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n° 14663Fiche technique27520 caractères27520
Temps de lecture estimé : 16 mn
23/11/11
Résumé:  Chapitre 6: Tanya et Stella font l'acquisition de nouvelles tenues sexy, et deviennent vraiment plus que des amies. Chapitre 7: Sonia, la voisine, découvre la vie de mes deux compagnes.
Critères:  ff fff ffh voisins fépilée piscine fsoumise hdomine intermast rasage cunnilingu 69 fdanus attache yeuxbandés -sm
Auteur : Azkinato            Envoi mini-message

Série : Tanya

Chapitre 04
Tanya (Chap. 6 & 7)

TANYA




Résumé des chapitres précédents : J’ai fais la connaissance de Tanya, une jeune fille intéressée par ma « sexualité particulière ». Après lui avoir fait découvrir le monde de la soumission, celle-ci commence à apprécier mes petites manies. Lors d’une sortie avec elle, je lui achète plusieurs tenues ultra sexy. Elle fait la connaissance de Stella, la vendeuse de la boutique de vêtements. Stella est invitée à la maison, Tanya s’occupe du service totalement nue, elle déshabille Stella et, sur mes recommandations, les deux filles se donnent du plaisir.





Chapitre 6 : Stella a fait le bon choix



En arrivant au magasin, comme il n’y avait aucun client, Stella vint directement à notre rencontre. Je fus heureux de constater qu’elle portait les vêtements de Tanya, cela augurait un bel avenir pour moi et mes deux conquêtes. Tanya sembla elle aussi très contente de la voir ainsi vêtue. Les deux filles se firent la bise comme de vieilles connaissances.


Il me restait une petite chose à vérifier : ses dessous. Pour le haut, pas de problème, on voyait facilement que ses seins étaient libres. Pour le bas, ce fut Tanya qui s’en chargea sans que je ne le lui demande. Elle prit un pan de la jupe, qu’elle écarta franchement : la nudité de Stella était nettement visible.


En bonne vendeuse, Stella m’annonça :



Et elle se dirigea directement vers les étals pour me montrer ses trouvailles.


La première était une robe vraiment affriolante. Assez courte et ouverte sur les côtés. Le devant était constitué d’un triangle, dont la base était située au niveau de la taille, et dont la pointe remontait sur une épaule. Avec cela, évidemment, pas question de mettre un soutien-gorge. L’arrière était constitué simplement de deux tresses partant de l’épaule, chacune descendant au niveau de la taille. Au bassin, la robe n’était pas très serrée, il suffirait de dégager l’épaule pour que la robe quitte entièrement sa propriétaire. J’en pris deux, une rouge et une noire.


La seconde robe était assez sexy, elle aussi. Assez longue, elle descendait jusqu’aux chevilles, plutôt une robe de soirée. Le devant laissait supposer un décolleté plongeant, et l’arrière laissait le dos entièrement nu. Je choisis deux exemplaires, en noir.


Dans le rayon des jupes, elle me présenta une véritable micro-jupe, bien plus courte que celle que j’avais achetée la dernière fois. Décemment, on ne pourrait pas sortir dans la rue avec cela, sans se faire arrêter pour exhibitionnisme. J’en pris deux rouges que je réserverai pour des soirées privées.


Elle me montra ensuite un t-shirt qui ne me plaisait pas spécialement. Il y avait un grand pan de tissu qui pendait juste au-devant, avec un léger décolleté, pas vraiment ce qui m’excitait. Stella savait bien faire l’article, elle me montra, en le tenant juste par les épaules, que le pan de tissu était prévu pour être particulièrement mobile. En l’agitant de côté, celui s’écartait largement, et dévoilait tout ce qu’il était sensé dissimuler. Elle connaissait bien mes goûts, deux de couleur blanche vinrent rejoindre les précédents vêtements déjà choisis.


En dernier, elle me réserva un modèle que sa patronne avait commandé, mais qu’elle ne penserait jamais vendre. C’était une sorte de large bande de tissus à placer à la taille, avec deux genres de bretelles assez fines, qui allaient de l’avant à l’arrière en passant sur les épaules. Je ne voyais pas l’intérêt, mais je lui demandai tout de même deux exemplaires bleu pâle, pour voir ce que cela donnerait.


