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Temps de lecture estimé : 11 mn
09/10/11
Résumé:  Je fais connaissance de Tanya, qui souhaite en savoir un peu plus sur ma sexualité spéciale.
Critères:  fh hplusag fsoumise hdomine photofilm nopéné sm -sm
Auteur : Azkinato            Envoi mini-message

Série : Tanya

Chapitre 01
Tanya (Chap 1 & 2)

TANYA




Chapitre 1 : Ma rencontre avec Tanya



J’avais fait la connaissance de Tanya dans des circonstances un peu particulières, un soir en rentrant du travail.


Comme il faisait déjà nuit, et qu’il pleuvait assez fort, je roulais prudemment. En plein virage, je vis une jeune fille presqu’au milieu de la route, qui faisait du stop. Je voulus m’arrêter pour l’houspiller et lui dire que c’était très dangereux d’être au milieu de la route en pleine nuit, mais lorsque je la vis, je n’en n’eus pas le courage. La pauvre n’avait même pas de veste sur elle et était dégoulinante d’eau de la tête aux pieds. Mais surtout ce qui me frappa, c’est la tristesse qui émanait de son visage. Malgré les circonstances, je pouvais constater qu’elle était très charmante, et pas trop mal faite.


Je m’arrêtai donc, mais plus du tout avec les mêmes intentions. À peine eut-elle ouvert la porte qu’elle me supplia :



Elle avait eu une crevaison avec sa voiture, et ne savait pas réparer. Comme il pleuvait très fort, elle avait attendu plus d’une demi-heure à l’abri, en espérant voir une voiture. Ne voyant aucun véhicule venir, elle s’était décidée à partir à pieds chez elle. Elle avait déjà fait plusieurs kilomètres, ce qui expliquait sa tenue si imbibée.


Je proposai de la ramener à sa voiture, et de changer sa roue.



En fait, elle n’habitait pas très loin de chez moi, ce qui ne m’obligeait pas à changer ma route.

Le long du chemin, nous avons échangé quelques banalités sur ce mauvais temps désespérant. Arrivés chez elle, elle m’invita à prendre un verre pour me remercier.


Lorsqu’elle m’eut servi un bourbon, elle s’excusa de me laisser seul, le temps qu’elle prenne une douche. Pendant qu’elle était dans sa salle de bain, j’eus pitié d’elle. Lorsqu’elle revint après s’être changée, je lui proposai alors :



Elle était gênée, mais comme il n’y avait pas très longtemps qu’elle était dans la région, et qu’elle ne connaissait pas grand monde, elle accepta.


Moins d’une demi-heure après, elle repartait avec son véhicule, non sans m’avoir demandé mon numéro de téléphone.


Quelques jours plus tard, je reçus un appel de Tanya qui m’invitait à dîner chez elle, le soir même, pour mieux me remercier.


Arrivé chez elle, elle fut embarrassée de voir que je lui avais apporté des fleurs.



Je lui expliquai alors, que le repas serait déjà bien assez comme remerciement. Et que pour les fleurs, j’étais encore de la vieille école qui conseillait lorsque l’on était invité, et de ne pas venir les mains vides.


C’est vrai que je devais avoir une bonne dizaine d’années de plus qu’elle, et que ceux de son âge ne pratiquaient guère plus ce genre de traditions.


Au cours du repas, j’en appris un peu plus sur elle. Elle avait emménagé ici, chez son copain, il y avait deux mois. Celui-ci était militaire, et en campagne en Afrique depuis presqu’autant, il ne devait revenir que dans quatre mois.

Elle avait 21 ans, était caissière depuis une semaine dans un supermarché non loin de là, et ne connaissait personne. Elle trouvait ses soirées bien longues.


Avant de partir, comme elle m’avait trouvé « super sympa », elle me proposa de venir boire un verre le lendemain soir.


Depuis ce jour-là, c’est presque tous les jours que le lui rendais visite. Nous avions vite sympathisé, et j’avais adopté le tutoiement depuis longtemps. De son côté, même si elle m’appelait par mon prénom, et malgré mon insistance, elle continuait à me vouvoyer.


Au fil des jours, nos conversations déviaient assez souvent sur la sexualité, même si c’était sur le ton de la plaisanterie.



Elle s’étonna de ce que je n’aie pas de petite amie.



J’avais piqué sa curiosité, et elle voulait en savoir plus. Pour l’intriguer davantage, je lui dis simplement.



Ne trouvant pas que j’aie l’air d’un obsédé ou d’un vicieux, elle voulait tout savoir sur cette « sexualité particulière. ». De mon côté, je trouvais qu’elle était encore bien jeune pour s’intéresser au domaine SM. J’ai trouvé une excuse bidon pour partir immédiatement.


