n° 14620 | Fiche technique | 39626 caractères | 39626Temps de lecture estimé : 23 mn | 22/10/11 |
Résumé: Quand un vieux fantasme devient réalité. Attirance réciproque d'une belle-mère et de son gendre. | ||||
Critères: fh fplusag extracon amour revede voir hmast intermast fellation cunnilingu pénétratio confession -enfamille | ||||
Auteur : Alexander |
Il m’est arrivé une chose incroyable, ma belle-mère, le fruit de mes fantasmes vient de faire l’amour avec moi…
Je m’appelle Romain, je m’approche de la cinquantaine et je suis brun tirant à présent sur le gris. J’ai les yeux couleur noisette et fait 1m78 pour 77 kg. Ma belle-maman fait environ 1m 66 mpour 75 bons kilos, je pense, mais à plus de 70 ans, sa gaîté et son charme, ses formes lui en donnent dix de moins.
Je suis marié depuis 35 ans avec une femme que j’aime mais qui ne m’a jamais apporté beaucoup de passion en amour, nos relations sexuelles étant de plus en plus espacées depuis la naissance de nos deux enfants.
Le jour où j’ai fait la connaissance de ceux qui allaient devenir mes beaux-parents, j’ai flashé tout de suite sur celle qui allait devenir ma belle-mère. On ne peut pas dire qu’elle soit un vrai canon, mais je ressens pour elle une véritable attirance. Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis masturbé en pensant à elle, m’imaginant dans toutes sortes de situations, alimentant mes fantasmes les plus secrets.
Un jour d’été, alors que nous étions à la plage avec ma femme, les enfants, beau-frère et belle-sœur, ma belle-maman est venue nous rejoindre pour passer l’après-midi en notre compagnie. Je la voyais depuis un petit moment qui observait sa belle-fille et sa propre fille d’une drôle de façon. Elle avait l’air surprise de les voir les seins à l’air. Ce n’est qu’au bout d’une dizaine de minutes, qu’elle leur dit :
J’en restais coi, guettant le moindre de ces gestes tout en restant le plus discret possible. Depuis le temps que je voulais voir ses seins, j’allais enfin être exaucé !
Aussitôt dit, elle dégrafa le haut de son maillot de bain mais je sentais en elle une certaine gêne. Je l’observais toujours le plus discrètement possible avec une érection naissante qui commençait à prendre forme dans mon maillot de bain. Mon sexe devenait à l’étroit dans ce bout de tissu car, à l’époque, je portais un slip ne cachant que le stricte minimum.
J’ai dû me mettre à plat ventre sur ma serviette pour ne pas que ça se voie et de ce fait, j’étais face à elle avec une vue magnifique. J’ai pu contempler à loisir ses seins qui étaient nettement plus volumineux que ceux de sa fille. Une poitrine ronde, pas énorme, de belles aréoles surmontées de deux belles petites framboises bien dressées. Bref, des seins comme je les aime, qui donnent envie d’y goûter. J’ai toujours fantasmé sur ses seins et j’ai toujours pris beaucoup de plaisir à les deviner sous une robe, pull, maillot de bain ou sous les chemisiers qu’elle mettait qui laissaient transparaître son soutien-gorge.
De retour au campement, je n’avais qu’une idée en tête, la voir complètement nue. J’avais hâte de la découvrir dans le plus simple appareil. J’ai réussi à exhausser mon vœu quelques jours plus tard grâce à son mari.
Nous campions sur un petit terrain en plein bourg d’un petit village côtier et mon beau-père, très bricoleur, avait installé une douche près des toiles de tentes. Cette dernière était réalisée comme une cabine de plage, en toile recouverte extérieurement de canisses, petit roseaux liés les uns aux autres par du fil de fer et utilisés comme brise-vent ou brise-vue. Le réservoir en plastique noir et la pomme de douche étaient composés d’éléments de récupération car il n’y avait pas d’eau chaude. Nous étions déjà à l’heure écologiste, le soleil d’été se chargeait du reste… Le luxe ici, c’était d’avoir le service d’eau.
