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n° 14556Fiche technique49605 caractères49605
Temps de lecture estimé : 30 mn
05/09/11
Résumé:  À nouveau, mon penchant pour le sans-culotte ou la nudité est source d'anecdotes. Seulement ces fois-là, je fais exprès de me découvrir et je prends plaisir à le faire. Cela devient une source d'excitation, je deviens une vraie exhibitionniste.
Critères:  fh couple inconnu fépilée vacances plage forêt exhib nudisme noculotte pénétratio -couple -exhib
Auteur : Nanou  (Femme mariée quadra, libertine, un peu exhib, sans-culotte)            Envoi mini-message

Série : Journal d'une sans-culotte libertine

Chapitre 05 / 16
Je m'exhibe avec plaisir

Chaque fois que je me rappelle la première fois où je me suis dévoilée à un inconnu, je suis toujours dans un état de fébrilité érotique intense. J’ai découvert que le fait d’étaler mes charmes est hautement jouissif, surtout que je suis encouragée par mon amour. Il est vrai qu’il en retire les bénéfices car, après, je suis toujours disponible pour des parties de jambes en l’air endiablées. Aussi chaque fois que l’occasion se présente, je n’hésite pas : j’expose mon anatomie à ceux qui sont présents.




Retour de la plage


Une fin d’après-midi que nous avons passée sur une plage naturiste, je dis à Bernard que j’irais bien me désaltérer à une terrasse de café. Nous nous rhabillons, exercice aisé pour moi puisque je n’ai qu’une petite robe à bretelles à enfiler ; j’en profite pour me tourner face à mes « admirateurs » potentiels, je me frotte le corps, afin de faire tomber le sable collé à ma peau. Ensuite, je passe ma robe par-dessus la tête, sans avoir mis la moindre petite culotte, et nous partons en direction du parking où nous avons garé la voiture. Pendant que je me baisse pour ranger les affaires dans le coffre de notre monospace, Bernard se permet de me passer une main sous la robe et de me caresser les fesses, puis il passe entre mes cuisses et remonte vers ma vallée secrète que je sens toute humide. Il tente de rendre sa caresse plus appuyée, mais je lui dis :



Galamment, il m’ouvre la porte de la voiture et pendant que je monte, il mate mes cuisses qui sont largement découvertes à sa vue, du fait de la hauteur de la voiture. Pendant le trajet, dès que le tracé de la route le permet, il reprend ses caresses ; je ne le repousse pas, j’écarte même les cuisses pour lui donner libre accès à mon petit minou tout chaud aux lèvres toutes lisses.


Arrivés en ville, il gare la voiture sur un parking. Quand je descends, je m’aperçois que nous sommes à côté d’un cabriolet occupé par deux hommes. Je suis sûre qu’ils ont eu une vue imprenable sur mes cuisses et peut-être même plus haut, car ma robe est restée accrochée au siège, lorsque je suis sortie. Sur le chemin vers le café, je dis à mon chéri :



À la terrasse, nous choisissons une table ensoleillée ; avant d’avoir pu commander, je donne un coup de coude à mon mari et lui désigne discrètement deux hommes qui se dirigent vers le café :



Je pense qu’ils nous ont suivis car ils prennent place à une table pas très loin de nous, l’un en face de l’autre. Bernard me dit :



Le garçon vient prendre la commande. J’amorce alors une série lente de croisements-décroisements de jambes qui a pour effet de faire remonter ma robe haut sur mes cuisses. À partir de ce moment-là, et malgré ses lunettes de soleil, je m’aperçois que l’homme situé en face de nous ne perd pas une miette du spectacle que j’offre. Son copain, certainement curieux, se lève, non sans donner un regard vers mes cuisses, et se dirige vers l’intérieur du café ; il revient avec le journal et cette fois-ci s’assied face à nous et fait semblant de le lire en même temps que son collègue.


Je me lève, tourne le dos aux deux hommes et me baisse pour prendre un mouchoir dans mon sac à main. Dans cette position, comme je n’ai pas plié les genoux, ma robe remonte très haut sur mes jambes, les deux hommes doivent avoir une vue plongeante sur mon entrecuisse. Une fois assise, je me baisse pour « rattacher » la boucle de ma chaussure et, de ce fait, écarte les jambes, que je laisse dans cette position. Nos voisins peuvent se délecter de la vision enchanteresse de mon minou avec mes lèvres épilées et ma toison blonde-châtain qui brille au soleil.


Nous finissons nos consommations, réglons la note et nous dirigeons vers notre véhicule. Je me retourne et dis à Bernard :



Une fois dans la voiture, mon chéri se penche vers moi pour m’embrasser, il en profite pour passer sa main entre mes cuisses. Il doit trouver mon sexe déjà tout moite d’excitation. Puis, il active ses doigts sur mon clitoris et mes lèvres, je me laisse aller à ses caresses et il ne me faut que quelques instants pour avoir un orgasme.



