n° 14562 | Fiche technique | 17081 caractères | 17081Temps de lecture estimé : 11 mn | 07/09/11 |
Résumé: Un fantasme commun qui mène à beaucoup de plaisir... | ||||
Critères: fhh inconnu fsoumise fmast fellation préservati fdanus fsodo init tutu -couple+h | ||||
Auteur : Sébastien Envoi mini-message |
À peine ces mots prononcés que retentit la sonnerie de l’interphone.
Ça y est cette fois, on ne peut plus reculer. Ça s’est fait vite, presque dans l’instant. En se réveillant ce matin, on ne se doutait pas que les choses iraient si vite. On en avait parlé, on avait fantasmé sur cela, on en avait même envie mais cette fois, on y est. Ta proposition matinale, si elle m’avait surpris, m’avait surtout enchanté.
Et nous y voilà. L’homme avec lequel nous allons passer la soirée est dans l’ascenseur. Ça s’est vraiment fait au dernier moment, et tu viens juste de finir de te préparer. Mais quand je te regarde sortir de la salle de bain dans cette petite robe noire, je me dis que tu avais certainement prémédité ton coup. Tu es tellement sexy, presque indécente. Je ne sais pas ce qui attire le regard en premier, la profondeur de ton décolleté ou le fait que la robe soit si courte. Tes talons enfilés et le maquillage un peu plus appuyé que d’habitude parfont cette sensation que tu as très bien compris ce que j’attendais de Toi. Tu as lissé tes cheveux, tu sais que j’adore… Ta divine odeur m’achève.
On frappe, je t’embrasse intensément et je vais ouvrir. L’homme qui se présente est bien celui avec lequel j’ai dialogué. D’après ses photos, il avait l’air plutôt mignon et c’est vrai qu’il l’est. Il est brun, la trentaine, légèrement plus grand que moi et il me parait un peu plus athlétique. C’est peut-être le costume noir, qu’il porte bien, qui donne cette impression. « J’arrive directement du bureau » nous a-t-il prévenu. Mal rasé et sans cravate, je me demande bien dans quoi il travaille.
Il s’avance vers le salon et vient à ta rencontre. Il a l’air très détendu - plus que Toi - et te fait la bise, à la française. C’est assez paradoxal compte tenu de la suite espérée des évènements.
Tu t’installes dans le canapé et lui prend place sur le fauteuil. Pendant que je sers à boire, tu sens qu’il te regarde, qu’il te détaille de ses yeux verts… Tu prends soudainement conscience qu’il est difficile de te cacher derrière ta tenue légère… Tu éprouves une gêne certaine, mais tu sens également que tu es excitée… Une curieuse sensation.
Tu reprends un peu confiance lorsque je viens m’asseoir à côté de Toi. Nous trinquons aux plaisirs de la vie et à ceux qui en profitent ! Nous commençons à parler, de tout et de rien (surtout de rien en fait) et l’atmosphère se détend au fur et à mesure que les bulles font leur effet. Laurent travaille dans un cabinet d’architecte en fait. C’est pour ça qu’il peut passer ses après-midis sur internet à chercher une proie. Il a déjà eu des expériences libertines mais n’est pas pour autant un « professionnel ». Nous lui confessons ton inexpérience dans le domaine, et à son regard, je devine que cela lui plait. À moi aussi, cela me plait. Je suis ravi de pouvoir t’initier à ces jeux, je sais que tu vas les apprécier…
Au fil de la conversation, tu remarques que je me suis rapproché de Toi… que je dépose de petits baisers dans ton cou… Il me regarde faire en souriant. Lentement, je me mets à caresser tes épaules. Ma bouche s’égare sur ta gorge… Il cherche à croiser ton regard mais pour l’instant, tu l’évites. Je t’embrasse, je prends tes lèvres passionnément et à la façon de t’embrasser, tu comprends que mes inhibitions ont laissé place à de l’envie… Je crois que Toi aussi, tu commences à te laisser aller. Tu m’embrasses à pleine bouche laissant ta langue se mêler à la mienne.
