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Temps de lecture estimé : 5 mn
29/11/11
Résumé:  Un couple illégitime, un soir, une forêt. Trois bonnes raisons de vivre un intense moment de plaisir...
Critères:  fh forêt voiture odeurs fellation cunnilingu pénétratio -amourpass -extraconj
Auteur : Leo et Scorpio  (Obsédé des mots autant que des charmes féminins)      
Un soir en forêt




Ils étaient mariés. Mais pas ensemble. Cela compliquait évidemment leur relation, mais la rendait plus excitante aussi. Depuis qu’ils étaient devenus amants, ils ne pensaient qu’à ça.


L’un était toujours présent dans les pensées de l’autre. Et inversement. Leurs corps, leurs sexes, leurs plaisirs… tout cela à la fois hantait leurs esprits atrophiés par la banalité affligeante de leur vie personnelle, compensée par un rythme de travail parfois surhumain.


Éloignés l’un de l’autre, ils ne comptaient plus les fois où ils se donnaient du plaisir solitaire. Elle dans son lit, le soir ou le matin. Lui souvent assis à son bureau…


Ce soir-là, après une longue journée de travail, ils s’étaient donné rendez-vous dans le bar d’un hôtel de la périphérie, en bordure de forêt. Elle devait assister à un dîner d’affaires un peu plus tard et avait donc un peu de temps devant elle… Dans une magnifique longue robe noire, fendue sur le devant jusqu’à mi-cuisses, elle l’avait accueilli à l’entrée de ce bar.


Ils s’étaient trouvé un petit coin qu’ils auraient souhaité plus tranquille. Leurs mains et leurs bouches, avides de l’autre, ne pouvaient guère s’exprimer. Tout juste pouvait-il, en ayant posé leurs manteaux sur ses genoux, glisser sa main entre les cuisses de son amante. Il aurait voulu pouvoir davantage les écarter. Le contact de son doux collant noir le mettait déjà dans tous ses états et lorsqu’il parvenait, du bout des doigts, à effleurer son entrecuisse, il sentait bien qu’elle brûlait tout autant de désirs…


Dans le bleu de leurs yeux brûlait la flamme de leurs envies. Il commençait à se sentir à l’étroit dans son pantalon… Il aurait aimé la prendre, là, sur la banquette… Mais ce n’était pas vraiment raisonnable…


C’est elle qui lui proposa de bouger et de la suivre. Elle connaissait, tout près de là, un endroit plus calme où ils pourraient s’abandonner l’un à l’autre.

Quelques minutes en voiture plus tard, ils s’arrêtèrent dans un petit chemin en pleine forêt. Il faisait nuit noire, mais le halo de la ville voisine éclairait ce lieu d’une douce lumière, suffisante pour que chacun puisse admirer le corps de l’autre. Ils sortirent de leurs voitures et se retrouvèrent bien vite enlacés pour enfin s’embrasser et entrer en fusion…


Bien vite, elle se mit à genoux, les cuisses bien écartées, et dégrafa le pantalon de son amant pour en saisir le sexe déjà durci par le désir. Par d’habiles petits coups de langue, elle le rendit plus dur encore, s’amusant ensuite à le prendre en bouche, tendrement, longuement, alternant avec des caresses et d’autres petits coups de langue.


Lui, déjà soumis à ce plaisir, se laissait faire tout en regardant le spectacle. Il aurait aimé avoir un appareil photo sur lui pour immortaliser cette scène mêlant indécence, érotisme et passion… il se penchait de temps en temps pour saisir à pleine mains les superbes seins de sa compagne, par-dessus cette robe qui ne demandait qu’à valdinguer à l’autre bout de cette forêt.