Pendant le reste du trajet, je caresse mon chéri à travers le tissu de son short, il bande comme un taureau. Arrivés à l’appartement, je lui laisse à peine le temps de fermer que, déjà, je déboutonne son bermuda et baisse son slip pour emboucher son sexe bien dur. Il ne me laisse pas continuer longtemps, il doit être très excité ; moi aussi d’ailleurs. Car il me relève en passant ses mains sous ma robe pour atteindre mon minou. Je lève une jambe et il m’enfile d’un seul coup. Il n’a pas besoin de s’agiter longtemps en moi, j’atteins rapidement le septième ciel. Ensuite, je l’entraîne dans le salon, je me mets à quatre pattes, relève ma robe et dévoile mon postérieur, prête à tous les assauts. Bernard se met derrière moi et présente son sexe à l’entrée de ma grotte d’amour. Il me pénètre et débute les va-et-vient de son chibre dans mon sexe humide de désir. Sa tige frotte dans ma grotte d’amour et je recommence mon ascension vers le septième ciel. J’aime cette position, que d’aucuns qualifient de bestiale, où je me sens remplie entièrement. Son chibre touche régulièrement le fond de mon vagin et masse une partie de mon intimité, ce qui accélère ma progression sur le chemin de la jouissance. Nous finissons par jouir tous les deux, ensemble, dans la position que nous préférons, au moment où Bernard éjacule et m’arrose de sa semence.




Plage Saint-Trojan


Cet été-là, nous sommes allés rejoindre des amis sur l’île d’Oléron. Ce ne sont pas des adeptes du naturisme, aussi nous sommes obligés d’aller sur des plages « textiles ». Un jour, Bernard propose d’aller prendre le petit train de Saint-Trojan qui amène les estivants du village au rivage côté océan. Nos amis ne sont pas trop emballés, car ils l’ont déjà fait plusieurs fois et proposent de garder notre fille qui s’amusera avec leurs enfants.


Nous voilà partis, tous les deux, en amoureux. Je me suis habillée simplement et sagement : une jupe en toile, un peu courte, un t-shirt sur un maillot deux-pièces. Bernard porte le sac avec nos serviettes, la crème solaire et nos affaires de rechange. Arrivés au terminus, nous décidons de remonter le long de la plage pour trouver un endroit tranquille pour nous installer. Après dix minutes de marche, le coin nous plait et nous étalons nos serviettes. J’enlève ma jupe et mon t-shirt et demande à Bernard de m’étaler de la crème dans le dos. Quand il arrive au soutien-gorge, il me déclare :



J’enlève mon haut, puis, prise d’une envie subite, je me retourne, je me lève et retire aussi le bas. Je m’allonge à nouveau sur le ventre et j’apostrophe mon chéri :



Bernard poursuit son action de protection de mon corps contre les assauts des rayons UV. Quand il a fini, je me retourne pour qu’il continue sur le côté face. Cette opération finie, je me laisse rôtir au soleil. Un moment plus tard, nous entendons un groupe de personne en pleine discussion qui arrive près de nous. Je me tourne et m’aperçois que ce sont des jeunes de 18-20 ans. Au lieu de continuer leur chemin, ils s’arrêtent presqu’entre nous et l’océan et posent leurs affaires. Ils se mettent tous en maillot et vont se baigner. Bernard s’exclame :



En fait, cela m’intéresse de voir la réaction de ce groupe mixte de jeune gens quand ils vont s’apercevoir que je suis toute nue. Moi, une vieille de plus de 30 ans. Je dirais même plus, cela m’excite d’avance. Aussi, quand ils reviennent de leur baignade, j’attends qu’ils se sèchent et je me lève pour aller me baigner. Je demande à Bernard de me suivre à quelques distances pour qu’il puisse entendre s’ils font des réflexions. J’aurais pu aller me baigner en m’éloignant d’eux. Au contraire, je me débrouille pour passer près de leur groupe, sans que cela ait l’air d’être délibéré. Un instant plus tard, Bernard me rejoint au bord de l’eau, il me faut toujours du temps pour me mouiller. Mon chéri a gardé son maillot, lui qui voudrait que tout le monde me zieute est plus pudique que moi, ou plutôt, moins exhibitionniste.



Nous avons profité de notre baignade, j’adore les vagues, c’est beaucoup plus amusant que de faire des longueurs en Méditerranée. Le moment est venu de retourner sur la plage, Bernard me propose de faire comme à l’aller. J’acquiesce et me dirige vers nos serviettes en prenant soin de passer assez près du groupe de jeunes. Sans en avoir l’air, je les observe, et je me rends compte que tous leurs regards sont dirigés sur moi. Certains ne sont absolument pas discrets et me détaillent sans vergogne. Je ne peux pas leur en vouloir, au contraire. Je commence à me sécher, Bernard arrive :



En fait, c’est la première fois que je suis épilée et toute nue en public. Comme nos amis ne sont pas des adeptes du naturisme, il n’était pas prévu que je m’expose nue. Aussi, Bernard avait insisté pour m’épiler entièrement, il adore, ça le rend tout fou. Moi, j’adore le rendre fou, et là, me voir parfaitement nue en pleine nature au milieu d’inconnus le met dans un état ! Nous restons encore un peu, puis vient l’heure de repartir, nous ne voulons pas abuser de nos amis. Bernard se change et range nos affaires. De mon côté, je me contente de remettre ma jupe et mon t-shirt, j’ai envie de continuer ma séance avec lui. Évidemment, il s’en aperçoit :



