n° 14579 | Fiche technique | 48548 caractères | 48548Temps de lecture estimé : 27 mn | 14/09/11 |
Résumé: Invité à une fête, je surpris mon ami en train d'administrer les derniers outrages à mon épouse totalement soumise. | ||||
Critères: fh extracon fête fsoumise fellation pénétratio fdanus confession -extraconj | ||||
Auteur : Ali Baba (Le choc - Quand une épouse se dévoile) Envoi mini-message |
Elle avait raison, et je le savais. Bien que René ne soit pas un de mes meilleurs amis, il en était un bon. Il fallait que j’y aille… envie ou pas. Je rejoignis donc ma femme, Suzanne, dans la salle de bain où elle finissait de sécher ses cheveux courts.
Suzanne venait d’avoir quarante ans et, ma foi, les portait assez bien. Nous habitions ensemble depuis un peu plus de vingt ans, et nous nous étions mariés il y a de cela treize ans, juste avant la venue au monde de notre premier fils. Brune avec de magnifiques yeux verts, Suzanne portait comme moi des lunettes sages. Elle n’avait jamais été un canon de beauté, mais quand je regardais les femmes de son âge, elle soutenait à vrai dire parfaitement la comparaison. Elle avait de petits seins et des hanches avec juste l’ampleur nécessaire pour combler son mari de quarante-cinq ans. Elle ne s’habillait que d’une manière toujours sérieuse, privilégiant les pantalons. Elle n’était pas folle pour les fringues, mais appréciait de temps à autres de s’offrir (ou mieux de me laisser lui offrir) des vêtements luxueux.
Ce soir, et sachant que nombre de nos amis seraient présents, elle n’avait préparé sur notre lit qu’un T-shirt blanc et une paire de pantalons mauves. Au pied du lit, étaient placées des sandalettes blanches avec des talons mi-hauts.
« Pas pratique pour danser », pensai-je en les regardant. Mais sachant que Suzanne n’était pas une grande danseuse (ce qui m’allait bien, car moi non plus…), je me gardai bien de lui faire une quelconque remarque. Ses sous-vêtements étaient tout (mais absolument tout) ce qu’il y a de plus sage. Elle privilégiait le confort, malgré mes griefs moqueurs et incessants. Elle portait des slips généralement blancs assez larges. Je les appelais les slips de ma vielle bonne-femme ; et il y avait du vrai dans cette moquerie. J’avais l’impression que même ma propre mère, n’avait jamais porté de tels sous-vêtements. Suzanne avait pourtant quelques strings bien cachés au fond de son armoire, mais ne les portait que lors de très rares occasions et seulement pour me faire un grand plaisir. Ses soutiens-gorge étaient normalement d’un type sans fermeture, que l’on enfile simplement. Ici aussi le blanc dominait, et naturellement pas la moindre échancrure… Ses chaussures étaient également assez sages, privilégiant le modèle presque sans talon et la couleur noire.
La voix de Suzanne me réveilla de mes pensées. C’est vrai, nos fils de 9 et 12 ans (que nous appelions nos petits anges, quand naturellement ils n’étaient pas présents) se trouvaient chez les parents de ma femme. Ils adoraient surtout leur grand-père, et c’était une fête pour eux également lorsque nous devions les amener chez leurs grands-parents.
Mon Dieu, je sentais à son ton l’exaspération monter. Généralement quand cela commençait ainsi, ça finissait mal.
Je préférai me taire. Après m’être douché, j’enfilai le premier sweat-shirt et les premiers jeans propres que je trouvai dans mon armoire. Je me brossai les dents et descendis retrouver ma femme dans le salon.
Puis me regardant de bas en haut
Bon Dieu ! J’avais oublié que le week-end, je ne me rasais jamais. J’étais en train de repartir vers la salle de bain, mais Suzanne m’arrêta d’un ton ferme.
Là, je ressentis l’attaque fielleuse. C’est vrai que René plaisait aux femmes. Pour moi et mes meilleurs amis, le pourquoi de la chose restait toujours un mystère. René était grand et bien bâti, mais son intellect laissait à désirer, comparé aux nôtres. Il était mou, sans envie et toujours distrait ; il était matérialiste, intéressé plus aux nouveaux gadgets qu’aux livres. Simplement incompréhensible ! Mais l’attaque de Suzanne était fielleuse, car elle me touchait au fond du cœur. Avant de la connaître, j’étais amoureux fou de Nicole ; une passion destructrice, qui avait effectivement détruit nombre de mes plus belles années de jeunesse. Nicole devait certainement m’aimer, mais pas question de passion chez elle. Elle jouait avec mon amour en me rendant la vie impossible avec ses caprices. Puis un jour, elle se lassa de ce jeu, et me quitta.