Le jour suivant, elle relança la conversation sur mes petites habitudes sexuelles qui pourraient choquer. Une nouvelle fois, je changeai de conversation.


Au fil de nos rencontres, plus elle voulait savoir, plus je trouvais un motif ou une excuse pour ne pas en parler. La seule chose que j’ai lâchée par mégarde fut :



Lassée de ne pas obtenir de réponses à ses questions, et que je refuse de la faire venir chez moi, elle me lança un ultimatum :



J’aimais bien nos rencontres, qui nous permettaient de deviser sur toute sorte de sujets, et pas uniquement de sexe. Elle me plaisait beaucoup, mais mes anciennes partenaires étaient à peu près de mon âge, Tanya avait presque quinze ans de moins. D’autre part elle avait un petit ami, même si elle n’en parlait jamais, je pense qu’elle devait l’aimer. De plus, il n’était pas dans mes intentions de sortir avec elle, je la voyais plus comme une amie, que comme une amante. Mais à force d’insistance de sa part, et voulant continuer à la voir, je finis par lui dire :







Chapitre 2 : Tanya découvre mon univers



Le samedi, à vingt heures précises, la sonnette d’entrée retentit dans ma maison. Je découvris alors une Tanya que je ne connaissais pas, plus féminine que jamais.


Je la mis en garde avant qu’elle ne franchisse le seuil :



Pas un mot ne sortit de sa bouche, mais elle s’avança jusque dans l’entrée.



J’avais déjà préparé le premier accessoire : des lunettes de piscine. La particularité de ces lunettes était que je les avais totalement peintes en noir, à l’intérieur des verres. Tanya ne pourrait donc plus rien voir autour d’elle.


J’avais remarqué qu’une fille qui avait les yeux bandés obéissait plus facilement. De plus, c’était plus pratique qu’un foulard qui n’occultait pas forcément bien la vue, et qui risquait de se décrocher. Et pour une première rencontre, c’était moins choquant que les accessoires spécialisés que je possédais.


Je lui donnai alors les premiers conseils habituels :



Sur ce, je la guidai au milieu du living, et la laissai plantée là debout, sans rien lui dire. Je partis me verser un bourbon, et vins m’installer sur un fauteuil face à elle.


Je la laissai ainsi pendant une demi-heure, sans rien dire, pour tester sa motivation. Durand tout ce temps, elle ne dit pas un mot, et ne bougea quasiment pas. Je lui demandai alors doucement d’ouvrir son chemisier.


Je vis ses mains se lever, et ouvrir un à un tous les boutons attachés. Lorsque ce fut fait, j’eus la joie de découvrir un magnifique soutien-gorge sexy de couleur rouge, ma couleur préférée, avec le noir. Et d’après le peu que je pouvais en voir, une non moins magnifique poitrine.

Après une minute ou deux, je lui demandai de retirer son chemisier. Elle le fit immédiatement sans appréhension.


Je la laissai mariner quelques instants, avant de lui demander d’ôter sa jupe.


Une nouvelle fois sa réaction ne se fit pas attendre, la mini-jupe glissa immédiatement le long de ses cuisses pour rejoindre le sol. Un magnifique string rouge m’apparut, parfaitement assorti à son haut.


Comme je le faisais à chaque première rencontre, et profitant de ce que mes conquêtes ne pouvaient pas me voir, je les prenais en photo. Au moins si elles ne revenaient pas, j’avais toujours ces souvenirs visuels pour alimenter mes phantasmes.


Je lui demandai alors de faire un tour complet sur elle-même en prenant bien son temps, ce qu’elle fit toujours sans un mot de protestation.


Sa rotation prit presqu’une minute, au moins j’avais eu le temps de l’admirer, et de prendre de belles photos.


Pour la suite, je voulais qu’elle dégrafe son soutien-gorge. Continuant à m’obéir, elle le décrocha, et commença à ôter les bretelles sur ses épaules. Je l’arrêtai immédiatement, sur un ton assez dur :



Je vis à son visage qu’elle était surprise par le ton que j’avais employé. Jusqu’à ce soir, j’étais toujours resté calme et tranquille lors de nos rencontres. Elle n’était pas habituée à une intonation aussi autoritaire de ma part.


Pour la suite, je lui demandai de faire descendre son string, jusqu’au dessus de ses genoux.