Le fait de me montrer nue devant des inconnus, qui ne s’y attendaient pas, m’a rendue toute guillerette et je me laisserais volontiers aller à des actes plus osés. Nous retournons tranquillement vers la « gare » du petit train. Quand je monte dans le wagon, je fais tout pour que mon homme voie ma vallée secrète. Je ne suis pas certaine d’y être arrivée, aussi, dès que je suis assise, je prends une position qui ne peut que lui exposer un beau panorama. Bien qu’il m’ait vu toute nue, durant notre escapade en amoureux, mon spectacle lui plait, je le vois à la bosse qui, petit à petit, déforme son short. Le risque de m’exposer à d’autres ne me freine pas, au contraire. Je sens que cette situation commence à m’émoustiller fortement. Mon chéri a dû s’en rendre compte, car lors de l’arrêt à la plage de la Giraudière, il me dit :



Nous descendons, puis, quand le train repart, il m’entraîne vers la forêt. Il n’y a plus personne sur le quai, c’est donc en toute discrétion que nous entrons dans le bois. Au bout de quelques dizaines de mètres, il s’arrête, se retourne vers moi et baisse son bermuda et son caleçon, son chibre se dresse à l’air libre.



Sans attendre, je m’accroupis et embouche sa tige de chair turgescente. Elle a le goût salé de l’eau de mer. J’aime sucer mon homme, surtout quand il est dans de telles dispositions. Toutefois, c’est la première fois que je le fais en plein jour et en pleine nature. Cela donne un petit goût d’interdit qui attise rapidement mes sens en émoi. Je monte et descends ma tête sur son chibre, mes lèvres l’enserrent avec délicatesse. Je m’aperçois qu’il est déjà tout dur et bandé au max de ses possibilités. Me voir nue sous mes jupes l’a toujours rendu en pleine forme, surtout quand il sait que quelqu’un peut le remarquer. J’ai envie de le faire exploser avec ma bouche, Bernard ne l’entend pas de cette oreille. Il n’est pas un grand amateur de pipe, pourtant, il paraît que les hommes adorent jouir de cette façon. Il me relève et cette fois-ci, c’est lui qui s’accroupit devant moi. Il soulève ma jupe et colle sa bouche sur mes lèvres intimes. J’écarte complaisamment les jambes, il atteint mon clito avec sa langue et une main part en exploration entre mes cuisses. Un doigt écarte mes nymphes et entre en moi, sans peine, car je suis dégoulinante de plaisir. J’ai envie qu’il me prenne :



Je me retourne et me dirige vers un arbre. Je m’appuie dessus et remonte ma jupe sur mes reins, je dévoile mon postérieur à mon chéri :



Il s’approche de moi, sa bite touche mon intimité. Instantanément, je sens mes lèvres intimes s’écarter sous l’assaut. Il s’enfonce en moi, jusqu’à ce qu’il soit collé à mes fesses. Ses mains viennent s’agripper à mes hanches, il commence son mouvement de va-et-vient en moi. Vu mes exploits précédents, mon excitation est à son comble et il ne me faut pas longtemps pour gravir les échelons vers le septième ciel. Je jouis de me sentir fouaillée par la tige gorgée de mon chéri, en pleine nature, à quelques dizaines de mètres d’une installation publique. Le risque que nous soyons découverts augmente mon plaisir et quand Bernard inonde mon intimité de son liquide séminal, je suis encore en train de jouir.


Bernard se retire de mon corps, je l’entends qui se rhabille. Puis, il baisse ma jupe sur mes fesses dénudées. J’ai les jambes un peu flageolantes, visiblement, mon chéri n’en a cure :



Je suis quand même obligée d’attendre un peu pour m’essuyer les cuisses qui s’inondent de nos fluides respectifs. La fin du retour chez nos amis est sage, bien que, de temps en temps, je découvre mes charmes à mon mari et peut-être à d’autres.




Le marchand de glace de la plage


Quelques jours après notre après-midi en amoureux, nos amis nous annoncent qu’ils doivent rentrer plus tôt que prévu. Du coup, nous pouvons aller sur une des plages naturistes, qui ne manquent pas sur l’île. Comme nous allons toujours au même endroit, nous retrouvons souvent les mêmes voisins. En particulier, il y a un groupe de jeunes, à peu près du même âge que ceux que nous avons croisés à la plage de Saint-Trojan, sauf que ceux-là sont comme nous : naturistes, donc à poil et, visiblement, c’est une habitude car ils n’ont pas de marque de maillot. Cela n’empêche pas les garçons de regarder discrètement les dames qui passent près d’eux. Visiblement, je fais partie de celles-ci car, d’après Bernard, ils ont bien remarqué que j’arrivais sur la plage uniquement vêtue d’une courte robe.


Pendant que Bernard installe le parasol, je m’occupe de notre fille. Ce jour-là, je me sens d’une humeur sensuelle, aussi, je m’allonge sur le ventre et je demande à Bernard de m’étaler de la protection solaire dans le dos. Il s’exécute avec diligence et application. Je sais qu’il prend plaisir à étendre la crème partout sur mon corps, il est vrai qu’il y a un érotisme latent dans ce geste qui semble anodin. Surtout quand il passe et repasse sur mes fesses. Il en profite pour insinuer une main entre mes cuisses et frôler mes lèvres intimes. D’habitude, je ne lui permets pas trop s’aventurer trop loin, aujourd’hui, nos seuls proches voisins sont les jeunes qui jouent au badminton, notre fille est sous le parasol et ne s’occupe pas de nous, aussi je peux laisser ses mains se promener sur mon corps.