Une petite ampoule suspendue au-dessus du compartiment, éclairait l’intérieur afin de permettre à celui ou celle qui voulait se doucher à la tombée de la nuit, d’y voir sans problème. Le hic, c’est qu’une petite partie de la toile ne joignait pas et laissait filtrer un rai de lumière. Pas gênant dans la journée mais la nuit…
Cela fut suffisant pour attirer mon attention un soir et jouer au voyeur. Ma belle-mère se lavait et je pus la voir et la contempler à loisir sans qu’elle ne se doute de rien. J’ai ainsi pu admirer ses formes, ses seins, son sexe que je découvris pour la première fois. Elle avait un sexe légèrement poilu, à l’époque l’épilation ne se pratiquait pas vraiment. Dommage ! Mais j’étais à nouveau pris d’une terrible érection et fut malgré tout obligé de me masturber dans la plus stricte discrétion, tout près d’elle. Ma jouissance fut très abondante et je crois bien que je n’avais pas connu ça depuis longtemps.
Je ne compte plus le nombre de fois où, faisant l’amour avec ma compagne, le souvenir du corps de belle-maman me hantait et j’imaginais que c’était avec elle que je baisais. J’en avais un peu honte mais le fantasme étant plus fort, je ne tardais pas jouir et éjaculer avec une force inouïe.
Les années passèrent avec les mêmes fantasmes mais je me contentais seulement de l’observer dès que c’était possible. Je ne compte plus le nombre de fois où, vêtue d’un chemisier blanc très transparent, je pouvais apercevoir son soutif et ses deux pointes de seins très sombres qui dardaient à travers l’épaisseur des tissus.
Mon beau-père décéda quelques années plus tard et nous passions la voir ou lui téléphonions très souvent afin d’essayer de lui remonter le moral. Un jour, j’ai décidé qu’une visite serait plus bénéfique qu’un simple appel téléphonique. Elle habitait dans un lotissement d’une vingtaine de maisons à quelques kilomètres de chez nous. Griffonnant un message à l’intention de ma compagne afin de la prévenir du motif de mon absence, je me rendis aussitôt chez ma belle-mère.
En à peine une demi-heure, je me trouvais devant la porte de son pavillon, ému et ne sachant trop comment appréhender cette visite. J’allais enfin me retrouver seul avec elle mais la situation était malgré tout assez gênante.
Surprise par le timbre de la sonnette de la porte d’entrée, se demandant qui pouvait bien venir lui rendre visite, Thérèse abandonna son repassage qui lui permettait de s’évader un petit peu, pour se hâter d’aller ouvrir à ce visiteur inattendu. Découvrant ma silhouette, celle de son gendre préféré comme elle le disait si souvent en rigolant, elle se jeta à mon cou, m’embrassant passionnément, heureuse de ma visite :
Suivant belle-maman, j’arrivai à la cuisine.
Nous étions toujours dans le hall d’entrée, debout face à l’autre. Ne pouvant contenir son chagrin et l’angoisse qu’elle portait en elle depuis le décès de son mari, Thérèse laissa éclater son désarroi encore présent dans son esprit et trop longtemps contenu. Elle se jeta littéralement à mon cou, s’accrochant désespérément et éclata en sanglot.
Ému par la détresse de ma belle-mère pour qui j’éprouvais une immense compassion, j’ai tenté de la consoler, lui murmurant des petits mots de réconfort à l’oreille, lui embrassant tendrement la joue, le cou, la serrant affectueusement contre moi. Ces marques d’affection ne firent qu’accroître encore ses sanglots. Un peu désemparé, pris d’une certaine compréhension et compassion, j’entrepris alors de lui tapoter doucement le dos, commençant à la caresser pour marquer mon affection. Par ces gestes, je voulais lui faire comprendre que je compatissais son malheur, à sa douleur.
