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n° 14567Fiche technique9477 caractères9477
Temps de lecture estimé : 6 mn
08/09/11
Résumé:  Ma première expérience de cocufieur avec une amie de la famille.
Critères:  fh fplusag extracon extraoffre cocus fellation pénétratio init confession
Auteur : GG1169      Envoi mini-message
Premiere expérience de candaulisme.

Ma première expérience de candaulisme remonte à près de vingt ans.


Des amis de mes parents m’avaient demandés de passer afin que je fasse quelques bricoles d’électricité chez eux. Sachant que le mari n’était pas un "manuel", je ne me suis pas méfié.

J’arrivai donc un samedi avec ma caisse à outils et commençai à travailler peu après avoir bu mon café.


Peu de temps après mon arrivée, Jean-Louis, le mari s’absentait pour aller voir un ami.


Quelques instants après le départ de son mari, Jocelyne, l’épouse, la quarantaine passée, encore une très belle femme, m’annonça qu’elle allait prendre une douche.


J’étais perché sur un escabeau en train de changer une applique du couloir quand elle passa à côté de moi, ne portant qu’un peignoir. Je tentai d’en voir un peu plus mais le lourd tissu dissimulait ses courbes.


Alors que je changeais la dernière applique du couloir, Jocelyne sortit de la salle de bains et regagna sa chambre. Elle ne referma pas la porte complètement mais suffisamment cependant pour me laisser croire qu’elle ne voulait pas que je la voie. En fait j’avais malgré tout une vue d’ensemble sur sa chambre grâce au grand miroir de son armoire.


Lorsqu’elle retira son peignoir, la vue que j’avais de sa poitrine confirmait ce que je pressentais. Elle possédait de petits seins surmontés de tétons proéminents. Son pubis arborait un triangle noir, parfaitement taillé. Je ne pus m’empêcher d’avoir une érection pendant que je la regardais s’habiller. Elle s’assit sur le lit et enfila une paire de bas. Lorsqu’elle glissa une culotte en dentelle sur ses jambes gainées, je commençai à me caresser à travers le jean.


Jocelyne mit ensuite un chemisier sans soutif et une jupe droite puis elle sortit de la chambre. À ce moment, son regard se posa sur la bosse de mon pantalon. Elle sourit.


Un peu plus tard, après avoir rangé mes outils et alors que Jean-Louis venait de rentrer, je pris congé, avec deux cent francs en poche.


Un mois plus tard, Jean-Louis me demanda si je pouvais venir faire des travaux de peinture, m’expliquant que la chambre d’amis avait besoin d’un ravalement. Nous nous sommes mis d’accord sur une date. J’arrivai dans les temps.


Bien que l’on ne soit qu’au printemps, il faisait déjà chaud. De ce fait, je n’enfilai qu’une salopette et un teeshirt.


Jean-Louis et moi, nous avons passé la matinée à bouger les meubles et à les recouvrir. À midi, Jocelyne nous appela pour déjeuner. Pendant que nous mangions, Jean-Louis dut s’absenter pour une urgence, il était pompier volontaire. Il quitta la maison précipitamment.


Le repas terminé, je me rendis dans la chambre d’amis et commençai à masquer les huisseries.


Un peu plus tard Jocelyne me rejoignit. Je commençais juste à enduire un mur, elle se pressa contre moi et glissa ses mains dans ma salopette. Lorsque ses doigts enserrèrent mon sexe, celui-ci se gorgea rapidement de sang. Il était déjà dur dans sa main. Surpris et ne sachant pas trop quoi faire, je la laissai poursuivre. Elle défit les bretelles de ma salopette qui tomba à mes chevilles. Puis elle me retourna et s’agenouilla face à moi, descendant mon slip à mi-cuisses avant de se mettre à me sucer. Elle alternait des coups de langues précis et des gobages de ma queue, me faisant gémir de plaisir.


Cela dura quelques minutes puis elle se releva pour se déshabiller. Une fois nue, elle glissa mon sexe entre ses cuisses et me demanda de lui faire l’amour. Sa chatte était déjà bien humide et mon gland trouva sans aide l’entrée de son puits d’amour. Dans le même temps mes mains parcouraient son corps et caressaient ses seins. Ses tétons se durcissaient, je me mis à les mordiller avec délicatesse.


Plus tard, alors que j’étais dessous et elle dessus, me chevauchant, j’ai senti que j’allais venir et le lui dis. Elle me regarda et sourit mais ne cessa pas pour autant ses mouvements du bassin. Mon sperme explosa et lui remplit sa grotte de plaisir. Elle poussa alors un gémissement rauque et son vagin se contracta autour de mon sexe.