J’écarte légèrement mes jambes, Bernard recommence ses caresses. Je sens ses doigts venir en contact avec mes lèvres intimes. Ses caresses se font plus précises, un doigt s’immisce entre mes nymphes qui s’humidifient de plaisir. Toutefois, pour ne pas trop attirer l’attention et faire cesser ses agissements, je me retourne et m’allonge sur le dos. Mon chéri s’empresse de poursuivre son action. Il commence par la poitrine, mes seins sont déjà durcis par le trouble ressenti. Ensuite, il descend le long de mes hanches, étonnement, il continue par mes pieds. Je comprends vite ce qu’il veut faire quand il écarte légèrement mes jambes pour passer entre elles. Il reprend de la crème et l’étale sur mes cuisses, en remontant vers mon ventre. Il prend tout son temps, passe et repasse sur mon pubis glabre. Derrière mes lunettes, je peux observer nos voisins, je vous assure que je suis l’objet d’attentions très particulières. Cela me donne des frissons de plaisir, dommage que nous ne puissions pas poursuivre dans cette voie, je suis toute chaude de désir.


Bernard a fini, je lui propose de faire la même chose, il accepte que je lui en mette sur le dos, cela lui permettra de masquer son début d’érection. Pour accomplir l’opération, je me mets à genoux, les fesses tournées vers nos voisins qui, j’en suis certaine, ne vont rien manquer du spectacle. Puis, je m’allonge à nouveau. Le temps s’écoule tranquillement entre baignade et bronzage. Chaque fois que je remonte de la baignade, les regards de nos jeunes voisins se tournent vers moi. Il est vrai que nous sommes les plus près d’eux et que les femmes totalement épilées sont rares, d’ailleurs de ce que j’ai pu voir et confirmé par Bernard, je suis la seule de cette partie de la plage. C’est donc normal que j’attire leurs regards. Je ne me prive pas de leur exposer mon anatomie, ce qui plait bien à mon chéri, fier de montrer que sa femme est « désirable ». Chaque fois que leur volant s’égare près de nous, j’écarte légèrement les jambes, pour bien exposer mes lèvres intimes parfaitement nues.


Ce genre d’action me met dans un état ineffable de trouble et m’entraîne à la provocation. Aussi, quand un vendeur de glaces s’approche de nous et que notre fille en demande une, je ne peux m’empêcher de continuer l’étalage de mon anatomie secrète. Je me redresse légèrement, pour demander ce que le vendeur propose. Évidemment, je fais attention à bien exposer mon pubis. Quand notre fille a choisi, je lui dis de prendre le porte-monnaie dans le sac de plage. Elle veut absolument « payer » le vendeur, aussi je lui donne une pièce, qu’elle s’empresse d’aller lui donner. Je repose le porte-monnaie dans le sac. Il me faut étendre le bras, ce qui m’oblige à écarter légèrement les cuisses pour m’équilibrer. Je sais bien que le vendeur est en bonne position pour tout voir et c’est bien ça qui me plait. Je ne peux pas rester dans cette position trop longtemps sans être découverte, c’est bien dommage.


Heureusement, le hasard fait bien les choses : quand ma fille tend la pièce, soit elle est maladroite, soit le vendeur est trop distrait (on se demande par quoi ?) celle-ci tombe dans le sable. Aussi, je me redresse et me mets en position assise. Cette fois, avec mes jambes écartées, ma fente est bien visible, surtout que le vendeur, pour nous aider, s’est accroupi, face à moi. Malgré ses lunettes de soleil, je vois bien qu’il observe plus mon entrejambe que l’endroit où est tombée la pièce. Je me sens devenir humide sous le regard de cet amateur mateur. Malgré nos efforts, nous ne retrouvons pas l’argent. Le vendeur dit :



Et je recommence la même gymnastique que quelques instants auparavant. Et cette fois, je reste un peu plus longtemps. Normal, il faut bien que je retrouve le porte-monnaie au fond du sac. Je prends conscience que mes lèvres intimes se gonflent sous le regard de l’homme. Je ressens comme une chaleur parcourir mon bas-ventre et ce n’est pas que le soleil. Il faut quand même que je me relève, toutes les bonnes choses ont une fin. Je tends avec précaution l’argent au vendeur, qui me remercie chaleureusement :



En fait, j’ai bien compris ce que gentillesse voulait dire pour lui. Je n’en suis que plus flattée et troublée. D’ailleurs, Bernard qui remonte de l’océan s’en aperçoit bien vite :



Il comprend vite que quelque chose d’insolite s’est passé et ne cherche pas plus loin. Il sait que je lui raconterai tout en détail. Ce que j’ai fait le soir et qui nous valut une soirée torride.




Retour de mon chéri


Bernard est parti en déplacement à l’étranger et je dois aller le chercher à l’aéroport. Il pourrait se faire ramener en taxi, puisque c’est pour le boulot ; comme nous sommes samedi, je ne travaille pas, donc pour le revoir plus tôt, j’ai choisi d’aller le chercher. Une semaine sans lui, c’est long, je préfère abréger le temps d’attente. Puis le temps du trajet de retour nous permet de parler intimement sans attendre le soir, à la maison, c’est compliqué avec les enfants qui attendent leur père.