Peu à peu, les sanglots s’estompèrent pour devenir de plus en plus espacés. Lentement Thérèse se calma, restant blottie contre mon épaule. Ravi de constater que ses sanglots commençaient à s’espacer, je continuai néanmoins mes tendres caresses.
Je restai un bon quart d’heure ainsi, tendrement enlacés ; Thérèse reprit lentement ses esprits toujours plaquée contre mon torse, mais je continuais doucement à frôler tendrement son dos.
Dans ces effleurements pourtant bien anodins, je sentais l’agrafe de son soutien-gorge à chaque fois que mes doigts passaient dessus. La découverte de ce détail vestimentaire me fit prendre conscience soudain que depuis un moment, ses seins, qui avaient alimenté mes fantasmes pendant des années, s’écrasaient mollement contre ma poitrine. Malgré l’épaisseur de nos vêtements, je pouvais sentir avec émotion, la douceur moelleuse des ses deux globes charnus contre moi. Cela me procura une sensation très agréable mais bizarre à la fois. Un sentiment fait d’excitation et de honte en même temps : excitation provoquée comme je le disais par ces deux fruits délicieux et honte d’éprouver ce genre d’attrait sexuel dans un pareil moment, pour cette femme qui venait de perdre son mari.
Le contact terriblement sensuel de ses seins contre mon torse, me travaillait étrangement. À ma grande confusion, j’ai senti que j’éprouvais un certain plaisir à percevoir la tendre élasticité de ces deux fruits de chair. Jaillissant des tréfonds de mon subconscient, une foule de souvenirs me revinrent en mémoire. Avec émotion, je me remémorai la plage et la vision éblouissante de ses seins il y a quelques années, la vue de son corps lorsqu’elle se doucha et les fantasmes qui, peu à peu, avaient commencé à naître dans mon esprit au fil des années. Combien de fois, l’avais-je imaginée en train de faire l’amour avec moi ? Combien de fois m’étais-je réveillé en pleine nuit, pensant à elle, pris d’une forte érection, et obligé de me masturber pour m’apaiser et assouvir ces fantasmes.
Or, avec l’âge, Thérèse avait pris quelques rondeurs mais cela ne gênait en rien le désir que j’avais pour elle. Je la trouvais encore très attirante et désirable, même avec quelques années de plus.
Étrangère à ce qui me perturbait, Thérèse ne pouvait se détacher de mon épaule, le visage enfoui à la base de mon cou. Elle trouvait, je le pense, un certain réconfort à s’abandonner aux paroles et aux caresses pleines de tendresse que je lui prodiguais.
Tout en continuant de la cajoler d’une manière un peu plus sensuelle et que la bienséance aurait condamnée, je ne pouvais m’empêcher d’éprouver une certaine excitation au contact de son corps, de ses seins écrasés contre moi. Du fait de ses sanglots, Thérèse provoquait, bien involontairement, des ondes sur nos deux corps ce qui faisait que par moment, son ventre venait se frotter au mien, faisant naître en moi un début d’érection. Émoi qui ne fit que s’accentuer au fil des minutes, au point que, soudainement affolé, j’ai senti qu’aux frémissements de mon sexe, une érection prenait naissance dans mon slip. Paniqué, j’ai tenté de repousser ce corps chaud et sensuel qui me perturbait tant. Mais Thérèse abandonnée contre moi et tout à son chagrin s’accrochait désespérément à mon cou, inconsciente du trouble qu’elle créait bien involontairement chez moi.
Sentant mon sexe se dilater inexorablement, j’ai tenté de concentrer son esprit sur le fait que le corps féminin qui se tenait étroitement lové contre moi, était celui de ma belle-mère, la mère de ma femme, la grand-mère de mes enfants. Mais rien ni fit, les frôlements incessants de son corps eurent raison de moi. Mon membre se trouva dans un état d’érection telle, que j’ai songé, affolé, qu’il allait être impossible qu’elle ne s’en aperçoive pas. Ce n’est pas le petit chemisier et la jupe légère dont Thérèse était vêtue qui allaient faire un rempart à l’excroissance qui déformait mon pantalon.