Serait-ce le regard de notre invité qui te met ainsi en émoi ? Tout en t’embrassant avec fougue, tu sens ma main qui vient se poser sur ton sein. Je commence à le pétrir doucement, puis plus fermement à travers le tissu. Ton téton durcit… Je tire sur ta robe et sur ton soutien-gorge pour faire jaillir ton sein, notre spectateur se régale… Je lui avais vanté tes seins, il comprend que je n’ai pas menti… Je laisse ma bouche glisser sur ta gorge… je l’embrasse… je pose ma langue sur ton téton… je commence à le lécher avec de petits coups de langue nets et rapides ce qui t’arrache un gémissement…
Notre voyeur trépigne. Il ne tient pas en place. D’un regard, je l’invite à venir nous rejoindre. Il ne se fait pas prier et vient s’asseoir à côté de Toi. Chacun de nous fait glisser tes bretelles et tu te retrouves à demi nue, la poitrine offerte entre nous… Sensation nouvelle. Chacun de tes seins est maintenu par une main d’un propriétaire différent, et une langue s’active avec gourmandise sur chacun de tes tétons…
Cela t’excite au plus haut point visiblement, à en juger par tes gémissements et tes mains dont tu n’as plus l’air de savoir que faire. Nos langues lèchent tes pointes à des rythmes différents, c’est électrifiant. Laurent a l’air de beaucoup apprécier la fermeté de ta poitrine vu l’ardeur qu’il met à s’en occuper. Nous léchons tes tétons, les suçons, les mordillons en malaxant tes seins avec une intensité toujours plus grande…
Je laisse une main remonter le long de ta jambe et relève le peu de tissu qui recouvrait encore tes cuisses. Je soulève ta jambe et la pose sur ma propre cuisse pour me donner un parfait accès à ton intimité, ton autre jambe subit le même traitement. Tu es toute écartée, maintenue… Je plaque ma main sur ton string et je découvre la chaleur et l’humidité de ta petite chatte. La situation et le traitement que l’on t’inflige semblent te plaire au-delà de mes espérances. Je commence à te caresser à travers le tissu trempé. Deux doigts s’activent, allant de tes lèvres à ton clitoris… Tes gémissements redoublent renforçant la vigueur de nos caresses. Les seins palpés, le clito pris d’assaut, tu prends conscience que tu ne contrôles rien, que nous sommes deux à nous occuper de toi et que tu n’as plus qu’à t’abandonner…
Ce tsunami de caresses te laisse peu de chances et, très vite, ton corps se raidit et arrive un orgasme puissant que je m’évertue à rendre long et intense en redoublant la pression entre tes cuisses…
Je continue mes caresses sans me soucier du fait que ta jouissance t’a rendue plus sensible. Mon acolyte fait de même, il est très excité et te le montre. Il prend ta main et la pose sur son pantalon. Tu sens immédiatement sa queue bien dure. Il t’invite à le caresser. Il sort son sexe raidi et te guide dans un mouvement de va-et-vient. Tu le sens excité, gonflé dans ta main, tu aimes…
Tu ne te fais pas prier. Je te fais comprendre que ce sera plus facile à genoux et te voilà devant le canapé, à genoux, la robe sur les hanches, avec sa queue dans ta bouche. Il est très excité. Il prend ta tête et imprime un rythme soutenu. Sûrement se souvient-il de nos échanges sur internet où je lui avais indiqué ton penchant pour la soumission…
Pendant que tu le suces, je me glisse derrière Toi. Je glisse à nouveau ma main entre tes cuisses et recommence à branler ton clito. Cela a pour effet instantané de perturber ta cadence et notre invité te maintient d’autant plus fort. Tu ne sais plus sur quoi te concentrer. Tu as envie de lui faire du bien mais mes caresses t’empêchent de te consacrer à cette queue. Et chaque fois que je sens que ta volonté reprend le dessus, j’appuie un peu plus vite, un peu plus fort pour te faire perdre pied de nouveau… Ce manège est trop dur à soutenir et tu sens poindre un autre orgasme qui te submerge alors que tu as la queue de Laurent profondément en bouche. Tu jouis. Tes cris sont étouffés par cette queue qui emplit ta bouche. Il te maintient fermement malgré tes tentatives pour t’en défaire, en te regardant, tremblante, dans les yeux. Tu te sens prisonnière…
