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n° 14644Fiche technique12502 caractères12502
Temps de lecture estimé : 8 mn
11/11/11
Résumé:  Ma femme se lâche pendant les vacances.
Critères:  fh fhhh vacances hotel exhib entreseins facial fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo -couple -fhhh
Auteur : Hellion
À la fenêtre

Un petit souvenir érotique datant de quelques années, il est vrai, mais toujours bien présent.


Ma femme est une jolie petite blonde d’1,65 m, 50 kg, genre Patricia Kaas, mais avec une superbe poitrine (90d) très sensible. Sans être libertins, nous n’avons que peu de tabous niveau sexe, mais notre sexualité reste classique. Ma femme adore la levrette, sucer et me faire jouir entre ses seins, mais elle refuse la sodomie. Après quinze ans de vie commune, nous continuons à bien nous amuser au lit, mais les « coups d’éclat » deviennent rares.


Comme elle est originaire de Strasbourg, ma femme nous y avait organisé un petit séjour l’année de l’éclipse solaire. Nous avions une chambre dans un hôtel donnant sur une grande place – la place de la Gare, si ma mémoire est bonne. La chambre était au troisième étage, avec une grande fenêtre et deux lits simples (Grrrr !) . Il n’y avait pas trop de vis-à-vis, mais on pouvait bien voir dans les appartements en face, donc ils pouvaient voir dans notre chambre.


Nous faisions nos petites visites, profitions de la ville en amoureux, restaurants, boutiques, visites, etc. Mais le troisième jour, en début d’après-midi, alors qu’elle s’habillait pour aller en ville, j’eus soudainement envie d’elle. Je m’approchai et commençai à l’embrasser et à la caresser. Je défis son soutien-gorge et caressai ses seins, comme elle aime. Puis je m’assis sur le lit le plus proche de la fenêtre, et l’amenai devant moi, lui enlevai son string et lui caressai doucement le clitoris tout en lui dévorant les seins.


Rapidement, elle me releva, s’assit à son tour sur le lit, m’ôta mon pantalon et mon caleçon d’un même geste et commença une superbe fellation, apparemment bien partie pour me faire jouir dans sa bouche ou sur ses seins. C’est à ce moment qu’elle s’aperçut que les rideaux étaient grand ouverts. Elle arrêta de me sucer et se leva pour les tirer, parce qu’elle craignait que quelqu’un puisse nous voir.


Ne me demandez pas pourquoi, mais toujours est-il que l’idée m’a bien tenté. Je l’ai poussée contre la fenêtre, les mains appuyées sur la vitre et je l’ai prise comme ça, à la vue de tout le monde. Ce n’est pas du tout dans nos habitudes, mais elle se laissa faire sans problème. Je la tenais par les hanches et la baisais par de longs et lents aller-retour. Elle se caressait les seins d’une main. Elle finit par avoir un bel orgasme, mais je continuai à la baiser en pensant au joli spectacle qu’elle devait offrir aux passants et aux voisins (ses gros seins balançant au rythme de mes coups de reins… humm…). Elle continua à jouir de plus en plus fort en mouillant comme jamais. Cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas lâchée comme ça, alors je profitai au maximum de la situation.


Mais c’est à ce moment que ma queue glissa hors de sa chatte, et alors que je m’apprêtai à « remettre les choses en place », elle passa sa main dans son dos, attrapa mon organe, le plaça sur son anus et me souffla :



Elle qui m’avait toujours refusé la sodomie ! Me tenant fermement, elle s’empala elle-même, lentement, en poussant de petits gémissements et, une fois bien « empalée », commença à donner le rythme de la pénétration. Je l’attrapai par les hanches et la sodomisai lentement, profitant au maximum de cette nouvelle sensation. Mais je finis rapidement par jouir dans son cul. Trop excité ! Elle se tourna vers moi m’embrassa à pleine bouche et me dit :



Mais pas un mot sur la séance d’exhibition.