Je proposai alors de passer aux essayages. Stella, qui avait bien compris qu’il y aurait un modèle pour chacune des deux filles, nous suivit, en vérifiant tout de même qu’il n’y avait pas de clientes qui la solliciteraient.


Tanya s’enfila dans une cabine et se dévêtit immédiatement. J’indiquai alors à Stella :



Comme la dernière fois, Tanya vint me rejoindre devant le banc. Stella fut un peu plus hésitante à la rejoindre. Lorsqu’elles furent toutes deux nues face à moi, je les fis patienter un petit peu, en faisant semblant d’hésiter pour choisir le premier vêtement à essayer. Tanya commençait à être habituée à être nue en plein milieu du magasin, Stella était un peu plus nerveuse.


Je leur tendis une robe triangle à chacune, la rouge à Tanya, la noire pour Stella. Dans un bel ensemble, elles passèrent les robes simultanément, comme deux sœurs siamoises. Elles étaient vraiment à croquer toutes les deux. Par acquis de conscience, j’écartai légèrement la pointe du triangle. Le haut chuta comme prévu, les laissant seins nus devant les cabines.


Je leur fis ensuite essayer les robes de soirée. Elles étaient magnifiques, tant les robes que les modèles qui les présentaient. De face, on pouvait presque voir leur poitrine entièrement. De dos, c’était encore plus excitant, il n’y avait pas que le dos qui était nu. Celui qui se trouverait juste derrière elles, aurait une belle vision sur presque toutes les fesses de mes chéries. J’y laissai traîner une main baladeuse quelques instants.


Lorsqu’elles furent en micro-jupe, et naturellement sans haut sur elles, j’aurais pu leur sauter dessus, tant j’étais excité. À voir la pointe des seins de mes amies, je n’étais pas le seul. Cet effeuillage ne les laissait pas indifférentes. Je glissai un doigt sous chaque jupe, et pus constater que j’avais raison. Je leur fis ensuite déguster ces doigts imprégnés de leur saveur, l’une goûtant celle de l’autre.


Une fois la jupe retirée, le premier t-shirt fut essayé. Comme me l’avait fait remarquer Stella, lorsqu’elles remuaient, elles découvraient leurs seins, l’un après l’autre, selon comment elles se balançaient.


Pour les débardeurs bleus pâle, je fus agréablement surpris par ce modèle que Stella m’avait proposé. Une fois sur les deux filles, il révéla toute sa sensualité, pour ne pas dire sa sexualité. Les petites bretelles ne cachaient vraiment que les pointes des seins et, comme les modèles étaient un peu grand, Tanya et Stella avaient grand mal à les empêcher de se décrocher. Il aurait fallu une taille en dessous, je choisis tout de même de garder ceux-là.


J’étais vraiment de plus en plus exacerbé, mais il me semble que je n’étais pas le seul, un client tournait autour des présentoirs non loin des cabines. Je pense qu’il aurait bien aimé être à ma place. Mais je ne voulais pas que Stella ait des problèmes à son travail. Même si je pense, que ce n’est pas ce chaland qui aurait été se plaindre.


Je leur demandai alors de se rhabiller dans la cabine. Comme elles n’étaient pas encore vêtues, et toujours nues face à face, j’eus une dernière directive :



Sans se démonter, elles se collèrent bouche contre bouche. Pendant que leurs lèvres se cherchaient, les mains de chacune allèrent directement vers l’intimité de l’autre. Elles semblaient si heureuses de cet instant, qu’il fallut que je les fasse cesser, elles auraient pu continuer ainsi longtemps.


Je les félicitai, et leur signalai qu’à partir de maintenant, c’est toujours comme cela que je voulais qu’elles s’embrassent.


Elles avaient gagné cinq nouvelles tenues pour leur-garde robe.


Avant de quitter la boutique, je précisai à Stella :




Lorsqu’elles se présentèrent chez moi, Stella avait bien retenu les leçons de Tanya, toutes deux étaient intégralement nues.