Dans deux heures son avion va atterrir, sachant qu’il me faut trente à quarante minutes pour me rendre à Saint-Exupéry, je commence à me préparer. J’ai déjà pris ma douche, il me reste à parfaire la taille de ma toison intime, ce qui est réalisé rapidement vu que Bernard s’en était occupé juste avant de partir chez l’Oncle Sam. Ensuite, vient le choix de ma toilette. Il fait beau, je vais m’habiller léger. Première chose, les sous-vêtements, j’opte pour un bel ensemble Aubade avec soutien-gorge et shorty en dentelle, très sexy. En deuxième, un chemisier sans manche, un peu transparent, sur lequel je mettrai un gilet, si je trouve qu’il fait frais. En troisième, une jupe en toile de jean courte, qui dévoile largement mes cuisses. En dernier, les chaussures, j’aurais bien mis des hauts talons mais, pour conduire, ce n’est pas pratique, donc je me contente de ballerines. Même comme cela, je pense que je vais attirer les regards.


Avant de prendre ma voiture, je préviens notre voisine que je pars, elle viendra voir nos enfants dans un moment. Arrivée au parking, je regarde l’heure : je suis en avance. Je reste dans la voiture, mon esprit vagabonde, comment va se comporter mon chéri ? Sera-t-il fatigué du voyage ? Aura-t-il l’esprit amoureux ? Une semaine de séparation nous excite toujours les sens. Cette pensée commence à m’émoustiller, j’imagine ses yeux qui me déshabillent du regard, qui cherchent à deviner ce que cachent mes atours. Une inspiration subite me vient à l’esprit : Bernard aime me savoir très légèrement vêtue. Aussi, je sors de la voiture, ouvre la portière arrière pour me dissimuler un peu, je relève ma jupe et je me contorsionne pour enlever la délicate lingerie qui protège mon intimité. Je suis persuadée que mon amour va apprécier mon initiative, il adore me savoir habillée coquinement. Rien que de penser aux idées lubriques qu’il va avoir, ma sensualité s’anime. J’entre à nouveau dans la voiture et je pose mon shorty, bien en évidence, sur le siège passager.


L’heure est venue, je sors de ma voiture et je me dirige vers l’aérogare. L’air chatouille mon entrejambe, c’est vrai que ma jupe est bien courte, il va me falloir faire attention si je ne veux pas déclencher un esclandre. Quoique ? En même temps, ça m’amuse. Je prends l’escalier qui monte au niveau des arrivées. J’aurais pu choisir l’ascenseur, car j’ai bien conscience que, dans ce genre d’installation, une femme habillée d’une jupe courte dévoile une bonne partie de ses jambes. Surtout avec un tissu de jean, qui garde bien sa forme évasée autour des cuisses. Je monte l’escalier, sans me presser, ce qui laisserait le temps à un mateur de bénéficier du spectacle. D’ailleurs, arrivée en haut, avant d’entrer dans l’aérogare, je jette un coup d’œil rapide et je remarque un homme qui, visiblement, tente de profiter de sa position basse. Il détourne rapidement la tête, mais cela m’a suffi pour voir où se dirigeait son regard. Je souris intérieurement : j’attire toujours les regards de ces messieurs, c’est un joli compliment.


Sur le tableau d’arrivée, le vol de mon chéri est annoncé avec vingt minutes de retard. Cela m’agace un peu, comme je ne peux rien faire, je décide de faire le tour des boutiques. Il n’y a vraiment pas grand-chose d’intéressant. Je fais demi-tour pour m’acheter une revue et faire passer le temps d’attente. En sortant de la papeterie, je revois l’homme qui était derrière moi, dans l’escalier. J’ai comme l’impression qu’il m’a suivie. Cela me fait un je ne sais quoi, qui m’incite à exploiter la situation à mon avantage, en fait, j’aime bien être matée. Déjà que le retour de mon chéri me met dans un état extatique, je ne peux que me réjouir de la situation présente. Je me demande comment je pourrais lui donner envie de continuer à me suivre. Je m’éloigne légèrement, puis je fais semblant de chercher quelque chose dans mon sac à main et, dans le même geste, je laisse tomber la revue que je viens d’acheter. Pour la ramasser, je me baisse sans plier les genoux, ce qui a pour effet de remonter largement ma jupe sur mes cuisses. Vu la longueur de cette dernière, je pense que mon spectateur doit se régaler de la vision que je lui offre avec complaisance. Peut-être qu’il découvre que je ne porte pas de culotte, à moins qu’il ait déjà eu l’occasion de s’en apercevoir dans les escaliers.


Après m’être redressée, je continue mon chemin pour trouver un siège libre où attendre l’arrivée de Bernard. Ma rapide séquence exhib m’a mise dans un état trouble, entre bien-être et excitation. Et, apparemment, ce n’est pas fini. Car, dès que je suis assise, je revois mon observateur qui passe devant moi. Aussi, sans hésiter, j’écarte légèrement les jambes. Je ne pense pas que de là où il est, il puisse apprécier mes trésors, cependant, peut-être que cela lui donnera envie d’en découvrir plus. D’ailleurs, mon initiative a dû lui faire miroiter la possibilité de profiter d’un spectacle intéressant et gratuit, car quelques instants après, il réapparaît dans mon champ de vision. Visiblement, il cherche un endroit où il pourrait bénéficier d’un panorama sur mon anatomie. Manque de chance, il n’y a rien qui lui permette de s’installer confortablement, qu’importe, il s’adosse à la vitre qui donne sur l’extérieur, juste en face de moi. Il fait semblant de regarder son téléphone, néanmoins, je vois bien qu’il jette des coups d’yeux réguliers dans ma direction.


