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n° 14651Fiche technique9896 caractères9896
Temps de lecture estimé : 7 mn
15/11/11
Résumé:  Ma rencontre avec Virginie, petite bombe de sensualité que j'ai plaisir à voir exploser
Critères:  fh jeunes taille école fellation cunnilingu 69 préservati pénétratio -coupfoudr
Auteur : Toubab_7  (Coquin, câlin, malin)      
Ma petite tornade

Je viens de me faire passer sur le corps par un petit bout de femme d’à peine un mètre cinquante et… j’ai adoré ça.


Virginie, quarante kilos avec des cailloux dans les poches, des cheveux bruns courts coiffés en bataille, une silhouette quasi invisible sous sa tenue rock’n’roll : chemise à carreau façon bûcheron, jean vintage et grosses bottes aux pieds.

Virginie, une peau tendre et blanche, des seins fermes aux tétons roses, un ventre à peine bombé, une toison à la luxuriance contrôlée, des fesses rebondies et des cuisses de toute beauté.

Virginie, véritable grenade érotique qui m’a pété à la gueule à peine dégoupillée.


Virginie est ma filleule. Ainsi en ont décidé ceux qui, à chaque rentrée, apparient un néo-bachelier avec un étudiant de quatrième année.


Le jour de la rencontre parrains-filleuls, j’ai remarqué Virginie sans vraiment m’attarder. Je l’ai remarquée car elle n’avait pas l’air à sa place au milieu de tous ces bizuts cultivant déjà le look d’étudiants en droit tendance bourgeois. Je ne me suis pas attardé car, avec Arnaud, on était trop occupés à recenser les plus jolies arrivantes. Il faut dire que, entre anciens, cette rencontre parrains-filleuls est aussi appelée « le marché aux bestiaux ». Pendant deux semaines, il y a tout un tas d’activités où parrains et filleuls doivent participer ensemble. Cela permet de découvrir la ville, notre école et d’intégrer les nouveaux. Ensuite, le rôle du parrain est de fournir de l’aide pour les études ou toutes sortes de démarches. Forcément, quand on a la chance de tomber sur une jolie demoiselle pas farouche…


Le soir, en rentrant à notre collocation, Arnaud n’arrête pas de me charrier. À lui la jolie et sexy Marie, à moi la petite et fade Virginie.



J’avais raison : Virginie est super sympa. On discute bien tous les deux. Elle a de l’humour, a beaucoup voyagé et on a une passion commune pour la musique. Quand elle m’a amené chez elle, j’ai vu un truc incroyable, sur toute la longueur du mur, des étagères couvertes de vinyles et de CD. Et dans la pièce à côté, une dizaine de guitares et presque autant d’amplis : Gibson, Fender…



Tu parles ! En l’écoutant jouer, je sais déjà ce qu’on va faire pendant la soirée de clôture du parrainage.


La clôture ? Une soirée pendant laquelle les binômes parrain-filleul doivent présenter un numéro qui illustre leur talent. Musique, théâtre, stand-up, jonglage…



oo000oo




Arnaud et Marie viennent de faire une danse. Pas terrible. En plus Arnaud fait la gueule car sa filleule a un copain et est du genre fidèle. Pour Virginie et moi, on a décidé de faire une reprise, basse et guitare, d’un morceau de Prince, Purple Rain. Quand Virginie prend sa guitare, il y a un murmure ricanant qui vient de la salle. Elle paraît si petite, on dirait une gamine qui a emprunté l’instrument d’un adulte. Quand elle se met à jouer : silence. Elle joue plus que bien et pendant que je répète la même ligne de basse, elle exécute un solo incroyable. Quand la musique s’arrête, un tonnerre d’applaudissements retentit.


Après le spectacle, la fête. Beaucoup de personnes viennent féliciter Virginie. On boit, on rigole. Je fais attention de ne pas me saouler car je dois reprendre ma voiture pour ramener les amplis chez Virginie. En même temps, je ne n’ai pas besoin d’alcool tant je suis encore sur l’euphorie de notre petit concert. Une euphorie qui dure quand, plus tard, nous arrivons chez Virginie.


Je ne sais plus trop comment on en est venu à s’embrasser. Peut-être cette euphorie. Tout ce que je sais, c’est que le contact de ses lèvres sur les miennes m’a électrisé au possible.


Virginie fait l’amour comme elle joue de la guitare : on dirait que ça vie en dépend. En quelques minutes, j’acquiers une certitude : il est impossible qu’elle soit vierge. Elle me déshabille avec autorité. Ses mains me masturbent avec un art certain. Le même savoir-faire que je retrouve rapidement dans la fellation qu’elle m’offre. Car, oui, quand une fille vous suce ainsi, c’est vraiment un cadeau. Il y a du plaisir et de la gourmandise dans ce qu’elle me fait et, qu’elle me mordille la hampe ou qu’elle tète mon gland, elle me procure des sensations incroyablement jouissives.