À peine entrées, je les fis mettre à genoux face à face, et leur demandai de s’embrasser. Comme dans la cabine, leur accolade fut torride. Pendant ce temps, j’en profitai pour me mettre nu à mon tour. Après le spectacle de l’après-midi, et celui qu’elles me présentaient actuellement, il ne me fallut pas longtemps pour « être en forme ».


Lorsque je les fis stopper, ma virilité n’était qu’à quelques centimètres de leur visage, elles devinèrent de suite ce que je désirais.


Tanya lança sa langue la première, immédiatement suivie par Sella. Elles se regardaient, et agissaient de concert. Débutant par la base, elles remontèrent doucement vers l’extrémité, prenant bien leur temps, en appliquant bien leur langue. Arrivées en haut, les deux pointes cherchèrent à pénétrer le petit orifice culminant. Comme il n’y avait pas de place pour deux, ce fut un nouvel échange labial entre les deux filles, avec mon méat au centre de leur intervention.


Stella prit l’initiative de me gober et de m’aspirer, ce n’était pas pour me déplaire. Je ne connaissais pratiquement rien de sa sexualité antécédente, mais j’étais particulièrement heureux de constater qu’elle n’était pas une débutante. Tanya se retrouvant un peu perdue, fit redescendre sa langue, et s’attaqua avec application à mes bourses.


Elles échangèrent plusieurs fois de suite leurs gestes, pour finir par s’embrasser à mon extrémité. J’adorais sentir leurs langues glisser l’une contre l’autre, sans m’oublier au passage. Sentant que j’allais bientôt exploser, Stella m’aspira en me masturbant énergiquement. Tanya titilla mes bourses, comme pour les inviter à lâcher rapidement leur précieuse semence. Lorsque Stella en eut récolté une partie, elle se retira pour laisser la place à Tanya. Voyant que cette dernière était un peu hésitante, Stella la prit par les cheveux, et l’obligea à avaler le reste.


Je savais que Tanya n’avait jamais avalé la liqueur de son chéri, mais là, elle n’avait pas le choix. Lorsqu’elle eut ingéré la dernière goutte en ayant prit soin de bien presser mes bourses, elle me regarda fièrement attendant ma réaction.


Je lui fis alors le plus beau de mes sourires, pour lui montrer combien j’étais heureux de sa prestation. Elle m’en renvoya un, tout aussi chaleureux.


Pour finir cette soirée, je ne voulais pas qu’elles repartent frustrées, aussi leur demandai-je de se faire un 69. Je précisai à Tanya de se mettre dessous.


Rapidement, elles prirent la position, et ne perdirent pas de temps à mettre leurs langues au travail. Ce qu’elles venaient de me faire avait eu l’air de bien les échauffer. Comme Stella était au-dessus, et ses fesses bien accessibles, je tendis une main pour les caresser. Je voulais voir si elle était aussi réceptive de ce côté.


Après avoir écarté la langue de Tanya, pour glisser un doigt dans l’intimité de Stella, j’approchai celui-ci du petit orifice de Stella. Il y pénétra assez facilement, sans que Stella ne fût inquiète de cette intrusion. Au contraire, elle écarta davantage les cuisses pour me faciliter l’intromission.


Je n’eus malheureusement pas le temps de faire de nombreux allers-retours, les deux filles eurent leur plaisir presque simultanément.


Au moins j’étais rassuré, Stella ne semblait pas réfractaire à ce genre de pénétration. J’aurais bien le temps de le confirmer.


Avant qu’elles ne partent, je demandai à Stella de se mettre face au canapé, les jambes écartées, et appuyée sur les coudes. Elle pensait que j’allais la prendre de ce côté, mais mes desseins étaient tout autres. Le temps qu’elle prenne position, je sortis un rosebud pour lui offrir, le même que j’avais offert à Tanya. Ce fut d’ailleurs elle qui eut le plaisir de le placer dans sa compagne. Stella fut touchée par ce petit cadeau, et me remercia d’un baiser discret. Pour ne pas faire de jalouse, j’en fis un petit également à Tanya.


Je leur précisai en les raccompagnant, que je leur dirais quand elles devraient revenir.