Je ne vais pas le décevoir, même s’il est assez loin pour bénéficier pleinement du spectacle que je vais lui offrir. Tout en jetant un coup d’œil à la revue que je viens d’acheter, je commence à écarter les cuisses, en faisant attention aux personnes qui passent entre nous. Dès que quelqu’un arrive, je resserre les jambes pour éviter tout scandale. Je sens que l’homme en face de moi ne dira rien, au contraire. Je m’enhardis et écarte encore plus largement les cuisses, seulement, vu sa position debout, je ne suis pas persuadée qu’il puisse profiter au mieux de la vision que je tente de lui offrir. Aussi, à un moment où je ne vois personne ni à droite, ni à gauche, je fais semblant d’être gênée par quelque chose dans une de mes chaussures : je lève un pied pour l’enlever et, pendant que je regarde l’intérieur de ma ballerine, je pose mon talon sur l’assise du siège. Évidemment, ma jupe remonte et dévoile entièrement mon pubis orné de ma légère toison claire et mes lèvres intimes parfaitement lisses. Je suis de plus en plus troublée par la situation, heureusement le tableau des arrivées montre que l’avion de mon chéri est en cours de débarquement. Je sais qu’il doit attendre sa valise, cependant, je me lève précipitamment, pour couper court à mon exhibition qui commençait à dériver.


Sans regarder mon « admirateur », je me dirige vers la porte d’arrivée du vol. Je suis toute émoustillée par ma prestation, je me dis que je deviens vraiment cochonne. Et ça me plait. Dès que Bernard est sorti, il s’approche de moi et me prend dans ses bras. Je me colle à lui de tout mon corps, les gens autour de nous n’existent plus nous sommes seuls au monde. Bernard me félicite :



Il se recule, me regarde de haut en bas et de bas en haut, puis il me dit :



Je sens son ventre se coller au mien, la bosse de son chibre contre moi. Je me sens moite d’émotion, si ça continue, il va falloir qu’il me baise sur place. Bernard me prend par la main et nous nous dirigeons vers un ascenseur. Ce n’est pas dans ses habitudes et dès que nous sommes dans la cabine, je comprends quelle était son intention.



L’ouverture de la porte me dispense de lui répondre immédiatement. J’attends qu’il n’y ait plus personne à nos côtés et je lui relate mon aventure avec mon mateur. Depuis quelques mètres, Bernard a passé sa main sous ma jupe. Il cajole lentement mes fesses, sans oublier de passer entre mes deux globes et de glisser jusqu’à ma fente. Ce côté du parking est moins fréquenté et nous pouvons nous laisser aller.



Nous arrivons à la voiture, j’ouvre le coffre et Bernard dépose sa valise. Je prends le volant. Bernard va s’asseoir et trouve le shorty sur son siège.



Dès que nous avons quitté le parking, la main de Bernard s’insère entre mes cuisses. Sans s’arrêter elle remonte vers mon minou, tout content de ces nouvelles caresses. Il me demande des précisions sur ma récente exhib. J’essaie d’être la plus détendue possible, mais entre l’évocation de ce que je viens de faire et les tendres effleurements que Bernard me prodigue, j’ai du mal. Je sens mon excitation monter. Malheureusement, le fait de conduire ne me permet pas d’être dans la meilleure position pour bénéficier au mieux des attouchements érotiques de mon chéri. Bernard me demande :



Cependant, nos caresses mutuelles ont dû lui donner des envies, car avant d’arriver chez nous, il me fait prendre une autre route que celle que nous empruntons habituellement. Avant que je lui pose la question, il me dit :



Peu après, il me fait bifurquer dans un chemin empierré, qui passe entre deux champs de blé. Une zone un peu plus large à l’entrée d’un bois me permet de faire demi-tour. Bernard sort de la voiture et vient ouvrir ma portière. Il me fait tourner sur mon siège, écarte mes cuisses et plonge sur mon minou déjà, ou encore, humide. J’attends avec plaisir la chatouille de sa langue qui glisse dans ma fente et remonte en quête de mon petit clito. Je prends sa tête entre mes mains, pour la coller à mon sexe, pour lui faire sentir que j’adore. L’ivresse des sens me gagne. Sa langue entre en moi, elle sort, il joue avec mes petites lèvres, les étire, les suce, il lèche et titille mon clito dans tous les sens, il me rend dingue. Je m’abandonne au plaisir qui vient. Mon bouton déboussolé envoie des signaux de bonheur le long de ma colonne, jusqu’à mon cerveau. Je jouiiiiiis !


Profitant de ma jouissance, il déboutonne mon chemisier et se débrouille pour dégrafer mon soutien-gorge. Il cajole mes seins, tendus par le plaisir. Mes tétons érigés sont presque douloureux, cela ne m’empêche pas de ressentir des ondes de bonheur parcourir ma poitrine. Puis Bernard me prend par la main et m’entraîne à l’extérieur de la voiture. Je vois que le chemin continue dans le bois, c’est certainement par là qu’il passe en vélo.


