n° 14571 | Fiche technique | 17145 caractères | 17145Temps de lecture estimé : 11 mn | 10/09/11 |
Résumé: C'est la première fois depuis de nombreuses années qu'Aurélie part seule en vacances. Le temps est superbe, la mer chaude, la plage presque déserte. Lézarder sous le soleil brûlant des longues journées entières... quel bonheur ! | ||||
Critères: fhhh fplusag jeunes grossexe vacances noculotte fellation -fhhh -fellation | ||||
Auteur : Babas |
C’est la première fois depuis de nombreuses années qu’Aurélie part seule en vacances. Une semaine dans un petit appartement d’une résidence au bord de l’océan, en plein mois de juin, avant le rush des touristes. Le temps est superbe, la mer chaude, la plage presque déserte. Lézarder sous le soleil brûlant de longues journées entières… quel bonheur !
En rentrant de la plage en fin d’après-midi du deuxième jour, Aurélie aperçoit du monde dans le jardinet d’un des appartements de sa résidence. Le seul autre à être ouvert en cette période hors vacances scolaires. En passant, elle salue les occupants d’un petit « bonsoir » et d’un sourire. Il s’agit d’un groupe de jeunes hommes, venus quelques jours après la fin de leurs examens à l’université. Ceux-ci sont en train de plaisanter en prenant l’apéritif, mais s’arrêtent de discuter en découvrant la femme qui vient de les saluer. Leurs yeux qui la suivent trahissent leurs pensées.
Elle est bien plus âgée qu’eux, à l’évidence, mais Jérémy ne se rappelle pas avoir vu une femme aussi… bandante ! Pourtant ça fait dix-neuf ans qu’il passe des vacances dans le coin, depuis qu’il est né, dans l’appartement de son oncle, et il est sûr de ne l’avoir jamais vue. Une femme aussi belle, il s’en souviendrait ! Et les quatre autres garçons, à leur air, doivent penser la même chose. Ils tardent à répondre à son bonsoir et la suivent du regard tandis qu’elle contourne la résidence pour rejoindre l’escalier menant à l’étage supérieur.
Aurélie sourit. Elle a perçu le trouble qu’elle a provoqué chez les cinq jeunes hommes. La petite robe d’été moulante qu’elle porte n’est sans doute pas étrangère à son charme ; elle laisse deviner nettement sa silhouette enchanteresse, sa taille fine, et surtout ses fesses rondes et sa poitrine sculpturale.
– Oh les gars ! Vous avez vu la meuf ? s’exclame Fabien, le plus âgé des cinq garçons, un grand blond assez maigre avec les cheveux en bataille. Et c’est notre voisine !
– Laisse tomber ! lui répond Anthony. Ça pourrait être ta mère…
– Ben ouais mais ma mère, elle est pas aussi bien foutue, c’est sûr !
– Eh, demain faut absolument qu’on aille à la plage dans le même coin qu’elle, s’exclame Théo, je veux trop la voir en maillot de bain !
– Peut-être qu’elle fait seins nus… se prend à rêver Bastien.
Dans la douche, Aurélie caresse nonchalamment sa lourde poitrine en repensant à la réaction de ses voisins. Ça la rassure, quelque part. Elle a bientôt quarante ans, et elle se sent heureuse de son pouvoir de séduction toujours intact. Cela fait un bon moment qu’elle n’en avait pas eu l’impression et ça l’émoustille presque. Son dernier amant était un homme marié, comme tant d’autres avant. Depuis son divorce, elle n’a vécu que de brèves aventures, mais elle s’en satisfait. Un jeune homme d’une vingtaine d’années… pense-t-elle, pourquoi pas, après tout ?
Le lendemain matin, alors qu’elle descend de son appartement pour aller se promener le long de la mer, elle jette un regard furtif sur la terrasse où se trouvaient les jeunes la veille. Mais le store est baissé. Ils se sont couchés tard, sont sortis le soir dans un bar voisin, et ne sont pas encore levés. Lorsqu’elle revient, un peu avant midi, ils sont là, dans le jardinet pour déjeuner, et de nouveau, les garçons la déshabillent du regard.
– Bonjour, leur fait-elle avec un charmant sourire.
– Bonjour ! lui crient-ils presque en chœur sans la quitter des yeux.