Chapitre 7 : Les filles dressent Sonia, la voisine



J’entretenais de simples relations de voisinage avec mes voisins, et plutôt avec Denis, qu’avec son épouse Sonia. Peu de temps après avoir vu Tanya déambuler nue jusqu’à la boîte aux lettres, ce dernier m’interpella alors que je rentrais du travail. Il l’avait trouvé très belle et voulait en savoir un petit peu plus.



Il eut l’air surpris et intéressé par elles.



Il eut l’air un peu gêné par ce que je pourrais lui demander en échange.



Lorsqu’elle avait traité Tanya de dépravée, cette réflexion nous avait bien faire rire tous les deux, mais je voulais lui donner une petite leçon.



Il faisait référence à cette fameuse soirée de la boîte aux lettres.



Je vis dans ces yeux que l’offre l’intéressait, et qu’il saurait bien faire pour convaincre Sonia.



Le samedi suivant, le couple vint sonner à la porte. Denis avait réussi à convaincre son épouse.


J’avais donné quelques consignes à mes deux amoureuses. En particulier, pas question de me vouvoyer, avoir une attitude de couple ordinaire, avoir une tenue vestimentaire la moins provocante possible, être très plaisantes, surtout avec Sonia, et plusieurs autres petites choses bien particulières. Je leur expliquerai plus tard, ce que j’attendais d’elles.


Sonia ne fut pas choquée par notre différence d’âge ; elle-même, qui avait à peu près mon âge, avait plus de dix ans de moins que Denis. Ce qui la surprit davantage, était que j’aie deux femmes dans ma vie.


Au fil de la soirée, et des verres de champagne, le courant passa de mieux en mieux entre les trois filles. Denis, quant à lui, avait les yeux rivés sur mes partenaires presque tout le temps, Sonia faisait semblant de ne pas le remarquer. En voyant l’évolution des relations entre les filles, Tanya et Stella sur mes directives, invitèrent Sonia à venir profiter les après-midi de notre piscine. En plus, elle nous avait avoué adorer la bronzette et la natation.


Celle-ci travaillait en équipe, et était libre les après-midi de la semaine à venir. Denis travaillait de contre-équipe avec Sonia, elle serait donc seule chez elle les après-midi. Après s’être fait un peu prier pour le principe, elle accepta avec joie.


Pour mes deux chéries, le problème serait vite résolu, un coup de fil à un ami médecin, et elles seraient en arrêt de travail pour une semaine. Il était prévu qu’elles restent la semaine chez moi pour être prêtes à recevoir Sonia.


Le lundi, elle vint comme convenu, vers 14 heures. Avant sa venue, j’avais briefé mes compagnes sur ce que j’attendais d’elles, et elles avaient jusqu’au vendredi pour atteindre leur objectif. Les connaissant, j’étais sûr qu’elles feraient leur possible pour réussir.


Tanya et Stella la guidèrent immédiatement vers le jardin et, sans aucune gêne, se mirent seins nus, ne gardant que le bas de leur maillot. Sonia ne fit pas de difficulté pour adopter la même tenue. Le reste de la journée se passa en papotage divers entre filles. Sonia, ses a priori passés, les appréciait de plus en plus, et riait de bon cœur à leurs plaisanteries.


Le lendemain, Sonia fut ponctuelle. Les premiers jeux firent leur apparition, avec les gages inhérents. Rien d’exceptionnels, mais tout de même orientés sur la sexualité féminine. Celle qui perdait devait raconter une histoire croustillante, vécue ou non. C’est bien connu que les filles entre elles, parlent au moins autant de sexe que les garçons. Sonia se débridait de plus en plus.


Le mercredi, sachant où en étaient leur aventure, et sur les conseils de Stella, je cachai une caméra discrète non loin de leur lieu de bronzette. Les gages prévus étaient un peu plus physiques cette fois, mais aussi de plus en plus sexuels et, je dois l’avouer, les jeux étaient un peu truqués, mais Sonia l’ignorait.


