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Temps de lecture estimé : 7 mn
04/10/11
Résumé:  Un après-midi d'été. Une chaleur étouffante. Aujourd'hui c'est elle qui mène la danse.
Critères:  fh amour revede hmast intermast fellation cunnilingu pénétratio fdanus tutu -totalsexe -masth
Auteur : Marc      
Pensées d'été

Pas une partie de ton corps n’échappe à mes pensées. Parfois érotiques, souvent lubriques, toujours charnelles. C’est avec un plaisir toujours renouvelé que je me surprends en train de me remémorer d’agréables moments passés en ta compagnie, voire de m’imaginer d’autres instants avec toi dans des situations, disons-le clairement, extrêmement chaudes. Bien vite, une réaction se fait sentir à hauteur de mon entrejambe. Bien vite, ma main glisse vers mon caleçon devenu étroit. Bien vite, je ferme les yeux, spectateur et acteur de mon plaisir. Les images défilent.


Une soirée d’été. Une chaleur moite et lourde. Les fenêtres grandes ouvertes, à la recherche désespérée d’un peu d’air. Je suis là, allongé sur le divan, en tenue d’Adam, le boxer en plus. Somnolent, étourdi par la chaleur ambiante. Je zappe aléatoirement, sans beaucoup d’intérêt.


Le bruit de la douche. « Juste pour me rafraîchir » m’as-tu lancé après t’être extirpée de mes bras devenus trop encombrants. D’un coup, tu es là devant moi. Debout, nue, les cheveux humides. Timide mais décidée. Sans un mot, tu me prends par le poignet. Je sors de ma léthargie sans bien comprendre. Seul mon bas-ventre réagit plus promptement. Tu m’emmènes vers la chambre. Tu m’assieds sur le lit. Sourire aux lèvres. Tu te places devant moi, tes seins à hauteur de ma bouche. Ils sont beaux. Les bouts rosés semblent appeler ma langue. Tu me caresses les cheveux, m’invitant à aller au bout de mes pensées. Je te trouve séduisante, attirante. Je m’approche de ton sein droit et sans décrocher mon regard du tien, j’entoure ton téton de mes lèvres. Je sens quelques gouttes d’eau sur mon visage qui perlent de tes cheveux. Tes doigts se resserrent plus fort sur mon crâne. J’aime sentir que tu apprécies mon attention et joue de cela. Ma langue, visible, tournoie autour de tes pointes durcies par ces caresses buccales. Mes mains en profitent pour descendre sur tes fesses, suivant la courbe de ton dos. Je les ai bien en mains et joue à les écarter, sans essayer d’aller plus loin. Pas encore.


Sans prévenir, tu me rejettes en arrière. L’instant d’après tu es sur moi à califourchon. Ta chatte posée sur mon boxer. Tu te frottes par des mouvements de bassin d’avant en arrière, tes deux mains posées sur mon torse, concentrée sur ton plaisir. D’abord timidement, ensuite sans pudeur. Je bande de plus en plus. L’excitation me pousse à vouloir te toucher. J’essaie d’atteindre tes fesses et puis ta poitrine. Sans succès. À chaque tentative tu me replaces les mains au-dessus de la tête. Ça me frustre mais j’aime ça. Je sens mon caleçon s’humidifier.



À ces mots, tu ralentis ton mouvement, semblant hésiter une poignée de secondes. Finalement, tu t’approches de mon visage, maintenant la même position. Délicatement tu poses ton clitoris sur ma bouche impatiente. Tes doigts écartent tes lèvres et mettent en évidence ton petit bouton. Ton odeur m’enivre et me transporte vers un état d’excitation extrême. Le contact de ma langue sur ton clitoris te procure une sensation dans tout le corps. Je te lèche et te suce avec avidité. La tête penchée en avant tu regardes la scène avec attention, la bouche ouverte. Mes mains se dirigent vers ta poitrine, désireuses de participer également à la fête. Tes tétons sont durs et extrêmement sensibles. Tellement que tes seins en sont parfois douloureux. Tu me le dis.


Soudain, laissant ta chatte au contact de ma bouche, penchée vers l’arrière, tu cherches à agripper d’une main la bosse de mon caleçon. À cette simple vue, ma langue redouble d’efforts. Tu le ressens de suite. Faisant preuve d’une grande habilité, tu parviens à libérer enfin mon sexe de son fourreau et tu l’entoures de ta main. Tu le sens tendu et humide à la fois. Ta main accélère par à-coups et m’envoie des décharges de plaisir. À certains moments, je ne peux réprimer un petit cri qui se perd entre tes jambes.


Sentant ta jouissance proche, tu changes de position et viens te placer à mes côtés. Tu continues de me branler. Je tente de rééquilibrer les échanges, plongeant rapidement une main vers ton entrejambe, mais tu m’en empêches, jouant avec moi, réprimant mon envie de te toucher. Tu me retiens d’une main et de l’autre tu poursuis ton mouvement. Tu me regardes. Tu t’approches de mon visage, la bouche à peine ouverte, les lèvres rosées, la langue prête à jaillir. Tu as le contrôle et tu le sais. Ça t’excite. Tu te sens mouillée. Tu m’embrasses à pleine bouche. Nos langues choquent, se croisent et se décroisent. C’est chaud et humide à la fois, électrisant. Ta main sur mon sexe bouge au gré de ta langue.