Mais quelques jours plus tard, elle apparaissait heureuse au bras de René. Depuis cet instant, René faisait partie à mes yeux de la catégorie des profiteurs et des personnes indignes de confiance. D’ailleurs Nicole aussi avait dû amèrement constater que René n’était pas une personne de confiance. René avait été à ses heures un conseiller financier. Il utilisait la confiance que d’autres lui accordaient pour investir leur argent en bourse. Tant que la bourse montait lors des folles années boursières, pas de problème. Mais après des gains pharamineux s’ensuivit des pertes abyssales. En plus de la fortune de ses clients, sa fortune personnelle et celle de Nicole y passèrent. Malgré sa promesse, il investit leurs dernières économies sur des titres douteux… et perdit la mise. Profondément blessée, Nicole le laissa du jour au lendemain.
Heureusement pour elle, son très bon salaire de médecin lui permettait une totale indépendance financière. Mais paradoxalement, ils ne changèrent pas d’appartement. En fait, leur duplex, qu’ils possédaient en commun, pouvait en effet servir pour deux personnes séparées. L’étage supérieur réservé à Nicole et celui inférieur à René. Comme les deux étages étaient directement reliés à un ascenseur intérieur et s’ouvrant qu’avec clef, l’escalier reliant les deux niveaux avait été condamné symboliquement. Il n’avait fallu changer qu’une des deux clefs d’accès de l’ascenseur.
C’était dans cet appartement que nous nous rendions ce soir, plus précisément dans la partie inférieure, appartenant à René.
Le déplacement en voiture se fit dans un silence glacial. J’étais d’un caractère assez rancunier et ne voulait pas être le premier à casser la glace. Suzanne n’aimait pas les petites crises, mais quand elle considérait que j’avais tort, elle pouvait avoir une langue de vipère. Je préférais donc me taire.
Nous arrivâmes trois quarts d’heure en retard. Le contrôle de l’accès direct par ascenseur avait été, pour l’occasion, déverrouillé, ce qui permettait de rentrer directement dans l’appartement sans clefs. La fête battait déjà son plein. Mon seul intérêt était de revoir quelques amis et Nicole. Celle-ci nous accueillit chaleureusement, comme René du reste. Il m’embrassa et fit de même avec ma femme qu’il complimenta pour sa tenue. Avant d’avoir pu me demander s’il blaguait, mes autres amis m’appelèrent. Je ne me fis pas prier, et abandonnai ma femme, Nicole et René.
Je passai une bonne partie de la soirée à rire avec Nicolas, mon meilleur ami que je n’avais pas vu depuis quelques mois. Je bus plus que nécessaire, malgré les récriminations de ma femme qui passa quelques fois pour me rappeler que je devais plus tard conduire. Je lui promis que nous prendrions un taxi si elle ne se sentait pas de conduire. Sur ce, ma femme ne se fit plus voir pour le reste de la soirée, et pensant qu’elle devait se raconter mille choses avec les femmes de mes amis, je n’en pris pas ombrage.
Je devins perplexe quand Nicole me demanda si j’avais vu Suzanne. Je lui répondis qu’elle devait être avec les autres femmes, mais elle me dit simplement qu’il ne lui semblait pas l’avoir vue. Il devait y avoir une quarantaine d’invités dans le grand appartement, et elle me rassura en me disant que sûrement elle ne l’avait pas vue au milieu de la foule ; et elle me promit de la trouver.
Un quart d’heure plus tard, Nicole me prit le bras et me dit à voix basse de la suivre.
Intrigué, je me levai machinalement et la suivis. Elle m’amena vers l’ascenseur interne, ce qui m’étonna, mais je préférai ne rien dire jusqu’au moment au nous serions seuls. Dans l’ascenseur, je fus étonné de la voir utiliser sa clef pour faire monter l’ascenseur vers son étage du duplex. Je croyais intérieurement, en voyant sa mine sérieuse, qu’elle voulait faire un tour pour me parler de ses problèmes. Arrivés à son étage, elle sortit dans l’obscurité et plaça sa main sur ma bouche, pour me faire, sans aucune équivoque, comprendre de me taire. Je fus surpris mais me tus comme elle me le demandait. Elle prit ma main et m’amena vers la fenêtre de son salon. Devant nous se trouvait la magnifique terrasse de Nicole, fermée de trois côtés par son appartement et possédant une vue plongeante sur la ville depuis son quatrième côté. De notre position, le champ de vision sur la terrasse était limité, mais on distinguait aisément, entre autre, la partie arrière du divan-balançoire. Ce divan constituait la pièce maîtresse de la terrasse et était situé en son centre. Nicole se tourna vers moi et je crus percevoir dans la semi-obscurité des yeux remplis de malice, contrastant avec son sérieux antérieur. Bien qu’il me semblât que personne ne puisse nous entendre, elle me chuchota :
Je suivis son regard et aperçus la tête de René qui, en raison de sa carrure, dépassait nettement du siège pourtant élevé du divan-balançoire. Sa présence m’étonna, car je savais que tout était bien fini entre lui et Nicole.
