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Temps de lecture estimé : 26 mn
05/09/11
Résumé:  Nouveau départ vers de nouveaux horizons pour un couple sur le déclin.
Critères:  fh fff fhh grp fbi couplus extracon extraoffre cocus copains vacances piscine boitenuit fsoumise voir fmast massage intermast fellation cunnilingu pénétratio double sandwich fsodo échange init confession -entrecoup -cocucont
Auteur : Le Chè  (Révolution d'un couple)
Le passage dans un autre monde

Comment en sommes-nous arrivés là ?


Quand j’ai rencontré Claudie, jamais je n’aurais imaginé qu’elle avait tout cela enfoui au fond d’elle-même. Cette blondinette fine aux petits seins pointus, aux magnifiques yeux bleus, ne semblait pas très accessible. J’ai pourtant su la charmer, me marier avec elle et, deux enfants (un garçon et une fille) et des années plus tard, voilà qu’elle me surprend du tout au tout, faisant apparaître une femme inconnue.


Les causes ? Je n’en sais rien. En tous cas, la routine et son caractère curieux n’y sont pas pour rien. Tout a commencé par une dispute sur notre couple et le désintérêt que je semblais avoir pour elle. Il est vrai qu’étant assez gauche, je n’avais pas su concrétiser des opportunités qu’elle m’avait suggérées. Notre vie sexuelle pointait à l’ANPE et je ne savais pas comment m’y prendre pour la relancer. Je voyais que cette situation ne lui plaisait pas.


Cependant, depuis quelques temps, elle s’était mise à faire du sport. Elle y avait pris goût et en faisait de façon de plus en plus assidue. Je la suivais quand mes activités me le permettaient, c’est à dire rarement. Combien de fois m’a-t-elle demandé de l’accompagner et j’ai décliné pour cause de fatigue ou de réunion ? Un soir, elle me proposa de partir un week-end avec une copine de son club de gym et son mari. Nous devions aller chez des amis de ce couple possédant un gîte. Ne connaissant personne, j’étais sceptique. Mais je me dis qu’il valait mieux que j’accepte. Un apéro fut programmé avec eux pour régler les détails.


Nous arrivons vers 20 heures. C’est Anna qui nous ouvre. Une jolie brune aux yeux noirs, plus petite que Claudie, mais aux formes plus aguichantes. Elle s’exclame :



Et elles partent d’un grand éclat de rire. Je me sentais mal à l’aise. Arrive son mari, bel homme brun, le regard sûr et droit. Il me tend une main franche et me dit :



De ma taille, mais bien bâti, il est du genre à plaire aux femmes. Mes avantages sont ailleurs, notamment mon humour qui généralement ramène tous les suffrages. Nous passons au salon où nous attendent des petits gâteaux et autres gourmandises. Anna attaque directement en me servant :



Je ne peux m’empêcher de plonger mon regard dans l’échancrure de son corsage. Deux seins lourds sont emprisonnés par une dentelle noire puis s’échappent de ma vue lorsqu’elle se redresse. Claudie répond à ma place en confirmant que nous viendrons. Ils nous parlent de leurs amis et nous montrent des photos. Les deux couples sont devenus amis suite à un réveillon foireux et se voient souvent malgré les kilomètres.


Guido est un bel athlète, nous dépassant d’une tête, aussi brun qu’Emma sa sculpturale femme est blonde. Ils sont suisses mais ont élu domicile en France. Marc et Anna nous parlent d’eux en nous montrant des photos. Les femmes sont seins nus. Je regarde en direction de Claudie qui ne laisse rien paraître. Je suis un peu surpris, elle qui n’enlève jamais son haut de maillot. Je caresse l’espoir qu’elle suivra le mouvement. Nous prenons congé en nous donnant rendez-vous dans un mois chez Anna et Guido. Le chemin du retour se passe tranquillement. Je suggère en riant à Claudie de lui faire le coup de la panne, mais elle me répond que les enfants nous attendent. Encore raté. Je me mets à rêver de charmer Anna ou Emma. C’est beau les rêves.


Un mois plus tard, les enfants chez les grands parents, nous prenons la route pour ce week-end de détente.


Nous arrivons en fin d’après midi. Emma vient nous accueillir. Elle est encore plus impressionnante que sur les photos. Ses yeux vert clair vous transpercent. Elle me rappelle les femmes du KGB des films sur la guerre froide. Mais son sourire est chaleureux et elle nous embrasse en nous souhaitant la bienvenue. Elle nous amène vers Guido qui nous accueille tout aussi chaleureusement et nous font faire le tour du propriétaire.


C’est une splendide bâtisse que Guido a entièrement restaurée, et c’est avec fierté qu’il nous raconte toute l’histoire de cette reconstruction. Nous terminons par la piscine où nous retrouvons Anna et Marc arrivés un peu avant nous. Guido nous amène ensuite à notre chambre afin que nous déposions nos affaires. C’est un petit cabanon à côté de la maison. C’est très sympa. On dirait une maison de poupée où tout est là, mais en mini. Nous nous retrouvons à la piscine pour un apéritif bien mérité après la route. Le programme est établi : bar à tapas puis soirée tango, belle soirée en perspective. Tout le monde parle. Je remarque une grande complicité entre les deux couples et Claudie est bien intégrée. Elle sourit et paraît à l’aise, ce qui la change de son air triste habituel.


