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Temps de lecture estimé : 16 mn
09/09/11
Résumé:  Chuter au bridge n'est pas sans conséquences, quand les vêtements tombent aussi...
Critères:  grp jeunes extracon copains fépilée vacances voir noculotte strip lingerie fmast hmast cunnilingu nopéné jeu fouetfesse orties confession -entrecoup -jeux
Auteur : SophieF.            Envoi mini-message
Vulnérable !

Les parents de Delphine sont en Toscane. Delphine et Frédéric se sont installés dans leur maison, plus confortable que leur studio d’étudiants, pour terminer agréablement leurs vacances avant la rentrée, et ils nous ont invités pour le week-end.



J’avais mis le haut-parleur, j’ai interrogé Olivier du regard et j’ai accepté l’invitation. Le téléphone raccroché, Olivier m’a posé la question suivante :



Il a été offusqué par ma réponse, ou il a fait semblant.



***



Nous sommes donc quatre couples et nous jouons au bridge, à chaque bout de la table de monastère des parents de Delphine. Comme je l’avais prévu, Olivier a raté son grand chelem : deux de chute. Je n’arriverai jamais à lui faire comprendre comment on joue au bridge, à celui-là ! Nous quittons les autres, qui jouent encore, pour nous réfugier dans le salon, sur un canapé d’angle. David me rappelle que nous sommes vulnérables.



Une idée loufoque, comme ça, pour voir… Il regarde Olivier : je plaisante ou quoi ?



C’est du n’importe quoi mais je trouve l’idée amusante et j’en ris toute seule :



Olivier réagit, mais pas comme je m’y attendais :



L’air nigaud de David, les yeux ronds !



Il en fait trop, ils vont s’apercevoir qu’il rigole. Jamais, au grand jamais, il n’a levé la main sur moi. Il ferait beau voir ! Il continue :



Là, c’est vrai. David a le regard fixé sur mon chemisier pendant qu’Olivier continue :



Je regarde la douce Natacha avec mon plus beau sourire.



Une sainte nitouche, qui ne répond pas à ma question mais qui se trouble et rougit !



Olivier ne m’a jamais fessée, bien sûr. Et voilà qu’il propose que je le sois par un quasi inconnu ! Eh bien, mais ce sera amusant, après tout. Je ne laisse pas à David le temps de réfléchir, je soulève ma jupe et je me couche sur ses genoux. Mes fesses rebondies ne me brûleront pas beaucoup car je suis bien certaine qu’il ne frappera pas trop fort, ce gentil garçon blond aux yeux clairs. En effet, il se contente de tapoter gentiment. Je me trémousse quand même en écartant les cuisses, pour qu’il se rince l’œil sur mon mont de Vénus moulé par le frêle tissu, et je le nargue :



Il est bien obligé de frapper un peu plus fort.



De la main gauche, je me frotte les fesses, ce qui me permet de frôler le bas-ventre de David. Il bande, bien sûr. Olivier, lui, fait semblant de s’apitoyer :



Elle peut constater que les doigts de son copain s’aventurent désormais entre mes cuisses et frottent mon abricot juteux. Quel dommage que je n’aie pas subi la fessée cul nu !



Elle semble hésiter. Se lève.



Il obéit. À contrecœur, j’espère. Je n’ai plus qu’à me relever et à faire descendre ma jupe bleue. J’aimais bien ce qu’il me faisait, mais la chipie est jalouse. Fin du premier acte, donc. D’ailleurs, les autres nous appellent. Nous les retrouvons dans la cuisine. Frédéric et Delphine ont gagné, comme prévu.



David acquiesce. Nous allons donc jouer contre Sandrine et Thomas. Thomas m’a gentiment draguée, en effet, un soir de fête, alors que j’étais avec Olivier depuis peu de temps. Cela s’est arrêté au baiser et à ses mains sur mes fesses pendant le baiser. Un peu sur mes seins, aussi, jusqu’à ce que quelqu’un vienne nous déranger. Je l’avais laissé faire, par curiosité.



Elle rit, elle a de jolies dents, une bouche pulpeuse. Si elle suce Olivier… Nous jouons sérieusement pendant quelque temps, trois ou quatre contrats sont réalisés. Puis, alors que Sandrine joue pour quatre piques, elle chute de deux plis. Elle a joué en dépit du bon sens.



Frédéric, qui est à ce moment-là le mort de la partie voisine, intervient alors :



Thomas a de belles épaules mais je m’en doutais. Pratiquement aucun poil sur la poitrine. Sandrine déboutonne son corsage, l’enlève et le pose sur la table. Il y a de la place entre les deux jeux. Olivier confirme à Sandrine qu’elle est ravissante en soutien-gorge parme. Il fait le joli cœur ! C’est à elle de donner les cartes. Avant, elle replace bien ses seins à l’intérieur de leur écrin, l’index droit appuyé en haut, la main gauche tirant sur le bas du soutien-gorge. Comme nous toutes, quoi ! Mais son geste plaît à Olivier. Mon jeu est plus que correct, je suis en mesure d’annoncer deux trèfles. Thomas passe. Olivier annonce deux piques. Sandrine monte à trois trèfles, quelle idée ! En fin de compte je joue trois sans-atouts et je remplis mon contrat. À côté, Delphine a rempli le sien. Si personne ne chute, ce sera moins amusant que prévu. Il est vrai que nous sommes peu vêtus, car il fait chaud en ce début de septembre.


