| n° 14607 | Fiche technique | 25183 caractères | 25183Temps de lecture estimé : 15 mn | 12/10/11 corrigé 12/06/21 |
| Résumé: Sophie découvre la sodomie et continue dans l'exhibition. Elle se venge de ma tromperie. | ||||
| Critères: extracon copains vengeance exhib fellation pénétratio fdanus fsodo -couple+h | ||||
| Auteur : Sal75 Envoi mini-message | ||||
| Épisode précédent | Série : Les bonheurs de Sophie. Chapitre 03 / 04 | Fin provisoire |
Lors de l’épisode 1 (n°14395), Stéphane et Sophie découvrent leur corps en même temps que les plaisirs du sexe.
Dans l’épisode 2 (n°14457), pendant leurs vacances dans le sud-est de la France, ils expérimentent l’exhibitionnisme et y prennent goût. Stéphane a une aventure et découvre la sodomie dans les douches du camping.
Fin août, je suis allé la chercher à la gare de Lyon à Paris, à son retour de colonie où elle était mono, nous nous sommes bien évidement amoureusement embrassés sur le quai à sa descente de train. J’ai pris ses valises et suis allé les mettre dans la voiture en attendant qu’elle ait fini de s’occuper des gamins.
Nous avons ensuite pris le chemin du retour. Après quatre semaines sans rapport, je ne pensais pas qu’à ça, mais presque. Dans la voiture, je lui demandai comment ça s’était passé et elle me raconta son premier mois de colonie. Une fois sur l’autoroute, pendant qu’elle continuait à me raconter les anecdotes de son séjour, je posai la main sur sa cuisse. Elle portait une petite jupe qui lui arrivait à mi-cuisse.
Je commençai par la caresser au-dessus du genou, avant de remonter lentement vers son aine. Je passai un doigt le long de l’élastique de sa culotte, elle se tut. Je caressai alors son sexe au-dessus du fin tissu et sentis une humidité s’y installer. Elle posa sa tête sur mon épaule, semblant attendre la suite. Je continuai à caresser l’intérieur des cuisses, à masser son entrejambe par-dessus sa culotte qui était maintenant mouillée. Elle avait fermé les yeux et se laissait faire. Sa culotte était maintenant carrément trempée, elle leva un peu les fesses et baissa sa culotte à mi-cuisse, elle prit ma main et la mit entre ses cuisses.
Elle me murmura à l’oreille :
Je passai un doigt le long de sa fente la faisant gémir ; arrivé en haut, je m’attardai un peu sur son bouton avant de redescendre le long de son sexe et de la pénétrer du doigt. J’alternai alors masturbation du clitoris et va-et-vient dans son vagin. Elle se mit à haleter de plus en plus et, d’un coup, elle serra les jambes emprisonnant ma main entre ses cuisses. Elle jouit longuement.
Arrivé chez elle, nous nous sommes précipités dans sa chambre pour baiser comme des fous.
Une fois calmés, nous avons vidé la voiture et rangé ses affaires. Après cela, nous avons fait l’amour tendrement avant le retour du travail de ses parents. Après avoir dîné et regardé un film avec ses parents, nous avons gagné sa chambre et nous sommes couchés. J’aurais bien refait l’amour mais elle était fatiguée. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain matin quand nous nous sommes levés, ses parents étaient déjà partis au travail, nous avions la maison pour nous seuls. Nous sommes allés dans la cuisine prendre notre petit-déjeuner. Nous avions fini lorsqu’autour de la conversation elle me demanda :
Je lui répondis après un petit temps :
Elle a dû se rendre compte que quelque chose n’allait pas car elle est venue s’asseoir sur mes genoux face à moi et m’a dit :
Après un moment, j’ai fini par avouer :
Elle m’a regardé bizarrement, je ne savais pas comment elle allait réagir et elle devait aussi se le demander.