Mais aucun ne trouve quelque chose de mieux à dire, et ils se contentent de l’observer passer de nouveau devant eux, tandis qu’elle roule exagérément des fesses.
– Ouaouh ! s’écrie finalement Jérémy. Elle est vraiment super jolie !
– Et elle est trop bonne, surtout !
– Oh les gars ! rétorque Bastien, le plus jeune de la bande de copains, vous avez fini de triper sur une meuf de cet âge-là ?
– Attends, tu trouves pas que c’est une bombe ?
– Ben si mais c’est pas une nana pour nous, ça !
– Laisse tomber, il y connaît rien aux femmes, Bastien ! ricane Anthony, qui ne perd pas une occasion de se moquer de son ami qui, à dix-neuf ans, est toujours puceau, sans doute en partie à cause de son acné incessante.
– En plus, elle a l’air d’être toute seule, dans son appart, remarque Fabien.
L’après-midi, Aurélie va sur la plage ; elle sait que les garçons l’ont contemplée au passage et qu’ils vont probablement la suivre pour venir la guetter, l’épier. En effet, elle n’a qu’à peine le temps de se baigner quelques minutes avant de les voir poser leurs affaires à une dizaine de mètres des siennes. Elle nage un peu le long du rivage avant de sortir de l’eau, ses cheveux bruns ondulés dégoulinant sur ses épaules, son bikini mouillé collant à sa peau, à son bassin, à ses seins tendus. Les cinq copains n’en perdent pas une miette et elle le sait. Elle remonte lentement jusqu’à sa serviette où elle s’allonge pour sécher un instant au soleil.
– Oh là là ! J’hallucine ! Comment elle est bien foutue ! répète Théo.
– Ouais, fais gaffe, ça commence à se voir qu’elle te plaît, rigole Fabien en désignant le caleçon de bain de son ami.
– Ouais, moi aussi va falloir que je me couche dans le sable !
Les garçons pensent sans doute qu’elle ne les entend pas, mais il n’y a presque aucun bruit sur la plage et même le mouvement des vagues ne suffit pas à empêcher Aurélie de les écouter, et de se délecter de leurs paroles. Elle prend un malin plaisir à se redresser sur ses coudes et se cambrer à outrance, arrondissant ses fesses et gonflant sa poitrine. Mais pour l’instant, elle ne les regarde que du coin de l’œil. Leurs jeunes corps quasiment nus, musclés, ne la laissent certes pas indifférente, mais elle attend que l’un d’entre eux fasse le premier pas.
Ils n’osent pas, cependant ; ils continuent à la dévorer des yeux, presque lourdement, et ne s’interrompent qu’à peine lorsqu’ils décident de se baigner, ou de jouer au volley sur le sable. Et dans ces occasions, c’est au tour d’Aurélie de les observer, de les étudier, de choisir celui qu’elle trouve le plus beau, le mieux bâti. Dommage qu’ils portent ces longs caleçons et pas des petits slips de bain moulants, se dit-elle avec amusement.
Et la journée s’écoule sans qu’aucun des garçons n’ose l’approcher. Ils sont timides, malgré leur insouciance et leur aplomb apparents. La jolie brune finit par envisager de rentrer ; elle passera à côté d’eux, peut-être que l’un des jeunes hommes se décidera à lui proposer quelque chose. Mais là non plus, rien d’autre que leurs regards impressionnés et de discrets bonsoirs souriants, alors qu’elle leur rend pourtant leurs œillades appuyées.
En arrivant dans son appartement, elle prend sa douche, pour se rincer soigneusement de l’eau salée et du sable collant. Elle meurt d’envie de se caresser ; les corps bien galbés des jeunes hommes l’attirent, l’ont presque excitée, ainsi que la situation sur la plage. Mais ce n’est pas de ses doigts qu’elle a envie, mais bien d’une étreinte forte, et d’une verge dure. Elle se promet qu’elle tentera quelque chose dans la soirée ; peut-être pourrait-elle simplement aller leur demander du sel ? Et elle verra la tournure que prendront les événements…
Les choses se passent toutefois différemment. Alors qu’elle sort tout juste de la salle de bains, en peignoir, on sonne à l’entrée de son appartement. Intriguée et amusée à la fois, elle va ouvrir et découvre Jérémy. Il est beau aussi, pense-t-elle immédiatement, et son sourire gêné est tout à fait craquant. Le jeune homme est en effet très confus presque tremblant. Il semble chercher ses mots et ses yeux se posent malgré lui sur la poitrine, puis sur les jambes de sa sculpturale voisine. Mais le peignoir ne lui laisse pas voir grand-chose.