Ici, Thomas est en passe de réussir un deux cœurs. À côté, Frédéric s’est aventuré pour un quatre piques qui me semble bien risqué. Un de chute seulement. Pieds nus désormais, Frédéric et Delphine !


Olivier distribue, joue un quatre cœurs qu’il ne peut que perdre. Deux de chute. Le sol carrelé est froid pour mes pieds nus, je les pose sur la barre transversale en bas de la table de monastère. Un second vêtement, mon chemisier bleu, pas tout à fait du même bleu que ma jupe, pour un camaïeu plutôt plaisant à mon avis. Me voici en soutien-gorge. Coton blanc, pas très sexy peut-être mais commode. Vieux, souple, ne me gêne jamais. Les pointes de mes seins faciles à deviner. Olivier a ôté chaussures, chaussettes et chemisette. Ses petits tétons sont érigés, eux que je suce si souvent, et mordille, et pince aussi quand il pince les miens. Les filles le regardent, intéressées. Il n’est pas à moi, il l’a dit tout à l’heure, personne n’est à personne.


Deux contrats sans histoire, à chaque bout de table. Enfin Sandrine chute d’un pli.



Et chacun de rire. Thomas se lève et s’épluche de son jean qui le boudinait. Le voilà en slip violet, quelle idée, un slip d’évêque ! À côté, ils avaient arrêté de jouer, ils s’y remettent. Delphine annonce un quatre cœurs qui me semble extravagant, elle chute de deux plis, elle a joué n’importe comment. Elle enlève son chemisier et son short. Jolis sous-vêtements, avec de la fine dentelle et un papillon rouge sur le côté droit. Quant à Frédéric, il enlève sa chemisette et son pantalon de toile légère. Il reste avec un mini slip bleu passé. Il me faudra attendre encore un peu pour le voir nu. Je réussis facilement un deux carreaux.



Il comprend vite, Thomas. À côté, David chute d’un pli. Comme lui, Natacha se débarrasse de ses chaussures. Elle est en pantacourt plutôt comique. Je pense qu’elle n’a pas de soutien-gorge sous son chemisier rouge. Elle doit avoir de tout petits seins. Sandrine réussit un deux sans-atouts laborieux. Chez les autres, David chute encore d’un pli. Natacha rougit.



Elle hausse les épaules, se lève et ôte son pantacourt. Hanches un peu fortes, chevilles pas très fines. Mignonne petite culotte, sans plus. David, lui, a un torse un peu frêle avec un soupçon de brioche, déjà. Il faudra surveiller ton régime, mon petit !


Les affaires sérieuses vont enfin arriver. Je ne vais pas faire d’annonce timorée, cette fois. Je joue un quatre trèfle, je chute d’un pli. C’était risqué mais jouable. J’enlève mon soutien-gorge.



Mais qu’est-ce qu’ils ont tous à vouloir me punir ? Seraient-ils tous sadiques ? Moi je suis un peu maso – c’est vrai que j’ai demandé à Olivier de me faire mal, un soir – mais il ne faut pas exagérer. Lui, il enlève son pantalon de toile beige. Il a son boxer noir qui moule assez bien ses attributs. Il bande à demi, seulement à demi. J’en suis un peu déçue, ça ne lui fait donc pas grand-chose que je montre mes seins ? Il est vrai que sur la plage…



Cela lui est très facile, il est assis à côté de moi. Alors il palpe en effet, soupèse, et pince un peu les pointes qui ne détestent pas cela.



Le bras de Sandrine se déplace. Sa main, cachée par la table, doit s’être posée sur le boxer d’Olivier.



Frédéric s’est remis à son jeu. Il était en train de jouer un trois carreaux, il remplit son contrat. Thomas joue un deux cœurs et ne chute pas. Chez les autres, David joue un trois piques trop aventuré. Un de chute. Il enlève son jean délavé. Il a un caleçon. Il bande, lui aussi ! Il tente de le cacher de la main droite et se rassied en vitesse. Il faut que Natacha ôte son chemisier rouge. Ses joues aussi le sont. Elle hésite. Ces deux-là, encore si jeunes, sont restés pudiques, et amoureux l’un de l’autre. Ils sont ici pourtant, donc… Mais c’est surtout David qui a voulu venir.



J’avais bien deviné, elle n’a pas de soutien-gorge. Elle n’en a pas besoin. Ses seins sont petits mais avec de grosses pointes et des aréoles très pâles. Frédéric ne fait pas état du précédent créé par Thomas, il ne les touche pas. Pourquoi donc ? Elle distribue, annonce un carreau. Enchères faites, c’est Delphine qui joue trois piques. J’observe leur partie de ma place parce que je suis le mort, Olivier jouant un cœur qu’il ne peut que réussir. Il aurait dû en demander trois, il fait deux plis de trop. Sera-t-il puni ? J’aimerais assez mais personne n’en parle.