Le message était bien passé. Elle sa contorsionna pour le faire descendre à la hauteur voulue, en faisant bien attention à ne pas perdre son haut. Son minou était comme je les aimais, sauf qu’il était surmonté d’une légère touffe de poil, et que je les aimais glabres. Mais ce ne serait pas un problème longtemps, si mes petites manies lui plaisaient.


Mon appareil photo commençait à se remplir doucement.



Elle était très intelligente, et comprit immédiatement ce que je souhaitais. Au lieu de se servir de ses mains, elle tortilla son buste et ses épaules, pour que le vêtement chute tout seul.

J’adorais cette séquence, je pouvais ainsi constater de la fermeté de la poitrine de mes conquêtes. Je ne fus pas déçu par celle de Tanya, elle était consistante à souhait.



Une nouvelle fois, elle tortilla du bassin et des cuisses pour ne pas à avoir à se servir de ses mains.


Elle ne semblait pas gênée d’être entièrement nue à présent devant moi. Par contre, ce qui me surprit de sa part, c’est qu’elle se prenne au jeu, et qu’elle n’ait pas encore retiré ses lunettes. Mais aussi, c’est qu’habituellement elle était extrêmement volubile, et que jusqu’à présent elle n’avait toujours pas dit un mot.



Là encore son tour fut assez lent, j’eus bien le temps d’admirer sa plastique, et de prendre de nouveaux clichés.



Sa réponse fut la même, je pouvais donc continuer sur ma lancée.



Léger mouvement de ses pieds, qui étaient à présent disjoints d’environ cinquante centimètres.


Je m’approchai alors d’elle, et commençai par caresser son visage, un léger sourire apparut. Mes mains descendirent ensuite doucement de chaque côté de ses seins, se contentant d’en effleurer les bords. Sans s’arrêter, l’une d’elle continua sur son ventre, alors que l’autre se dirigea sur son dos. Celle qui était devant alla jusqu’au mont de Vénus, l’autre descendit jusque sur le haut du postérieur de Tanya. De concert, elles continuèrent leurs caresses, se satisfaisant de ces zones, sans jamais aller plus bas.


Les frissons de Tanya prouvaient qu’elle appréciait ces effleurements. Elle aurait peut-être souhaité que je continue, d’autant que les pointes de ses seins étaient à présent bien tendues, mais ce n’était pas le but de cette soirée.



Le contact du carrelage froid accentua encore plus ses frissons, mais cette fois ce n’était peut-être plus dû aux mêmes sensations.


Je la laissai ainsi de nombreuses minutes, le temps de plusieurs photos de son intimité.



Puis je précisai :



C’est maintenant sa partie arrière qui fut fixée pour l’éternité par l’objectif de mon appareil.


Tanya ne montrait toujours aucun signe de velléité. Soit elle jouait le jeu par plaisir, soit elle attendait que j’aie fini par fierté, et m’annoncerait cela ne lui plaisait pas. Il serait temps de voir à ce moment-là.



Elle reprit la position d’avant, en ayant bien suivi mes conseils pour ses cuisses.



Elle sembla surprise par cette phrase, se demandant ce que j’attendais d’elle.


Ce que je voulais connaître, c’était sa sexualité : ce qu’elle aimait, ce qu’elle n’aimait pas, ce qu’elle faisait, ou refusait, ce qu’elle n’avait jamais fait, et ne ferait jamais, si elle avait des phantasmes. Enfin tout ce qui pourrait me servir pour mon plaisir. Et mon plaisir était d’obliger mes partenaires à faire ce qu’elles n’avaient pas spécialement envie.


Elle répondit, parfois avec une certaine gêne, à toutes mes questions, n’oubliant pas d’ajouter Monsieur à ses réponses.


Je savais à présent tout ce que je lui ferais faire par la suite, si elle avait aimé cette soirée.


Vers vingt-deux heures, je lui avais fait faire tout ce que j’avais prévu pour cette soirée d’initiation. Et elle y avait répondu favorablement, maintenant il restait une question à laquelle je ne pouvais pas répondre : reviendrait-elle ? Je souhaitais que « Oui » de tout mon cœur. Mais serait-ce aussi son avis.


Je lui demandai alors de se rhabiller, toujours en gardant le silence. Puis je la raccompagnai jusqu’à la sortie, en lui disant :



À peine fut-elle sortie, que je notai tout ce qu’elle m’avait dit sur ses orientations sexuelles, je faisais toujours cela avec mes anciennes.


Avant de me coucher, je mis sur mon ordi les nombreux clichés que j’avais faits d’elle. Et c’est en pensant à elle, que je me donnai du plaisir plusieurs fois dans la nuit.

Si tout allait bien, ce serait la dernière fois que ma main me servirait de dérivatif.