Je lui racontai alors ce qui c’était passé dans les douches du camping. (Les bonheurs de Sophie – 02). Lorsque j’ai fini de lui narrer mon aventure, elle avait les yeux brillants. Elle mit la main entre mes jambes et constata que je bandais. Je glissai mes mains derrière ses fesses et m’aperçus qu’elle était trempée. Elle me dit en libérant ma queue :
Elle m’embrassa aussitôt à pleine bouche et se souleva pour s’empaler sur ma bite. Alors qu’elle montait et descendait sur moi, je caressais ses fesses et son petit trou. Après plusieurs minutes de ce traitement, elle se leva, se retourna et, mettant ses mains sur la table, me présenta son derrière. Je la pénétrai et commençai de profonds va-et-vient. À un moment elle se releva, tourna la tête pour que je l’embrasse puis me dit :
Elle se recula un peu, mit ses coudes sur la table et se cambra pour m’offrir son petit cul. Étonné mais intéressé, je pris un peu de beurre qui était resté sur la table du petit-déjeuner et lui badigeonnai l’anus. Je rentrai un puis deux doigt pour lui dilater le petit trou. Une fois bien lubrifiée et dilatée, je me glissai dans son vagin pour bien mouiller ma queue puis posai mon gland sur son anus. Très lentement, je commençai à pousser, je sentis mon gland entrer en elle. J’arrêtai une minute la progression pour la laisser s’habituer. Lorsque je sentis qu’elle remuait son petit cul, je repris la pénétration et m’enfilai en elle lentement mais profondément. Une fois totalement en elle, j’attendis qu’elle remue ses fesses pour commencer les va-et-vient. Je me retirai lentement puis la pénétrai tout aussi lentement. Elle commença à gémir trahissant son plaisir. Elle me dit :
J’obéis et savourai chaque instant dans ses fesses. Je glissai une main entre ses cuisses et lui caressai le clitoris en la sodomisant. Elle gémit :
Je la sentis se contracter et compris qu’elle jouissait. J’étais profondément en elle et sentis son anus me serrer la base du sexe presque à m’en faire mal. De l’entendre jouir et de la sentir palpiter sur ma queue provoqua ma jouissance. Je me vidai en elle dans un grognement de plaisir. Je restai en elle le temps de récupérer, nous étions bien. Lorsque je me retirai d’elle, un peu de sperme coula de son cul, elle y mit sa main et se caressa la raie avec. Elle me dit :
Nous sommes allés nous laver avant de sortir retrouver nos copains.
Quelques jours plus tard, c’était la rentrée. Nous étions en terminale, nous nous sommes retrouvés dans la même classe avec la plupart de nos copains. Nous dormions ensemble généralement les vendredis et samedis soir tantôt chez les parents de l’un, tantôt de l’autre. La semaine, nous passions souvent la soirée ensemble mais dormions chacun chez soi. Si la semaine il fallait s’organiser pour faire l’amour, par contre le week-end, nous pouvions profiter l’un de l’autre autant que nous voulions.
Aux vacances de la Toussaint, ses parents partaient en voyage, nous allions donc avoir la maison pour nous seuls. Quelques jours avant les vacances, un moniteur de Lyon qu’elle avait connu au mois d’août lui demanda si elle pouvait l’héberger pour une nuit, car il avait à faire à Paris. Elle demanda l’autorisation à ses parents qui acceptèrent, sachant que je serai là.
Les vacances arrivèrent, nous avons emmené ses parents à Orly. Le lendemain arrivait son ancien collègue, nous sommes allés le chercher à la gare en fin d’après-midi. Il avait un rendez-vous le lendemain en fin de matinée et repartait pour Lyon en début d’après-midi. Il avait 18 ans, brun, 1,75 m environ, les yeux bleus. Mince et athlétique, il devait plaire aux filles.
Nous avons fait un peu connaissance dans la voiture, il était sympa et paraissait plutôt timide, surtout avec Sophie. De retour à la maison, nous avons pris l’apéritif. Ils se remémoraient leur mois d’août, j’étais un peu de côté. Nous avons dîné puis regardé un film. L’ambiance était bonne, il était sympa, même si je me sentais par moment à l’écart, quand ils discutaient de leurs expériences estivales. Voyant que j’avais du mal à suivre leur conversation, Sophie proposa de faire un strip 4-2-1. Voyant ma tête, elle se hâta de préciser :
À la plage elle était seins nus, mais ça me gênait quand même un peu qu’elle les montre à son collègue. J’acceptai quand même. Son copain n’attendait que mon accord pour donner le sien. Sophie proposa qu’on aille dans sa chambre, qu’elle avait très grande, ce qui nous permettait d’être à l’aise. Je suis allé chercher une nouvelle bouteille et sommes montés dans sa chambre avec nos verres.
