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n° 14554Fiche technique27094 caractères27094
Temps de lecture estimé : 16 mn
05/09/11
Résumé:  Annie demande un petit service à sa jeune amie Laure...
Critères:  ff fplusag jardin photofilm fmast intermast cunnilingu init -fhomo
Auteur : Thierry Soleil      
Laure et Annie



En disant cela, Annie ne regarde pas Laure dans les yeux. Elle a hésité longuement avant de lui demander. Elle n’a pas osé hier, et elle se dit qu’elle aurait dû. Alors aujourd’hui, elle prend son courage à deux mains. Les deux femmes sont sur la terrasse chez Annie, elles profitent de la température et du soleil, très en avance en ce printemps.



Laure est une jolie jeune femme de trente ans, Annie pourrait être sa mère, elle a cinquante-cinq ans. Laure et Aline, la fille d’Annie, étaient au collège ensemble. Annie, sans être amie avec eux, connaissait les parents de Laure pour les avoir croisés à diverses occasions chez des amis communs, et Laure venait de temps en temps chez elle. Puis, au fil du temps, les deux femmes avaient sympathisé, malgré leur différence d’âge. Le déclic était venu lors d’une soirée à laquelle ni la fille de l’une ni les parents de l’autre ne participaient, et où elles ne connaissaient pas grand monde. Tout naturellement, elles s’étaient mises l’une à côté de l’autre, et la soirée ayant été plutôt arrosée, elles avaient oublié les années qui les séparaient.



Laure se demande pourquoi Annie se montre si hésitante, voire gênée.



Annie est seule depuis plusieurs années. Depuis son veuvage, elle a rencontré peu d’hommes, et à cette fameuse soirée, elles s’étaient amusées à évaluer les messieurs présents. Elle avait fait part de sa solitude à Laure, cependant, Laure ne connaissait comme célibataires que des hommes de son âge. Elle-même étant célibataire depuis quelques semaines, après une liaison de plusieurs années. Annie ne l’avait pas vue avec un homme depuis longtemps, mais elle s’était rendu compte que leurs conversations sur les hommes prenaient un tour de plus en plus coquin, et que le regard de Laure pétillait lorsqu’elle regardait certains hommes. À n’en pas douter, la jeune femme commençait à ressentir un manque d’affection.



Annie ouvre une sacoche et sort un appareil numérique.



Les mains tremblantes, Annie enlève son chemisier. Puis, elle détache sa ceinture et commence à descendre sa jupe.



Annie est maintenant en slip et soutien-gorge. Elle s’assied.



Ses mains passent dans son dos, elle défait l’attache. Puis elle attrape les bretelles, et les fait glisser en cachant ses seins. Elle pose le soutien-gorge sur la table, tout en essayant de masquer sa poitrine.



Annie écarte les mains, apparaît seins nus face à son amie. Laure ne dit rien, et contemple sa poitrine.



Laure prend l’appareil, cadre et déclenche.



Annie se lève, Laure la fait tourner vers elle. Elle prend un portrait en buste, puis cadre sur les seins. Un cliché, puis deux, et elle se met sur le côté pour prendre la poitrine d’Annie de profil. Après deux ou trois clichés, elle passe derrière Annie pour la prendre de dos.



Annie ne répond pas et passe ses doigts sous l’élastique de la culotte. Une seconde d’hésitation, puis elle la descend, tournant toujours le dos à Laure.



Laure rit.



Un cliché, puis un deuxième, Laure recule pour prendre Annie en entier.



Annie s’exécute, Laure prend quelques photos tout en variant les cadrages.



Laure lui tend l’appareil.