Le départ est donné. Nous ne partons qu’à deux voitures. Guido monte avec nous pour nous indiquer le chemin. Arrivés en centre-ville, nous garons la voiture et cheminons dans de vieilles ruelles. Nous arrivons enfin au restaurant. Il y a du monde et de l’ambiance. La musique nous emporte directement en Espagne. Nous prenons une grande table et sommes bientôt rejoints par nos amis. Nous commandons et les plats arrivent. Nous mangeons un peu et un bel adonis vient inviter Emma à danser. Ils dansent très bien. Moi, piètre danseur, je reste assis et les regarde. Marc invite Claudie et Anna part avec Guido.


Je suis surpris de voir que Claudie danse très bien. Elle danse vraiment collé-serré. Marc l’emporte et les deux jouent un corps à corps endiablé. Deux danses avec Marc lui suffisent et elle revient vers moi, tout sourire. Guido a récupéré Emma et Anna vient chercher Claudie. Avec Anna, elle devient très sensuelle et lascive. Ma femme androgyne, les cheveux courts, légèrement plus grande qu’Anna donne l’impression d’un couple. Elles sont par moments front contre front et… sexe contre sexe. Qu’elles sont belles ! J’en frissonne.


Lorsque la chanson se termine, elles se séparent en se faisant un bisou sur les lèvres. Ouaouh ! je n’en crois pas mes yeux. Et les chansons se succèdent, toujours aussi sensuelles entre hommes et femmes ou entre femmes. Là, je regrette vraiment de ne pas savoir danser. Claudie vient me chercher et danse avec moi de façon tout aussi lascive et termine aussi par un bisou identique. J’ai bien essayé de la questionner en dansant, mais je n’ai eu qu’un beau sourire pour seule réponse. Des hommes l’invitent et elle accepte volontiers. La voir collée à des inconnus éveille en moi un mélange de jalousie et d’excitation.


Guido l’invite souvent. Ses mains s’attardent sur son corps, frôlent ses seins et parfois épousent l’intérieur de ses cuisses pour remonter très haut. Lorsque, joue contre joue, ils changent de côté, leurs lèvres se frôlent, voire même, se caressent. Il est tard et nous décidons de rentrer. Guido repart avec nous et passe en place arrière. Sur le retour, nous parlons de la soirée, de danse et de plein d’autres choses au fil des idées. Guido est penché vers l’avant. Par moments, j’entends Claudie soupirer. Malgré l’obscurité, la lumière blafarde du tableau de bord permet de deviner les mouvements. Je distingue la main de Guido caresser le flanc droit de ma femme.


Le salaud, il la pelote devant moi sans vergogne et pourtant, j’en tire une certaine excitation et même curiosité : je me demande jusqu’où ils vont aller. Il est discret car je tourne par moments la tête et vois la main disparaître. Je remarque que le pare-brise peut être un bon allié. En effet, il a un effet miroir qui me permet de deviner ce qui se passe. Je regarde par le pare-brise mais ne vois rien. Cela fait un moment que je n’ai plus tourné la tête. Il s’enhardit et sa main s’égare par moments sur son ventre. Claudie soupire à nouveau. Je sens un mouvement imperceptible mais ne vois rien par le pare brise. J’observe du coin de l’œil et distingue un mouvement au niveau de la poitrine de ma femme.


L’enfoiré, il est passé par l’échancrure de la manche de sa robe et il lui pelote les nibards ! Et Claudie se laisse faire sans rien dire. Pire, elle jouit sous mon nez et ne fait rien pour l’en empêcher. Sa respiration est plus ample, ce qui fait bomber son torse et accentue la pression de la main sur ses seins. Elle a le regard fixe, comme si elle regardait la route. Mais ses yeux sont embrumés, chavirée par les attentions de Guido sur sa si sensible poitrine. Cela dure quelques kilomètres. Ils se croient à l’abri dans le noir.


J’entends Claudie soupirer à nouveau et je m’amuse à lui poser une question à la réponse difficile qui demande réflexion. Je vois qu’elle tarde à répondre et lui repose la question. Elle est obligée d’atterrir. Partie comme elle l’était, elle était capable d’avoir un orgasme. Finalement, je regrette. J’aurais préféré l’orgasme lui échappant. Nous arrivons. Il retire sa main, elle se rajuste le plus discrètement possible et nous sortons de la voiture. Je prétexte avoir oublié quelque chose et retourne en direction de la voiture. Je me cache et les épie. Rien ne se passe et les autres arrivent. On boit un dernier verre et tout le monde part se coucher. Je pique Claudie en lui parlant de Guido, que je le trouve charmant et beau gosse avec ça. Elle grommelle quelque chose et passe à la salle de bain. On va se coucher, je suis sûr qu’elle va s’endormir en pensant à lui.