Cette fois-ci, c’est moi qui prends l’initiative : je déboucle sa ceinture et descends la fermeture de sa braguette, puis je descends son pantalon et son slip. Sa tige m’apparaît dans toute sa fermeté. Je la prends dans ma bouche et je commence à faire aller et venir mes lèvres autour. J’aime bien m’occuper de son sexe, c’est un juste retour des choses, vu le plaisir qu’il me donne avec sa bouche. Pourtant, lui n’est pas un adorateur de la fellation, il aime bien en préliminaire, surtout qu’il sait que ça m’excite. Aussi, assez rapidement, il me relève :



Il prend mes mains et me met en appui sur le hayon. Puis, il remonte ma jupe sur mes hanches et je ressens la douceur de l’air sur mes fesses dénudées. Une main s’insère entre mes cuisses. Ses doigts commencent à choyer mon sexe pour atteindre l’entrée de ma grotte d’amour, humide de plaisir. Un doigt s’immisce, puis un deuxième, et ils débutent leur va-et-vient. Je laisse échapper un petit soupir. Je tortille des hanches pour que ses doigts aillent au plus profond, qu’ils me remplissent. Prise d’une frénésie, je ne cache plus rien de mon plaisir. Si quelqu’un passait, à ce moment-là, il verrait une femme complètement débraillée, la jupe remontée et dévoilant tout son cul, en train de se faire doigter.


J’entends Bernard bouger derrière moi : il vient de dégrafer sa braguette. Je sens son sexe chaud contre mes fesses. Puis le sexe de mon homme pointe à l’entrée de ma grotte d’amour, humide de ma précédente jouissance.



Il accentue sa pression et je sens mon minou s’ouvrir comme une fleur au soleil, se liquéfier, s’inonder de bonheur attendu. Bernard me pénètre d’un coup de reins, à la hussarde. Je laisse échapper un glapissement, tellement l’impression est forte. Son sexe dur et long pénètre ma chatte. Ça faisait si longtemps ! La queue de mon chéri va-et-vient dans mon sexe, je suis tellement mouillée qu’elle glisse toute seule, s’enfonçant de toute sa longueur avant de ressortir presque entièrement. À peine quatre à cinq coups de reins, et je commence à décoller. Bernard me pénètre avec délectation, il doit regarder son sexe entrer et sortir de moi en écartant mes lèvres intimes. J’éprouve des sensations divines : les parois de mon vagin serrent sa tige comme un moule. Il adore cette position, car il peut m’embrocher à fond et maîtriser son rythme pour m’amener au septième ciel. Bernard m’enfile de toute la longueur de sa bite, il sort posément, presque complètement, pour se réintroduire à fond avec vigueur, cependant il opère délicatement, sans brutalité.


Les yeux fermés, toute à mes sensations érotiques, je m’entends gémir. Chaque coup de reins supplémentaire m’extorque un cri de jouissance. Je me fais défoncer, et j’aime. Au fond de moi, je pense : Prends-moi comme ça, ardemment. Tu n’as pas besoin de faire attention, je suis toute à toi. Manifeste ton envie de moi, montre-moi que je t’ai manqué, que tu as une envie dingue de mon corps. Pourvu que tu ne t’arrêtes pas…


Une montée de plaisir qui vient du fond de mon bas-ventre grandit à chaque coup de reins de Bernard. Je gémis, je l’implore :



Je pousse mes reins en arrière, à la rencontre de son chibre pour qu’il entre au plus profond, je le veux en entier. Je viens à la rencontre des coups de boutoir de mon homme, mes fesses cognent contre son ventre à chaque fois que sa queue m’épingle. Je deviens folle. La sensation est ineffable. Je redouble de frénésie. Je ferme les yeux pour mieux ressentir la vague de jouissance, qui continue à grandir. Je ne suis plus qu’un sexe, un vagin pourfendu par une tige de chair et qui va exploser de plaisir. J’en pleurerais de bonheur. Un dernier coup de reins, j’ai le sentiment qu’il est encore plus gros, plus ferme, plus raide. La jouissance déferle : j’ai l’impression de hurler et de basculer dans le néant, soudée au chibre de mon chéri.


Un moment de répit et je perçois que Bernard est toujours dur dans mon corps avide de sensation jouissives. Un doigt fouineur descend entre mes fesses. Il joue avec mon anneau étroit, le titille, l’asticote. Son chibre sort de moi, aussitôt, un doigt, puis deux doigts font leur entrée dans ma grotte d’amour et remontent sans attendre sur ma rosette qu’ils humidifient de mes sécrétions intimes. Le manège se reproduit plusieurs fois. Ensuite, un doigt s’introduit dans mon petit trou, le détend à l’aide de caresses douces. Je tortille des fesses, son doigt entre, sort, affole ma rondelle. Dans le même temps, il colle sa langue à mon clito, caresse à laquelle je ne résiste jamais.


Je suis à peine revenue de ma jouissance, qu’il recommence à me faire monter au ciel avec ses attouchements. Il me connaît, ce petit coquin, il sait ce qu’il faut faire pour m’amener sur les chemins de la jouissance. Bernard laisse mon clito érigé et remonte pour remettre son épieu durci dans ma grotte d’amour toute humide. Il ne rentre que le bout de son nœud et fait quelques allers et retours dans l’entrée ma chatte brûlante de la joie et du plaisir que je viens de recevoir.