Tes gémissements l’ont vraiment excité, il n’en peut plus, il a envie de Toi, il veut te prendre. Tu te relèves, chancelante, et il te fait t’installer sur le canapé, les mains appuyées sur le dossier, bien cambrée. Je m’assois sur le fauteuil pour pouvoir profiter du spectacle. Il enfile un préservatif, et se met derrière Toi. Tu reprends à peine tes esprits, lorsque tu sens son membre dur appuyer sur tes lèvres humides. Il rentre d’un coup, sans ménagement, aidé par ta mouille abondante. Ses mains sont fermement agrippées à ta taille. Il s’enfonce bien loin. Et ressort aussitôt pour te la remettre bien à fond en t’arrachant un râle de plaisir. Il accélère, te lime de plus en plus fort. Tu sens sa détermination à te baiser, sa rage. Il empoigne un sein bien fort, te tient par les cheveux… C’est la première queue que tu goutes après la mienne et tu la savoures…
Je me délecte de la scène. Te voir ainsi m’excite au plus haut point et je commence à me caresser en vous regardant, en regardant un homme prendre ma petite salope… Je n’en peux plus j’ai envie que tu me suces. Je vous interromps pour que nous passions dans la chambre. Cela te donne à peine le temps de reprendre tes esprits. Nous t’entrainons rapidement sur le lit, à quatre pattes, « comme une petite chienne docile… », entends-tu résonner.
Je m’allonge devant Toi alors que notre partenaire de jeu se remet derrière Toi, visiblement pas rassasié de ta petite chatte. Tu me regardes dans les yeux et lèche mon gland. Lui se renfonce en Toi en t’arrachant un cri qui te fait fermer les yeux. Je tiens ta tête et enfonce ma queue dans ta bouche. Je te regarde bien, j’appuie sur ta tête. Je suis tellement excité, ma queue est prête à exploser et tu le sens. Mon gland s’enfonce au fond de ta gorge au rythme des coups de reins que tu subis, tu es prise en étau. Tu ne peux rien faire. À ce moment, nous jouons avec Toi… Tu le sens accélérer, tu sens qu’il est au bord de jouir. Il te travaille bien fort et, soudain, tu le sens se contracter à l’extrême, et gicler en Toi… Tu entends le son rauque qui sort de sa gorge et tu sens ses mains te serrer fort, avant de se détendre à nouveau. Le sentir jouir a provoqué en Toi une montée de plaisir et te voir ainsi m’achève. Je jouis, je déverse mon jus dans ta bouche par saccades. Tu me regardes jouir, ma tête partir en arrière de plaisir. Tu continues à me sucer, à lécher ma queue… Tu en veux encore.
Notre état ne nous permet pas de reprendre immédiatement alors tu entreprends de te faire du bien toute seule. J’aime ta gourmandise… Tu glisses ta main entre tes cuisses guidée par l’appétit de ta petite chatte insatiable. Nous te regardons faire, j’adore ça… Tu te caresses devant deux mâles. Ce spectacle ne tarde pas à nous redonner des forces. Tu as envie de ta caresser ? Très bien…
Tu te retrouves accroupie, entre nous deux, nos queues à la hauteur de ta bouche. Je t’empoigne par les cheveux, et enfourne de nouveau ma queue dans ta bouche pendant que Laurent à la sienne contre ta joue. « Branle toi bien, petite salope… ». C’est ce que tu tentes de faire mais tu as de plus en plus de mal. Tu as une queue dans la bouche et une autre que tu tiens dans la main. Tu alternes pour nous satisfaire tous les deux. Tu suces… tu branles… au gré de nos mains qui exigent ton attention.