Nous nous levons tard. Au moment où nous sortons du cabanon, nous rencontrons Guido.



Claudie enfile un sage maillot une pièce et nous retournons à la piscine. Emma et Anna sont déjà en monokini. Leurs seins sont magnifiques : dorés par le soleil et bons à croquer sur place. Je me détourne pour ne pas paraître être l’obsédé de service et me mets à espérer que Claudie fasse de même. Elles piquent une tête et Claudie les rejoint. Elles batifolent dans l’eau et intègrent vite Claudie. Marc vient me chercher pour préparer le repas, car ici, ce sont les hommes qui font la cuisine m’explique-t-il. Nous rejoignons Guido qui a pris les choses en main, il ne reste plus qu’à dresser la table et préparer l’apéritif.


Il a sorti un petit rosé bien frais, terrible sous ce soleil. Nous appelons les femmes qui enfilent un peignoir pour venir manger. On parle de choses et d’autres, des travails de chacun, de la rencontre des deux couples un soir de réveillon foireux alors qu’il ne restait plus qu’un seul taxi. Un moment de flottement apparaît, puis, le vin aidant, ils nous racontent comment s’est finie la soirée : tous les quatre nus, gémissants de plaisir au milieu du séjour. Depuis, ils se voient régulièrement et n’ont aucun tabou les uns envers les autres. Je sens que Claudie est excitée par la narration joyeuse de leurs frasques, mais je ne peux m’empêcher de me demander si elle était au courant avant de venir.


Le problème pour moi, c’est que je bois sans m’en apercevoir, chacun me servant et trouvant n’importe quel prétexte pour que je finisse mon verre. À la fin du repas, je suis ivre, j’ai renoncé à entrevoir un quelconque bout de sein par un peignoir entrouvert, et je suis juste capable de m’effondrer sur une chaise longue. Nous prenons le café au bord de la piscine et je sens à peine le mien, piégé par un marc qui me cloue sur place. Les hommes s’en vont débarrasser et faire la vaisselle alors que les femmes parlent bronzage, assises sur des fauteuils bain de soleil.


Anna a réussi à convaincre Claudie de descendre son maillot. Son corps laiteux apparaît. Anna s’enduit les mains de crème solaire, lui masse doucement le dos et remonte vers les épaules et le cou. Elle l’incite à s’allonger sur le dos, s’enduit à nouveau les mains et lui enduit le buste. Elle progresse par mouvements circulaires, évite les seins et descend vers le ventre. Elle remonte par les flancs et replonge entre les seins en direction du ventre. Claudie réagit au quart de tour à tant de sensualité. Je vois sa respiration s’accélérer, ses petits seins gonfler, leurs pointes s’ériger. Elle est à point, prête à capituler. Emma se joint à Anna, enduit elle aussi ses mains, part des chevilles et remonte par paliers vers le ventre. Lorsqu’elle l’atteint, Anna fait le tour des seins et se rapproche des tétons. Au moment où elle les touche, elle en pince délicatement le bout, faisant gémir pour la première fois Claudie. Les seins sont chez elle un point érogène capital.


Maintenant, elle est totalement livrée. Elle ne peut plus se contrôler. Le point de non-retour est franchi. Je pensais qu’elle réagirait, mais non. Elle s’abandonne totalement à Anna et Emma. Anna masse les seins, le cou et le visage, Emma le ventre, les cuisses et immanquablement, ses mains glissent vers sa vulve déjà palpitante. Avec lenteur et douceur, le maillot de bain de Claudie glisse vers le sol et se retrouve sur le sol, laissant apparaître sa fine toison blonde d’adolescente. La main d’Emma est experte et elle malaxe avec une grande dextérité la vulve offerte et désormais sans barrière. Claudie gémit, son corps ondule sous les caresses. Parfois, deux ou trois doigts entrent dans son vagin ouvert et dégoulinant. Anna et Emma sont maintenant de chaque côté de Claudie, caressant chacune une moitié de son corps, leurs doigts se croisant et se rejoignant parfois dans le vagin de ma bien aimée qui commence à jouir bruyamment.


Guido et Marc se sont rapprochés des femmes. Ils sont nus et bandent devant ce spectacle d’un érotisme torride. Ils sont bien membrés et enfournent leur pieu dans la bouche de leur femme respective. Puis Guido se retire, se penche vers Claudie et lui dit quelque chose à l’oreille. Elle l’embrasse fougueusement et, le baiser fini, il vient placer son chibre à l’entrée de son vagin et l’empale d’un seul coup, provoquant un hurlement de Claudie. Il va-et-vient ensuite dans ce sexe dont je me croyais seul possesseur. Bien qu’ivre, je garde une certaine lucidité. Je n’en reviens pas : ma femme, la mère de mes enfants, écartelée par deux femmes, malaxée, fendue en deux par un homme qu’elle connaît à peine, jouit à gorge déployée devant son mari ivre et incapable de s’opposer à ces outrages. Enfin, outrages ; si ma femme s’était défendue ! Au contraire, elle bouge son bassin pour aller au-devant du sexe qui la pourfend. Elle hurle, subit orgasme sur orgasme. Enfin, Guido se retire en gémissant et éjacule en l’air dans les secondes qui suivent.