Jocelyne se leva et se rhabilla sans même s’essuyer. Elle me proposa de boire un café, histoire de se remettre un peu. Je me levai à mon tour et remis mes vêtements.


Jean-Louis rentrait deux heures plus tard. L’enduit des murs étant terminé, nous tombions d’accord pour reporter la première couche à la semaine suivante.


La semaine d’après, lorsque j’arrivai, Jocelyne m’attendait entièrement nue. Elle m’annonça que son mari était de garde pour le weekend. Je me déshabillai à mon tour. Nous étions dans le salon, Jocelyne me suça d’abord puis suivirent caresses, embrassades et masturbations mutuelles. Je me régalai de la téter, dévorant ses tétons proéminents et durcis par le plaisir.


Nous étions épuisés et complètement essoufflés, Jocelyne proposa de faire une pause :



Dans la cuisine, elle me servit un café que j’allais boire sur la terrasse. J’allumai une cigarette et dégustai le café tandis que Jocelyne se plaquait contre moi, frottant sa poitrine sur mon dos. Elle se mit à me masturber à nouveau et me massa les couilles délicatement.


Elle me demanda de lui brouter le gazon. Ne connaissant pas cette expression et encore moins l’art du cunnilingus, je l’ai regardée d’un air surpris. Elle comprit que je n’y connaissais rien et me guida.


Jocelyne s’assit sur le bord de la table et écarta largement les cuisses. Bien que lécher une chatte ne m’inspire pas des masses, je me forçai. Après quelques minutes, je me surpris à aimer ça et dégustai son nectar avec ravissement.


Ma partenaire gémissait, se contorsionnait sous mes caresses buccales, de plus en plus précises, de plus en plus expertes. Soudain, Jocelyne empoigna mes cheveux, m’obligeant à arrêter. Ensuite elle se leva, s’allongea sur le dos, saisit mon sexe congestionné puis le plaça devant ses lèvres gorgées de plaisir.


Je commençai par de lents allers-retours puis j’accélérai la cadence. Mon pubis claquait contre ses petites fesses délicieusement rebondies.


À un moment donné, elle me demanda de ne pas éjaculer. Je lui donnai encore quelques coups de butoirs puis me dégageai de son puits d’amour.


J’allumai une autre cigarette que je fumai le temps que nous récupérions nos forces. Ensuite, nous avons rejoint le chantier dans la chambre et avons commencé à peindre.


Vers midi, pause déjeuner. Après le café et la cigarette, à nouveau le boulot.


Une fois la pièce peinte, Jocelyne me demanda de finir ce que nous avions commencé le matin. Nous fîmes l’amour dans la pièce un long moment. Durant nos ébats, Jocelyne mit malencontreusement ses mains dans un bac de peinture. Nous avons arrêté de forniquer pour nous amuser avec la peinture.


Par chance, c’était de la peinture à l’eau. Une fois calmés, Jocelyne me proposa de prendre une douche. Par après, elle me suça à nouveau, avidement. Je n’eus pas le temps de la prévenir que j’allais exploser. Le premier jet atterrit au fond de sa gorge, faisant reculer Jocelyne. Le deuxième l’atteignit au visage tandis que les jets suivants perdaient du punch et tombaient mollement sur sa poitrine. Jocelyne se releva en râlant, disant qu’elle n’aimait pas le goût du sperme.


Réellement confus, je m’excusai puis nous nous sommes relavés. Une fois rhabillés, je l’embrassai et la saluai :



Un peu déçu, j’acceptai.


Deux semaines plus tard, j’arrivai chez Jocelyne, très excité. Mon excitation tombait quand Jean-Louis m’ouvrit la porte. Il me précéda dans la cuisine puis me servit un café. Il souriait sans que je comprenne pourquoi.



Je faillis m’étouffer avec le café que j’étais en train de boire. Je me sentis devenir livide et m’attendais à prendre un coup de poing.



Jocelyne entra alors dans la cuisine, juste vêtue d’un string.



J’acquiesçai mais ne m’en sentis pas moins pigeonné. Je plantai là les travaux et repartis aussi sec chez mes parents.


Une dizaine d’années plus tard, Jean-Louis et Jocelyne m’invitèrent chez eux pour une partie à trois, ce que je refusai. Depuis, je ne les ai plus revus, si ce n’est une fois ou deux par hasard dans la rue.