Cependant, Thérèse reprit peu à peu le contrôle d’elle-même et ses sanglots s’atténuèrent. Apaisée mais désirant profiter encore un peu de ce doux réconfort que je lui offrais, elle demeura immobile contre moi, reprenant doucement ses esprits.
Étant enfin redevenue maîtresse d’elle-même, Thérèse se disposait à rompre cette tendre étreinte. Soudain, elle prit conscience que quelque chose de dur et volumineux lui meurtrissait le bas du ventre. Surprise et stupéfaite devant cette découverte, dont elle comprit immédiatement la cause, elle demeura immobile ne sachant qu’elle contenance adopter… Que son gendre ait une telle érection dans un moment pareil la déconcertait au plus haut point. Puis la vérité se fit soudain dans son esprit : la responsable de cet état ne pouvait être qu’elle. Les frottements de son corps contre celui de son gendre, même si ceux-ci étaient bien involontaires, avaient suffit à faire naître chez lui une érection.
Qu’elle ait provoqué un tel désir chez celui qu’elle considérait comme son gendre préféré ; qu’à son âge avancé, elle ait fait naître une telle érection chez un homme qui pourrait être son fils, la perturba énormément. Cette excroissance contre son ventre la troubla étrangement… Le moment de surprise passé, alors qu’elle essayait de comprendre et d’analyser cette nouvelle situation, elle s’aperçut quelque peu déconcertée, qu’elle éprouvait un intense bonheur à sentir cette virilité raide et dure s’écraser contre elle… La bienséance aurait voulu qu’elle s’écartât du corps de son gendre mais elle se refusa à rompre cette étreinte si agréable, si réconfortante, si troublante et excitante à la fois. La fermeté de ce sexe masculin tout près de son pubis lui procurait un plaisir étrange qu’elle aurait aimé faire durer le plus longtemps possible.
Nous demeurâmes ainsi accolés, n’osant bouger, ne sachant comment rompre ce contact aussi gênant pour l’un comme pour l’autre.
Thérèse essaya de se raisonner. Étant la plus âgée, il fallait qu’elle se reprenne. Elle ne pouvait se laisser commander par ses sens, succomber à ce désir qu’elle sentait poindre dans le fond de ses entrailles. Mais à sentir ce sexe arrogant se presser contre son ventre, lui prodiguait un tel bien-être qu’elle repoussa le moment de se désunir… Le visage toujours enfoui dans le cou de son gendre, elle chassa de son esprit toute pensée érotique pour ce concentrer sur cet intense moment de félicité…
Son corps cependant commençait à la trahir et une douce tiédeur, bien connue des femmes, prenait déjà naissance dans son sexe. Elle n’essaya pas de résister à cet afflux de désir car cet appel de la nature devait finir son œuvre. Il lui sembla que je possédais un sexe de bonne taille et cette constatation la troublait un peu plus. S’il la désirait tant, il fallait faire quelque chose pour le calmer. Il y a bien longtemps qu’elle n’avait pas eu de rapport sexuel, qu’elle n’avait pas fait l’amour tout simplement et depuis tous ces événements, son corps ne ressentait plus aucun désir.
Il a fallu que son gendre vienne, la cajole pour que celui-ci se réveille. Depuis la disparition de son mari, elle s’était senti effroyablement seule, vidée, abandonnée par le destin. Puis cette visite lui apportait un réconfort immense, une soif de vivre, une furieuse envie de prendre une revanche sur le destin qui l’avait si douloureusement frappée… Son époux possédait un membre assez court, même ridiculement court par rapport à celui qui lui appuyait en cet instant sur le ventre, mais qui lui avait toujours procuré beaucoup de plaisir depuis plus de quarante ans. Son esprit perturbé tenta de comparer la virilité de feu son mari à celle qu’elle percevait contre elle.
La présence de ce membre viril à quelques centimètres de son sexe lui fit perdre, soudainement liquéfiée, toute retenue.
