porte, François leur dit :

• — Nous avons laissé le verrou ouvert ! Si vous voulez vous joindre à nous !

Si bien que rentrés dans leurs chambres respectives, la porte est ouverte et ils vaquent nus à leurs toilettes à la vue des autres, avant de se rejoindre.

Leur excitation est patente. Les nouveaux couples se reforment et les cris de plaisirs qui suivent pendant un long moment, ne sont pas moindre que la nuit précédente. Anne s’offre sans retenue à son amant, tandis que John sous l’exaltation érotique de Nathalie est étonné de ses performances !

Même des trios se forment, à l’initiative de Nathalie, John encule Anne empalée sur François, offrant pour la première fois de sa vie deux amants en même temps à Anne.

• — Oh ! Mon John, c’est trop bon. Jute-moi dans le cul, dans le con ! Je veux vous sentir éjaculer !

Cette fois, elle hurle presque sa jouissance lorsque John et François lui inondent ses deux portes de plaisirs, un orgasme plus violent que les précédents la secoue.

John, lui, découvre le plaisir de passer de la chatte de sa femme à celle de Nathalie, allongées, enlacées l’une sur l’autre au bord du lit, tout en les voyant faire une fellation commune à François. Lorsqu’il les a fait jouir, il se vide les couilles en longues saccades répartissant son foutre entre les chattes accueillantes. Tandis qu’elles se partagent le sperme de François dans un baiser profond.

Ce n’est une nouvelle fois tard dans la nuit qu’ils se quittent, Nathalie et François n’ont aucun regret, avec les sexagénaires, ils ont vécus des moments de jouissances certainement aussi intense qu’avec certains couples de leur âge.

Après le petit déjeuner pris avec leurs deux amis, qui les quittent à regret, Nathalie et François débarquent.

Ils prennent la route (piste) qui doit les conduire à Abou Simbel, quelques 300 km plus au sud.