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Temps de lecture estimé : 8 mn
07/09/11
Résumé:  Jeux amoureux.
Critères:  grp nostalgie -groupes
Auteur : Scoobychou  (Scoobychou, amoureux, nostalgique et toujours vivant)      
Trois bouches pour un baiser

À cette époque, je ne sais plus si c’était par dégout ou par ennui, je fuyais les histoires d’amour. J’aimais perdre mon temps dans ces nuits parisiennes où personne ne sait ce qu’il va trouver mais où chacun sait ce qu’il cherche…

J’avais ce soir-là Nathalie pour compagne, elle était ma douce amie, nous avions entre nous des élans de tendresse et une complicité qui nous poussaient à partager nos fantasmes et nos caresses.

Ce dont je me souviens, c’est de sa peau d’une blancheur immaculée comme si jamais le soleil ne l’avait effleurée. Chacune des expressions de son visage et son corps tout entier semblaient faits pour les caresses.

Je me disais souvent, comme pour beaucoup de mes conquêtes, qu’elle était trop belle pour moi et j’en tirais une joie sauvage chaque fois que je la prenais.

Ce soir-là, nous étions à un concert de je ne sais plus qui et nous avions sympathisé avec Mathilde, une jeune et jolie demoiselle. Si elle avait 20 ans, ce ne devait pas être depuis bien longtemps et elle ressemblait à ces jeunes bourgeoises timides et délurées qui m’ont toujours fait rêver.

En ce temps-là, tout le monde aimait venir chez moi et c’est donc tout naturellement que nous nous sommes retrouvés dans mon appart pour prendre un verre, il faisait encore très chaud dans ce beau soir d’été.


Ravi de me retrouver en si délicieuse compagnie, je servais à volonté les kirs et un petit vin frais, j’aime les yeux des femmes quand elles ont un petit coup dans le nez. Moi je commençais à craquer sérieusement pour la jeune demoiselle et, si ce n’était ma trop bonne éducation, je l’aurais bien culbutée à l’instant.

Plongé dans ces lubriques pensées, je voyais bien qu’entre les filles quelque chose était en train de se passer, ma compagne de débauche ne cessait de complimenter Mathilde, sur son charme, sa beauté et même ses jolis souliers. Et en parlant, elle lui prenait souvent la main sur laquelle elle déposait un petit baiser, et souvent elle riait en lui disant « Tu es trop jolie ! » et en l’embrassant au coin des lèvres.

Tout cela paraissait bien charmant et presque innocent, jusqu’au moment où je remarquai que leurs doigts cette fois étaient restés croisés. Ce fut Nathalie qui osa la première, elle prit Mathilde par la main et l’amena tout contre elle pour déposer sur son visage et contre sa bouche des milliers de baisers. L’autre, la charmante, n’offrait pas beaucoup de résistance, se laissait faire en rougissant seulement un peu. Ce fut pourtant elle qui la première glissa sa langue dans la bouche de Nathalie.

Toute occupée à ses caresses et à ses baisers qu’elle déposait maintenant sur les seins de Mathilde, elle releva la robe de nôtre ange déchue et je compris en voyant ses fesses nues et sa culotte descendue que c’était à moi que Nathalie offrait ce cul sublime, au-dessus duquel les plis soulevés de la robe formaient maintenant comme une auréole. Je m’approchai et je sentis nos doigts mêlés qui se trempaient de rosée en allant et venant dans sa petite chatte.

J’étais maintenant nu et plaqué contre elle et elle pouvait sentir ma queue raide et gonflée juste blottie dans le creux de ses fesses.


Nathalie et moi avions un peu l’expérience des débauches et nous nous sentions ravis, amusés et attendris, mais la pauvre jeunette semblait toute émue et nous la sentions toute mouillée et frissonnante et ce fut avec nos doigts, nos langues et nos bouches que nous lui avons offert son premier spasme. Sa bouche s’ouvrit mais aucun cri n’en sortit, juste un doux gémissement et un soupir.