Mon regard retourna vers la terrasse et pendant quelques secondes je cherchai à saisir la pensée de Nicole. Mes yeux balayèrent la terrasse, mais je ne pus entrevoir que quelques plantes vertes. À peine mon regard retourna sur le derrière du crâne de René, que Nicole continua :
Mais que racontait-elle ? Je sentais au fond de mon ventre monter un malaise à être ainsi le seul à ne pas comprendre une situation qui semblait évidente. Je jetai encore un regard rapide sur la terrasse, et commençai d’un ton exaspéré :
Le reste de la phrase se perdit en un balbutiement inaudible que Nicole ne comprit certainement pas. Mais qu’importe, je venais de tout comprendre en regardant le bas du divan où, entre les jambes écartées de René, se trouvaient des genoux repliés ; une personne était à genoux devant René ! Et cette personne portait des pantalons mauves que j’aurais pu reconnaître entre mille… les pantalons de ma femme… Suzanne !
Je crus défaillir et elle dut le sentir, car elle me prit le bras fermement.
Je ne pus rien articuler. Moi qui aurais dû bondir sur la terrasse, quitte à faire une scène mémorable, je restais là, planté, une boule dans la gorge et sentant mon cœur en train de se briser et mon univers s’écrouler.
Nicole semblait vouloir me blesser encore plus profondément et y réussissait parfaitement. La douleur fit place à de la colère qui montait en moi et je me sentais prêt à la frapper. Heureusement, après quelques secondes de grande tension, elle rompit le silence :
Mais contredisant mon ton ferme, je la suivis, abattu et docile. Sa chambre était située sur un des autres côtés de la terrasse, d’où la vue sur le divan-balançoire devait donc être parfaitement latérale. Avant d’ouvrir sa porte, elle me mit à nouveau sa main sur ma bouche, pour m’empêcher de parler.
Encore ce ton sarcastique ! Elle rentra, me fit passer et referma la porte doucement. Elle me prit la main et dans l’obscurité, me conduisit d’un pas sûr vers la fenêtre. Elle me plaça à côté d’elle.
Elle entrouvrit très légèrement les rideaux, s’abaissa et plaça son visage en retrait dans l’axe de l’ouverture. Après quelques secondes, elle me sourit et me fit signe de regarder par dessus sa tête. Tremblant, je plaçai mon visage dans l’ouverture, anxieux de l’hallucinant spectacle que j’allais découvrir.
Comme je le pensais, la vue sur le divan-balançoire était parfaitement latérale et celui-ci se trouvait à environ quatre mètres de la fenêtre de la chambre de Nicole. Au centre du divan, René était confortablement installé, le visage penché vers le bas et suivant attentivement, et presque de manière sérieuse, l’activité de Suzanne – mon épouse… Bien que nous ne puissions voir le sexe et le bas-ventre de René, le mouvement de va-et-vient, lent et régulier, de la tête de Suzanne ne laissait planer aucun doute (si jamais il m’en était resté) sur la fellation qu’elle administrait, sous mes yeux incrédules, à une personne que je considérais jusqu’à quelques instants auparavant, comme un ami. J’étais tétanisé, incapable de la moindre réaction, incapable de prononcer le moindre mot. Je sentais mon cœur battre la chamade, et eus peur de défaillir. Je détournai ma tête de la fenêtre, et essayai d’inspirer profondément. Après quelques secondes, Nicole me fit signe de regarder à nouveau.
Sur le divan, René avait bougé légèrement pour s’installer plus confortablement et placer ses deux mains sur la nuque de ma femme. Il portait encore ses jeans et il (ou, me mis-je à penser avec horreur, elle) n’avait que déboutonné la braguette pour dégager son membre. Le pull blanc qu’il portait tout à l’heure traînait sur la partie du divan visible de notre position. Son sweat-shirt avait le même bleu que ses jeans. Ma femme était, elle, encore habillée de son T-shirt blanc et de ses pantalons mauves. Aucune peau nue n’était donc visible, ce qui par contraste me semblait encore décupler la vulgarité de la scène.
René prononça quelques mots que nous ne pouvions comprendre, mais ses paroles furent suivies par un mouvement de ma femme qui dégagea ses mains, qui devaient auparavant se trouver sur la base du membre de René, et les plaça de part et d’autre du divan.
L’exclamation de Nicole me fit sursauter et frémir. En effet sur le divan, René semblait maintenant administrer de ses deux mains placées sur sa nuque, le rythme qu’il désirait à la tête de mon épouse. Il lui parlait maintenant continuellement.