Delphine chute d’un pli et dévoile ses seins, tout bronzés. Olivier en bave presque ! Il m’a confié un jour qu’il ne pouvait pas voir des seins nus sans avoir envie d’y porter les lèvres. Il parlait alors des miens mais ceux des autres filles ont l’air de lui faire le même effet. Frédéric, lui, nous tourne le dos en enlevant son mini slip. Fesses puissantes. Puis il se retourne, très calme, et se pose sur sa chaise. Il ne bande toujours pas. Habitué à ce jeu, Frédéric ? Les cuisses sont fortes, elles aussi. Vélo, natation ?



Il lui caresse les seins, très tendrement, sans attendre de réponse. Puis :



Elle tourne la tête, regarde le bas-ventre de son voisin mais ne bouge pas la main.



Elle déplace enfin sa main.



Thomas joue un trois sans-atouts impossible à réussir. Un de chute. Il faut qu’il ôte son ridicule slip d’évêque. Il le fait sans autre forme de procès, il bande, un peu plus qu’à moitié. Sandrine enlève sa jupe. Elle n’avait pas de petite culotte !



Elle est intégralement épilée. Il paraît que c’est la mode, maintenant. Olivier semble apprécier quand elle reprend sa place à côté de lui.



Là-bas, David joue un deux trèfles et ne chute pas. Ici, Sandrine, encore elle, s’est lancée dans un trois sans-atouts et fait des impasses extravagantes, n’ayant rien compris à nos annonces. Elle chute de deux plis.



Il s’y attarde, Olivier. Il doit bander ferme sous son boxer noir. Sandrine regagne sa place, les pointes de ses seins ont grossi et luisent de la salive de mon copain. Et je pense au lapsus de Frédéric, qui a d’abord dit Delphine au lieu de Sandrine. Delphine, sa compagne… Tiens : lape-suce, Lacan aurait apprécié !


David vient de chuter d’un pli. Cela s’est fait très vite. Il faut qu’il enlève son caleçon. Il bande sauvagement, tente de le dissimuler des deux mains et se remet sur sa chaise. Natacha, encore plus rouge que tout à l’heure, nous tourne le dos pour quitter sa petite culotte et se replace en vitesse sur sa chaise, elle aussi. Pas eu le temps de bien voir ! Les garçons ont quand même maté ses fesses, et Olivier encore plus que les autres. Frédéric et Delphine s’assurent de la totale nudité de leurs voisins en les tripotant. Delphine laisse assez longtemps sa main sous la table, Frédéric caresse d’abord la poitrine de Natacha, puis descend la main, Natacha le laisse faire, elle respire très vite. Comme Olivier tout à l’heure, Frédéric hume ses doigts mais c’est son majeur qu’il porte à ses lèvres.



À vaincre sans péril… Elle ne demandait pas mieux, la Natacha sainte nitouche. Olivier distribue et se lance dans un deux piques. Il n’a rien compris à mes annonces. À moins qu’il l’ait fait exprès… Deux de chute, bien sûr. Il n’a que son boxer, et moi je n’ai que ma petite culotte. Je l’enlève comme si j’étais seule. Je ne suis pas épilée, seulement le maillot. Olivier dit qu’il aime bien mon gazon. Le doigt de Thomas l’écarte, mon gazon, et furette, tournicote, rentre un peu, ça lui est facile, c’est une zone humide, trouve le clito et le taquine, s’attarde, insiste. Olivier descend son boxer. Il bande fort et ne s’en cache pas, il en paraît même plutôt fier, il reste debout, sa voisine tripote puis dépose un petit bisou sur le gland bien rouge.



Elle avance ses fesses jusqu’au bord de sa chaise et ouvre les cuisses. À genoux, il écarte des doigts les petites lèvres saumon, ourlées, gracieuses, avance la langue, et lape, lape. Bon toutou, ça, gentil toutou ! Savoir si ça va durer longtemps ? Thomas sourit, amusé. C’est Frédéric qui me semble un peu jaloux, et cela ne me surprend pas : quand nous avons visité les chambres nous avons constaté que les sacs de Thomas et Sandrine étaient dans la chambre de Delphine et Frédéric… Bon, ça s’arrête quand même. Olivier se relève, son dard oscille de bas en haut, de haut en bas, une perle brillant claire à son bout.


Delphine joue un deux sans-atouts et chute d’un pli. Elle a joué n’importe comment, c’est très clair, elle voulait en finir, elle était la seule à ne pas être totalement nue. Elle enlève sa petite culotte. Une vraie blonde aux yeux bleus, une toison d’or ! Olivier sera Jason, s’il le peut. Et il le pourra de toute façon pendant ce week-end… Mais pourquoi les garçons aiment-ils tant les vraies blondes ? Parce qu’ils les croient plus fragiles ? Quelle bêtise !



Olivier me regarde, comme s’il me demandait la permission. Je hausse les épaules. Sandrine le prend par la main, ils se dirigent vers l’escalier conduisant aux chambres.



Je la regarde :



Je me tourne vers les autres.