Avec ce retour à la réalité, j’avais, sans le vouloir, réveillé ses sens endormis depuis plusieurs semaines déjà. Avec l’âge, son époux ne la contentait plus aussi souvent qu’elle l’aurait désiré. En femme aimante et dévouée à son mari, elle avait dû accepter cette situation.
Alors qu’elle en était à se demander comment elle pourrait sortir de cette impasse, j’esquissais un geste pour me dégourdir les jambes. Geste pourtant anodin, mais du fait de notre enlacement, il fit que l’extrémité de mon sexe tendu à travers le tissu, vint heurter le haut de son pubis. Sous ce mini-choc érotique, Thérèse se sentit défaillir, tandis qu’un long frisson lui parcourait le corps. Bouleversée, perdant alors toute retenue, elle articula péniblement :
Terriblement gêné, ne sachant quoi répondre, je tentai de m’écarter d’elle mais elle s’y refusa en me serrant plus intensément. Ce sexe tendu qui lui labourait le bas du ventre l’excitait au plus haut point et elle ne pouvait se résoudre à stopper cet énorme moment de pur bonheur.
Elle en avait profité pour se coller plus étroitement à moi, recherchant ostensiblement le contact de mon érection.
Après un moment d’indécision, me laissant à mon tour emporté par le désir qui me tenaillait, je me plaquai davantage contre elle. Comme ma belle-mère continuait d’onduler du bassin, se frottant d’un mouvement lascif contre mon membre bandé, j’en profitai pour placer mes deux mains sur ses hanches puis les fit glisser subrepticement sur ses fesses qui s’agitaient de plus en plus vite :
Surpris par sa réaction, surtout qu’elle s’était collée encore plus étroitement à moi, recherchant indéniablement le contact de mon érection, je me laissais à mon tour emporter par le désir qui me tenaillait. Forçant Thérèse à s’immobiliser, j’appuyai fermement mon sexe raidi contre son ventre, lui faisant à présent sentir la fermeté de mon désir.
Surprise par ces révélations, Thérèse recula son buste, sans toutefois rompre le contact de son bas-ventre avec ma virilité raidie, pour me fixer droit dans les yeux.
Prise d’un excès de pudeur, Thérèse posa ses mains sur les deux bosses qui déformaient son corsage, comme pour me les cacher, prise par une pudeur tardive. J’avais l’impression de la surprendre nue.
Thérèse, ahurie par ces révélations, ne répondait plus, se contentant de me fixer d’un air surpris et étonné. Ne pouvant contenir le désir et la passion qui me tenaillaient depuis des années, j’ai soulevé la main que ma belle-mère utilisait comme rempart, afin de protéger ses seins de mon regard concupiscent pour y poser la mienne à la place. Elle fut surprise par mon audace mais ne dit rien, j’en profitai pour palper avec émotion, ces fruits de chair à travers le tissu qui les abritaient, si souple et moelleux au toucher.
Sous l’effet de ces caresses, Thérèse me prit la main et me fixa droit dans les yeux :
C’est main dans la main que nous nous sommes dirigés vers cette dernière, refermant aussitôt la porte de peur, on ne sait de qui ni de quoi. Elle tira ensuite rapidement les tentures des fenêtres afin de ne pas être vue, peut être…
Pour interrompre toute discussion qui aurait pu entraver la bonne marche de cette aventure naissante, je lui pris la tête entre les mains et l’embrassai avec fougue. Elle se laissa aller assez rapidement et reprit le dessus plus rapidement que prévu. Sa langue tournoyait autour de la mienne avec fougue et à une vitesse vertigineuse. Elle était devenue méconnaissable et très entreprenante car pendant notre étreinte, sa main s’était plaquée sur ma virilité, massant avec frénésie toute ma colonne à travers mon jean. Le frottement de sa main contre ma braguette ne fit qu’amplifier l’érection que j’avais déjà intense. Je ne pouvais plus tenir…
Aux mouvements de mon bassin, elle s’agenouilla précipitamment pour libérer le monstre. J’étais tellement à l’étroit dans mon pantalon qu’il lui fût impossible de défaire les boutons qui bloquaient la braguette. Elle se décida à desserrer la ceinture puis d’un geste rapide fit glisser pantalon et slip.