Mais dès que la question fut posée, je savais déjà qu’au fond de moi, je ne voulais en aucun cas en savoir la réponse. Mais c’était trop tard, et Nicole s’empressa de répondre d’un ton moqueur :
La pensée du slip blanc de Suzanne, que je la vis enfiler il n’y avait que deux heures de cela, en train de s’humidifier de ses secrétions secrètes produites par le plaisir envers un autre homme que moi, cette pensée donc me souleva le cœur et me fit presque vomir.
Je me détournai de la fenêtre et m’assis à même le sol cherchant un peu de répit, mais les paroles de Nicole me forcèrent à me relever.
Je repris, presque à contrecœur, mon poste d’observation et vis ma femme qui se relevait. Je priai pour que la chose soit enfin finie, mais dus me résoudre à constater qu’il n’en était rien… bien au contraire. René parla à ma femme et celle-ci, en guise de réponse, fit un mouvement affirmatif de la tête. Ses mains remontèrent alors vers la ceinture de son pantalon mauve et cherchèrent fébrilement à la défaire. Pendant que ma femme s’activait, mon regard descendit vers le sexe de René qui, comme Nicole l’avait mentionné, ne me semblait pas très imposant, mais dont la rigidité dégageait une impression de puissance certaine. Le membre me semblait luire de la salive de ma femme sous les pâles reflets nocturnes. Ma bouche était sèche.
Je dégageai mon regard du sexe de René pour effectivement voir les mains de ma femme qui défaisaient maintenant le bouton et le zip latéral de ses pantalons. Elle fit glisser ses pantalons jusqu’au niveau de ses genoux, dévoilant son slip ample et blanc. Elle voulut continuer, mais René la stoppa en lui parlant et posant une main sur ses cuisses. Elle s’arrêta, sembla lui répondre quelque chose, lui sourit et se remit à nouveau à genoux en face de lui. Elle n’hésita pas une seconde et se pencha pour l’engloutir à nouveau.
René s’était assis maintenant plus vers l’arrière du divan, se tenant ainsi beaucoup plus droit. Pour atteindre son bas-ventre, ma femme avait dû se rapprocher du divan, ce qui par conséquence, et vu sa hauteur, devait offrir à René une vue imprenable sur le bas du dos et le postérieur de ma femme. Il continuait à lui parler. Il avança sa main droite vers le dos de ma femme et fit remonter le T-shirt d’une dizaine de centimètres comme pour mieux admirer son bas du dos dénudé. Puis il passa lentement sa main sous le slip et malaxa pour quelques secondes, la fesse gauche de ma femme. Semblant changer d’avis, il la retira, la descendit plus bas le long du slip. Il l’empoigna et le serra, ce qui eu pour effet de dévoiler les fesses de ma femme.
« Comme le slip d’un lutteur de Sumo », pensai-je malgré-moi. J’étais en état de choc, incrédule. Mes mains tremblaient et il me semblait entendre distinctement les battements de mon cœur. À quelques mètres de moi, René se mit à tirer le slip de ma femme vers le haut en le faisant bien pénétrer dans la raie fessière. Je vis le postérieur de mon épouse s’élever de quelques centimètres. René resta quelques secondes dans cette position, puis il redescendit sa main droite, tenant toujours fermement le slip. Le postérieur de Suzanne redescendit aussitôt. René répéta ensuite ce mouvement de va-et-vient qui imprimait un rythme régulier au postérieur de ma femme.
J’étais soufflé par le spectacle; ravagé par la vision de ma femme vautrée sur un autre sexe. J’en voulais terriblement à Nicole de m’avoir fait découvrir cela. Comme un roi antique, j’en voulais au messager rapportant de mauvaises nouvelles. Mais elle n’y pouvait rien. Les deux coupables de mon malheur étaient ma femme et mon soi-disant ami.
Une fois encore, Nicole m’exaspérait. Comment donc cela pouvait-il devenir plus sérieux encore ? Je n’allais pas tarder à le savoir… Sur le divan René avait maintenant lâché le slip et avait enfilé sa main droite bien plus loin, en direction du vagin de ma femme. Il s’affaira quelques secondes. Puis il s’aida de sa main gauche qu’il ramena pour manifestement écarter les fesses de Suzanne. Celle-ci avait stoppé son ouvrage et relevé la tête. Les yeux clos, elle se mordillait la lèvre inférieure, ce qui, mes vingt années de vie commune m’avaient enseigné comme un signe inconfondable de son excitation. Finalement René ressortit sa main droite et parla à ma femme avec un sourire. Celle-ci ouvrit les yeux, se retourna et inspecta les doigts de René, qui luisaient humides sous la clarté lunaire. Elle rit, dit quelque chose, amena sa main vers sa bouche et lui cracha sur les doigts. Que faisaient-ils ? Encore une fois, Nicole me déchiffrait le programme du spectacle :
Je n’osais pas imaginer ce qu’elle entendait par là, malgré la pensée d’horreur qui me remplit l’esprit.