Une fois installés par terre, en cercle, je fis le service puis nous commençâmes à jouer. Le principe était simple : chacun avait trois lancers pour faire la meilleure figure et le perdant devait répondre à une question ou enlever un vêtement. La question était posée par le gagnant. Nous avons commencé la partie. J’ai perdu trois fois de suite et ai retiré mes chaussures, chaussettes et tee-shirt. Puis ce fut le tour de Sophie de perdre, elle retira ses chaussures. Damien perdit et retira, lui aussi, ses chaussures.
Pour le moment, personne ne prenait les questions. Damien et moi avions nos pantalons et slips lorsque Sophie, à qui il ne restait que pantalon, culotte et soutien-gorge, perdit alors que Damien avait gagné. Sophie choisit la question. Damien lui demanda après hésitation si elle suçait. Sans aucun complexe, elle répondit que oui, qu’elle laissait toujours celui qu’elle avait en bouche se vider en elle et qu’il lui arrivait, quand elle était suffisamment excitée, d’avaler.
Au tour suivant, il perdit et retira son pantalon, nous avons alors pu voir qu’il commençait à bander. Son malaise augmenta lorsque Sophie perdit alors que j’avais gagné et qu’elle retira son pantalon. Pour cela elle se leva, déboutonna son pantalon, commença à le baisser, sa culotte se baissa aussi, nous faisant voir un début de toison. Damien avait les yeux qui lui sortaient de la tête. Loin d’être jaloux, cette situation m’excitait. Sophie nous tourna le dos et continua à baisser son pantalon. Sa culotte descendit dévoilant à moitié ses fesses. Elle enleva entièrement son pantalon avant de la remonter. Au coup suivant, c’est Damien qui perdit et Sophie qui lui posa une question :
Il répondit timidement :
Sophie voulut lui poser d’autres questions mais je lui fis remarquer que c’était une seule question. Nous avons repris la partie et il perdit de nouveau alors que Sophie gagna. Elle lui demanda de nous dire ce qu’il avait fait lorsqu’il avait fait l’amour. Il répondit que c’était à une soirée qu’ils s’étaient connus et isolés dans une chambre. Ils s’étaient rapidement caressés dans le noir avant qu’elle le guide en elle. Il avait joui très vite et ne savait pas si elle avait pris du plaisir. Elle lui avait dit que c’était très bon et était partie.
Nous avons fait une pause et avons bu un verre. Le vin et l’excitation nous ont grisés. Nous avons repris la partie, c’est Sophie qui perdit et Damien qui gagna. Elle choisit la question. Il a voulu qu’elle lui raconte la première fois où elle avait sucé un mec. Elle raconta alors se qui c’était passé sous la tente sans préciser que c’était avec moi. (Les bonheurs de Sophie – 01). Elle a bien insisté sur les détails et nous avons pu voir l’effet que ça lui faisait. Sa queue était à l’étroit. Sophie avait les yeux qui brillaient et la situation m’excitait de plus en plus.
Le coup d’après, je perdis et retirai mon pantalon. Au suivant, ce fut Sophie qui perdit et moi qui gagnai. Je croyais qu’elle allait choisir la question mais elle décida de retirer son soutien-gorge. Elle me jeta un rapide regard pour s’assurer de mon accord puis le regarda fixement en mettant ses mains dans son dos. Elle dégrafa son soutien-gorge et le retira en cachant ses seins d’un bras. Elle le regarda dans les yeux, lui ne pouvait pas et fixait le bras de ma chérie qui cachait ses seins. Elle le retira et nous avons pu admirer ses magnifiques seins. Damien n’osait pas regarder ; son regard passait du mien, à celui de Sophie puis à ses seins. Elle était assise en tailleur et se pencha en arrière en appui sur ses bras tendus faisant ainsi ressortir sa poitrine. Ses seins avaient légèrement augmenté de volume, on pouvait les deviner bien ferme et les tétons pointaient vers nous, ce qui trahissait une grande excitation de sa part. Du côté des gars, nos queues étaient plus qu’à l’étroit dans nos slips.
Nous avons repris la partie et j’ai perdu. Mon sexe me faisant mal dans mon slip, je décidai de le libérer en annonçant que je retirai mon dernier vêtement. Bien que nous ayons dit que nous nous arrêterions aux slips et culottes, personne ne protesta. Sophie se contenta de dire :
Je me suis levé et suis allé à côté d’elle, elle se mit à genoux devant moi. Nous étions de trois-quarts face par rapport à Damien. Ma chérie prit mon dessous de chaque côté et commença à le faire descendre. Mon sexe turgescent gênait la manœuvre. Elle réussit quand même à le libérer et je me retrouvai avec le sexe à l’air juste devant son visage. Elle le prit en main et, en regardant Damien dans les yeux, y approcha la bouche. Elle tira la langue et posa mon gland dessus. Après avoir jeté un regard pour avoir ma permission, elle me prit en bouche et me suça quelques instants en regardant Damien. Le pauvre était tout rouge, on aurait dit qu’il allait exploser.