Sa bouche couvrit aussitôt le gland turgescent qui ne demandait que ça. Elle se mit à me pomper, pomper comme une affamée, sa main droite ne restant pas inactive car elle comprimait doucement mes couilles. Elle se mit à lécher ensuite la hampe puis les bourses en me répétant qu’elle était bonne, qu’elle lui plaisait.
À mon tour, je me mis à déboutonner son chemisier avec frénésie et j’ai eu beaucoup de mal à lui enlever car, dans la précipitation, je n’avais pas pris soin de défaire les boutons de ses manches.
Je passai les mains derrière son dos afin d’atteindre l’agrafe du soutien-gorge. Après m’être débattu avec le mécanisme de fermeture, le rempart de tissu glissa. Je la contemplai une dernière fois de face avec ce rempart de dentelle, puis lui enlevai. Deux magnifiques seins m’apparurent, les pointes érigés et offertes. Je ne pus résister plus longtemps et mes lèvres vinrent à leur rencontre. Que c’est bon ! Depuis le temps que je fantasmais sur eux, enfin ils sont là, à moi, et je compte bien en profiter.
Pendant que je passais d’un sein à l’autre, léchant et suçant les pointes, contournant les aréoles, Thérèse avait agrippé mon membre et le masturbait avec frénésie.
Elle s’agenouilla à nouveau en me fixant droit dans les yeux, mon sexe dressé et maintenu par sa main droite :
Mais j’ai l’impression de rêver. Ma belle-mère, Thérèse, me demande de jouir dans sa bouche… Je n’y crois pas…
Sa succion reprit de plus belle, absorbant mon pieu jusqu’à la glotte, gonflant ses joues à s’en étouffer. Sa main s’agitait en même temps le long de la tige et l’addition de ces deux actions me firent perdre tout contrôle. J’ai senti la sève monter brutalement et ne pus la prévenir à temps. Elle devait être un peu déboussolée ou fut surprise par la puissance de mon éjaculation car mes premières giclées s’échappèrent de ses lèvres avant qu’elle ne les referme hermétiquement autour de mon gland. Elle se mit à me téter avec frénésie, espérant par cette action récupérer la moindre goutte. J’avais les jambes en coton, car toutes ces émotions m’avaient, sans être vulgaire, complètement vidé.
Elle me regarda à nouveau, droit dans les yeux et ne put s’empêcher de me dire :
D’un geste lent, elle récupéra le sperme qui s’écoulait le long de sa joue et son cou et glissa ses doigts entre ses lèvres. J’avais l’impression qu’elle goûtait un dessert délicieux.
Nous nous regardions à nouveau droit dans les yeux et nos bouches, nos lèvres s’étaient rejointes à nouveau pour un baiser passionné. Nous étions assis sur le lit et ma main droite se mit à parcourir sa cuisse. J’essayais vainement d’atteindre son entrecuisse mais sans résultat. La position assise comprimait la jupe, m’empêchant tout mouvement. Se rendant compte des difficultés que je rencontrais, elle se releva pour faire coulisser la fermeture.
Nous nous étreignions à nouveau, nous roulant des pelles à tout va. Nous étions comme des adolescents qui allaient découvrir l’amour. Sa jupe était enfin retirée, mais il restait encore un rempart de taille. Un slip blanc, pas des plus sexy mais qu’importe ce détail… Elle le comprit rapidement car, là aussi, il était difficile d’y introduire la main. Allongée, elle fit glisser le tissu sur ses cuisses puis le long de ses jambes. Cette action très érotique m’électrisa, me redonnant aussitôt beaucoup de vigueur. Mon sexe était à nouveau tendu, prêt pour la charge.