« Mais elle ne va pas se laisser faire, tout de même… »
Mes yeux incrédules virent la main dégoulinante de salive et sécrétions se réenfiler sous le slip de ma femme, mais cette fois s’arrêter bien plus haut qu’auparavant… à l’endroit que je craignais. René remonta également sa main gauche pour manifestement écarter à cet endroit les fesses de Suzanne. La tension était palpable. Je n’en pouvais plus. Je dus me retenir des deux mains au bord de la fenêtre. Nicole ne disait rien, mais je sentais sa respiration devenir saccadée, ne restant pas insensible au spectacle de totale soumission qu’offrait ma femme. Sur le divan, René s’affaira quelques instants à son ouvrage. Suzanne s’était repenchée sur son bas-ventre, mais cette fois-ci n’avait pas repris sa fellation. Elle avait la tête posée sur le côté, tournée vers notre direction, et nous pouvions distinctement apercevoir son visage qui nous apparaissait en dessous du bras gauche de René. Ses yeux étaient clos, sa bouche ouverte. Subitement elle redressa sa tête en venant poser son menton sur le torse de son vainqueur. Sa bouche maintenant grande ouverte émit un râle qui se fit entendre jusque dans la chambre de Nicole, malgré la fenêtre hermétiquement fermée.
René parla rapidement à ma femme, mais elle ne réagit pas, restant dans la même position, la bouche toujours grande ouverte. Les mouvements saccadés du haut de son dos trahissaient sa respiration haletante. René reparla à ma femme, puis il sortit sa main gauche des fesses de Suzanne pour venir lui appuyer fermement sur le sommet de sa tête. L’intention était évidente. Ma femme ne se déroba pas et fit glisser sa tête vers le sexe de René. Elle sembla l’engloutir d’une bouchée. Le slip blanc de mon épouse nous cachait la main droite de René. C’était un ou des doigts de cette main qui s’affairaient dans le tréfonds de ma femme. La rythmique que René imposait à cette pénétration, certainement douloureuse, nous était révélée par les mouvements réguliers du tissu de coton du slip qui recouvrait cette main, en formant une bosse obscène entre les fesses de Suzanne.
Je n’avais plus la force de me révolter, et d’ailleurs j’avais l’impression que Nicole ne disait même pas cela pour me blesser, mais naïvement pour me tenir le mieux informé sur l’évolution de la situation ; pour que je saisisse tout ce que ma femme subissait. Pour être serrée, Suzanne devait certainement l’être, ne m’ayant jamais permis une quelconque pénétration autre que vaginale.
Sa région anale était un véritable no-man-land, enfin je le croyais jusqu’à ce soir… Les seules fois où je pouvais effleurer furtivement son anus étaient lorsqu’elle était sur moi, que je la pénétrais d’un rythme rapide et qu’elle était au bord de l’orgasme. À ce moment uniquement, j’avais l’impression qu’elle se laissait aller, se concentrant uniquement sur son plaisir personnel, concentrée sur le frottement vaginal et l’effleurement de mon bas-ventre sur son clitoris. Ce n’était d’ailleurs qu’une impression, car dès la fin du coït, elle me reprochait invariablement les escapades de mes doigts, en me disant d’un ton excédé que décidemment je n’apprendrais jamais rien, et que même après vingt ans de vie commune, je ne savais toujours pas ce qu’elle détestait.
J’étais perdu dans mes pensées et ne suivais que distraitement l’évolution de la situation sur le divan. Subitement, René sembla se cabrer ; il parla à ma femme et rejeta sa tête vers l’arrière.
En effet, sur le divan il semblait bien que la chose approchait de sa fin. René, la tête toujours en arrière avait maintenant retiré ses doigts du postérieur de ma femme, et sa main droite vint s’agripper au dossier du divan. Sa main gauche vint se placer sur la nuque de Suzanne, comme pour s’assurer qu’elle n’allait pas interrompre sa fellation au moment crucial. L’orgasme de René se fit perceptible par des soubresauts au niveau de ses genoux ; la pensée me vint qu’en ce moment même, le sperme d’un autre homme était en train de se frayer inexorablement un chemin dans la gorge de mon épouse. Je saisis vaguement, et comme lors d’un brouillard éthylique, que René ne se laissait pas complètement aller, et qu’il se penchait pour dicter sûrement de nouveaux ordres à ma femme. Après quelques secondes, il retira la tête de ma femme de son bas-ventre en lui tirant délicatement les cheveux de sa main gauche. Quand sa tête fut relevée, il la lâcha et amena de cette même main gauche son pull qui traînait sur le divan sur son sexe maintenant à demi-érigé. Il amena alors sa main droite, dont les doigts avaient sondé, il y a quelques instants, le tréfonds de ma femme, en dessous de la bouche de celle-ci. Il reprit à lui parler.