Mais son agréable supplice n’est pas fini pour autant. C’est au tour de Marc qui, attendant qu’elle ait un peut récupéré, se penche vers elle et lui parle aussi à l’oreille. Claudie répond un « ouiiii » retentissant, et il plonge à son tour dans le sexe de ma femme. Mais son sexe est plus épais et plus court que celui de Guido. Il peine à rentrer et s’échappe au moindre mouvement un peu plus ample. Claudie se retire et se met à quatre pattes sur le bain de soleil. D’où je suis, j’ai une vue excellente sur le sexe de Marc qui prend ma femme en levrette. Ses petits seins sursautent à chaque coup de boutoir de Marc. Elle hurle sa jouissance au moment où Anna vient lui malaxer les seins en pinçant les tétons puis s’effondre, épuisée.


Marc se jette alors sur Anna qui l’accueille jambes ouvertes. Elle se fait littéralement défoncer par son mari, follement excité par la situation. De son côté, Emma câline doucement Claudie qui émerge petit à petit (jamais elle n’avait autant joui). Anna agrippe les fesses de son mari pour s’empaler au plus profond. Il finit par jouir en elle dans un grognement sauvage. Elle le retourne, le chevauche et le suit quelques instants plus tard. Guido vient chercher Emma et ils s’en vont. Quand à nous autres, nous sombrons dans le sommeil. Ivre comme je le suis, à la limite du coma, je n’arrive même pas à me lever pour rejoindre ma femme.


Quand j’émerge, il est 22 heures. Je suis réveillé par les éclats de rire des trois femmes qui sont dans le jacuzzi. Je m’approche, elles sont nues, évidemment. Et là, je subis leurs railleries. En réalité, elles pensent que je me suis endormi juste après le repas, ivre mort et que je n’ai rien vu. En effet, mes lunettes de soleil sur le nez et mon incapacité à bouger leur faisaient croire au sommeil. J’en profite et feins de ne rien savoir. Je m’excuse pour m’être endormi et leur demande si elles se sont bien amusées. Cela provoque l’hilarité d’Emma et d’Anna et un rire accompagnateur et gêné de Claudie. Quand je leur demande ce qu’elles ont fait, Anna me répond qu’elles ont fait les folles. Claudie ne pipe pas mot. La salope, elle s’est fait défoncer sous mes yeux pensant que je dormais. Si ça se trouve, c’est pour ça qu’elle était si excitée ! Marc et Guido arrivent et disent :



Approbation générale. Je pars dans la chambre avec Claudie. Malgré tout ça, j’ai très envie d’elle.

J’essaye de l’enlacer avant qu’elle ne s’habille mais elle s’échappe sous prétexte qu’on va faire attendre les autres. Elle choisit une petite robe d’été et me lance chemise et pantalon de toile. Elle met un joli slip que je ne lui connaissais pas et met sa robe sans soutien-gorge. J’en frémis et me délecte d’avance de la voir bouger seins nus sous sa robe. Nous rejoignons Guido et Marc à table. Anna arrive en minishort et chemisier noué sous les seins, et enfin Emma en paréo.


Je suis entre Anna et Emma. Je fais le clown, comme d’habitude et fais rire tout le monde. Mais je vois que Claudie a un rire un peu gêné. En observant bien, je remarque que Guido a rarement sa main droite sur la table. Dans mes clowneries, je recule volontairement et vois que Claudie a les cuisses largement écartées. Ce salaud de Guido est en train de caresser ma femme sous mon nez sans aucune gêne. Je voudrais bien savoir comment ça va continuer. Je me rends compte que, loin de me rendre jaloux, cette situation m’excite. Je continue mes pitreries l’air de rien et jette un œil par moments sous la table.


Soudain, je remarque un chiffon sous la table, aux pieds de Claudie. Merde, me dis-je. C’est sa culotte ! Ils sont forts, elle l’a retirée sans que je m’en aperçoive. Soudain, Guido dit :



Claudie d’ajouter :



Les chameaux, ils s’isolent. Pour Claudie, l’envie doit être sacrément forte. J’aimerais bien savoir ce qu’ils font, mais je suis sous surveillance d’Anna et Marc qui font diversion et m’entraînent vers la piscine. À force de chahuter, Marc, Emma et moi finissons dans la piscine. Emma est torse nu sous son paréo et son corps apparaît en transparence. Qu’elle est belle ! Je me vengerais bien avec elle. Je pars me changer et passe devant la fenêtre de la cuisine. Je vois Claudie et Guido à travers le rideau. Je les entends aussi car la fenêtre est entrouverte. Je suis à un mètre d’eux. Elle est debout, les mains appuyées sur le plan de travail, torse nu, le bas de sa robe retroussé. Elle ondule du bassin et respire fortement. Guido est collé derrière elle et accompagne son bassin, lui caresse les seins et l’embrasse dans le cou. Je ne vois pas bien d’où je suis, mais c’est sûr, il est en elle. Elle tourne la tête et l’embrasse à pleine bouche. Il fait un mouvement pour se dégager, ses mains descendent de chaque côté des fesses, les écartent et son bassin se rapproche à nouveau. Il cherche à nouveau à entrer en elle. Là, elle manifeste et se dégage en disant :