– Euh… Bonsoir, commence-t-il avec hésitation, je suis désolé de vous déranger…
– Non, ne t’en fais pas, tu ne me déranges pas du tout, lui répond-elle avec un sourire chaleureux qui met le garçon un peu plus à l’aise.
Si elle s’écoutait, elle lui dirait d’entrer, et peut-être que… Mais il poursuit :
– Euh… les… les copains et moi, on voulait vous proposer de venir prendre l’apéritif avec nous… ce soir… enfin, tout à l’heure… euh… dès que vous voudrez… enfin… si vous avez envie, quoi…
Aurélie prend un malin plaisir à le laisser continuer à parler et à s’embrouiller en rougissant ; mais elle est ravie de cette invitation. Ça la picote même instantanément entre les cuisses, comme si une vague d’excitation montait d’un seul coup en elle.
– C’est d’accord, répond-elle simplement, soulageant infiniment le pauvre Jérémy dont le regard trahit soudain l’incrédulité.
– C’est vrai ? Super ! Eh ben dès que vous voulez, on vous attend…
– Alors à tout de suite.
Il faut savoir se faire désirer, se dit-elle, et elle patiente une bonne demi-heure tout en laissant voguer ses idées. Et ses fantasmes. De nombreuses images défilent dans ses pensées, de nombreuses envies. Et puis elle se fait belle. Et surtout désirable. Elle veut les impressionner, elle veut encore sentir leurs regards avides sur son corps, elle veut qu’ils la désirent ardemment. Passant en revue la garde-robe légère qu’elle a apportée pour les vacances, elle arrête son choix sur la petite robe d’été moulante qu’elle portait lorsqu’elle a aperçu ses voisins pour la première fois. Elle sait qu’avec ça, elle aura de l’effet.
Et elle meurt d’envie de réaliser déjà un fantasme : elle ne portera pas de sous-vêtements ! Elle enfile la robe et se regarde dans un miroir ; on devine très nettement ses seins et ses mamelons, et elle n’aime pas le manque de maintien de sa poitrine, qu’elle trouve bien plus basse qu’habituellement, mais d’un autre côté, elle est sûre que ça aura un effet certain sur les garçons. Ajustant le tissu qui comprime son buste, elle rehausse quelque peu ses seins. Une petite goutte d’un parfum discret, une once de maquillage soulignant ses yeux clairs et rosissant ses lèvres sensuelles, un coup de brosse à cheveux, et elle est prête à descendre.
– Peut-être que tu devrais retourner la chercher, suggère Théo en regardant l’heure tourner.
– Mais non, attends un peu ! Toutes les nanas sont comme ça.
– Tu crois que l’appart est bien rangé ? Et qu’on est à peu près présentables ?
– Mais oui, t’es beau !
– De toute façon, laissez tomber ! Elle n’a d’yeux que pour moi, c’est évident !
– Ouais, ouais, ben on verra ça ! C’est chacun pour soi !
On frappe justement à cet instant. Jérémy se précipite sur la porte et l’ouvre, dévoilant Aurélie, radieuse, souriante.
– Je suis désolée, je suis venue les mains vides.
Mais aucun des garçons ne regarde ses mains.
– Ce n’est rien, venez, entrez.
D’une démarche chaloupée, elle passe devant les jeunes hommes. Théo, en faisant des efforts pour ne pas contempler trop visiblement sa poitrine, lui propose de s’asseoir sur un canapé. Anthony s’installe à côté d’elle, les autres garçons autour d’elle sur des chaises. Ils font les présentations, échangent quelques banalités d’usage, mais bien vite personne ne sait vraiment quoi dire et Jérémy en profite pour faire le service. Bastien l’aide à préparer quelques cocktails. Aurélie sent que les jeunes gens sont troublés par sa présence, par sa tenue moulante, par les poses excessives qu’elle adopte. Elle les trouve beaux, et leur timidité, leur gêne, l’amusent et l’excitent presque.
– Merci pour l’invitation. C’est un plaisir pour moi de me retrouver en compagnie de si beaux jeunes hommes.