Moi j’étais toujours derrière elle et ma queue maintenant cherchait un chemin qu’elle trouva naturellement, je m’enfonçai doucement entre ses fesses, lui arrachant seulement des petits cris plaintifs ; elle m’aidait du mieux qu’elle pouvait, se balançant et tendant son cul vers moi jusqu’à ce que je sois bien au fond.

Nathalie, qui de ses baisers encourageait la pauvrette, se mit en position pour nous offrir sa chatte et sa bouche à tous les deux.

Je crois que nous avons joui tous ensemble, moi dans le cul de Mathilde qui était maintenant tout tremblant et elles au milieu de leurs caresses et de leurs baisers.


Nathalie était maintenant jambes ouvertes, offerte aux coups de langue d’un petit ange déchu qui venait pour la première fois d’offrir du plaisir à son joli petit cul. Je sortis enfin ma queue de sa délicieuse cachette, elle était encore raide et brulante de désir de prendre encore. Une chatte ruisselante s’offrit à moi, c’était celle de Nathalie, je la pris sauvagement, avec des rugissements de bête et des mots que je ne répèterai pas, je crois que nous étions à cet instant tous les trois dans un état proche de l’évanouissement et de la folie…


Nous avons fait l’amour encore longtemps et leur dernier jeu fut leurs deux bouches et leurs deux langues mêlées jouant avec ma queue, jusqu’à ce que j’inonde leurs bouches et leurs visages qu’elles se léchaient amoureusement pour boire jusqu’à la dernière goutte de cette écume qui avait jailli pour elles et sur elles.


Ce soir-là, ce fut très tard dans la nuit, je me suis endormi en laissant mes doigts et ma queue dans la chatte de l’une et de l’autre.


Je suis malheureusement assez vieux pour avoir connu un peu plus d’une fois ce genre d’égarement et j’ai vu que souvent dans ce genre d’extase les visages prenaient parfois une expression douloureuse. S’il y a une chose dont je me souviens, ce fut le sentiment de joie et de bonne humeur dans lequel nous étions. Je crois même que nous avons ri souvent et je garderai toujours en moi le souvenir ému du sourire radieux de Mathilde après l’extase et du dernier mot qu’elle nous a dit… « merci », avec un petit bisou.



***



Avec mon pote Marco on aimait bien traîner dans les beaux quartiers et c’est là que nous les avions rencontrées, trois nanas, la trentaine resplendissante et un peu déjantées. On avait pris l’habitude de les baiser, mais je crois que ce qu’elles préféraient c’était les câlins qu’elles se faisaient, un trio improbable, charmantes, amoureuses et coquettes.


L’habitude que l’on avait prise, c’était de se retrouver le samedi soir chez Virginie, elle avait un immense appart, 100 m² avec balcons et terrasse pas loin de Saint-Germain-en-Laye.


Ce qu’elles aimaient les cocottes, c’était faire un jogging le dimanche matin avec une petite bande de copains avec des tronches de jeunes cadres du PS ou de l’UMP et quand ces blaireaux rentraient chez eux prendre une douche et se décrasser, la fête pouvait pour nous commencer.

On leur avait interdit de porter ces affreux joggings synthétiques et c’est en short qu’elles couraient et transpiraient pendant qu’on les attendait en alignant les clopes et les cafés.


On avait établi une sorte de rituel qui était un peu notre jardin secret, elles devaient avoir baissé leur petit short devant la porte, avant même de rentrer ; ces cons de voisins ne sauront jamais ce qu’ils ont raté.

On les accueillait avec des petites claques sur les fesses qui les faisaient glousser et c’est ainsi avec leur joli cul dénudé qu’elles devaient arriver jusqu’au salon,

deux mecs pour trois gonzesses, ça demandait de se creuser un peu la tête et de trouver quelques idées.

La nôtre, c’était d’en prendre une d’abord, c’était souvent Mélanie, pendant que les autres avaient juste le droit de regarder et même pas celui de se caresser, juste histoire de les exciter un peu.

L’heureuse élue quant à elle n’avait pas assez de sa bouche pour nos deux queues, elle allait de l’une à l’autre, ne sachant plus ce qu’elle devait lécher ou sucer et ses copines avaient l’air encore plus excitées qu’elle, jusqu’à ce qu’enfin elles puissent se joindre à notre gourmande petite fête.