C’est vrai, elle m’a toujours refusé sa porte de service. Il trempe alors les doigts dans la chantilly du dessert qui trône à côté d’eux, en enduit apparemment l’œillet de ma femme et repart à l’assaut du passage encore vierge. Pendant un moment, Claudie ne bouge plus, puis a un hoquet, se fige souffle coupé, ses doigts se crispent. Elle lui dit :



C’est fait, il a forcé la porte étroite. Ils ne bougent pas. Il lui laisse le temps de s’habituer. Elle dit :



Il a dû tenter d’aller plus profondément. Il se retire et fait la moue. Elle se retourne, l’embrasse et lui dit :



Ils se rajustent prennent le dessert et sortent de la cuisine. Moi, je me dépêche de rejoindre le cabanon et me changer. Je me rends compte que j’aime jouer les voyeurs. Et je dois avouer que je prends du plaisir à voir ma femme jouir sous les attentions d’un autre. Je me ressasse ce qu’elle a dit. Pour me faire dormir, je sais comment elle va s’y prendre : je bois tous les soirs une tisane pour calmer des gargouillis gastriques nocturnes et elle, prend deux gouttes d’un somnifère léger. Les gouttes atterriraient dans ma tisane, ça ne m’étonnerait pas ! Mais Emma ? Comment vont-ils la neutraliser ? Là, j’ai pas de réponse. L’essentiel est que moi, je puisse savoir… et voir.


Je rejoins la table et reprends mes calembours. Emma et Guido se parlent beaucoup. Nous passons au séjour pour déguster un digestif suisse qui ferait fondre les glaciers et les femmes une infusion. Anna et Marc donnent le signal pour aller se coucher, tout le monde suit. On se dit bonne nuit. Claudie fait une bise bien chaste à Guido. Nous rejoignons le cabanon. Claudie me prépare ma tisane qu’elle a emmenée dans un thermos et va se coucher. Je lui demande mon verre de tisane, arrive à en verser discrètement une partie dans une plante et, devant elle, vide le verre en allant faire mon pipi du soir dehors. Inutile de dire que j’ai tout recraché. Elle a dû charger en somnifère car j’ai bien senti le goût du produit. Je lui dis :



Je ris doucement, mais elle aussi doit faire pareil. Je l’entends respirer un peu plus fort que d’habitude. Je sens qu’elle est excitée comme une adolescente et impatiente de pouvoir le rejoindre. C’est une nuit importante pour elle : celle de son dépucelage anal. Je m’étonne d’être moi aussi, excité. Elle va offrir à un autre ce qu’elle m’a toujours refusé et pourtant, ça me fait plaisir de la sentir fébrile à ce point. Je suis terriblement excité de la voir sortir de ses tabous. Je ne sais pas où tout cela va nous mener mais je profite du temps présent. Je me délecte de la voir sensuelle et ouverte à des pratiques dont je ne l’aurais jamais crue capable. Je suis peut être en train de la perdre. Mais ce ne sera que devancer l’inéluctable, notre couple s’effondrant de toute part. Alors je profite du spectacle qu’elle m’offre, même si je passe pour l’idiot de service. De toute façon, ces gens, je ne les reverrai sans doute jamais.


Depuis un bon moment, je ne bouge plus, m’efforce d’avoir une respiration lente et régulière pour simuler le sommeil. Elle me touche l’épaule, je ne bouge pas. Elle me bouscule un peu, je respire un peu plus fort et reprend ma respiration régulière. Maintenant, elle est sûre que je dors. Elle va pouvoir aller retrouver son bel amant. Elle se lève doucement, revient, me fait une bise sur l’épaule et s’en va. J’attends un peu puis me lève à mon tour. Je sors moi aussi et m’approche doucement de la piscine. Je la distingue dans la pénombre au bord de la piscine. Une bougie est allumée sur une table basse et, contre toute attente, Emma et Guido l’attendent tous les deux. Emma se lève, se dirige vers Claudie, lui passe la main dans les cheveux et lui approche la tête pour lui rouler une véritable pelle. Claudie se laisse faire, bras ballants. Emma lui passe le bras autour des épaules et l’approche devant Guido. Elle passe derrière elle et lui fait glisser les bretelles de sa nuisette qui tombe à terre.


Claudie est immobile, nue, en offrande comme une nymphe prête pour le sacrifice rituel. Il s’approche et l’embrasse à son tour, longtemps, langoureusement. Emma aussi se serre contre elle. Claudie est caressée, cajolée, couverte de baisers. Sa bouche est prise par l’un ou par l’autre. Puis ils se déplacent tout en se caressant et s’embrassant vers la chambre du couple. Seule sa nuisette reste comme le cocon d’une chrysalide devenue papillon. Je tente de les suivre mais la porte de la chambre se ferme. Alors je contourne la maison. Une seule fenêtre est allumée. C’est leur chambre. Je béni le voilage léger me permettant de voir sans être vu. Mais la fenêtre est fermée. Aucune parole ne vient jusqu’à mes oreilles mais ma vue est imprenable, le lit étant face à la fenêtre.