C’est au tour de Laure de se dénuder. Elle le fait avec moins d’hésitation qu’Annie, ne cherchant pas à cacher ses seins quand ils apparaissent. Annie contemple la poitrine de son amie, elle convient que le spectacle est agréable. Il lui semble que les tétons sont durs, mais comme c’est la première fois qu’elle les voit, elle ignore si c’est leur état naturel, ou s’il faut mettre ça sur le compte d’une émotion, peut-être d’une excitation. Honteuse en elle-même, elle chasse vite cette idée de son esprit, tout en pensant que dans quelques secondes, elles vont être nues ensemble. Elle réalise qu’elle n’a même pas pensé à se rhabiller, et qu’elle se sent bien. Laure fait glisser son string. Très petit, il cache un minou presque entièrement épilé, à l’exception d’une petite bande de poils pubiens.



Laure a prononcé ces paroles en dirigeant le regard vers le sexe de son amie. Annie est troublée que Laure la regarde ainsi, naturellement.



Annie ne sait que répondre. Elle laisse Laure reprendre l’appareil photo, puis cadrer sur son sexe. La situation lui cause un émoi certain, elle sent son sexe devenir chaud et humide.



Laure a prononcé cette phrase d’une voix douce, en regardant Annie dans les yeux. Annie écarte doucement les cuisses, elle sent l’air contre son sexe, sensation inédite pour elle. Comme l’est la sensation de montrer son sexe pour la première fois à une autre femme, alors qu’elle l’a rarement montré à un homme. Laure prend une photo, puis deux. Annie sent son sexe s’humidifier, et le fait de savoir que son amie doit s’en rendre compte augmente la sensation. Celle-ci n’hésite d’ailleurs pas à le lui dire :



Elle tend l’appareil à Annie. Celle-ci commence par faire quelques portraits, car elle a toujours apprécié la douceur du visage de Laure. Elle élargit ensuite le champ, pour réaliser un buste. Elle admire au passage la beauté de ses seins, son regard s’attardant dessus quand elle baisse l’appareil. Laure passe ses mains sous ses seins, les remonte. Annie reprend les prises de vue, Laure joue maintenant avec ses tétons, qui sont durcis, ça ne fait pas de doute. Elle se caresse la poitrine, et regarde Annie.



Laure ne répond pas et monte ses mains vers ses cheveux. Ses seins sont exposés sans tabou, dans toute leur splendeur. Elle garde ses mains dans ses cheveux et se tourne. Annie la prend de profil, puis zoome sur sa poitrine, cadrant vers les tétons. Laure est maintenant de dos.



Laure ne répond pas et se cambre légèrement. Annie continue ses prises de vue, Laure prend la même position qu’elle quelques instants auparavant. Elle pose le buste sur la table, les jambes légèrement écartées. Annie peut contempler sa vulve glabre avec émoi, car c’est la première fois qu’une femme lui laisse contempler son sexe. Laure se cambre pour mieux l’exposer, et sans même lui demander son accord, Annie fait un gros plan.



C’est une table en bois exotique, ajourée, mais solide. Laure s’y étend de tout son long, à plat ventre, remontant ses pieds en l’air. Annie tourne autour d’elle, la prend dans l’axe, depuis les pieds jusqu’à la tête puis dans l’autre sens. Laure s’appuie sur ses coudes, remontant le buste, ce qui la fait se cambrer. Elle est comme offerte. Puis elle se met sur le dos, reprenant ses seins. Elle les caresse, regarde Annie la prendre. Lorsqu’Annie est devant ses pieds, Laure écarte ses cuisses, et porte une main à son sexe. Annie a perdu toute inhibition et n’hésite pas. Elle cadre sur la main masquant la vulve. Le sexe de Laure est humide, comme celui d’Annie. Laure écarte doucement ses lèvres pour ouvrir son sexe. Annie zoome, Laure commence à se caresser en gémissant. Annie recule pour prendre un plan général. Le tableau qu’offre son amie est magnifique : le soleil sur son corps, la végétation en arrière-plan donnent à la scène un aspect autant poétique qu’érotique.