Nous avons repris le jeu, Sophie a perdu et Damien gagné. Elle a choisi la question et il lui a demandé de raconter une expérience qui l’avait marquée. Ma chérie narra notre aventure dans la montagne (Les bonheurs de Sophie – 01). Elle racontait avec beaucoup de détails pour nous exciter encore plus.
Au tour suivant Damien perdit et il choisit de retirer son slip. Ma chérie se proposa pour lui retirer. Bien évidemment, il accepta. Sophie le fit se lever et se mit à genoux devant lui de façon à ce que je ne manque rien du spectacle. Elle procéda comme pour moi et eut le même résultat. On découvrit son sexe fièrement dressé, il était plus long que le mien et légèrement plus gros. Elle le prit dans sa main droite et le masturba lentement. De sa main gauche, elle lui caressait les couilles. Elle le décalotta et approcha ses lèvres de son gland. Damien se voyait déjà dans sa bouche et j’y croyais aussi. Contre toute attente, elle se contenta de lui faire un petit baiser et revint s’asseoir à sa place.
Elle s’installa les genoux pliés devant elle et les ceintura de ses bras, elle écarta un peu les pieds ce qui permettait à Damien d’avoir une vue sur sa culotte et il ne se gênait pas pour regarder. Il fixait tellement intensément le sexe de Sophie, qu’elle finit par lui dire :
Elle écarta les cuisses pour bien lui montrer. Je me penchai pour voir et pus constater qu’elle était trempée. Elle resta comme ça et prit les dés pour jouer. Elle perdit et annonça qu’elle retirait sa culotte. Elle se leva, nous tourna le dos et baissa sa culotte. On pouvait voir ses magnifiques fesses. Elle se retourna et nous avons pu admirer sa toison. Elle se rassit de telle sorte qu’on ne voit rien d’autre. À ce stade, elle décida de changer les règles :
On s’est regardé et avons accepté. La partie a alors repris. Sophie a gagné et j’ai perdu. Je me suis levé et suis allé à côté de Damien. J’ai pris sa queue dans ma main, c’était bizarre. Pour la première fois de ma vie, je tenais en main et branlais une bite qui n’était pas la mienne. Sophie se régalait, elle avait les yeux brillants.
Le tour suivant, elle perdit. Elle se recula pour s’adosser au lit et écarta les cuisses comme annoncé. On vit qu’elle était vraiment très excitée. Elle commença par s’enfoncer un doigt dans le vagin en poussant un petit grognement de plaisir, ensuite elle écarta ses lèvres intimes pour nous montrer son clitoris et se le caressa avec un doigt. Nos bites étaient prêtes à exploser tellement le spectacle était excitant. C’était la première fois que je la voyais se branler.
Nous avons repris la partie et elle a encore perdu. Avec un petit sourire, elle se leva et alla chercher la bougie sur la table basse. Ensuite, elle alla se mettre sur le lit, nous présentant son cul. Elle se cambra pour bien nous montrer ses orifices. Son sexe était prêt à être pénétré. On pouvait voir son mignon petit trou plissé. Elle prenait plaisir à nous montrer son corps. Elle glissa sa main avec la bougie entre ses cuisses et se caressa le sexe avec. Elle présenta son extrémité devant son vagin et tourna la tête pour voir nos réactions. Elle fit pénétrer doucement la bougie, on pouvait voir le plaisir qu’elle prenait sur son visage. Elle fit aller et venir la bougie en elle en gémissant de plaisir. Elle s’arrêta avant de jouir. Elle se retourna sur le dos et se pénétra de nouveau avec la bougie en nous regardant. Elle nous demanda :
On n’était pas capable de répondre, tellement nous étions excités. Je me demandais si elle allait aller jusqu’au bout si elle perdait et que Damien gagnait. Qu’elle le caresse, voire qu’elle lui taille une pipe, je pouvais l’accepter mais qu’elle se fasse prendre me dérangeait. Je me dis qu’elle n’oserait pas aller jusque-là.