Elles sont face à face, nues à genoux sur le lit, s’embrassent et se caressent. Guido est nu lui aussi, couché sur le dos et lape leurs chattes. Elles basculent sur le côté et Guido se place derrière Claudie. Il bande déjà fort. Ils se mettent en cuillers et il pénètre son vagin sans aucune difficulté. Il fait quelques allers-retours mais Claudie se dégage, prend sa verge dans sa main, la branle un peu pour s’assurer de sa rigidité et la présente devant son œillet. Elle ondule du bassin pour s’empaler sur cette bite prometteuse de jouissance. Guido met un peu de lubrifiant, Emma lui caresse les seins et la chatte et Claudie écarte sa fesse pour faciliter l’intromission. L’anneau est vierge et résiste. Mais bientôt, le bout du gland parvient à commencer de dilater le sphincter.


Guido ne bouge pas. Il la laisse faire, sachant qu’elle l’a décidé et qu’il finira profondément en elle. Elle s’empale, millimètre après millimètre, respire fort, dans un mélange d’émotion, de douleur et de plaisir ; ça y est, le gland est entré, mais elle ne ralentit pas la progression, tournant toujours son bassin en appuyant toujours aussi fort. Guido met souvent du lubrifiant, l’embrasse dans le cou. Elle s’arrête un instant, se retire un peu puis appuie fort et la progression devient rapide, le diamètre n’augmentant plus. Elle progresse rapidement en criant fort au point que je l’entends. Elle s’est empalée à fond d’un coup puis s’est immobilisée. Elle continue d’hurler, de douleur sans doute mais aussi de bonheur comme en témoignent les larmes qui coulent sur ses joues. Emma lui couvre le visage de baisers, lèche ses larmes et pleure elle aussi. Claudie recommence à bouger, Guido recule doucement de plusieurs centimètres mais elle s’empale à nouveau à fond en hurlant de nouveau. Puis Guido ne bouge plus, c’est elle qui va-et-vient, doucement, pour bien sentir ce sexe qui l’ouvre en deux. Ce coït dure longtemps, très longtemps. C’est un véritable dépucelage. Sa vie sera différente après. Elle n’en finit pas de jouir. Pour finir, Guido se vide en elle dans un long râle puis ils s’effondrent tous les deux. Emma, excitée par la situation avait laissé Claudie pour se caresser et elle jouit aussi, leur orgasme entraînant le sien.


Tous trois sont haletants, immobiles sur le lit. La verge de Guido ramollît et finit par sortir du nouveau puits de jouissance de Claudie. Un filet de sperme s’en écoule doucement et vient se rependre sur le drap. Ils s’endorment en se caressant doucement. Je retourne au lit. Les images de ma femme se bousculent dans ma tête. Je l’ai vue comme jamais : offerte à deux couples puis offrant sa plus profonde intimité. Je me masturbe violemment en pensant à tout ça et ne tarde pas à jouir à mon tour… seul. Je peine à trouver le sommeil, attends vainement ma femme qui dort entre son amant et sa maîtresse. Je finis par m’endormir au petit matin.


Lorsque je me réveille, il est dix heures passé. Je me remémore les vingt-quatre dernières heures et fais le point. La veille à la même heure, j’arrivais avec ma femme dans une jolie maison. J’ai assisté à la dépravation de ma femme. Je l’ai vue se donner à deux femmes, puis deux hommes. Enfin, offrir sa virginité anale à un couple inconnu, et tout ça, elle pensait le faire à mon insu et discrètement, allant même jusqu’à tenter de me droguer pour être tranquille. Autant la situation m’excitait, autant, ce matin j’en ai la nausée. Elle ne m’a même pas rejoint pendant la nuit. Je me lève et me dirige vers la piscine. Je redoute le moment où je vais rencontrer les autres. J’en ai marre de passer pour le cocu de service qui ne s’aperçoit de rien.


Lorsque j’arrive, je vois Claudie, seule, qui sirote un thé à la menthe. Elle me sourit d’un sourire radieux.



Je suis pris de court. Ils arrivent avec café et croissants. Vu l’heure, c’est plus un brunch qu’un petit-déjeuner. Anna s’assoit à côté de moi et me demande si je suis réveillé.



Elle reprend :



Je prends un air étonné.



Je reste silencieux. Elle attend. Je ne sais pas quelle position prendre. Je n’ose pas dire que j’ai fait le voyeur et que j’ai pris du plaisir de voir ma femme prendre du plaisir avec d’autres que moi. Je finis par lui dire que je me doute un peu de quelque chose à la suite du tango. Elle m’explique que j’ai maintenant les cartes en main et qu’après ce week-end, les choses ne seront plus pareilles qu’avant. Elle me conseille de parler avec Claudie de tout ça dans notre chambre. De notre retour vers eux dépendra la suite. Je me lève, vais vers Claudie et lui demande si elle veut bien venir dans le cabanon. Elle me suit d’un air grave.