Au bout d’un court instant, tu prends tes distances en me maintenant le buste des deux mains, prenant soin de laisser une distance entre nous. Tu me regardes encore, coquine, sûre de toi. Tu regardes ma bite tendue et la trouve belle. Progressivement, tu me déposes des baisers dans le cou, sur le torse, se rapprochant dangereusement de mon bas ventre. Lors de ta descente, je sens ta chatte mouillée contre ma jambe. Il me semble que tu te frottes. Je retiens ma respiration. Un, deux, trois baisers et tu me prends dans ta bouche avec force. Pendant de courts instants, ma queue semble disparaître entre tes lèvres gourmandes. Je rejette la tête en arrière, pris de vertiges. La sensation est intense et chaude. Humide aussi. La sensation se concentre sur un point, et pourtant tout mon corps réagit. Je redresse le visage subitement, désireux de te voir en action. Ta main est venue en renfort, soupesant mes bourses pendant que ta bouche continue son mouvement de va-et-vient.


Tu t’arrêtes et me regardes les lèvres pleines. Nos regards se fixent, troublés par tant d’excitation. Tu es occupée maintenant à me lécher le membre comme si d’une glace il s’agissait, tes yeux toujours plantés dans les miens. De bas en haut. L’esthétisme érotique de la situation me monte à la tête. Je n’en peux plus et veux te toucher. Tout de suite. D’une main je parviens à te saisir une jambe et la rapproche vers moi. Cette fois, tu te laisses faire sans opposer la moindre résistance. Au contraire, tu te places de biais, tout en gardant ton attention sur mon membre. Dans cette position, la longueur de mon bras me permet d’atteindre ta chatte sans difficulté. Tu ouvres tes jambes largement, m’invitant à y introduire un doigt. Puis deux. Tu dégoulines. D’une main sur mon poignet, tu me forces à aller plus loin, plus profondément. J’en profite pour explorer ta grotte et commence à effectuer des allers-retours, accélérant le mouvement progressivement. Le contact de mes doigts dans ta mouille émet du bruit. Toi-même, tu émets un râle. Il te devient difficile de continuer ta succion, au contraire de ta branlette qui devient de plus en plus intense. Je sens ma jouissance monter de plus en plus et dans un effort surhumain te demande d’arrêter. Tu as compris, tu stoppes directement. Nous tentons de reprendre nos esprits.


Alors que j’enfile un préservatif, tu te places dos à moi, genoux pliés. Cambrée, tu m’attends, impatiente. La courbe de ton dos me rend fou. Sans autre préliminaire, je m’approche de ton cul, la bite tendue.



Tes supplications accentuent encore mon état d’excitation. Je te pénètre d’un coup, aidé en cela par ton conduit remplis de mouille. Je voudrais être plus doux mais ne peux pas. Mon désir est trop grand, trop intense. J’accélère de plus en plus, vais de plus en plus profond. À chaque mouvement, mes cuisses claquent contre tes fesses. Je vois mon membre disparaître en toi à chaque coup de boutoir. Comme si ton sexe avalait littéralement ma queue. Tu places la paume de ta main sur le mur devant toi pour maintenir l’équilibre. Tes râles sont devenus des cris.



Tes paroles m’encouragent. Tes gestes aussi. Parfois tes doigts soupèsent mes couilles. La sensation est délicieuse.



Brièvement, je tente de caresser ton clito autant que cette position le permette, tout en poursuivant mes allers-retours. Mes mains s’agrippent de plus en plus sur tes fesses, les écartant au maximum. Après quelques mouvements circulaires de mon pouce autour de ton anus, je l’introduis dans ton petit trou avec une facilité étonnante. Tu te cambres encore plus. Je ne suis pas sûr de pouvoir résister très longtemps encore. Je te le dis. Tu partages la même sensation. J’aime ton cul et te le dis. Je te défonce avec force. Tu m’encourages avec tes mouvements et tes cris.



D’un coup, tu tournes la tête par-dessus ton épaule. Ton regard semble décomposé par le plaisir. Tes lèvres rosées sont grandes ouvertes. Tes joues sont colorées. Tout en toi n’est plus que sexe. Cette vision fait monter en moi un plaisir intense, ma queue se durcit et je jouis par tous les pores de mon corps. Je sens jaillir des jets de sperme. Toi-même, tu jouis. Ton corps est pris de tremblements. Nous crions à l’unisson.


Il nous faut du temps pour reprendre nos esprits. Nous sommes tous deux émus. Je sors délicatement mon sexe de ta chatte et tombe épuisé à tes côtés. Tu te blottis contre moi. Je t’entoure de mes bras. Nous nous endormons dans cette position.


Je rouvre les yeux. Étendu sur le sofa, je m’en suis mis partout. Je me dirige vers la salle de bain et me nettoie à l’eau claire. Je vais au lit, essaie de lire et finalement éteins la lumière. Demain c’est boulot. Je me sens déjà mieux.