Elles n’avaient pas le droit encore de nous toucher, ni de se faire plaisir entre elles, juste celui avec nôtre aide de rendre folle leur copine.

La pauvre Amélie avait maintenant tant de bouches sur elles, tant de doigts et de langues qui la pénétraient et la caressaient et nos deux queues maintenant qui la prenaient en même temps.

Elle n’était plus que spasmes et frissons, elle a joui pour chacune de nos caresses et nous avons joui en elle avant que nos bouches ne se rejoignent pour un très long et très doux baiser.


Nous n’avions pas voulu qu’elle se lavent ou qu’elles se douchent, nous voulions nous enivrer des odeurs mêlées de leurs chattes et de ce que les pauvres avaient transpiré, nous voulions la saveur salée de leur peau que nos baisers nous faisaient goûter.


Les trois chéries, un peu gaies et un peu folles couraient maintenant toutes nues vers la douche, nous les avons laissées là pour qu’elles puissent se faire plaisir entre elles et qu’Amélie puisse enfin rendre gentiment à Virginie et Sophie tout le bonheur qu’elles lui avaient donné.


C’est ainsi que nous les avons trouvées, Amélie à genoux ou debout promenant une langue amoureuse dans la chatte ou la bouche des deux autres coquines.


La cabine de douche de Virginie était heureusement assez grande pour nos folies et sous l’eau tiède qui ruisselait, chacun de nous a pris ce qu’il voulait prendre, nos doigts et nos bouches se croisaient, se rejoignaient, l’une léchait ma queue et l’autre la prenait pour la guider vers son intimité, nous jouissions dans l’une et cela coulait sur les autres.


Nous étions trempés et heureux, de nous retrouver là, livrés à nos jeux, sans personne pour nous juger, je voyais le visage de Marco, il avait l’air plutôt content d’être là.


Je voyais bien qu’il s’attardait un peu plus sur la bouche et les seins de Virginie et que pour elle ses baisers étaient plus tendres, on savait tous qu’il en était un peu amoureux et quand par jeu je prenais sa chatte ou son cul, il était toujours là pour l’embrasser et leur baiser était si tendre que j’en étais ému, ravi et un peu jaloux.


Moi, ma chouchoute c’était Amélie, nous en avions fait la reine de nos fêtes galantes, nous aimions tous en elle sa façon de s’abandonner, de se livrer totalement à celui ou celle qui la prenait.

Il y avait dans cet abandon quelque chose qui me bouleversait, alors que n’importe quel crétin aurait trouvé pour elle des mots qui blessent, je la voyais comme une âme romanesque, une amoureuse authentique qui savait jouer mais n’aimait pas tricher, le mal, la méchanceté ou la ruse étaient étrangers à sa nature et si elle se donnait avec tant de générosité, c’était juste sa façon d’aimer.


Sa chatte adorable était un temple devant lequel je me dépouillais de tout sentiment de honte et de toute dignité.

Son cul, rond potelé et gracieux m’inspirait les sentiments les plus contraires, j’étais la bête et le bon dieu, je me faisais sauvage et restais respectueux, je le prenais souvent mais toujours avec d’infinies caresses et de douces attentions.

Quant à Sophie, elle était la copine de jeux, toujours curieuse et toujours ravie, ses joies étaient simples, une queue à sucer, une chatte à aimer et quelques mots gentils qui ravissaient son cœur de midinette. La prendre était toujours une fête et un bonheur et rien n’était plus beau que son visage radieux quand elle sentait que vous étiez en train de jouir en elle et qu’elle fermait ses beaux yeux pour mieux sentir tout le bien que vous lui faisiez.


Les temps ont changé, l’amour n’est plus ce qu’il était et il me reste avec quelques jolis souvenirs un peu de nostalgie de ce temps oublié où pour vous prendre il suffisait souvent de vous parler.


Mes compagnes et mes tendres coquines doivent être aujourd’hui des mères de famille sages et bien rangées, mais je suis sûr que parfois au creux de leur lit un doux frisson les prend au souvenir de nos folies…