Arrivés dans le cabanon, je lui dis qu’on a peut-être des choses à se dire, que j’ai remarqué qu’elle n’est plus la même et que si je n’ai pas été parfait dans notre couple, elle a pris un chemin inconnu pour moi ; mais qu’elle s’ennuyait peut-être. J’ai tendu la perche qu’il fallait.


Elle m’a expliqué qu’elle s’est inscrite au club de gym et qu’elle y a rencontré Anna qui l’a même carrément dragué et elle a fini par tomber dans ses bras. Au début plus par jeu et curiosité. Elles sont vite devenues amies. Anna est bi et très en osmose avec Marc qu’elle a amené au libertinage malgré sa jalousie initiale.


Ils l’ont présentée à Guido et Emma. Le courant est tout de suite passé avec eux. Mais elle en avait marre de se cacher et voulait que les choses soient claires entre nous. Elle a évolué dans sa vie et ne veut pas revenir en arrière. Elle veut que je choisisse : soit je continue sans elle, on se sépare à l’amiable, soit je continue avec elle en lui accordant des pauses, soit je l’accompagne dans sa nouvelle vie. Mais elle m’aime et me respecte trop pour me mentir.


Nous parlons beaucoup, ouvertement et franchement. Au fil du temps, elle est moins sur la défensive et me dit son espoir que je la rejoigne. Je finis par lui dire que j’ai compris depuis le premier soir, que je l’aime et que ça ne me déplaît pas de la voir jouir dans les bras d’un autre, mais aussi d’une autre. Elle m’embrasse comme une folle en pleurant de joie. Elle me prend par la main pour rejoindre les autres. Ils comprennent tout de suite en la voyant arriver me tenant par la main, un sourire radieux illuminant son visage d’ange.



Guido et Marc viennent me faire la bise et Emma arrive derrière moi, m’enlace et me retourne pour m’embrasser d’une manière très sensuelle. Lorsqu’elle quitte ma bouche, ses yeux verts se plantent dans les miens et me renversent. Anna, toujours pleine d’idées propose que Claudie et moi fassions l’amour devant eux. Mais pas juste comme ça. Elle veut me préparer avec Emma et Guido et Marc prépareront Claudie. Une fois chacun prêts, ils m’approcheront Claudie pour l’acte final.


Claudie est emmenée dans le séjour et moi, je reste au bord de la piscine avec mes harpies. Elles me déshabillent en m’embrassant et me caressant le corps et se déshabillent l’une l’autre. Leurs mains vont rapidement à l’essentiel et me branlent doucement. Le côté excitant de cette situation me fait bander très vite. Je jette un œil vers le séjour et voit que Claudie subit le même sort que moi. Elle est debout, dos appuyé contre Guido qui lui caresse tout le corps et Marc est à genoux devant elle et lui bouffe carrément la chatte. Elle a les yeux fermés et sa tête dodeline en arrière contre le corps de Guido. Anna m’embouche et Emma me caresse les couilles. Elles sont très expertes et j’ai peur de ne pas tenir. Elles m’allongent sur le sol et intervertissent les rôles. Anna remonte m’embrasser et me dit à l’oreille :



De sa main droite, elle prend le menton d’Emma et lui relève la tête pour lui prendre sa bouche. Ensuite, sa bouche redescend prendre mon sexe et elle me fait une gorge profonde. C’est la première fois qu’on me fait ça. C’est extraordinaire. Je suis à la limite d’exploser. Tellement c’est bon.


Heureusement, elle se retire et me fait un clin d’œil prometteur. C’est vrai que là, j’ai très envie d’elle. Emma prend sa place, me pompe en me malaxant les couilles. Sa main virevolte et un doigt inquisiteur vient par moments caresser mon œillet puis finit par entrer une puis deux phalanges. Elle vient me masser la prostate. Je l’implore d’arrêter car je vais exploser avant d’avoir pu faire l’amour à Claudie. Elles avertissent leurs maris que je suis prêt. Ils demandent que je vienne. Je me lève, elles me prennent chacune par une main et me conduisent dans le séjour où Claudie m’attend, debout, le sexe dégoulinant de mouille.


On se jette l’un sur l’autre, on s’embrasse éperdument et elle me dit :



Je la prends d’un seul coup, debout au milieu de la pièce. Ils se rapprochent de nous et la retiennent pour qu’elle ne tombe pas. Elle gémit de plaisir. Mes mouvements sont lents et amples. Les deux couples se sont reformés et nous regardent, homme et femme se serrant l’un contre l’autre. Je me retire, l’approche de la table, la retourne et lui fait appuyer les mains sur la table et la pénètre à nouveau. Je fais quelques allers-retours pour bien me lubrifier, me retire et présente mon sexe à l’entrée de sa porte étroite. Oui, je l’avoue, c’est un peu une vengeance de ma part ; ou plutôt une reconquête d’un territoire perdu.