Nous prîmes une petite pause-câlin sur le lit, puis elle alla prendre une douche. Étant de nouveau d’humeur coquine, je décidai de la rejoindre pour lui « frotter le dos ». Sauf que ce sont surtout ses fesses que j’ai frottées, passant et repassant mes doigts sur, puis dans son anus. Un, puis deux, puis trois doigts dans le cul, elle ne pouvait pas avoir de doute sur mes intentions, aussi elle ne dit rien lorsque je la sodomisai de nouveau.


La douche étant un peu étroite, nous sommes repassés dans la chambre. Elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et j’ai réinvesti son cul d’une seule poussée, la sodomisant un bon et long moment, doucement au début, puis de plus en plus fort, elle, bien cambrée et une main sur son clitoris, la tête enfoncée dans l’oreiller. Les rideaux étaient toujours grand ouverts, et j’aperçus deux personnes sur un balcon de l’immeuble d’en face. Ils semblaient bien regarder vers nous. Je les signalais à ma femme, qui du coup se cambra encore plus et se caressa un sein en les regardant. Elle se lâcha complètement et commença à ma grande surprise à dire des obscénités :



Je me lâchai à mon tour, et lui pilonnai l’anus aussi fort que je pouvais, la traitant de « chienne », de « salope » et autres délicatesses… Nous n’étions plus que des bêtes en rut, je l’attrapai par les cheveux, tirai dessus pour la redresser, puis j’agrippai ses seins et les écrasai sans douceur. Elle finit par jouir en poussant un cri qui a dû s’entendre dans tout l’immeuble, mais comme j’avais déjà éjaculé peu de temps avant je n’étais pas de mon côté prêt à jouir.


Aussi, je continuai à l’enculer violemment encore quelques minutes puis je la retournai sur le dos, et lui mis ma queue dans la bouche, qu’elle accepta sans broncher, attrapant mes fesses à pleines mains. Faisant moi-même les va-et-vient, je lui baisai littéralement la bouche, sortant mon sexe de temps en temps pour qu’elle puisse me lécher les testicules (encore une première !) ou me branler entre ses gros seins et je finis tout de même par lui jouir sur le visage, comme dans un porno. Elle s’étala ma semence sur le visage et le cou, et se lécha les doigts avec un grand sourire coquin.


Elle était radieuse, mais épuisée. Je regardai par la fenêtre, nos spectateurs étaient encore là (nous regardaient-ils vraiment ?). Puis nous nous sommes endormis pour quelques heures.



À son réveil, elle avait un peu mal au cul, voire beaucoup, aussi je n’ai pas pu la sodomiser de nouveau, mais dès le lendemain midi – sans un mot – elle déplaça une chaise juste devant la fenêtre, alluma toutes les lumières, me poussa sur la chaise après m’avoir déshabillé et fit un superbe strip-tease en pleine lumière. Puis elle s’agenouilla entre mes cuisses et me suça, me caressant et léchant les testicules, faisant onduler son corps, caressant un peu sa poitrine, son sexe, se donnant complètement en spectacle aux éventuels voyeurs. Je ne pus résister à un tel traitement et finis par envoyer ton mon jus au fond de sa bouche. Elle avala le tout et me lécha encore un peu la hampe. Nous avons continué à faire l’amour devant la fenêtre les jours suivants, les rideaux bien ouverts. Puis, vers la fin de nos vacances, pendant qu’elle me chevauchait sur le lit, nous avons revu nos spectateurs à leur poste d’observation, elle se redressa immédiatement et attrapa ses seins à pleines mains, les malaxant en regardant par la fenêtre pendant que je la baisais.