Elle prend encore quelques photos, puis pose l’appareil pour mieux profiter du spectacle. Elle se prend les seins, joue avec ses tétons durs comme ils ne l’ont jamais été. Son sexe est en feu, elle mouille. Elle se retient encore d’y porter la main, et continue à regarder Laure se masturber. Puis elles se regardent dans les yeux quand Laure souffle plus qu’elle n’articule :



Sa main accélère, massant le clitoris. Elle commence à lancer de petits cris :



Elle est soudain prise de soubresauts, tandis qu’un long gémissement sort de sa bouche. Annie est au bord de l’orgasme quand Laure jouit. La mouille de Laure lui coule le long des fesses, jusque sur la table. Annie distingue un peu l’anus de son amie, et ne s’étonne pas de le trouver joli. D’ailleurs, dans l’état où elle est, plus rien ne saurait la surprendre ou la choquer.


Laure se détend, elle laisse aller ses bras de chaque côté de sa tête. Sa respiration est encore ample, ses yeux sont mi-clos. Puis elle regarde Annie et lui sourit.



Laure s’assied sur le bord de la table, puis se met debout face à Annie. Elles sont de la même taille, et leurs poitrines se frôlent. Annie pense que Laure va lui demander de se faire du bien devant elle, comme elle à l’instant. Elle craint autant qu’elle désire ce moment où, pour la première fois, elle va exposer son intimité à une femme. Mais sans rien dire, Laure pose ses mains sur ses seins. La douceur du contact n’empêche pas Annie, qui ne s’attendait pas à ça, de reculer.



Elle n’a pas le temps de finir sa phrase, Laure lui pose son index sur les lèvres. L’odeur du plaisir de la jeune femme arrive tout de suite aux narines d’Annie, troublée par ce parfum de femme. Elle n’est pas dégoûtée de savoir qu’en lui posant le doigt sur les lèvres, Laure lui a mis de sa mouille dessus. Les mains de Laure reprennent ses seins, durs comme ils l’ont rarement été. Ses mains parcourent la poitrine, glissant avec délicatesse sur la peau fine et sensible. Les tétons sont dressés, mais ils durcissent encore quand Laure les prend délicatement entre ses doigts. Elle les pince doucement, et Annie ne peut s’empêcher de gémir alors que son cœur bat la chamade et que son sexe en feu est humide.



Annie n’a pas le temps de répondre, car Laure vient de lui déposer un baiser sur les lèvres. Aussi rapide que doux, ce premier baiser au féminin émeut Annie. Elle ne résiste pas quand Laure rapproche doucement son visage du sien, sa bouche de la sienne. Leurs lèvres entrent en contact, se frôlent quelques secondes, puis s’entrouvrent. Annie sent la langue de Laure entrer doucement dans sa bouche. Cette sensation nouvelle est d’une douceur qu’elle n’aurait jamais imaginée. Elle avance sa langue à la rencontre de celle de Laure, le contact est très différent de ce qu’elle a connu lors des baisers échangés avec des hommes. Leurs langues se caressent, s’enroulent, Laure a pris Annie par les hanches et leurs seins se caressent aussi. Elles entament un léger mouvement pour accentuer le contact, les tétons se cherchent, se trouvent, se titillent. Une main de Laure glisse vers le ventre d’Annie, puis descend vers sa vulve. Elle la contourne sans la toucher, passant d’une cuisse à l’autre, remontant puis s’arrêtant juste avant les lèvres intimes. Annie, sans même s’en rendre compte, a légèrement écarté les cuisses. Laure lui pose la main sur le minou, et son majeur s’immisce entre les lèvres.