Quelques minutes plus tard, il la fit se redresser et se mit à son tour à genoux, glissant ses mains sous la robe pour remonter jusqu’à la taille. Il était totalement obsédé par la beauté des jambes de cette femme qui allait dans quelques minutes, s’offrir à lui sans réserve. La bouche collée aux collants, il remontait le long des cuisses puis il décida de lui baisser ce maudit collant à mi-cuisses pour pouvoir découvrir cette chatte richement fournie et déjà trempée de désirs. Il plaqua sa langue sur ce sexe si parfumé et si enivrant pour venir goûter, sur le bout de sa langue, à ce nectar intime si grisant.


Impatiente de le sentir en lui, elle le fit se redresser. Il la retourna, se plaqua dans son dos, et la fit légèrement écarter les jambes pour pouvoir s’ouvrir l’accès à son fourreau où il désirait tant venir glisser sa dague. Les mains collées sur ses hanches, il la pénétra doucement, tendrement, pour mieux profiter de chaque centimètre de ce plaisir dont il ne se lassait jamais. Légèrement penchée en avant, elle bougea son bassin en arrière, vers son amant, pour être encore plus vite rempli de lui.


Le fond de l’air était doux. Le fond de son corps était doux et humide et il allait et venait, sentant sa queue toujours plus dure à chaque passage, sentant sa chatte plus trempée et réceptive à chaque mouvement. Elle haletait d’un plaisir inattendu qu’elle ne pensait pas connaître dans cette position qu’elle n’avait guère eu l’occasion de pratiquer avant. Lui non plus, d’ailleurs. Qu’importe. Remontant les mains le long de ses flancs, il atteignit très vite les seins de sa bouillonnante maîtresse, lui pétrissant la poitrine comme si sa vie en dépendait. Cette prise en mains presque brutale procura à la femme un violent plaisir proche de l’orgasme.


Il aurait bien aimé la coucher sur le capot de la voiture, lui relever les jambes jusqu’à l’extrême pour mieux la baiser, et mieux jouir de la vision du corps de son amante. Mais ledit capot était très sale, et interdisait toute initiative de ce genre.


Elle se dégagea doucement de l’étreinte de son amant, ouvrit la porte arrière de sa voiture, et vint s’allonger sur les sièges arrière. Elle enleva une jambe de son collant pour faciliter les choses et se cala bien au fond, contre la portière, les cuisses impudiquement écartées, prête à recevoir de nouveau les coups de reins de son homme.


Il ne se fit pas prier pour s’allonger sur elle, et venir la pénétrer tendrement, au plus profond d’elle, en lui remontant les jambes autant qu’il pouvait. Il pouvait aussi l’embrasser, goûter ses lèvres si douces sur son visage si beau, surtout quand il était marqué du plaisir qu’elle prenait. Ils n’étaient plus qu’un, faisant l’amour en dehors du temps et de l’espace. Le plaisir était intense. Elle était totalement à la merci de son amant, explosant toutes ses capsules de bien-être à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle. Il se redressait parfois, pour pouvoir mieux la regarder, mieux lui caresser ses jambes qui le faisaient fantasmer… une jambe nue et l’autre encore habillée de son collant. Il ne savait plus où donner des mains et de la bouche.


Proche de la jouissance, il se retira et invita sa maîtresse venir s’asseoir au bord du siège, pour pouvoir lui offrir sa chaude semence dans sa bouche. Elle le masturba quelques instants et cela suffit à lui faire franchir le point de non retour. Il déchargea tout son plaisir en longs jets chauds et sucrés qu’elle prit en bouche et avala doucement pour en savourer chaque goutte…


Il aurait aimé se lover contre elle, la remercier de doux baisers et de tendres étreintes… Elle aurait aimé se blottir contre lui et entendre de sa bouche des mots d’amour qu’il avait encore du mal à exprimer. Mais tous les deux savaient que l’heure tournait et que le temps leur était compté.


Ils se rhabillèrent bien vite, retrouvant presque instantanément une tenue correcte qui ne laissait en rien imaginer que quelques minutes plus tôt, ils se vautraient dans la luxure la plus sublime. Au moment de se quitter, ils savaient qu’il y aurait d’autres occasions de se retrouver, clandestinement…