Stella, perdit une première fois, Tanya exigea qu’elle retire le bas de son maillot. Peu de temps après Tanya perdit à son tour, Stella lui demanda de faire pareil. Naturellement elles s’arrangèrent ensuite, pour que ce fut à Sonia de faillir à son tour, les deux autres filles revendiquèrent qu’elle fasse la même chose. Sonia hésita longuement, mais les arguments des deux autres joueuses vinrent à bout de ses inquiétudes. À son tour, Sonia se retrouva nue, comme Tanya et Stella.


Lors du jeu suivant, Stella se retrouva attachée entièrement nue pour un quart d’heures sous une avancée attenante au jardin. Puis ce fut Tanya qui eut pour gage de prendre la place laissée libre.


Ce lieu me servait parfois, pour la même destination avec mes ex.


Sonia trouva cela très drôle, mais elle ne se doutait pas que ce serait bientôt son tour.


Comme prévu par mes directives, le jeudi, ce fut au tour de Sonia de se retrouver attachée dans la même tenue, au même endroit, mais, pour une demi-heure cette fois. Durant ce temps, les jeux continuèrent à deux.


Lors du jeu suivant, Tanya dut aller faire un massage sexy à Sonia. Elle s’appliqua à bien exciter sa « prisonnière », qui découvrait pour la première fois le plaisir d’être caressée par une fille. En même temps, Stella avait sorti un appareil photo, et mitraillait l’action. La caméra qui avait changé de lieu le matin même, ne manquait rien de cet épisode.


Lorsque Sonia fut libérée, pas de chance pour elle, elle perdit une nouvelle fois, et dut reprendre la position qu’elle venait d’abandonner. Mes deux amies étaient vraiment expertes dans l’art de tricher discrètement. Sonia qui ne se doutait vraiment de rien du tout, reprit la position assez joyeusement.


C’est Stella qui eut droit au gage suivant. Celui-ci consistait en un massage, également, mais beaucoup plus tendre. Sonia ne savait pas ce qui l’attendait, mais le comprit rapidement. Avec ses mains, Stella commença à parcourir tout le corps de Sonia, en particulier ses zones sensibles, ses seins prirent ensuite le relais. Stella s’appliqua de son mieux pour exciter sa « captive », lorsque ses seins quittaient un endroit, des petits bisous venaient claquer au même emplacement.


Lorsque Stella fut à genoux devant l’intimité de Sonia, ce sont sa bouche et sa langue qui prirent le relais, en se bloquant rapidement entre les cuisses de Sonia. Cette dernière refusant ce type de caresse de la part d’une fille, se trémoussait pour l’éviter. Mais bientôt l’expertise de Stella eut rapidement raison des réticences de Sonia. Elle prit son pied comme jamais elle n’avait dû le prendre.


À la fin de la journée, et des différents jeux, Sonia, après toutes ses émotions éprouva le besoin de s’épancher auprès de mes compagnes sur sa vie avec Denis. Ce dernier ne lui faisait plus l’amour depuis assez longtemps, et ne pensait qu’à regarder les autres filles. Si elle réprouvait l’amour entre filles avant, son avis sur la question avait bien changé à présent. Elle comprenait qu’une femme délaissée puisse trouver réconfort auprès d’une autre fille. Mes deux maîtresses furent touchées par cet aveu, et me le contèrent avec forces émotions le soir même.

Je pus le constater lors du visionnage du film de la journée.


J’eus alors une idée, et expliquai alors à Tanya et Stella mon nouveau plan.


Le vendredi, lorsque Sonia vint les rejoindre, elles lui demandèrent si elle leur faisait confiance pour ce dernier après-midi entre elles. Il n’y aurait pas de jeux, ni de gages, mais Sonia ne le regretterait pas, et retrouverait le plaisir auprès de son mari. En échange Sonia devrait faire tout ce qu’elles lui demanderaient sans discuter. Sonia, qui n’avait pas grand-chose à perdre, accepta de s’en remettre à elles au nom de leur amitié.


Sonia fut déshabillée promptement et attachée comme la veille, mais eut les yeux occultés par mes lunettes de piscine spéciales. Et pour la première fois, elle eut également les pieds liés, mais écartés l’un de l’autre.