Comme pour nous répondre, Suzanne commença alors à recracher maladroitement du sperme qui se trouvait encore dans sa bouche. La semence, mélangée à sa salive, coula sur les doigts de René et entre ceux-ci sur son pull. Quand elle eut fini, il écarta de côté sa main droite, pour visiblement ne pas souiller ma femme. Après que Suzanne se soit essuyée la bouche sur une des manches encore intacte, il enleva son pull de sa main gauche, et de cette même main, il appuya sur la nuque de ma femme pour la faire se pencher à nouveau sur son bas-ventre. Sa main gauche descendit alors vers le slip de mon épouse pour l’écarter et laisser un large passage à sa main droite dégoulinante. Ma femme semblait s’être cabrée au maximum pour lui faciliter son ouvrage.
Comme Nicole qui pensait tout haut, je venais moi aussi de comprendre ce qui allait encore se passer. Il allait lui fouiller une dernière fois l’anus de ses doigts dégoulinants de sperme et de salive. Ma femme tressaillit sous l’apparente douloureuse pénétration. Elle jeta un regard presque éploré vers René qui lui sourit. Il la besogna encore une dizaine de secondes, puis retira ses mains de ses fesses. Il attrapa son pull et s’y essuya consciencieusement ses doigts. Puis il se pencha à nouveau vers ma femme et lui remit le slip en position normale, recouvrant ainsi ses fesses blanches. René tapota les hanches de Suzanne en lui chuchotant quelque chose à l’oreille. Elle se leva lentement, et fit remonter ses pantalons mauves qui avaient glissé en boule jusqu’à ses chevilles. Elle entreprit de les reboutonner.
René se leva, s’étira et se rajusta à son tour. Puis, ils se tournèrent l’un vers l’autre et semblèrent s’inspecter mutuellement leurs habits ; comme pour être sûr que rien d’anormal n’allait les trahir. René regarda encore soigneusement le visage de ma femme. Il lui parla, sortit un mouchoir en papier de sa poche et lui essuya le coin des lèvres et le bout du nez. L’opération terminée, il jeta le mouchoir usagé sur le pull. Il roula celui-ci et le prit d’une main ; de l’autre il attrapa la main de ma femme, et ils commencèrent à se diriger vers la partie opposée de la terrasse En marchant, ma femme s’appuya presque affectueusement sur le bras de René. Ils marchaient vers le corridor d’où partaient les escaliers vers l’étage inférieur, où la fête devait continuer à battre son plein. La pensée douloureuse me vint que ma femme devait probablement serrer en ce moment son sphincter pour ne pas laisser couler le sperme de René qui devait sûrement la remplir. Quand ils sortirent de la terrasse, je me couvris le visage de mes mains et me mis à hyper ventiler. J’étais prêt à pleurer, comme un gamin. Je m’aperçus que mon front avait terriblement sué.
Nicole me prit la main, nous sortîmes de sa chambre et nous arrêtâmes devant la salle de bains adjacente.
Je rentrai dans la salle-de-bain, me regardai dans la glace. Je fus stupéfait de ma pâleur cadavérique et me pris à espérer qu’une partie de celle-ci provenait de la lumière blafarde du néon. J’avais honte de contempler mon reflet. Je commençai à m’insulter intérieurement en me regardant dans le miroir.
« Un vrai pauvre type… Pourquoi n’as-tu pas agi ? Pourquoi n’as-tu pas fait un scandale ? Cocufié devant pratiquement tous tes amis, et tu n’es pas capable d’arrêter cette horreur… »
Je n’en pouvais plus ; j’eus juste le temps de m’agenouiller devant la lunette des WC avant de vomir toutes mes entrailles.
Elle m’aida à me relever. Elle humecta d’eau froide une lavette et me la passa délicatement sur le visage. Elle répéta l’opération plusieurs fois, ce qui me fit du bien. Mon visage reprit légèrement des couleurs. Elle me prit affectueusement dans ses bras et sembla réaliser pour la première fois tout le mal qui me rongeait. Elle me couvrit la joue de petits bisous. Sa voie sembla se briser dans des débuts de pleurs.
Je lui mentais, comme je le faisais à moi-même. Je ne savais pas ce que j’allais bien faire. Je n’étais occupé qu’à survivre les prochaines minutes. Elle me prêta une brosse-à-dents et du dentifrice pour rafraîchir mon haleine, et quand j’en eus terminé, elle m’inspecta soigneusement le visage.
Nous descendîmes, comme nous étions montés, en empruntant l’ascenseur Quand nous entrâmes dans l’appartement à l’étage inférieur, la fête semblait encore battre son plein. La musique était, à intervalles réguliers, couverte par de gros rires.
Ma première pensée était d’espérer que Suzanne ne se soit pas aperçue de mon absence. J’avais le sentiment qu’il me fallait absolument éviter une confrontation pour le moment. J’avais besoin de répit pour penser. Je suivais Nicole pas-à-pas, mais à peine étions-nous arrivés sur le seuil du salon, que je vis Suzanne se diriger vers nous d’un pas décidé.