C’est son dernier sursaut face à l’idée que c’est une femme qui la touche. Mélange de honte et d’envie, de gêne et de plaisir…


Laure ne répond pas et fait glisser son doigt entre les lèvres. Elle n’entre pas, restant à l’orée du vagin. Elle s’approche du clitoris, redescend, puis remonte vers le petit bouton érigé, repart sur la vulve. En amplifiant le mouvement, Laure fait même glisser son doigt de plus en plus bas, commençant à explorer le sillon fessier. Il arrive que le doigt touche l’anus, et elle le sent se contracter. Elle descend sa bouche sur les seins, frôle un téton, se dirige vers l’autre, et sort sa langue pour goûter la peau fine de la poitrine. Sa bouche se pose sur un téton, elle s’entrouvre et vient le gober. Annie sent comme une décharge d’électricité jusque dans son bas-ventre. La langue de Laure s’active tandis qu’elle aspire la pointe du sein. L’index a rejoint le majeur, et la caresse se fait plus intrusive, entrant dans le vagin qui s’ouvre de plus en plus, impatient de cette pénétration qui commence. Les deux doigts sont maintenant sur le clitoris, et Annie sent ses jambes défaillir tellement le plaisir qu’elle éprouve est intense. Elle ouvre ses jambes pour mieux offrir son clitoris et son vagin aux doigts qui l’explorent. Laure alterne ses caresses sur le clitoris avec une pénétration de plus en plus profonde. Sans risque de blesser son amie, car la lubrification est intense.


Sans qu’elle s’en rende compte, Annie est maintenant dos contre la table. Laure l’a fait pivoter doucement.



Annie ne répond pas et obéit. Elle est appuyée sur ses coudes, et regarde la main de Laure sur son sexe. Laure reprend son va-et-vient, deux doigts dans le vagin d’Annie, le pouce sur son clitoris. Annie gémit, en regardant son amie s’occuper d’elle.



Tout en la doigtant, Laure pose sa bouche sur sa cuisse, à l’intérieur, juste au-dessus du genou. Elle lui donne de petits baisers, tout en remontant. Elle sort sa langue et la promène sur la cuisse de son amie, et alterne avec les baisers. Annie savoure cette nouvelle caresse tandis que les doigts continuent à la fouiller avec délicatesse. Elle se laisse aller en arrière. Elle ne sait pas ce qui lui donne le plus de plaisir, de la pénétration de son vagin ou de la caresse de son clitoris. Son bassin ondule, elle gémit, soupire, lâchant de petits cris. Elle ne craint pas d’être entendue, elle sait que ses voisins sont au travail. Elle a perdu toute retenue, elle s’abandonne au plaisir que lui donne Laure. Soudain, elle sent un contact différent sur son clitoris, plus doux que le doigt. Surprise par cette caresse, elle regarde ce que Laure lui fait et se rend compte que c’est sa langue qui est sur son sexe.


Elle a un dernier sursaut, une dernière réaction face à ce contact lesbien.



Elle a dit non, mais a cessé de résister, cette caresse inédite pour elle lui faire perdre pied. Elle se laisse aller en arrière, et s’allonge. La bouche et les doigts de Laure continuent leur danse sur et dans son sexe. Elle continue à la doigter en agitant ses doigts, ce qui a pour effet de faire arriver la vague, intense. Annie ne résiste plus, elle a même posé ses mains sur les cheveux de Laure, comme pour lui demander de rester. La langue descend à la rencontre des doigts, remonte vers le petit bouton de plus en plus dur, et que Laure fait rouler sous sa langue, puis repart vers l’orée du vagin, toujours investi. Elle sent trembler les jambes d’Annie, qui fait avancer son sexe vers les doigts et la bouche qui l’honorent. Les deux femmes sont à l’unisson, et enfin le plaisir submerge Annie. Jamais elle n’a joui comme ça, ni en se masturbant, ni même en se faisant prendre par ses partenaires masculins. Ses mouvements ralentissent, Laure laisse ses doigts en elle sans bouger. Laure fait doucement glisser ses doigts pour les sortir, en veillant à ne pas toucher le clitoris.


Annie reste allongée, un bras sur son visage, cachant ses yeux. Laure prend un siège et s’assied à côté d’elle, la contemple. Elles restent ainsi de longues minutes, puis Annie enlève son bras et leurs regards se croisent. Laure sourit.