Elle qui avait traité Tanya de dépravée, ne pensait certainement pas se retrouver dans cette situation si peu de temps après.


Tanya partit à la maison, et revint peu de temps après avec tout le nécessaire pour raser l’intimité de Sonia. En devinant ce qu’elles allaient faire, elle refusa tout net. Stella lui expliqua alors :



Sonia se calma rapidement et attendit la fin paisiblement. Pendant que Tanya s’affairait à ce travail, Stella passa derrière Sonia et commença à la caresser partout. Une fois qu’elle eut fini, Tanya délaissa ses outils pour vérifier la douceur de Sonia avec sa langue. Cette dernière, autant excitée par les caresses de Stella, que par la nouveauté de son intimité, et par ce que Tanya lui faisait, eut son premier plaisir de la journée.


Lui laissant à peine le temps de se reprendre, Tanya et Stella échangèrent leurs positions. Sonia fut submergée par autant de plaisir peu de temps après.


Elle fut ensuite détachée, mais n’eut pas le droit de retirer les lunettes. Couchée sur le dos, elle eut droit à un body-body alterné ou simultané des les deux filles. Elle appréciait particulièrement les seins qui la caressaient partout en même temps.


Une fois échauffée, elle dut reprendre la position entravée, qu’elle avait quittée précédemment, c’est à ce moment-là que je devais intervenir.


Tanya et Stella passèrent derrière Sonia, et reprirent leurs caresses manuelles. Quatre mains s’activaient sur le corps sans défenses. Lorsqu’une de mes mains agaça la pointe des seins de Sonia, celle-ci ne percuta pas. Ce n’est que lorsque ma deuxième mains effleura son intimité, qu’elle s’aperçut qu’elle avait à présent six mains sur elle. Elle interrogea mes compagnes :



Sonia suivit les conseils prodigués, et se détendit rapidement.


Après avoir bien stimulé son petit bouton, je collai mon bas-ventre contre le sien. Cette fois, elle ne pouvait plus douter que la troisième personne fût un homme. Mais elle continua de se laisser faire.


Je la pénétrai avec force douceur, pendant que Stella prenait position sur son point névralgique intime, et que Tanya se préoccupait exclusivement de ses seins.


Sonia devait penser que c’était son mari, les deux filles lui ayant promis qu’elle retrouverait le plaisir auprès de son mari. D’un autre côté, elle semblait le redouter, que penserait-il d’elle après cela ?


Nous ne mîmes pas longtemps à la faire grimper au ciel. La troisième fois de la journée.


Lorsque je lui retirai les lunettes, elle fut saisie d’effroi, mais rassurée également. Effrayée de s’être donnée à son voisin, qu’elle ne connaissait que très peu, et apaisée que ce ne fût pas son mari, au moins il ne penserait pas de mal d’elle.


Avant de la détacher, les deux filles lui firent la morale. En particulier Tanya qui lui remémora ses paroles à la boîte aux lettres, et qui lui fit remarquer qu’elle aussi était « une dépravée » à présent. Sonia rougit comme jamais, et s’excusa platement.


Stella lui fit comprendre qu’elle avait une dette envers nous et que, pour la payer, elle devrait revenir nous voir chaque fois qu’on la solliciterait.


Sonia indiqua que c’était tout à fait hors de question.


Stella lui fit remarquer alors, qu’elle n’avait pas eu l’air de s’ennuyer avec elles cette semaine passée, et qu’elle avait eu du plaisir comme jamais elle n’en n’avait eu depuis longtemps.


Ces paroles ne la tranquillisèrent qu’à moitié. Je dus alors lui sortir quelque chose, que je ne pensais pas devoir dire :



En larmes, elle finit par accepter de venir quand on le lui demanderait.


Tanya avait prévu, pour sa petite vengeance, de jeter les vêtements de Sonia par-dessus le mur mitoyen, afin qu’elle soit obligée de rentrer chez elle, entièrement nue, en passant par la rue.


Je l’en dissuadai, et lui promis que bientôt Sonia le ferait de son plein gré, et qu’elle ferait même pire, sur notre simple demande.


Pas fâchée tout de même, Sonia nous fit la bise avant de repartir chez elle.