Suzanne se tourna vers moi en me dévisageant :
Je savais que j’étais incapable de lui mentir, mais heureusement je n’avais pas vraiment à le faire :
Ce qui n’était que la pure vérité; mais naturellement pas toute la vérité… Elle sembla accepter nos explications, attribuant sûrement mon malaise à l’alcool que j’avais bu. Elle se rapprocha de moi et mit une main sur mon épaule, et de l’autre me caressa la joue. Si rien ne s’était passé, j’aurais considéré ce geste comme une marque de tendresse, mais je me surpris à me demander si elle avait pris la peine de se laver les mains après s’être soumise consentante aux caprices de René.
Je sentis que Nicole s’éclipsait. J’aurais voulu la retenir, pour qu’elle ne me laisse pas seule avec elle… mais trop tard.
C’était notre code lorsque l’un d’entre nous voulait faire l’amour ! J’étais sidéré. Cette bouche qui me parlait venait de sucer un autre homme, qui s‘était déversé au fond de sa gorge; elle avait sûrement l’anus encore rempli du sperme de René, et elle me parlait de faire l’amour…
Elle fit la moue, me prit la main et me dit que je devais la faire danser.
Il n’y avait que deux autres couples sur le coin du salon qui servait de piste de danse. Étant une fête entre amis de 40 ans et plus, la musique s’en faisait ressentir. Sur la platine, l’Hôtel California des Eagles avait commencé depuis une dizaine de secondes. Suzanne m’entraîna en me tenant par la main. Elle se colla à moi, dès que nous fûmes enlacés. Elle avait sa bouche dans le creux de mon épaule et me donnait des petits bisous à la limite du chatouillement. Le bas de son ventre semblait se plaquer comme une ventouse au mien. Ce manège dura pendant les deux morceaux que nous dansâmes. Mais, dès la fin du deuxième, j’invoquai le prétexte d’une grande soif pour m’éclipser et chercher de l’eau. Pendant que je me versais un verre au bar improvisé, je vis Suzanne se diriger vers Nicole et commencer à lui parler. Je me désintéressai de la chose et cherchai une possibilité de m’asseoir un peu à l’écart de la foule qui envahissait l’appartement. À bout de quelques minutes, Nicole vint prendre de mes nouvelles. Quand elle fut sûre que personne ne pouvait nous entendre, elle me rapporta la conversation avec Suzanne.
Ces paroles à peine prononcées, je vis Suzanne venir vers moi. Sans rien dire, elle ignora Nicole, me prit la main et m’amena de nouveaux sur la piste de danse. Le même jeu recommença, et malgré mon apathie, je constatai horrifié qu’il me faisait de l’effet. Bien que cherchant à lutter contre, en me remémorant douloureusement la totale soumission sexuelle de ma femme envers un autre homme, je sentis mon sexe inexorablement se gonfler.
Je fus soufflé par la vulgarité de son désir, chuchoté au fond de mon oreille ; surtout considérées les circonstances. Je ne répondis rien. À la fin du morceau, elle me tira par la main, fit quelques pas, et me plaqua sa bouche contre la mienne. Elle força la langue dans ma bouche. Une fois encore, je ne pus résister, et pendant toute la durée de son baiser, je me demandai si j’aurais été capable de reconnaître le goût du sperme de René mélangé à sa salive. Lorsque je pus enfin me dégager, je crus comprendre pourquoi elle m’avait amené à cet endroit ; nous étions placés juste en face d’un divan où René était assis, parlant avec un de nos amis communs. Il me regardait et je crus percevoir un mince sourire sur ses lèvres. C’en était trop.
Elle se dirigeait déjà vers l’ascenseur Je ne pus me résoudre à partir ainsi, et allai dire un rapide bonsoir à Nicole, en prétextant un léger malaise pour mon départ. Nicole se rapprocha de moi et me sembla me prévenir :
Elle m’enlaça, s’excusa encore et me fit promettre de l’appeler si j’avais trop le blues. Je me dirigeai vers l’ascenseur où Suzanne semblait s’impatienter. Elle ne prononça pas le moindre mot jusqu’à la voiture, semblant pensive. Arrivés devant notre véhicule, elle déclara sur un ton décidé qu’elle conduirait.
À bord, elle continua son jeu :
Elle commençait à m’exaspérer avec son petit jeu, et je bouclais ma ceinture. Mais elle reprit.
Je compris finalement où elle voulait en venir lorsqu’elle commença à pencher son buste vers mes jambes.
Elle s’affairait déjà sur la ceinture de mon pantalon qu’elle ouvrit d’un tour de main; elle me déboutonna avec fébrilité et dégagea immédiatement mon membre semi-érigé. Elle n’hésita pas et le prit dans sa bouche.
