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n° 14647Fiche technique9392 caractères9392
Temps de lecture estimé : 6 mn
12/11/11
Résumé:  Comment une quadra va découvrir les joies des formations professionnelles.
Critères:  fh collègues sauna voyage fellation nopéné confession -extraconj -sauna
Auteur : Marcheur      
Formation professionnelle et plus...

Je me décide à raconter mon aventure, pas tant pour m’excuser, mais plutôt pour essayer de comprendre ce qui m’arrive…


Je suis ce qu’on appelle une quadra, j’ai 44 ans, je suis assez ronde, j’ai une forte poitrine (105d) et des hanches assez larges, mon mari me trouve magnifique, il ne cesse de me le répéter, que j’attire les regards des autres hommes et que je suis très excitante…


Moi, j’avoue me trouver trop grosse, j’ai quand même une belle ligne, mais je ne me trouve pas du tout attirante… Mais bon, le regard des hommes et celui des femmes…


Pour mon travail, je dois, parfois, partir en formation quelques jours dans la région parisienne, avec des collègues de travail. Mon mari ne loupe jamais une occasion de me titiller là-dessus, avec des sous-entendus, « amuse-toi bien, lâche-toi, profites-en… ». Moi, toujours très fidèle, coincée diront certains, je lui réponds toujours que les seules collègues qui m’accompagnent sont des femmes… et c’est la vérité.


Arrive une de ces formations, et me voilà partie pour trois jours, dans un grand hôtel, séminaire oblige, avec ma collègue Brigitte… Ce que je ne savais pas, c’est que nous serions rejointes par des équipes de toute la France…


Lors de la présentation, où chacun se présente, j’avais bien remarqué que le collègue de Marseille, Michel, me regardait avec insistance et me lançait de nombreux sourires… La cinquantaine, un charme certain… pas désagréable à regarder…


Brigitte me glisse dans l’oreille :



Moi, évidemment, j’ai piqué un fard, et je suis restée troublée un moment… Bizarrement, je n’ai pas vu passer la matinée.


Lors du repas du midi, le marseillais s’arrange pour se mettre à notre table, et nous amuse avec ses histoires du Sud, toujours en me lançant de petits regards.


La grande discussion de la table tourne autour des vacances, et je ne peux m’empêcher de parler du dernier week-end que nous avons passé en Normandie, dans un club de vacance, et où j’ai pu apprécier, entre autre, la piscine chauffée, mais surtout le hammam… Comme quoi, c’était très délassant… Très chaud parfois, dans tous les sens du terme…


L’après-midi passe, encore remplie de sourires et de regards de mon collègue du Sud…


Ça y est, la journée est finie, alors qu’on s’apprête à quitter la salle, Michel s’approche de nous, et nous dit :



On se regarde, c’est tentant, on ne connaît pas trop Paris. Oui, allez, c’est d’accord…



Se changer, quoi mettre ? Pas quelque chose de trop ringard, ni de trop sexy, que m’arrive-t-il, je ne vais pas à un rendez-vous amoureux… J’en oublie presque d’appeler mon mari et mon fils… Mauvaise mère et mauvaise épouse…


J’opte pour un chemisier légèrement transparent et un petit top en dessous…


Je passe sous silence la soirée au restaurant où, hasard, Michel est venu s’asseoir à côté de moi, et bien sûr, taille des banquettes oblige, il était vraiment très proche, de nombreuses fois, sa jambe est venue frôler la mienne, ce qui me faisait rougir à chaque fois…


J’ai bien vu, également, les nombreux coups d’œil dans mon décolleté… Placé juste à côté de moi, il devait avoir une belle vue, bizarrement, cela me dérangeait de moins en moins…



Il paraît déçu, tu t’es pris un bide, mon gars… Je suis soulagée, mais en même temps, j’éprouve moi-même une petite déception, comme l’impression de passer à côté de quelque chose…


Le lendemain, la journée se déroule normalement, Michel me parle et m’observe avec toujours autant d’attention et, comme la veille, nous convenons tous ensemble d’un dîner au restaurant.


Cette fois-ci, je décide d’opter pour un décolleté un peu plus provocant, mon marseillais est aux anges. Il ne fait même plus l’effort d’être discret… Profites-en bien, me dis-je, c’est la dernière soirée où tu peux te rincer l’œil…


De retour dans ma chambre, on frappe à la porte, et m’attendant à voir Michel, je découvre ma collègue Brigitte qui me propose un hammam, elle ne connaît pas et a toujours voulu essayer…



N’ayant pas pris de maillot de bain, nous décidons d’être nues avec juste une serviette autour de nous, non sans avoir d’abord vérifié que la cabine est vide avant…



Et me voilà seule… pas pour longtemps, qui donc arrive ? Michel… Lui aussi une serviette nouée autour de lui…



Et joignant la parole au geste, il enlève sa serviette, je détourne la tête, mais j’ai bien eu le temps de voir son sexe qui m’a paru hors normes…



Il se glisse et s’assoit à califourchon juste derrière moi. Il commence doucement à me masser le cou, puis les épaules, guettant une réaction violente de ma part, il va doucement et m’observe attentivement…


Je suis tétanisée, je le sens derrière moi, il s’est appuyé contre moi et me caresse les épaules… C’est quand même très agréable, aucun doute possible sur l’état de son sexe, je sens ses mains, le long de mes bras, effleurant parfois ma poitrine… Il s’enhardit, me pelote carrément, ma serviette s’est ouverte, laissant libre mes deux mamelons, il les malaxe, et me pince les bouts, mes gros seins lui remplissent bien les mains…



Je suis trempée, j’ai l’impression que je vais exploser, je ne peux pas le laisser me pénétrer, ça serait aller trop loin, mais je veux lui montrer que j’apprécie ce moment.


Je sais ! Repoussant ses mains doucement, je me lève, ma serviette tombe, il me regarde la bouche ouverte, et contemple mes gros seins, ils sont lourds, les aréoles sont très grandes, les bouts tendus par l’excitation.


Et… je découvre son sexe, il est énorme, je me mets à genoux et commence à le caresser. Mes deux mains peuvent le tenir. Je commence à donner des petits coups de langue sur le bout du gland. Bien que déjà initiée à la fellation par mon mari, je suis toujours un peu réticente, mais là, j’en ai envie, je veux lui faire plaisir, je veux lui dévorer la bite… Il pose ses mains sur ma tête, et j’avale complètement son sexe, enfin, j’essaye, c’est un vrai taureau, je fais des va-et-vient avec ma tête. Je me relève et lui frappe le visage avec mes seins.



Il en profite pour me sucer les bouts… Et je repars le sucer de plus belle, j’arrive maintenant à complètement mettre son sexe dans ma bouche, quand soudain… Il gémit et se lâche, éjaculant généreusement dans ma bouche, moi qui n’ai jamais voulu satisfaire mon mari pour cela, là tout est différent, je continue à le sucer en aspirant sa semence, une deuxième charge vient m’éclabousser le visage, je suis couverte de son sperme… Et j’aime ça…


Il se détend et s’allonge, j’en profite pour prendre la fuite…



Le lendemain, je n’ai pas vu Michel, c’est sûrement mieux, mais dans le train nous ramenant, ma collègue Brigitte me lança avec un petit sourire :



J’étais déjà toute affolée…