Je te fais t’allonger sur le lit. Je remonte fermement tes jambes sur mes épaules. Et je commence à frotter mon gland contre tes lèvres… sur ton clito… à rentrer légèrement… à faire mine de rentrer d’un coup et à arrêter mon geste, ce qui te provoque de petits cris… Et d’un coup, je viens exercer tout mon poids sur Toi… en venant bien à fond, bien contre Toi… J’ondule mon bassin, j’en profite pour frotter ton clito devenu bien sensible… Je commence un va-et-vient… un mouvement ample mais lent… profond… et par moments j’accélère… et je ralentis. Je te prends fort, en te fixant d’un regard dur…
Je me sers de ton corps pour me faire du bien. Et j’ai envie d’autre chose. Je me retire et t’invite à te mettre à quatre pattes. Je claque ton cul au passage… Ton cri et le bruit de la claque résonnent dans la chambre.
Oh oui, tu aimes. Je me place derrière Toi et crache sur ton cul tendu. Ma salive glisse entre tes fesses, jusqu’à ton anus. Je crache dans ma main, et branle ma queue pour la lubrifier. Je passe mon gland entre tes fesses, je l’appuie sur ton petit trou… Tu sens la pression qui s’exerce… Tu sens mon gland qui s’insinue… centimètre après centimètre… Mes mains fermes qui te retiennent vers moi… Je te sodomise sous les yeux de notre convive qui n’en perd par une miette espérant probablement goûter lui aussi à ton cul bien serré. Une fois bien en Toi, je commence à bouger… Tu sens que ma queue te remplit bien… Tu sens mon excitation à mon gland qui se gonfle en Toi… Une fois bien dilatée je commence à aller et venir au fond de Toi… Mais qu’est-ce que j’aime ça ! Je te sodomise bien fort. Cette sensation de te posséder est terriblement excitante, j’y mets toute ma puissance…
Laurent se branle en nous regardant. En me retirant de ton anus, je l’invite à se joindre à nous. Il remet un préservatif sur sa queue raide. Il s’allonge sur le lit et je t’ordonne d’aller t’empaler sur lui. Tu t’exécutes et sens son membre s’enfoncer tout au fond de Toi… Il empoigne tes seins, il pince tes tétons… bien fort… Il te regarde droit dans les yeux pendant que tu te tortilles sur sa queue… Je te pousse contre lui, tes seins sont contre son torse. Tu sens que je me remets derrière Toi… Je crache à nouveau sur ton cul… Je passe mon doigt sur ton anus encore un peu dilaté… Je l’y enfonce. Tu sens la queue qui est dans ta chatte et ce doigt qui te pénètre… Je le tourne… Tu gémis. J’en enfonce un deuxième… Ton anus est tout ouvert… Je les ressors. Tu sais maintenant ce qui t’attend… Tu es bien penchée contre lui, et tu sens mon gland forcer le passage pour te sodomiser… Tu pousses un cri, sans doute de douleur… j’accentue la pression et je m’enfonce… lentement et puissamment. Une fois ma queue bien en Toi, je m’immobilise.
Laurent et moi commençons un mouvement coordonné, nous allons et venons en alternance… D’abord doucement, mais de moins en moins au fur et à mesure que l’excitation nous rattrape. Il a trop envie de te baiser et moi trop envie de t’enculer… Tu cries et ces cris décuplent notre rage. Nous te prenons fort, nous te défonçons. Tu gémis, tu hurles, tu ne sais plus si c’est bon, si ça ne l’est pas. Tu te sens remplie, utilisée, chienne. Ce rythme est infernal, insoutenablement intense. Tu n’en peux plus mais tu sais que le dire serait peine perdue face à deux hommes qui te prennent avec une telle force pour leur propre plaisir. Tout est dur, nos queues… nos regards… nos mots… nos mains… La cadence augmente jusqu’à un point de non-retour où nous explosons tous les deux dans des spasmes puissants qui secouent nos trois corps intimement imbriqués.
Chacun de nous se retire de Toi, te laissant couverte de sueur… remplie de sperme… à moitié morte… Dans un dernier effort, tu te retournes sur le côté pour me faire face, incapable de dire un mot, et fermes les yeux.
La minute d’après, un bruit de tram te sort du sommeil. Tu ouvres les yeux et me devines dans l’obscurité, endormi. Tu sens une chaleur indicible dans ton ventre… et en posant la main entre tes cuisses, la moite réalité t’apparait. Tu réalises peu à peu que ce n’était qu’un rêve… Tu te rapproches de moi, me sortant de ma torpeur et me glisse à l’oreille :