Elle qui dissimule ses formes sous des vêtements un peu larges prend un visible plaisir à se mettre nue devant moi. Ses seins sont bien plus gros que je ne l’imaginais, belles poires fermes et haut perchées. Ils sont parfaits, à l’image de ce petit corps de femme qui effectue deux pas de danse et tourne sur lui-même avant de se jeter dans mes bras et sur ma queue. Elle se frotte sur moi. Contre mon membre, je sens la toison et l’humidité de ses lèvres. Juste le temps d’enfiler un préservatif et me voilà pénétrant doucement son intimité moelleuse. Trop doucement à son goût puisqu’elle s’enfonce sur moi violemment.


Elle sur moi, elle me garde au plus profond de son ventre, roulant et ondulant des hanches pendant que ses mains pressent mon visage contre sa poitrine. Ses seins sont un délice. Je les embrasse, les lèche et les tète. Je m’en régale, je m’en repais. Plus bas, je caresse ses fesses. Elles offrent un volume appréciable à mes mains et sont douces sous mes doigts. Je me sens pris dans une tornade de sensualité alors que nos gestes sont lents et mesurés. Même ses gémissements sont comme de longs souffles profonds et étouffés.


Virginie est si légère que je n’ai aucun mal à la basculer sur le dos tout en restant en elle. C’est à mon tour de nous donner du plaisir. Je peux enfin aller et venir librement dans son ventre. J’augmente la cadence. Nos corps sont soudés l’un à l’autre. Je sens que je vais venir et le dis à ma petite maîtresse. Elle en est tout proche elle aussi. Nos corps se perdent puis se trouvent. Je sens Virginie se tendre et je me sens éjaculer à n’en plus finir. J’ai des étoiles dans les yeux et la marque de ses ongles dans le dos.


Il y a des sourires qui en disent long sur le plaisir que l’on peut avoir. Assis sur le lit, nus, nous parlons un peu et nous regardons beaucoup. Il est près de deux heures du matin. Je ne sais pas si je dois rester ou partir. Pour Virginie, ses parents n’étant pas là, elle aimerait bien que je reste : « J’ai encore envie… »


En disant cela, elle s’adosse à la tête de lit et écarte légèrement ses cuisses, exhibant une chatte trempée qu’elle caresse doucement. Je l’aide un peu à se caresser avant d’écarter sa main et d’offrir un accès complet et exclusif à ma bouche. Je l’embrasse, je la lèche, je la dévore. Je la bascule sur moi pour que ma langue puisse aller plus profond en son intimité.


En voyant ma queue bandée, le 69 lui parait évident. Elle me pompe, m’avale, me lèche les couilles, frotte son visage contre mon service-trois-pièces. Je mordille ses fesses, les embrasse et laisse ma langue se perdre dans le sillon légèrement poilu où se cache un mignon petit trou du cul. Plus tard, elle me dira que c’est la première fois qu’on la léchait là… et elle a adoré ça.


Ensuite, les positions s’enchaînent et Valérie se déchaîne : « C’est bon… Je jouis… Baise-moi… » Notre étreinte est quasi animale. Je la prends vite et fort. Elle en redemande et je lui en redonne. Nous nous lançons dans une levrette épique. Valérie ne cesse de jouir. Pour moi aussi la délivrance est proche : « Jouis dans ma bouche ! »


C’est bon à en pleurer. Non seulement je peux enfin éjaculer mais, en plus, elle m’avale avec des grognements qui indiquent clairement le plaisir qu’elle y prend.


Étourdis dans les bras l’un de l’autre, je jette un coup d’œil sur le réveil… déjà trois heures.


Le lendemain, le réveil est aussi tardif que charnel. Après le petit-déjeuner, nous partageons un bain des plus coquins. Et, en fin de soirée, après être sortis boire un verre, nous retrouvons la douceur de son lit et exprimons encore notre faim l’un de l’autre.


Le lendemain, c’était hier. Et aujourd’hui, nous avons encore eu un après-midi de pure frénésie sexuelle. Je n’ai jamais vu une fille avec un tel appétit. Elle m’a épuisé, vidé, lessivé. J’ai l’impression de m’être fait piétiner par toute une équipe de rugby. Je suis laminé. Éparpillé. Et pourtant…


Et pourtant, dans quelques heures, je vais la retrouver. Même si je dois perdre la santé sur l’autel de la sexualité débridée de cette petite poupée.