En me traitant encore une fois de lâche, je n’eus pas la force de lutter et renversai ma tête contre l’appui-tête. Pendant que je me gonflais rapidement en elle, je me pris à penser que ma femme était en train de pratiquer sa deuxième fellation de la soirée en l’espace d’une demi-heure, et ceci sur deux hommes différents. Je sentais sa bouche douce et chaude qui emprisonnait mon sexe et appliquait de méthodiques et affolants va-et-vient. Elle les interrompait parfois pour emprisonner uniquement mon gland entre ces lèvres, en me le suçant de manière intense. J’avais l’impression qu’elle ne s’était jamais occupée de mon membre de cette façon. De plus, et contrairement aux rares fois où elle m’administrait une fellation, je ne sentais absolument pas ses dents racler sur les bords de mon gland érigé. Je me demandais, presque de manière masochiste, si René ne lui avait pas fait une remarque réprobatrice tout à l’heure sur la terrasse. Elle mettait une ardeur particulière à l’ouvrage, comme pour me faire exploser le plus tôt possible, mais j’avais la vague impression que je pouvais ce soir tenir des heures ; j’avais de toute façon tenu bien plus longtemps que René…
Malgré mon plaisir que je sentais monter en moi, l’image de Suzanne en train de se faire méthodiquement ouvrir l’anus par les doigts de René ne me lâchait pourtant pas. À tête reposée, cette image me créait un sentiment étrange. Il y mêlait l’humiliation d’un cocufiage quasiment public à une certaine excitation voyeuriste que j’essayais de repousser dans mon subconscient. Voir un autre homme la soumettre à ses désirs pervers, et surtout constater qu’elle les avait acceptés sans aucune révolte apparente, éveillait paradoxalement en moi un plaisir morbide, coupable et particulièrement abject. J’en voulais dès lors d’autant plus à Suzanne. Je sentis la rage me monter à la tête et commençai à lui parler pour résister à l’idée de la gifler. Mais uniquement des mots obscènes me vinrent aux lèvres.
Ces bribes de phrases, d’une vulgarité dont je ne me croyais pas capable, semblaient se former et jaillir de ma bouche indépendamment de ma volonté. C’était comme si je cherchais à la faire réagir, en lui lançant des messages subliminaux sur ma parfaite connaissance de son escapade sexuelle. Mais elle ne réagit point et semblait même encore plus concentrée sur son ouvrage. Et autre idée me vint.
J’avais dans la tête de reproduire le traitement que René lui avait infligé. Qu’elle m’accorde finalement à moi aussi le privilège d’explorer ses fondements secrets. Mais cette fois-ci elle réagit, se dégageant immédiatement de mon membre :
Je me résignai à admettre que je n’avais sûrement pas le même don de persuasion que René. Elle continua sa fellation pour quelques secondes seulement, se redressa, ouvrit sa porte et me dit sur un ton sec, ne tolérant visiblement pas de réplique :
Résigné, je sortis, fis le tour du véhicule et me dirigeai vers son postérieur offert. Elle s’était déboutonnée et avait légèrement descendu ses pantalons. Je voulus, lui descendre également son slip.
Elle l’écarta légèrement de sa main gauche uniquement au niveau de son vagin. La raison de ce caprice m’était évidente. Elle était très humide et je m’enfilai facilement en elle, me demandant si ses secrétions étaient encore celles provoquées par sa séance avec René. Immédiatement je me mis à la besogner sans retenue la tenant fermement par les hanches. Elle n’était pas insensible à mes efforts, poussant de façon régulière de légers gémissements. Dans la semi-obscurité ambiante, je ne pouvais pas voir l’état de son slip. Et quand je commençai à sentir monter son plaisir, je m’aventurai à toucher légèrement son slip au niveau de son anus. Je retirai aussitôt mes doigts en constatant que son sous-vêtement était presque trempé à cet endroit, manifestement du sperme de René. Il était tellement mouillé que je m’imaginai qu’une partie de ces secrétions avait dû couler jusqu’au vagin que j’étais en train d’envahir.
Cette pensée, ou les gémissements maintenant ininterrompus de Suzanne, me firent exploser en elle. Je ne pris même pas la peine de complètement me vider en elle et me retirai précipitamment. Je m’essuyai maladroitement avec un mouchoir et revins m’asseoir sur le siège du passager. Suzanne finit de se rajuster, sans prendre la peine de s’essuyer, et démarra. Le retour se fit, comme le voyage à l’aller, sans s’échanger la moindre parole. Dans mon cerveau, prédominait la pensée que ma femme assise à mes côtés avait maintenant le sperme de deux hommes dans ses deux orifices. Nous arrivâmes à notre demeure et je me mis aussitôt au lit, prétextant mon malaise antérieur. Avant que ma femme ne m’ait rejoint après une nécessaire douche, je dormais déjà à poing fermé.