Alors que Damien avait pris les dés pour relancer un tour, Sophie se leva et vint devant moi, elle prit ma tête et la plaqua sur son sexe pour que je la lèche. Elle était vraiment trempée, je buvais son plaisir. Après une minute de ce traitement, elle se retira et alla présenter son sexe à Damien pour qu’il goûte à son plaisir. Après qu’il eut dégusté son sexe, elle le fit se lever et prit sa queue en main, elle le branla quelques instants avant de se mettre à genoux devant lui. Il se pencha et prit ses seins en main. Il se mit à les pétrir, elle gémit et prit la verge tendue en bouche. Il poussa un gémissement. Elle se mit à le sucer en me regardant. Ça me faisait un peu mal de la voir le sucer mais, d’un autre côté, c’était très excitant. Je ne pensais pas qu’elle irait au bout mais, encore une fois, je me trompais lourdement. Damien gémit et annonça qu’il allait jouir. Au lieu de se retirer elle redoubla d’ardeur et le fit jouir dans sa bouche avalant son sperme jusqu’à la dernière goutte.
Après cela, elle revint vers moi et m’embrassa à pleine bouche prenant ma bite en main. Elle me caressa doucement. Elle s’était assise à côté de moi, elle écarta les cuisses et se caressa de sa main libre. Elle écartait les lèvres de son sexe pour bien montrer son intimité à Damien. Il ne tarda pas à rebander devant se spectacle. Elle me souffla à l’oreille :
Elle se leva, le fit s’allonger par terre et s’accroupit dessus. Elle prit sa queue et la présenta à l’entrée de son vagin. Elle me regarda et descendit lentement sur la bite. Le plaisir qu’elle prenait se voyait sur son visage. Elle me dit :
Elle montait et descendait sur la queue. Elle me dit :
J’allais derrière et vis la bite de Damien aller et venir dans le sexe trempé de ma chérie. Elle changea de position et s’allongea sur le dos en l’invitant à venir la prendre. Ils baisaient sans s’occuper de moi. Elle gémissait et l’encourageait. Après quelques minutes de ce traitement, elle se mit à quatre pattes devant moi lui présentant son cul. Il la pénétra et elle poussa un grand gémissement de plaisir. Elle me dit :
Elle jouit bruyamment et il se vida longuement en elle, comme elle l’avait espéré. Après avoir repris ses esprits, elle se retourna pour me présenter ses fesses et me dit :
Je voyais le sperme couler en grande quantité de son sexe. Elle me regardait et était heureuse. J’étais perturbé mais avais toujours une érection d’enfer. Elle vint m’embrasser et me branla fortement pour que je jouisse sur elle. Elle me dit :
Je jouis abondamment sur son ventre. Le plaisir que j’y pris fut plus physique que moral.
Elle l’accompagna dans la chambre d’amis en lui promettant de lui faire une gâterie le lendemain avant son départ.
Nous sommes allés nous coucher et nous nous endormîmes rapidement. Elle, pleine de plaisir, et moi, avec un goût amer dans la bouche.
Le lendemain matin, nous prîmes le petit déjeuner ensemble. Puis sommes allés prendre notre douche ensemble. Sous la douche, elle nous suça puis, me gardant en bouche, elle releva son derrière et lui proposa de la prendre en levrette. Il ne se fit pas prier et la lima fortement. Elle arrêta de me sucer pour me dire :
Elle jouit mais lui n’était pas prêt, il continua de la baiser mais plus lentement, savourant le sexe de ma chérie. Autant ça me faisait mal, autant Sophie prenait du plaisir. Elle recommença à gémir mais n’eut pas le temps de jouir une seconde fois avant qu’il ne se vide en elle. Elle se retourna et me dit :
Je la pénétrai, elle était tout gluante de son sperme. Après quelques va-et-vient, elle jouit. Elle se releva et me branla en me disant que c’était très bon. Elle me fit encore une fois jouir en me masturbant.
Nous avons fini de nous préparer et avons accompagné Damien jusqu’à la porte. Sur le pas de la porte, elle s’agenouilla devant lui et lui fit une fellation d’enfer. Il jouit de nouveau dans sa bouche. Elle se releva me fit face et me montra ce qu’il lui avait mis dans la bouche. Elle avait la bouche pleine de liquide blanchâtre qu’elle avala devant moi, semblant s’en délecter.
Après cet épisode, nous avons repris une vie normale jusqu’aux vacances suivantes…