Elle a dit cela en les dévisageant l’un après l’autre avec des yeux espiègles. Leur trouble s’accroît encore. Théo vide son cocktail d’un trait. Jérémy déglutit en écarquillant les yeux.
– Il doit y avoir beaucoup de filles qui fantasment sur vous.
Fabien manque de renverser son verre. Mais c’est Bastien qui trouve finalement la présence d’esprit de rétorquer :
– Ouais ben si vous en connaissez une de dix-huit ou dix-neuf ans, je suis preneur !
Ça sort les autres garçons de leur torpeur, et ils rigolent grassement.
– Bastien est encore puceau, explique Anthony en ricanant nerveusement.
– Ah bon ? fait la belle brune en regardant l’intéressé avec insistance.
– Bah ça va, c’est bon, t’es pas obligé de dire ça à tout le monde ! s’énerve celui-ci.
– Les filles ne savent pas ce qu’elles ratent, hein Bastien ?
Aurélie devine qu’il s’agit d’une blague potache entre les jeunes gens, mais Théo, échauffé par la situation et par l’alcool, ne résiste pas à expliciter en riant :
– Ouais, c’est lui qui a la plus grosse !
Bastien soupire pendant que les garçons continuent de rigoler, mais Aurélie décide d’en profiter et demande avec un sourire malicieux :
– Quelle longueur ?
Les jeunes hommes s’interrompent tout net, stupéfaits que leur invitée pose sans sourciller cette question. Ils se tournent tous vers Bastien, qui rougit.
– Euh… je sais pas vraiment… euh… vingt-trois, je crois.
– Hmmm ! fait la somptueuse brune en passant sa langue sur ses lèvres. Ça doit donner envie.
Elle hésite, prise d’un soupçon de honte, mais se décide à jouer le tout pour le tout et ajoute :
– Je peux la voir ?
Les réactions des garçons sont immédiates : Anthony et Théo ouvrent grand la bouche en écarquillant les yeux, parfaitement incrédules, Fabien éclate de rire et Jérémy tire discrètement sur son pantalon. Bastien est complètement désemparé, rougissant toujours et clignant nerveusement des paupières. Mais ses copains se reprennent et se mettent bientôt à l’encourager, puis même à scander son nom. Il finit par se lever et descend d’un geste brusque son short et son caleçon, dévoilant son gros sexe. Les autres garçons l’applaudissent et l’acclament, pendant qu’Aurélie se délecte des yeux.
– Bel engin, apprécie-t-elle finalement avec provocation. Je n’en ai pas souvent vu de cette taille.
Le numéro de la jolie brune ne manque pas d’effets : le sexe du jeune homme se gonfle doucement, et ses copains bandent aussi, faisant plus ou moins d’efforts pour dissimuler leur érection.
– Je peux toucher ? continue-t-elle, coquine.
– Ah bah vous pouvez même sucer ! rétorque Bastien, à présent totalement débridé.
La belle le prend au mot et se lève du canapé, s’approche de lui et s’agenouille, sous les yeux incrédules des autres. Elle saisit d’une main la verge désormais presque tendue qu’elle caresse un moment.
– Hmmm ! Oui, ça donne très envie !
Et elle referme sa bouche sur le gland et se met à sucer doucement, lentement. Bastien gémit immédiatement. Ses copains bandent en observant la sculpturale brune glisser ses lèvres autour de la hampe rigide, de plus en plus profondément. Aurélie est terriblement excitée par la situation, par ce qu’elle fait, par les regards des jeunes gens, et surtout par ce très gros sexe. Elle mouille beaucoup, si ça continue, ça va couler le long de ses cuisses. Et rien que d’y penser, ça l’excite encore. Elle s’acharne presque sur la verge de Bastien, suçant et branlant de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Et en à peine deux minutes, le jeune homme se crispe dans un feulement puis éjacule copieusement dans la bouche d’Aurélie qui ne s’arrête pas de sucer avant la dernière goutte. Il finit par se laisser choir sur sa chaise dans un profond soupir d’extase tandis que la jeune femme déglutit ostensiblement sous les yeux ébahis de ses hôtes envieux, qu’elle regarde avec malice l’un après l’autre. Elle sait qu’ils sont à point, qu’ils ont très envie d’elle, comme elle a très envie d’eux. Se penchant à quatre pattes, elle se cambre et agite ses fesses.
– Alors les garçons ? Vous ne vous occupez pas de votre invitée ?