Alors, il commence délicatement à faire des va-et-vient, lent et doux. Je perçois bien sa présence au fond de mon corps, je suis heureuse d’être remplie. Bernard bouge doucement avec des mouvements courts et lents. Puis, il augmente l’amplitude et je sens son sexe qui recule avant de repartir en avant. À chaque fois, ses boules effleurent mon clito et je trouve ce contact particulièrement jouissif. Sa queue me semble encore plus grosse que d’habitude, cela est certainement dû au désir que lui aussi ressent. Entre nous le désir est communicatif, je me sens investie par son sexe. Surtout que je sens la présence de son doigt qui s’agite entre mes petites fesses. Cela ne m’empêche pas de penser que quelqu’un pourrait nous voir : si Bernard connaît ce chemin, qu’il parcourt en VTT, d’autres doivent le connaître. Surtout que nous ne sommes pas très loin de la maison, j’imagine si quelqu’un passait et nous voyait, il ne pourrait que comprendre ce que nous faisons, moi appuyée sur ma voiture, la jupe relevée dévoilant mes fesses nues, lui derrière moi. Aussi, je regarde autour de nous : de chaque côté, il y a les champs et il faudrait avoir une bonne vue pour distinguer quelque chose, par contre, n’importe qui peut prendre le même chemin. Devant, je le verrais sûrement, quoique ? Derrière, c’est impossible.


Visiblement, cela ne perturbe pas mon chéri, car il continue, progressivement à prendre entière possession de mon petit corps. Il a dû s’apercevoir de ma crainte, et de mon mouvement de tête, car il s’arrête un instant, son doigt sort de mon petit cul et son autre main vient se poser sur mon pubis. Un doigt s’attaque à mon petit bouton. Il sait que je ne peux résister à ces deux sollicitations sexuelles simultanées et rapidement, je me concentre à nouveau sur ma quête de l’orgasme. Puis, Bernard prend une de mes mains et la met à la place de la sienne. Il dirige mon majeur vers mon clitoris gonflé du plaisir qui est en moi. Il se retire de moi et se recule un peu : je me retrouve toute seule, offerte appuyée sur ma voiture. Mes fesses sont entièrement dévoilées par ma jupe remontée sur mes hanches et un promeneur qui passerait par-là n’aurait aucun doute sur ce qui vient d’arriver. Cette pensée me gêne et me plait à la fois, mon côté exhib ressort et j’atteins presque la jouissance. Bernard me prend la main et la pose sur sa queue, je la sens qui gonfle encore. Là encore, il arrête mon geste. Il se baisse et vient glisser un doigt entre mes cuisses écartées, sur mes lèvres intimes trempées, aussitôt, il remonte explorer mon petit trou. Puis, Bernard vient directement enfoncer sa tige chair dans ma grotte d’amour. Cette fois, je rugis quasiment de plaisir. Il recommence ses mouvements de piston dans mon corps avide. Il alterne rythme lent où il rentre entièrement en moi, et rythme rapide où il reste à l’entrée. Je passe une main entre mes jambes, pour sentir sa queue qui entre et sort de mon minou. Très vite, je n’ai plus qu’une envie, le sentir encore plus fort et encore plus loin. Dans un gémissement de bonheur je lui susurre :



Je me cambre au maximum. Il m’attrape des deux mains par les hanches, change de rythme et accède à ma demande. À chaque coup son ventre vient taper sur mes fesses, ses boules butent sur ma chatte et ma main que j’ai gardée entre mes cuisses Il me défonce totalement, il me besogne plus vite, je vais atteindre l’orgasme. Ma respiration s’accélère, mes abdominaux se contractent. Je pousse des gémissements de moins en moins étouffés, abreuvée de plaisir. Je gémis à chaque coup de reins. À nouveau je me dis qu’il peut y avoir du monde aux alentours. Ils pourraient me voir me faire baiser et pire m’entendre lui crier :



Je persiste quand même à crier pour qu’il continue. Je suis depuis longtemps en ascension vers le septième ciel. Rarement, j’ai joui à intervalles aussi rapprochés. Je continue à gémir, jusqu’à me faire hurler par le plaisir qui revient. Bernard n’en finit pas de me perforer. Soudain, je sens qu’il va éjaculer en moi, qu’il va m’arroser de sa semence retenue depuis une semaine. Ses mains se crispent sur mes hanches, il s’aboute au fond de mon vagin et projette son sperme dans mon corps qui n’attend que ça, j’ai l’impression qu’il n’arrête pas d’éjaculer, le temps est suspendu. Cela déclenche un nouvel orgasme qui me fait vibrer de la tête aux pieds. Je ne sais plus où je suis ni ce que je fais, tellement l’orgasme est fort, peut-être que je hurle mon bonheur et mon plaisir.


Cependant, il faut bien que cela s’arrête, aussi Bernard se retire. Il m’aide à me retourner et m’embrasse comme un amoureux. Il me regarde dans les yeux :



Bernard remet ma jupe en place. Avant de m’asseoir, je suis obligée de m’essuyer, tellement je suis trempée puis nous reprenons le chemin du retour.