Je suis fébrile, c’est la première fois que je le fais avec elle. J’appuie doucement mon gland au centre de l’œillet et attends. J’espère qu’elle ne se retirera pas, que son anus n’est pas trop douloureux et qu’il est resté suffisamment souple pour se distendre à nouveau et me permettre d’entrer. Elle comprend ma demande, se détend et se laisse descendre sur mon sexe alors que je prends à pleines mains ses deux globes fessiers et les écarte doucement. Je sens qu’elle appuie de tout son poids.


Mais cette première tentative est infructueuse. Elle relâche l’appui puis redescend doucement en ondulant du bassin. Je sens mon gland entouré par son sphincter entrer doucement en elle. Il est entré maintenant. Elle marque une pose. Je sens quelques spasmes de son sphincter enserrer mon gland, puis elle se détend à nouveau et reprend sa progression. Elle gémit, halète, fait alternativement des mouvements circulaires avec ses fesses pour dilater son anus, suivis d’appuis et d’ondulations pour s’empaler un peu plus sur ma colonne de chair.


Elle crie des oui, des c’est bon et des paroles incompréhensibles. C’est fait, elle s’est empalée jusqu’à la garde. Elle bouge toujours autant, monte et redescend s’empaler de plus belle, comme si elle voulait que j’entre encore plus profond en elle. Enfin, elle me crie :



Là, je me déchaîne en elle, je la pilonne violemment, varie les intromissions et la fréquence. Je veux lui donner le maximum de plaisir, lui montrer que je suis digne d’elle. Elle crie, hurle sa jouissance. Je jouis vite et me vide en elle. Elle me suit, ouvre grand sa bouche sans qu’aucun son ne sorte puis, du fond de sa gorge sort le long cri de son orgasme. Elle s’effondre sur la table, épuisée, à bout de souffle. Je me retire et viens la prendre dans mes bras. Elle se laisse tomber sur le tapis et je viens la cajoler. Elle est encore dans un état second, sa respiration est courte, ça m’impressionne et me fait même un peu peur puis me vient à l’esprit que l’orgasme est surnommé : la petite mort.


Pas un bruit, Emma a même arrêté de se masturber. Tout le monde attend qu’elle revienne avec nous. Mais pour le moment, elle plane, heureuse et revient doucement. Au bout de plusieurs minutes, elle roule sur le dos, ouvre grand les yeux, nous fait un large sourire et nous fait :



Les rires fusent, tout le monde est par terre et l’embrasse. Guido part chercher du champagne en disant que c’est un grand moment qui se fête. Anna vient vers moi et me dit qu’elle espère que je l’emmènerai aussi haut et que je me rappelle qu’elle est la première sur la liste et qu’elle veut ma bite bien dure dans tous ses orifices. Les bulles aidant, nos amis excités et frustrés par notre exhibition partent vers la piscine, plongent et s’amusent. Mais bientôt, Guido attrape Anna et dit à Marc qu’il tient une chatte sauvage à calmer. Anna se met aussitôt à miauler fort comme une chatte en colère et à gesticuler en tous sens. Mes les muscles de Guido la maîtrisent. Marc l’attrape à son tour, ouvre ses cuisses et engouffre sa tête à l’angle du compas. Ils la posent sur le bord de la piscine et Marc continue son œuvre.


Emma est venue près de nous. Elle vient vers Claudie et se love dans ses bras. Nous lui caressons doucement le visage et le dos. Elle chuchote quelque chose à l’oreille de Claudie. Cela la fait sourire et elles échangent un petit bisou. Emma se lève et va vers la cuisine, suivie par Claudie. Je regarde un moment Anna se faire dévorer par les deux sauvages puis me dirige vers la cuisine. Dans l’entrebâillement de la porte, je vois Claudie et Emma qui s’embrassent langoureusement. Il y a un lien fort entre elles ; certainement même de l’amour. C’est ce que j’ai cru comprendre lors de ma discussion avec Claudie ce matin. Mais je n’en prends pas ombrage.


De toute façon, les événements se sont tellement précipités depuis hier que je me contente maintenant de remarquer. J’analyserai plus tard. L’essentiel, c’est que Claudie et moi, nous nous sommes retrouvés ; et sur un chemin qui ne me déplaît pas. Je retourne vers la piscine où Anna est encore aux prises avec ses mâles. Elle est allongée sur Marc avec Guido derrière elle. Les deux sont manifestement en elle et, visiblement, elle prend son pied. Ils arrivent chacun à l’orgasme et se séparent pour s’allonger par terre.


Claudie et Emma viennent avec des salades et s’installent pour manger un morceau. Je les rejoins, suivi peu après par les autres. L’ambiance est gaie. Nous parlons un peu d’avenir entre nous. Enfin, Claudie et moi annonçons notre retour. Anna et Marc décident de nous suivre. Le retour se fait comme sur un tapis volant, main dans la main, nous passons même les vitesses ensemble. Nous récupérons les enfants chez ses parents, la parenthèse est refermée.