Nous finîmes notre affaire, puis sortîmes prendre un verre à la terrasse du bar de l’hôtel. C’est alors que deux hommes entre 25 et 30 ans, bruns tous les deux (deux frères ?) s’assirent à la table à côté de nous. Je remarquai qu’ils fixaient ma femme intensément. Elle aussi les remarqua. L’un d’eux nous demanda si on était clients de l’hôtel, nous avons répondu par l’affirmative. Le deuxième lança immédiatement :



Ma femme passa par toutes les couleurs et finit par un rouge cramoisi, elle ne savait plus où se mettre. Le premier lui dit :



Elle était toujours aussi gênée, mais j’aperçus ses tétons pointer malgré le soutien-gorge, signe qu’elle commençait à être excitée. Comme de bien entendu, les deux garçons nous proposèrent de venir boire un coup chez eux. Proposition que ma femme déclina poliment (elle m’avoua plus tard qu’elle avait peur de tomber dans un traquenard et de perdre le contrôle de la situation). Ils insistèrent un peu, prétextant qu’ils ne voyaient pas très bien depuis leur balcon, vantant encore sa beauté, etc. Elle leur répondit que s’ils le souhaitaient, ils pouvaient venir assister au spectacle directement dans la chambre, mais qu’ils avaient interdiction de toucher.


J’étais abasourdi, mais je bandais comme un taureau. J’eus d’ailleurs du mal à cacher mon érection lorsque nous nous sommes levés pour monter dans la chambre, les deux voyeurs derrière nous. Arrivés dans la chambre, l’un d’eux tenta de lui caresser les fesses, elle se retourna et lui rappela les règles :



Elle nous dit de nous installer confortablement et s’éclipsa dans la salle de bain pour une retouche maquillage (et remplacer sa culotte par un string…). Lorsqu’elle revint, j’étais assis sur la chaise devant la fenêtre et les garçons sur le lit. Elle commença à s’effeuiller doucement en dansant un peu malgré l’absence de musique. L’un des garçons lui demanda s’ils pouvaient se branler en la regardant, elle lui répondit qu’ils étaient là pour ça. Puis elle se glissa entre mes jambes, dégrafa mon pantalon et commença à me sucer. J’étais au bord de l’explosion, aussi je lui demandais d’arrêter et la fit s’asseoir sur mon sexe, je la pris comme cela quelques minutes, nos deux voyeurs assis sagement sur le lit, le sexe à la main.


Puis je la soulevai, l’allongeai sur le lit à côté d’eux et recommençai à la prendre, ses chevilles sur mes épaules. Ils se positionnèrent de chaque côté d’elle, toujours la main en action. Celui à ma droite tenta une approche et commença à lui caresser un sein, comme elle ne dit rien, l’autre fit de même. Ce fut elle qui décida de pousser un peu plus loin. Elle tendit les mains, attrapa ces deux sexes et commença à les branler. Elle ferma les yeux, et profita des quatre mains sur sa poitrine et de mon sexe dans le sien.


Le garçon de droite annonça qu’il allait jouir, elle dirigea alors leurs sexes vers son visage et accéléra le mouvement, en fin de compte ce fut l’autre qui jouit en premier arrosant la bouche et les seins de ma superbe salope. L’autre l’imita presque aussitôt, et j’en fis de même au fond de sa chatte. Elle releva un peu la tête, prit les deux glands dans sa bouche à tour de rôle, pour aspirer la dernière goutte, puis les relâcha. Elle se releva, le sperme coulant entre ses seins, fit la bise aux deux garçons – qui ne nous avaient toujours pas dit leur nom – et fila sous la douche. Bien évidement ils lui proposèrent de l’accompagner, mais elle les mit à la porte :



Ils étaient déçus bien sûr, mais quittèrent la chambre sans histoire. Je la rejoignis sous la douche et lui dit qu’elle était folle. Elle me répondit que c’était sans importance puisqu’on partait le lendemain. Nous ne sommes plus ressortis et avons fini notre séjour au lit, profitant de notre intimité retrouvée.



Depuis ce séjour, malheureusement, elle refuse encore la sodomie, par peur de la douleur. Mais elle est encore très excitée quand on reparle de nos séances d’exhibition, et rêve de recommencer dès que possible.