Elle était restée allongée et je pus à loisir regarder son sexe. Je me penchai sur elle pour l’embrasser à nouveau, caresser et mordiller ses pointes de seins qui avaient l’air de me provoquer. Ma main atteignit rapidement son sexe et mes doigts se glissèrent entre ses grandes lèvres. Elle était très humide et son désir la trahissait. Mon majeur trouva rapidement son clitoris et il ne fallut que très peu de caresses pour que ce petit bourgeon éclose. Thérèse commençait à remuer du bassin au même rythme que mes caresses. Ma bouche vint rapidement au contact de ses grandes lèvres et je pus insérer progressivement le majeur à l’intérieur de son vagin.
Des flots de cyprine s’écoulaient de sa fontaine de plaisir. Moi qui croyais que les femmes après la ménopause étaient sèches, ne mouillaient plus ! Là, j’étais servi et ce, pour mon plus grand bonheur. Ses râles étaient de plus en plus intenses et sa respiration de plus en plus saccadée. L’action de ma langue conjuguée au va-et-vient de mes doigt eurent tôt fait de lui faire atteindre le septième ciel. Elle émit un cri rauque et intense et ses cuisses vinrent me serrer en même temps la tête. Elle venait d’avoir un orgasme d’une intensité telle, que ses cuisses telles les pinces d’un crabe me bloquaient littéralement la tête, m’empêchant tout mouvement. Quel orgasme, quelle jouissance !
Se rendant compte soudain que mes doigts essayaient à nouveau de s’insinuer dans sa vulve, Thérèse me prit le sexe afin de lui redonner de la vigueur.
Je ne désirais pas la brusquer, mais j’ai senti quelle était enfin prête pour la pénétration. Les mouvements de son bassin étaient comme un appel à l’aide. Ses pointes de seins étaient dressées par le désir. Il était temps de conclure. Elle m’attira sur elle, me demandant de la pénétrer. J’allais enfin réaliser mon rêve. Ce fantasme allait devenir réalité. Elle prit ma tige et la frotta sur ses grandes et petites lèvres puis d’un geste rapide enfonça mon pieu. Ah ! quel bonheur d’être en elle, de sentir les parois de son vagin, les vibrations de son corps. Je m’enfonçai de plus en plus loin et m’immobilisai tout au fond elle.
Profiter, oui, c’était évident… ayant passé ces quelques seconde à déguster cet instant où mon sexe butait tout au fond de son vagin, les mouvements de mon bassin à l’appel du sien, se firent de plus en plus rapides. Mes mains parcouraient son corps en même temps que ma tige labourait l’intérieur de ses entrailles. Elle émettait des sons rauques à chaque coup de boutoir et j’essayais de me concentrer pour ne pas jouir car cette situation m’excitait les sens au plus haut point. Ses mouvements de bassin s’intensifiaient et je me disais que, pour son âge, elle était vraiment au top de la forme.
Il ne fallut pas me le dire deux fois. À la vue de ses yeux révulsés et aux cris émis par ma belle-maman, je compris qu’elle avait atteint le point de non retour et il me suffit de deux ou trois va-et-vient supplémentaires pour que nous atteignions ensemble l’extase. J’ai senti les violentes giclées de spermes tapisser les parois de son vagin. Quel moment merveilleux ! Quelle jouissance !
Après nous être rhabillés, nous nous sommes rendus dans sa cuisine afin de préparer le café. Pendant qu’elle s’affairait devant sa cafetière, je ne pus résister à l’envie de l’enlacer.
Je voulus l’embrasser sur la bouche avant de la quitter mais elle me tendit ses joues.
Je repris ma voiture pour regagner ma maison. J’étais à ce moment-là très déçu par son attitude mais heureux cependant d’avoir pu réaliser un vieux fantasme.
La reverrai-je comme amant ou comme gendre ?
L’avenir le dira…
Si cette histoire vous a plu, sachez qu’il y a eu une suite positive, et quelle suite…
À bientôt peut-être !