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n° 14674Fiche technique8349 caractères8349
Temps de lecture estimé : 6 mn
28/11/11
Résumé:  Lors d'un voyage en train, ma douce s'offre à un autre.
Critères:  fh extracon cocus inconnu grosseins train toilettes fellation cunnilingu préservati -occasion -train
Auteur : Docteur Love  (Jeune couple ouvert, je vous fais part de nos aventures...)      Envoi mini-message
Infidèle en train

Il est des fois où on laisse couler les événements en se focalisant sur l’excitation du moment, sans penser à rien d’autre qu’à ça… Entre excitation, libération et un soupçon d’amertume, voici mon récit :




Caro et moi avons la trentaine. Ma fiancée mesure 1,85 m, brune avec de charmantes rondeurs et une paire de seins que je qualifierais de très généreuse. Pour ne rien gâcher, elle aime s’habiller sexy pour mon plus grand plaisir, et sait être coquine dans l’intimité.


Partant en visite dans ma famille à la montagne, nous avons pris le train depuis Paris, par une magnifique journée de mai. Vêtue de sa robe noire fendue, dos nu, elle faisait tourner les têtes. Le décolleté léger donnait une touche de sensualité à la simplicité du vêtement.


Arrivés gare de Lyon, notre chauffeur ne se privait pas pour savourer la vision de ses jolies jambes mises à nu, et nous sommes partis enlacés vers notre destination. J’ai toujours aimé ses rondeurs, mais là, je ne saurais dire si c’était le printemps, l’air des vacances, je sentis monter un violent désir en moi. Naïve, ma douce ne s’est pas aperçue de l’effet qu’elle provoquait chez nos congénères masculins. Inconsciente de son charme, elle se déroula hors du taxi, mes yeux rivés sur ses rondeurs si sensuelles. Tenant la porte de la voiture dans un état second, je dus atterrir brusquement, m’arrachant de ce moment de volupté…


Nos légers sacs de voyage en main, nous avons pris le temps de prendre un café, vivant dans un rythme en totale adéquation avec la frénésie ambiante. On se dévorait des yeux, comme à notre habitude, en jeunes tourtereaux. Après cet interlude de tranquillité, nous sommes montés dans le train, en première. Ma douce mérite au moins le meilleur. Déception dans le train, au moment de la réservation, nous étions séparés par le couloir et un homme, ma douce côté fenêtre, ma pomme en solitaire à l’autre fenêtre. Tant pis, pour le retour, nous ferons attention.



Un clin d’œil appuyant sa requête.



Nous prîmes place à nos sièges respectifs, mon regard et mes pensées s’évadant vers la cohue, appréciant ma bulle de calme lorsque mon téléphone vibra dans ma poche. Surpris, je lus un message de ma douce assise pourtant à proximité :


« J’ai une idée : Faisons comme si nous ne nous connaissions pas. Joue le jeu, je te réserve une surprise ;-) Ne t’inquiète pas, je t’aime. »

« Ok. Je t’aime moi aussi », répondis-je, néanmoins inquiet !


Je me demandais comment prendre le message lorsque je la vis se lever et se diriger vers les toilettes. À son retour, la robe baillait beaucoup plus. Elle avait retiré la bride discrète réglant le décolleté. Je ne pouvais plus décoller mon regard de cette opulente poitrine qui ne demandait qu’à s’échapper. Et alors que le train s’ébranlait, elle engagea la conversation avec son compagnon de route, dont le regard faisait beaucoup d’allers retours de son écran d’ordinateur aux courbes de ma jolie compagne. Après une petite heure de conversation dont je ne pus entendre la teneur (merci la première !), je reçus un second message de ma douce, me demandant si elle pouvait aller jusqu’au bout du jeu. Pour anecdote, elle connaît mon penchant pour l’exhibition, et mon penchant pour les hammams échangistes où nous n’avons jamais osé dépasser le stade de caresses soft. C’est dans un état de fébrilité avancée que je lui envoyai « ok ». Elle me répondit par des mots tendres, me faisant craquer comme si ce n’était pas déjà le cas…


Je la vis alors se rapprocher de son interlocuteur, frôlant son genou du sien. Il n’a pas eu besoin d’un dessin et posa sa main sur le genou de ma douce. Elle l’invita alors à poursuivre sa caresse en écartant les jambes, faisant s’ouvrir plus grand la fente de sa robe. Je vis clairement ses tétons tendre l’étoffe de la robe. Je commençai à transpirer malgré la clim. Il se tourna alors un peu plus vers elle et remonta le long de sa jambe. Je pouvais deviner qu’il la caressait par-dessus son string mauve. Elle se cambra plus dans son siège, et savoura pleinement la caresse. Je jetai un œil aux alentours, les autres voyageurs ne s’apercevaient de rien de la scène se jouant tout près d’eux.


Une pause, un nouveau message :


« Attends-moi, j’arrive. Si tu veux, tu peux tout arrêter maintenant. Mais sache que je t’aime et te resterai quoiqu’il arrive. »


Entre excitation et curiosité je répondis à nouveau « ok », et que ça ne changeait rien pour moi, elle resterait toujours la plus adorable des femmes. Après quelques caresses, ils échangèrent un chaste baiser. Puis il se leva, tendit une main vers ma compagne et ils partirent main dans la main. L’instant se figea dans ma rétine : ma douce fiancée partant main dans la main avec un inconnu qui venait de la caresser, le tout, sous mes yeux.


Un interminable moment se passa avant que notre inconnu regagne sa place. Un nouveau message arriva m’invitant à la rejoindre aux toilettes. Une grande volonté m’a été nécessaire pour ne pas courir. Arrivé, elle m’attendait devant la porte et m’a littéralement sauté dessus. Nous nous mangions de baisers gourmands, elle me demandait tout le temps si je l’aimais encore. Rassurée, et rassasiée, elle m’a alors attiré dans les toilettes. Et m’a raconté ceci, pendant que je la dévorais de baisers, mes mains ne sachant plus où la caresser :



Devant mon air incrédule, elle me rassura en me disant qu’elle lui avait mis un capuchon. Rassuré si besoin en était, je troussai alors la robe à mon tour, et lui fis la plus voluptueuse gâterie que je pouvais lui faire. Sa vulve rougie appréciait la caresse aux antipodes de la frénésie qu’elle venait de voir. Son bouton d’amour érigé reçut mes hommages dans les grandes largeurs, et c’est dans un orgasme profond que ma douce se laissa retomber.


Elle se rassit, les jambes flageolantes, retrouvant ses esprits. Ses longs doigts ouvrirent mon pantalon et, du bout des lèvres, elle embrassa le gland tuméfié de l’excitation si longtemps contenue. Elle le prit alors en bouche et commença une gâterie dont elle a le secret. En douceur, avec force caresses, elle me fit jouir en peu de temps dans sa bouche, luxe suprême dont elle me fait l’honneur souvent malgré le fait qu’elle n’aime pas trop le sperme.


Après nous être rafraîchis, c’est repus que nous regagnâmes nos places. À la descente du train, l’inconnu partit sans même un regard. Il n’a pas cherché à la revoir plus tard. Tant mieux. Ma douce m’a susurré à l’oreille que la prochaine fois elle aimerait que je la regarde avec un autre. Je n’eus pas besoin de répondre, mon sourire suffit…


C’est enlacés que nous quittâmes la gare, je passai ma main subrepticement sur ses jolies fesses, l’absence de sous-vêtement me confirma à nouveau ce qui venait de se passer.